Théorie et pratique de la préparation de l’exposition ethnographique 

Recevoir l’information

Les Acteurs et les types d’informations

L’un des premiers acteurs analysé dans le recueil de l’information sera le conservateur : ( Notons ici que le conservateur est assisté dans ses tâches par un personnel spécialisé qu’il supervise).

Analyse des conditions de stockage et de conservation

Un musée existe et vaut avant tout par la richesse de ses collections. Sa première tâche consiste à savoir conserver le patrimoine qu’il possède.
La reconstitution et la réorganisation du logiciel sera utile au conservateur dans les conditions de stockage et de conservation des objets. Il pourra, grâce à Micromusée, gérer, contrôler et mener à bien ces conditions.
La conception de stockage et de conservation des objets doit viser à répondre aux conditions particulières de chaque musée ; la meilleure rationalité sera recherchée, grâce à l’outil de travail Micromusée, en tenant compte :
– De la nature des objets : chaque type d’objet a ses propres exigences de conditions de conservation. Le recueil de l’information donné par l’outil de travail Micromusée assistera et optimisera le travail de stockage et de conservation des oeuvres.
Les collections ethnographiques du Muséum de Lille requièrent des précautions particulières en matière d’ambiance (température, humidité) : par exemple les objets en fer devrons être séparés des pièces en bois. En effet leurs conditions de conservation nécessitent un taux d’hygrométrie distinct. Pour ce qui est des pièces constituées de fer et de bois, un taux d’hygrométrie bien précis sera recommandé. Outre cela les poteries nécessitent, elles aussi, un taux d’hygrométrie spécifique. Les mesures de protection contre la lumière (notamment pour les objets en ivoire, les estampes, les dessins…), contre les insectes (pour tous types d’objets en tissu : vêtements, chapeaux, chaussures en toile, tentures …), contre la moisissure (pièces en cuir ou en bois) ne devront pas être négligées. [Notons au passage qu’un système informatique, nommé Hanwell, avec transmission des données par radio vers un ordinateur central existe au Muséum de Lille : il permet de contrôler en permanence les conditions de température et d’hygrométrie des réserves, de les modifier si nécessaire, d’effectuer des rectifications en feed back..]
La base de donnée permettra au conservateur, après une recherche, d’avoir une vue d’ensemble sur le constat d’état des objets. Cette information, une fois reçue, lui permettra de sélectionner, selon son bon jugement, les objets qui nécessitent une remise en état et de faire alors appel à un restaurateur.
Le contrôle des objets devra être géré, toujours grâce à l’outil de gestion Micromusée.
Il devra nous indiquer le conditionnement adapté aux pièces ethnographiques c’est à dire :
– L’archivage (Comment l’objet doit être posé ; s’il doit l’être sur papier neutre ou encore protégé dans une boîte en carton neutre).
– Le taux d’hygrométrie.
– La température ambiante.
– La luminosité (Taux de luminosité ou obscurité totale).
– La pollution (Interdiction de stocker des produits polluants, interdiction de fumer).
– La sécurité (Accès contrôlé, alarme, détecteur incendie).
Il serait bon ici de noter que les collections ethnographiques sont éclatées dans plusieurs salles pour éviter la destruction ou la perte complète en cas d’incendie, d’inondation ou de vol.
De plus des installations complémentaires aux simples systèmes de rangement devront être prévues à l’intérieur des réserves. Les collections qui présentent des risques particuliers (risques de contamination…) devront être entreposées à l’écart.
Les oeuvres ethnographiques les plus prestigieuses et les plus vulnérables (en raison de leur nature, de leur composition, de leur taille…) pourront être conservées dans une chambre forte indispensable à l’équipement de tout musée.
– De la taille des objets : qui pose des problèmes spécifiques de stockage et de manutention, notamment pour les cas extrêmes de très petits objets difficiles à manipuler sans les détériorer, ainsi que pour les très gros objets.
Par exemple, les petits objets pourront être regroupés dans des systèmes de rangement du type tiroirs. Si ces tiroirs étaient en matière transparente, ils permettraient de visualiser immédiatement leurs contenus et facilitent d’autant les recherches.
Pour les fonds importants et volumineux, on pourra faire appel aux « compactus », des genres d’armoires modulables permettant de stocker d’importantes collections.
– De la localisation des objets : la localisation d’une pièce est primordiale dans le stockage des oeuvres. Un objet sans numéro de localisation est un objet perdu ou inutile (sauf si le conservateur connaît ses réserves sur « le bout des doigts » et possède une mémoire phénoménale. Néanmoins lors de son départ ou s’il est remplacé, si les objets ne sont pas localisés, cela posera problème. Chaque oeuvre doit donc être localisée avec le nom de la réserve, le numéro de travée, le numéro d’étagère, de planche et de boîte (si boîte il y a). Cette numérotation permettra un renvoi direct à l’objet, un gain de temps dans la recherche de la pièce et évitera la manipulation des autres pièces lors de la quête de l’objet.
– Des conditions d’accès du public aux réserves : la fréquence des visites sera fonction des conditions de conservation des oeuvres. Le nombre de personnes autorisés à visiter les réserves sera limité et contrôlé.
– De l’organisation des réserves : l’installation des réserves ne peut être conçue « in abstracto » ; elle doit être étudiée, par le biais de la base de donnée, conjointement aux autres activités du musée, en répondant aux exigences d’inter-relation qu’elles demandent. La conception doit être globale et concerner aussi bien l’aménagement intérieur des réserves que leur situation dans l’organigramme général du musée.
Le conservateur pourra, s’il le souhaite et s’il le juge pertinent et objectif, regrouper les oeuvres sous plusieurs critères:

