CONTRIBUTION A LA PROTECTION ET A LA VALORISATION DU CORRIDOR FORESTIER

Une couverture végétale dégradée et prédominance de sol ferralitique

La couverture végétale : Les régions de Fandriana et Marolambo sont en grande partie déboisées. La région de Fandriana est couverte par des prairies (Bozaka) qui donnent au pays un aspect assez « monotone ». La couverture végétale est très dégradée. Dans la partie NordOuest on pratique des reboisements de pins et eucalyptus depuis 1960 pour protéger les rizières de l’ensablement. Dans la région de Marolambo, la forêt est en général fragmentée. Les lambeaux de forêt occupent surtout les hautes collines. (Croquis n°03)
La prédominance de sol ferralitique : Les sols des régions de Fandriana – Marolambo sont ferralitiques. Le sol sous reboisement de pin dans la partie nord-ouest a une forte teneur en acide le rendant impropre à l’agriculture. Dans la forêt, il est recouvert d’humus. Les plaines et les vallées, notamment les plaines d’Ambohimilanja et d’Androrangavola, sont constitués de quelques rares terres alluviales. Les sols peu évolués sont facilement érodables de par leur richesse en sable et en limons. Sur le plan géologique, la région de Fandriana est constituée par le socle cristallin précambrien appartenant au système de graphite. La moitié Ouest à la prédominance de micaschiste, comportant quelques gneiss, quartzites, cipolins et migmatite, représenterait le groupe d’Ambatolampy. La moitié Est à la prédominance de migmatites granitoïdes comprenant, des quartzites, gneiss, charnockites et enclavés de micaschistes, équivaudrait au groupe de Manampotsy (Croquis n°04). Par contre le sous-sol de la région de Marolambo est composé pour la plus grande partie de schistes cristallins, granites, migmatites, gneiss et quartz. La partie Est de la région est formée d’Amphibolite, de granite, de migmatites granitoïdiques à amphiboles et grenat. La partie centrale de la région est ensuite dominée par des gneiss, leptynites, migmatites à graphite. En fin, la partie ouest, est marquée par la présence d’une série migmatitique amphibolite, de gneiss, quartzite et des lames de migmatites granitoïdes. Un complexe de granites migmatitiques et migmatites associées forment la zone de la falaise. (Croquis n° 04). Une série granitique à faciès finement grenu, forme de minuscules massifs au nord – ouest de la région.