Regroupement des objets par continents/origine géographique 

—¥ pour que les chercheurs puissent y accéder plus facilement (Spécialistes en Afrique, Asie, Amérique, Océanie ou Europe). Les objets ainsi regroupés permettent ainsi une étude comparative sans déplacement entre les réserves.
—» pour la préparation d’une exposition traitant d’un continent ou d’un lieu géographique bien particulier.

Regroupement des pièces par thèmes à l’intérieur d’un même continent/origine géographique 

—» pour un meilleur accès aux pièces ainsi qu’une manutention plus accessible dans le cadre d’un travail de recherche ou d’une exposition concernant, par exemple, les parures, les objets religieux, les têtes momifiées, les objets en fer…

Regroupement des objets par pays, îles ou ethnies à l’intérieur d’un même continent/origine géographique

Une liste thématique exhaustive ne pourrait point être mis en oeuvre étant donné l’étendue des sujets de recherche ou d’exposition.
Quelque soit l’option de rangement choisie, le logiciel Micromusée pourrait cependant dénombrer grâce à une recherche booléenne les objets provenant d’un espace géographique bien précis et relevant d’un thème bien spécifique. Exemple : les objets domestiques aux îles Cook.
L’organisation des réserves, pour donner entièrement satisfaction à l’usage , devra être conçue en tenant compte du projet muséographique de base du musée. Ce projet sera défini par :
– La nature des collections ethnographiques.
– Le programme des expositions ethnographiques.
– Le programme d’éducation.
– Le programme de recherche.
Le conservateur sera donc à même de recevoir les informations saisies par le documentaliste sur Micromusée pour le bon déroulement de ce projet et le bien être du Musée d’Histoire Naturelle.
Ainsi, le conservateur consultant la base de donnée Micromusée, se verra recevoir toutes ces informations qui, une fois saisies, amplifieront la gestion des objets, leur conditions de stockage et de conservation.

Analyse du traitement administratif de la collection ethnographique

La base de donnée peut-elle « se rendre utile » dans la gestion administrative de la collection ethnographique ?
Quel type d’informations, le conservateur (ainsi que son personnel administratif) peut-il recevoir pour mener à bien la gestion administrative des objets ethnographiques ?
Tout d’abord, il faut savoir que des enquêtes tant de la Cour des comptes que des Chambres régionales des comptes concernant la tenue légale de l’inventaire, peuvent être faites. Le conservateur se doit de mettre à jour, tous les ans, l’inventaire de son Musée.
L’outil de travail Micromusée intervient ici.
En effet, le logiciel pourra nous dresser la liste exhaustive des collections et éviter ainsi un long travail laborieux et délicat.
L’avantage de la reconstitution et de la réorganisation de l’inventaire informatique ethnographique serait de permettre ici un traitement administratif rapide, direct et convivial.
L’informatique l’emporte ici sur des piles d’archives et de dossiers administratifs. Les recherches à partir du logiciel seraient beaucoup plus accessibles et rapides. Elles donneraient, en quelques secondes, des résultats qui demanderaient, à partir des fichiers papiers traditionnels, des semaines de travail.

La zone bibliographie 

La zone bibliographie, quant à elle, nous indique, comme nous l’avons vu dans le II- 2.2-f- p 10, les références bibliographiques.
Cette zone sera utile au documentaliste, en ce qui concerne les références bibliographiques, pour apporter l’information livresque que le conservateur lui aura demandé sur tel ou tel objet. Il peut aussi s’agir de chercheurs en quête d’informations ethnographiques.
La bibliographie saisie sur Micromusée renverra alors à l’ouvrage, la revue ou l’article concernant l’objet.
L’information quémandée pourra aussi être obtenue grâce à une investigation à partir de la référence bibliographique du catalogue d’exposition qui a été fait. Des informations complémentaires pourront ainsi être obtenues grâce à cette référence.
Jusqu’à maintenant, seuls quelques notices possèdent ces références bibliographiques. Aussi, la zone bibliographie devra être saisie pour tous les objets ethnographiques du Muséum de Lille ayant un rapport direct avec telle ou telle information contenue dans tel ou tel ouvrage, article, revue ou catalogue.
L’objet ethnographique serait alors mieux documenté, et le conservateur mieux informé avec un gain de temps considérable.
La zone bibliographie nous relève aussi le numéro du dossier d’oeuvres. La notice est ainsi reliée à son dossier par le biais de la base de donnée.
Au niveau de la collection ethnographique, aucun dossier n’a encore été réalisé. Ce travail devra donc être exécuté dans un avenir prochain.
Le dossier d’oeuvre comportera une pluralité d’informations se référant à l’objet mais n’étant pas forcément en rapport direct avec lui. Par exemple, à partir d’un objet ethnographique comme un poncho polynésien, on pourra y retrouver les informations et documents suivants :