Evolution de la politique forestière Malgache

     L’étude de l’évolution de la politique forestière sera tirée en grande partie de (SIGRIDE, 1999). La première politique forestière malgache a commencé sous le règne d’Andrianampoinimerina. En 1881, Rainilaiarivony, Premier ministre sous le règne de Ranavalona II, a fait naître la législation écrite malgache appelée «code des 305 articles» Dans ce code, il a souligné les règles régissant la forêt, dans trois articles :
Article 101 : « les forêts ne doivent pas être incendiées ; ceux qui les brûleront, seront mis aux fers pendant 10 ans »
Article 104 : « il ne peut être construit de maison dans la forêt sans l’autorisation du gouvernement ; si des personnes érigent, pour y demeurer, des habitations dans la forêt, elles sont punies d’une amende de 10 bœufs et de 10 piastres, leurs maisons seront détruites, et elles devront en outre, payer une indemnité d’un bœuf et d’une piastre par arbre abattu. Si les délinquants ne peuvent payer, ils seront mis en prison à raison d’un centime ou « sikajy » (monnaie malgache de l’époque) par jour jusqu’à concurrence du montant de l’amende non payée. »
Article 105 : « on ne peut défricher la forêt par le feu dans le but d’y établir des champs de riz, de maïs ou tout autre culture ; les parties antérieurement défrichées et brûlées seules peuvent être cultivées ; si des personnes opèrent de nouveau défrichements par le feu étendent ceux déjà existants, elles seront mises aux fers pendant 5 ans. » Le mode de gestion forestière a changé brusquement, dès l’arrivée des colonisateurs français en 1896. Leur objectif est de mettre en valeur et de développer économiquement la grande île. Il s’agit de promouvoir les cultures de rente (café, vanille), l’industrie et le commerce. Les pratiques agricoles s’effectuaient essentiellement au détriment de la forêt. Par conséquent, l’action de déforestation était encouragée, mais au profit des Français. Pour se permettre, tout espace forestier est régi par le décret du 16 juillet 1897 comme étant une propriété de l’Etat colonial. Des mesures d’accompagnement ont été élaborées, mais toujours au profit des colonisateurs. Il s’agit des actions de reboisement qui ont été entamées en bordure de la route de l’Est pour faire face au problème d’érosion. Les terres vacantes et sans maître, à l’époque, constituaient déjà la propriété de l’Etat, mais elles peuvent être appropriées par le biais de sa mise en valeur (décret du 28/09/1929). Le décret du 15/01/1930, fut ensuite élaboré pour motiver le reboisement en eucalyptus. Ce dernier était considéré comme une forme de mise en valeur de la terre. Mais, malheureusement, cette opportunité n’était essentiellement accordée qu’à l’oligarchie coloniale (notable, journalistes, administrateurs…). Au point de vue conservation, l’Etat colonial a créé les premières Aires Protégées (A.P), appelées Réserves Naturelles Intégrées (R.N.I) en 1927. En dehors de l’accès aux tombeaux déjà implantés dans la réserve, seuls les recherches et formations scientifiques y sont permises. De nouvelles catégories d’aires protégées furent ensuite créées après 1956 : les Parcs Nationaux, les Réserves Spéciales, les forêts classées, les périmètres de reboisement, et les réserves de chasse. Le Parc National est une aire dont le but est de protéger et de conserver un patrimoine naturel et culturel original tout en présentant un cadre récréatif et éducatif. (Code des Aires Protégées ou COAP). Bref, il est destiné pour la conservation, la recherche et le développement. Les réserves spéciales sont crées pour un écosystème ou site spécifique et/ou une espèce végétale ou animale spécifique (COAP). A l’arrivée de Tsiranana au pouvoir après l’indépendance, la protection de l’environnement était encore influencée par la France. En 1962, le « devoir de reboisement » était obligatoire chaque année, pour tout le malgache âgé de 18 ans, suite à la création du « conseil supérieur de la protection de la nature ». A titre de récompense, un « congrès international de l’union international pour la conservation de la nature » a eu lieu à Madagascar en 1970. Mais en général, la législation forestière malgache, après la colonisation, repose essentiellement sur un système d’interdictions et de limitations d’usage assorties de pénalités. Malheureusement, on assiste à un relâchement dans l’application de cette législation, car par rapport à l’ampleur de la pression qui s’exerce sur les ressources forestières, elle reste inefficace. Cette législation forestière évoque le pouvoir de l’Etat à travers l’appropriation de la forêt. Toute forêt dépourvue d’une autorisation d’usage est classée comme propriété de l’Etat et ne peut être exploitée qu’à son seul profit. Elle contient les modalités et règles qui limitent l’attribution des permis sur l’utilisation domestique des espaces boisés considérés, et l’exploitation commerciale des coupes usagers. D’où, une marginalisation effective des paysans. Enfin, elle édicte tout un ensemble de pénalités applicables aux contrevenants et confère de pouvoir de police étendue au personnel d’une administration spécifique chargée du contrôle des usages forestiers. (Buttoud, 1994 citée par RAHARIMALALA, 2000) « L’accès des populations riveraines se voit ainsi strictement réglementé par une législation forestière qui est à la fois spécifique, exclusive, et répressive. C’est une réglementation spécifique parce qu’elle ne prend en compte que les stricts aspects forestiers, sans considération de l’environnement économique et social, notamment rural. Elle ne s’intéresse pas au contexte qui pousse les paysans à parcourir les espaces boisés, elle se contente de réglementer la façon dont ces paysans utilisent les ressources correspondantes. C’est une réglementation exclusive, dans la mesure où son objectif est d’exclure le plus possible d’usagers afin de limiter une pression jugée néfaste sur les ressources forestières et cela au nom de la défense d’un intérêt général conçu comme quelque chose qui s’impose à la société locale et dont seul l’Etat peut être le garant. Ainsi la loi énumère ce qui est interdit de faire mais elle ne dit pas ce qui est autorisé. Les lois forestières initiales se résument finalement à des successions d’interdits. C’est enfin une loi répressive car sa promulgation a pour objectif de donner à l’autorité publique les moyens de sanctionner les contrevenants. Les lois forestières se résument dès lors à servir d’outils pour punir les paysans qui ne s’y soumettraient pas. » (RAHARIMALALA, 2000). Les caractères répressifs de la législation forestière malgache ont ruiné la politique forestière à Madagascar. L’Etat est devenu l’ennemie principale des paysans du fait que ces lois forestières piétinent leurs coutumes et constituent l’un des contraintes à la bonne gestion de leur milieu. Par conséquent, des réactions de frustration se sont produites au niveau des paysans, d’où la multiplication des actes illicites de déforestation. Les lois sont devenues impuissantes devant les dégâts forestiers. Dans les années quatre-vingts, l’Etat a essayé d’orienter la politique forestière vers deux grands objectifs, l’autosuffisance alimentaire et l’amélioration de la balance des paiements, dont le slogan était « Protéger et produire, développer sans détruire ». (Ministère des Eaux et Forêts) Il est vrai que c’est difficile d’estimer la surface forestière existante et encore moins son évolution. Par contre, la disparition progressive de la forêt ne cesse de s’accentuer. (ONE, 1997)
– Des évolutions importantes sont intervenues au niveau des options de politique sectorielle englobant la foresterie. Face aux problématiques de l’environnement, l’Etat a élaboré de nouvelles politiques sectorielles. En 1984, il a adopté « la stratégie malgache pour la conservation et le développement durable », et puis la charte de l’environnement en 1990. Cette dernière vise à « rétablir un équilibre durable et harmonieux entre les besoins de développement de l’homme et les soucis écologiques ». Une nouvelle version de la loi forestière malgache est régie par la Loi N° 97–017 du 16 juillet 1997, portant révision de la législation forestière. Ses objectifs sont fixés par la charte de l’environnement de 1990. Elle se complète avec le décret N°97-1200, portant l’adoption de la politique forestière. Ces deux documents ont été élaborés dans le but de protéger et gérer durablement les ressources forestières face aux problématiques de l’environnement. (Volker, 2001) Augmenter, la superficie et le potentiel forestiers, est l’une des grandes orientations et objectifs de la politique forestière, depuis 1962.

Les potentialités agricoles et artisanales des deux régions

     En dehors de ces potentialités écotouristiques, les deux régions de Fandriana et de Marolambo possèdent aussi des potentialités agricoles et artisanales. La culture vivrière constitue la première préoccupation des habitants des deux régions, suivie de l’élevage et de l’artisanat. Dans la région de Marolambo, la culture de riz occupe une superficie de 17290 ha formée essentiellement de « tavy » et de culture de bas fond. La région produit environ 25000 tonnes de riz par an. Le taux de production est de 2.5 tonnes par hectare pour le riz irrigué et 1.4 tonnes/ha pour le riz de « tavy ». Les 75 % de la production de riz sont consommées sur place, faute d’évacuation. D’où une économie d’autoconsommation. Après le riz, le manioc occupe une superficie égale à 2740 ha en 1989. Pour les cultures de rente, la région produit 2375 tonnes de café la même année. Les produits sont presque exportés vers Toamasina ou par des collecteurs privés vers Fandriana. Les cultures fruitières les plus poussées dans la région sont l’ananas et le bananier. Marolambo produit 4050 tonnes d’ananas et 960 tonnes de bananiers la même année 1989 (Région et développement, 1990). Quant à la région de Fandriana, elle produit 31232 tonnes de riz en 2000. Le rendement par hectare est de 2.49 tonnes. Le manioc tient la seconde place avec une production de 22 164 tonnes la même année. Viennent ensuite la pomme de terre, le maïs, le haricot, l’arachide et le blé. Ces derniers sont destinés en grande partie à la vente et à la transformation artisanale comme la canne à sucre. La culture fruitière ne connaît une certaine importance que pour quelques familles. La pomme de Miarinavaratra est déjà reconnue en dehors de la région. L’élevage joue aussi son rôle dans l’économie des deux régions. En 1989, Marolambo enregistre 10 900 zébus, 6970 porcs, et 199 200 volailles, tandis que Fandriana enregistre en 2002, 8 120 bœufs, 6 181 porcs, 119 020 poulets, 216 275 canards, 184 dindons et 263 oies. (PCD Fandriana, 2002). L’élevage extensif de bovin est destiné aux travaux agricoles et distraction mais non au commerce. Par contre le commerce de porc commence à se développer. Les animaux sont vendus sur place et sur pied aux collecteurs grossistes et bouchers pour approvisionner la capitale. En matière artisanale, quelques villages sont déjà connus par la pratique de tissage comme Ambodivoara, Manakana, Masobehony et Ankiboka pour la région de Marolambo. La confection de la soie fait la renommée de Sandran-dahy. Le tissage et l’activité à base d’argile sont pratiqués dans la région de Fandriana. En matière de ressource naturelle, le corridor forestier Fandriana Marolambo offre une faune et une flore intéressantes pour les activités écotouristiques. La population riveraine tire profit de ces ressources naturelles en exploitant les écrevisses, les crapauds, le miel, les plantes médicinales. Pour les écrevisses, le maximum de vente est localisé sur le marché de Miarinavaratra où 20 à 25 paniers d’écrevisse sont collectés et acheminés vers la capitale. La moyenne de vente se situe à 80 écrevisses par paysans. Elles sont vendues essentiellement à l’état cru mais ceux qui sont morts lors de transport sont vendus à l’état cuit (cas des revendeurs)