Analyse de la préparation de l’exposition ethnographique

Si le but d’un musée est de transmettre des informations, elles sont véhiculées par un canal spécifique qui est l’exposition.
Le conservateur (ainsi que le personnel chargé des expositions) pourra aussi, dans le cadre de la préparation de l’exposition, utiliser le logiciel et en recevoir une information utile, objective et pertinente.
Je baserai ici mon analyse sur une étude de cas : la future exposition qui aura lieu au Muséum de Lille. Celle-ci s’intitule : « Océanie, curieux, navigateurs et savants ».
Avant tout, il serait bon de savoir que ce fut un projet mené en collaboration avec l’Association des Conservateurs des Musées du Nord – Pas de Calais, visant à faire connaître les objets océaniens des Musées de la région collectés par de grands explorateurs régionaux.
Le plus grand nombre de pièces est issu des collections du Muséum de Lille : 100 sur 150. Cette exposition est itinérante. Elle circulera à Arras, Dunkerque, Valenciennes, Lille, Nantes puis, plausiblement mais de manière encore incertaine, au niveau international, à Nouméa, Sydney et Tahiti. Son comité scientifique rassemble Roger Boulay et Sylviane Jacquemin, chargé et attachée à la section « Arts d’Océanie » du Musée des Arts africains et océaniens et Annick Notter, Conservateur en Chef du Musée des Beaux-Arts d’Arras , avec la collaboration de Bertrand Radigois (Conservateur en Chef du Muséum de Lille).
Le Muséum lillois devrait accueillir cette exposition du 15 février au 30 avril 1998.
Les pièces sélectionnées sont superbes, parmi les plus prestigieuses rapportées de l’épopée océanienne et n’ont jamais été vues pour la plupart d’entre elles. A titre d’exemple, citons tout d’abord le costume de deuilleur de Tahiti, datant du 18ème siècle. C’est une maquette rarissime, de très haute valeur symbolique pour les civilisations océaniennes. Elle est aussi la seule maquette de ce type connue actuellement. Le chasse-mouches polynésien des îles Australes , insigne de royauté, est également un des plus beaux exemplaires connus au monde.
Comment recevoir l’information, par le biais du logiciel, dans la préparation de l’exposition ethnographique ? Quels en sont les avantages ?

Choix des pièces ethnographiques

Tout d’abord, comme nous l’avons vu dans la partie I- 1, p 4, l’une des finalité de l’inventaire est de connaître le fonds des collections.
Il est vrai que le conservateur en chef, Bertrand Radigois, connaît sa collection ethnographique « sur le bout des doigts » ; le choix des objets constituant l’exposition océanienne a été faite sans vraiment utiliser la base de donnée Micromusée. Il est aussi vrai de dire, qu’à l’heure actuelle, toutes les informations concernant les objets ethnographiques, n’ont pas encore dans leur totalité, été saisies. Si la réorganisation et la reconstitution de l’inventaire ethnographique était parachevée, ce qui n’est pas le cas, on aurait pu se rendre compte de l’utilité et des avantages apportés par le logiciel dans la préparation d’une exposition à caractère ethnographique.
En effet, le choix des objets aurait pu se faire totalement en consultant la base de donnée. Il aurait simplement suffit de faire une recherche en rapport avec les thèmes abordés dans l’exposition.

Encombrement des pièces

Le second paramètre qui rentre en compte dans la préparation d’une exposition quant à l’utilisation du logiciel est l’encombrement de l’objet, c’est à dire le volume qu’il remplit.
On fera ici appel à la zone mesures : dimensions maximum, le logiciel nous donnera les longueurs, largeurs, hauteurs, épaisseurs ou encore diamètres des oeuvres.
Plus précisément il pourra spécifier les dimensions des différentes parties de l’objet.
A partir de là, le nombre d’objets présent dans une vitrine pourra être déterminé approximativement. Leur emplacement pourra être sensiblement déterminé.
Pourront aussi être spécifiés, les oeuvres ne pouvant pas intégrer les vitrines en fonction de leur trop grande taille. Il faudra donc leur trouver une place hors vitrine dans le musée.
Qui dit mesures des pièces, dit soclage. Et qui dit soclage, dit mesures des socles.
Plutôt que de manipuler l’objet pour le mesurer sous toutes sur formes, il suffira simplement d’interroger la zone mesures et à partir de là juger les mesures du socle sur lequel l’oeuvre sera disposée.
Ceci dit, il faut tout de même se rendre compte, que la machine ne peut attribuer telle ou telle disposition de l’objet au sein de la vitrine ainsi que tel ou tel soclage .
Cela relève plutôt de la suggestion et de la réflexion du conservateur qui devra juger de l’emplacement muséographique des oeuvres ethnographiques. L’étude muséographique ne relève pas des compétences d’une base de donnée et la place et la disposition des pièces ne peut être calculée par le logiciel.
L’agencement et l’arrangement des objets mérite un raisonnement humain, chose qui ne peut être façonnée par une base de donnée. La couleur ou la forme esthétique des pièces devra aussi être prise en compte dans la composition de la vitrine ou de l’exposition. Cet aménagement ne peut être élaboré par Micromusée.
Le logiciel n’offre ici qu’une aide dans la disposition des pièces exposées. Il est ici qu’un support de travail quant à l’encombrement des oeuvres.

A la recherche des objets

Le problème a déjà été abordé dans la partie III-1.1- p 12 « De la localisation des objets »- ainsi que les conditions de manipulation. Sachons tout simplement que le fait de pouvoir retrouver une oeuvre très facilement grâce à la zone localisation est primordial lors de la sortie des objets pour les exposer.

Etat des objets exposés

Les oeuvres exposés devront, dans la majorité des cas, être en bon état ou en état moyen. On ne présentera naturellement pas des pièces délabrées. Comme nous l’avons vu dans le III- 1.1- p 11- «De la nature des objets » il suffira de faire une recherche dans la zone constat d’état. Selon son état (bon- moyen-mauvais), (à restaurer ou non), le conservateur avisera, selon son bon jugement, de l’intégrer ou non à l’exposition.

Les textes explicatifs

L’outil de diffusion de l’information Micromusée sera aussi d’un grand recours au conservateur dans la constitution des textes explicatifs.
Il existe plusieurs rubriques sur la base de donnée qui offrirons un bon nombre d’informations concernant l’objet étudié dans le cadre de l’exposition.
Ces informations seront apportées principalement par la zone observation. En consultant cette zone, le conservateur sera doté d’un bon support informationnel pour la composition de ses textes. Encore faut-il que la pièce ethnographique ait été documentée, ce qui n’est pas toujours le cas.

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Table des matières

Introduction
– Historique du Musée
– Présentation de la collection ethnographique
– La démarche à effectuer
I- Notion d’inventaire 
1- Finalité de l’inventaire
2- Normes et règles de l’inventaire
3- Les inconvénients
II- Présentation des inventaires ethnographiques 
1- Présentation des inventaires manuscrits
2- Présentation de l’inventaire informatique
2.1- Intérêts et avantages d’une reconstitution et réorganisation de l’inventaire
2.2- Typologie des zones et champs de Micromusée
a- Traits physiques de l’objet
b- Historique de l’objet
c- Fonction de l’objet
d- Identité de l’objet
e- Traitement administratif de la pièce
f- Support documentaire de l’objet
III- Fonctions de l’inventaire ethnographique informatisé au niveau de la gestion interne du musée 
1- Recevoir l’information : Les Acteurs et les Types d’information
1.1- Analyse des conditions de stockage et de conservation
1.2- Analyse du traitement administratif de la collection ethnographique
1.3- Analyse des supports documentaires
a- La zone exposition
b- La zone photographie
c- La zone bibliographie
1.4- Analyse de la préparation de l’exposition ethnographique
a- Choix des pièces ethnographiques
b- Encombrement des pièces
c- A la recherche des objets
d- État des objets exposés
e- Les textes explicatifs
f- La préparation des cartels
g- Théorie et pratique de la préparation de l’exposition ethnographique
1.5- Analyse de l’action pédagogique et éducative
1.6- Analyse de la recherche scientifique
2- Apporter l’information : Les acteurs et les types d’informations
2.1- L’apport de la recherche scientifique
IV- Fonctions de l’inventaire ethnographique informatisé au niveau de la gestion externe du musée : La mise en réseau de Micromusée et son optimisation 
1- Travail de réseau entre musées
1.1 – Les avantages pour les acteurs des musées
a- Pour les conservateurs
b- Pour les chercheurs-ethnologues
c- Pour les restaurateurs
d- Pour les enseignants
2- Travail de réseau sur Internet
a- Les avantages d’Internet
b- Les difficultés engendrées par la mise en réseau
Le problème de l’interdisciplinarité
Conclusion 
Bibliographie 
Remerciements 
Annexes

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