L’inégalité au point de vue enclavement

     L’accès dans les trois villages de Kirisiasy, d’Andohariana et d’Ambodivoara s’avère difficile. L’approvisionnement n’est pas semblable pour chaque village. Les deux villages Betsileo sont plus avantagés par rapport à celui d’Ambodivoara. Ils sont déjà reliés à leurs chefs lieux de commune, voire au chef lieu de la sous préfecture. Pour Kirisiasy, l’approvisionnement du village se fait par des charrettes et des bicyclettes parce que la route n’est pas encore carrossable. Le projet de désenclavement est en cours pour cette année 2004. Malgré tout, le marché de kirisiasy ravitaille quelques villages périphériques tels que Tratrambolo et Ambodivoara. Par contre, Andohariana est relié avec Ankarinoro son chef lieu de commune par une route secondaire en très mauvais état. Le village est joignable uniquement par voiture tout terrain. L’approvisionnement est donc plus facile par rapport à Kirisiasy. Mais, Andohariana ne possède pas encore de marché. La population doit s’approvisionner en conséquence au marché d’Ankona à 45 minutes de marche. Situé au-delà de la couverture forestière, la région de Marolambo est encore enclavée, surtout dans sa partie sud. La ville de Marolambo est reliée avec Mahanoro par une route secondaire de 130km. Cette route n’est praticable que pendant 6mois de l’année. Cependant, seules les voitures 4×4 peuvent le joindre. Le reste de la région est relié à ses voisines par des petites pistes, tel est le cas d’Ambodinonoka–Fandriana et MarolamboAmbohitopoina. Par conséquent, l’approvisionnement de la région est très difficile. Les paysans se contentent de survivre avec les produits locaux. Le village d’Ambodivoara n’est joignable qu’à pied. Les marchands ambulants se chargent de l’approvisionnement du village. Le coût des produits venant de l’extérieur est presque doublé. Cela est dû au coût du transport qui se fait jusqu’à maintenant à pied. Le montant du transport est calculé en fonction du poids des bagages (photo n°14). Il revient en général à 1000 francs par kilos pour les longues distances et 400 francs/kg pour les courtes distances.

Contraintes humaines et économiques pour la valorisation de la  forêt

Contraintes humaines : Le comportement des habitants riverains du corridor vis à vis de la forêt reste à l’état traditionnel. Leurs activités se rapportent toujours à la forêt : ils chassent, cueillent, défrichent et parquent en même temps leur bétail à l’intérieur de la forêt. Ils protègent leurs espaces forestiers contre les intrus. Selon les habitants, la forêt est gardée par des esprits. Quelques interdictions sont citées par les habitants. Par exemple, il est interdit d’appeler quelqu’un par son nom à l’intérieur de la forêt. Il suffit de crier fort, pour que ce quelqu’un puisse entendre. Il est également interdit de chercher quelque chose de perdu dans la forêt, parce que cette chose est supposée prise par les esprits gardiens de la forêt. Insister à sa recherche pourra amener une malédiction sur le concerné. Enfin, toute pénétration d’autrui à l’intérieure de la forêt sans être accompagné d’un guide autochtone est interdite pour éviter la colère des esprits. Malheureusement, ces interdictions n’ont pas vraiment d’objectif sur la conservation de la forêt. Par contre à Ambodivoara, la forêt est actuellement régie par des conventions sociales ou « DINA ». La pratique de tavy est actuellement interdite. Un arbre coupé est sanctionné d’une amende de 50.000 Fmg plus reboisement de 10 pieds de plante. Les sanctions pour une ruche détruite ou volée dans la forêt sont une amende de 50.000 Fmg également plus fabrication de 10 ruches. Malgré l’effort social dans ces conventions, l’action de défrichement illicite continue toujours.
Contraintes économiques : Les habitants de la périphérie du corridor forestier Fandriana – Marolambo vivent tous dans la pauvreté et la misère, malgré sa richesse naturelle. Le manque d’infrastructures amplifie cette pauvreté. Les collecteurs sont obligés de joindre les producteurs sur place pour pouvoir maîtriser les échanges. Ils décident du prix des produits. Face à cette situation les producteurs ne peuvent rien faire. Ils sont contraints de vendre leurs produits à bas prix pour pouvoir acheter en contre partie des produits de première nécessité très chère. Les paysans épargnent pour préparer des fêtes traditionnelles, mais non pas pour prévoir l’avenir. Les épargnes sont toujours gaspillées durant les cérémonies. Pour parvenir à un développement local à long terme, il est indispensable d’encadrer techniquement et économiquement les paysans. La valorisation du corridor est un meilleur outil pour cela. L’intervention des institutions ou programmes économiques et environnementaux est nécessaire.

Le rapport de stage ou le pfe est un document d’analyse, de synthèse et d’évaluation de votre apprentissage, c’est pour cela rapport-gratuit.com propose le téléchargement des modèles complet de projet de fin d’étude, rapport de stage, mémoire, pfe, thèse, pour connaître la méthodologie à avoir et savoir comment construire les parties d’un projet de fin d’étude.

Table des matières

INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : L’ENVIRONNEMENT PHYSIQUE, HUMAIN ET JURIDIQUE DU CORRIDOR FORESTIER FANDRIANA – MAROLAMBO
CHAPITRE I : FANDRIANA ET MAROLAMBO : DEUX REGIONS AUX ASPECTS BIOPHYSIQUES ET HUMAINS OPPOSES , ETUDE A TRAVERS LES VILLAGES DE KIRISIASY, ANDOHARIANA ET AMBODIVOARA
1- ASPECT PHYSIQUES DE FANDRIANA ET MAROLAMBO
2- MODE D’OCCUPATION HUMAINE ET SYSTEMES DE PRODUCTION
CHAPITRE II : CONTEXTE DE LA POLITIQUE FORESTIERE MALGACHE PAR RAPPORT A LA ZONE D’ETUDE
1- LA POLITIQUE ET LA LEGISLATION FORESTIERE DE MADAGASCAR
2- CONTEXTE DU CORRIDOR FORESTIER FANDRIANA – MAROLAMBO
DEUXIEME PARTIE : LE CORRIDOR FORESTIER FANDRIANA – MAROLAMBO COMPRESSE PAR LES VILLAGES DE KIRISIASY, ANDOHARIANA ET AMBODIVOARA
CHAPITRE III : LES POTENTIALITES DU CORRIDOR
1- LES POTENTIALITES ECOLOGIQUES
2- LES POTENTIALITES ECOTOURISTIQUES ET ECONOMIQUES DE LA REGION DU CORRIDOR
CHAPITRE IV : LE CAS DES VILLAGES DE KIRISIASY, D’ANDOHARIANA ET D’AMBODIVOARA
1-LES POINTS COMMUNS DES TROIS VILLAGES
2- SINGULARITES DES TROIS VILLAGES
TROISIEME PARTIE : LA GESTION TRADITIONNELLE VERS UNE VALORISATION DU CORRIDOR FORESTIER
CHAPITRE V : GESTION TRADITIONNELLE DES RESSOURCES NATURELLES
1- ACTION DE L’HOMME SUR LA FORET
2- CONTRAINTES HUMAINES ET ECONOMIQUES POUR LA VALORISATION DE LA FORET
CHAPITRE VI : LA VALORISATION DU CORRIDOR
1- LES INTERVENTIONS POUR LA PROTECTION ET LA CONSERVATION DE LA COUVERTURE FORESTIERE
2- IMPACT LOCAL DES INTERVENTIONS
CONCLUSION GENERALE
BIBLIOGRAPHIE
ANNEXES

Télécharger le rapport complet

Télécharger aussi :

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *