Ville, espace vert et développement durable

I-Introduction générale
I-1-Introduction
I-2-Problématique
I-2-1-Hypothèses
I-3-Mét hodologie
I-4-Objectifs
Première partie : Approche théorique
Chapitre I : Notions sur l’espace vert
I-1-Introduction
I-2-Définitions
I-3-Aperçu historique sur les espaces verts
I-3-1-Jardin d’Eden
I-3-2-Jardin de la Mésopotamie
I-3-3-Jardin Egyptien
I-3-4-Jardin de la Perse
I-3-5-Jardin Grec
I-3-6-Jardin Romain
I-3-7-Jardin Chinois Japonais
I-3-8-Jardin Islamique
I-3-9-Jardin de la renaissance
I-3-10-Jardin à la Française
I-3-11-Jardin à l’Anglaise
I-3-12-Le jardin contemporain
I-4-Utilité et rôle des espaces verts
I-4-1- Régulation biologique et lutte contre les nuisances
I-4-1-1- Régulation bioclimatique
I-4-1-2- Régulation du régime des eaux et à régénération naturelle
I-4-1-3-Purification de l’atmosphère
I-4-1-4-Lutte contre le bruit
I-4-1-5-Effet d’ombre et contrôle du rayonnement solaire et de la lumière artificielle
I-4-1-6-Effet de protection aux vents forts
I-4-2-Fonction sur l’équilibre physique et psychologique de l’homme
I-4-2-1-L’influence des couleurs
I-4-2-2-Effet olfactif
I-4-2-3-Effet auditive
I-4-3-Fonction d’échanges et de rencontres sociales
I-4-3-1-Espace de rencontre
I-4-3-2-Espace d’isolement
I-4-3-3-Espace d’ambiance et de jeu
I-4-4-Fonction support d’une activité économique
I-4-5-Fonction esthétique
I-5-Typologie des espaces verts
I-5-1-Espaces verts urbains
I-5-1-1- privés
I-5-1-2- publics
I-5-2- Espaces verts sub-urbains
I-5-2-1- Privés
I-5-2-2- Publics
I-6-Normes des espaces verts dans le monde
I-7-Conclusion
Références
Chapitre II : Ville, Espace vert et Développement Durable
II-1-Introduction
II-2-Développement Durable et Ville
II-2-1-Développement durable
II-2-1-1-Définitions
II-2-1-2-Objectifs
II-2-1-3-Principes
II-2-1-4-Développement durable urbain
II-2-2-Ville durable
II-2-2-1-Définitions
II-2-2-2-Principes
II-3-Développement durable et Espace vert
II-3-1-L’agenda 21
II-3-2-La Charte d’Athènes
II-4-Ville et Espace vert
II-4-1-La ville linéaire
II-4-2-Cité jardin
II-4-3-Cité industrielle
II-4-4-Ville radieuse
II-5- L’écologie urbaine
II-6- Conclusion
Références
Chapitre III : De l’Image à l’Imaginaire
III-1-Introduction
III-2-Image
III-2-1-Définitions
III-2-2-Image de l’environnement
III-2-2-1-La construction de l’image de l’environnement
III-2-2-2-L’analyse d’une image d’un environnement
III-2-3-L’image collective
III-3-Perception
III-3-1-Définitions
III-3-2-Psychologie de la perception
III-3-3-Le codage des informations
III-3-4-Perception, fonction sous influence
III-3-5-Donner du sens aux sens
III-3-6-Les représentations
III-4-La culture
III-5- L’imaginaire
III-5-1-Définitions
III-5-2-Le trajet anthropologique de l’imaginaire
III-5-3-Imaginaire et ville
III-5-4-L’imaginaire du paysage
III-5-5-Imaginaire et représentations de l’espace vert
III-6-Conclusion
Références
Deuxième partie : Approche pratique
Chapitre I : L’espace vert à la ville de Batna
I-1-Introduction
I-2-Données sur la ville de Batna
I-2-1-Situation
I-2-2-Climat
I-2-2-1-Température
I-2-2-2-Humidité
I-2-2-3-P r écipitations
I-2-2-4-Vents
I-2-3-Population
I-3-L’espace vert urbain à Batna à travers le temps
I-3-1-Période coloniale
I-3-1-1-L’espace vert dans la maison individuelle coloniale
I-3-2-Période post indépendance
I-3-2-1-L’espace vert dans la maison individuelle
I-3-2-2-L’espace vert dans l’habitat collectif
I-4-Répartition des espaces verts urbains à Batna
I-5-Typologie des espaces verts urbains à Batna
I-6-Conclusion
Références
Chapitre II : L’image de l’espace vert urbain à Batna
II-1-Introduction
II-2-Le rapport entre ville et espace vert
II-3-La place de l’espace vert urbain chez les habitants
II-4-L’imaginaire de l’espace vert
II-5- l’imaginaire de l’espace vert en milieu urbain
II-5-1- L’espace vert urbain public
II-5-2- L’espace vert urbain privé
II-6-Le désir d’avoir un espace vert urbain
II-6-1- Espace vert urbain public
II-6-2- Espace vert urbain privé
II-7-Le rôle de l’espace vert urbain
II-8-L’image physique de l’espace vert urbain
II-7-1-L’image physique de l’espace vert urbain public
II-7-2-L’image physique de l’espace vert urbain privé
II-9-Conclusion
Références
Chapitre III : La politique de l’espace vert urbain à Batna
III-1-Introduction
III-2-Les institutions qui interviennent sur les espaces verts urbains
III-2-1-Les intervenants au niveau national
III-2-2-Les intervenants au niveau local
III-2-2-1-APC (la commune)
III-2-2-2-Wilaya
III-2-2-3-Services des forêts
III-3-La législation, la règlementation et les normatives
III-3-1-La loi 07-06
III-2-1-1-Objectif de la loi
III-2-1-2-Gestion des espaces verts
III-2-1-3-Protection des espaces verts
III-2-1-4-Développement des espaces verts
III-3-2-Remarques
III-3-3-Les normes de l’espace vert urbain au niveau de la ville de Batna
III-4-Le budget alloué aux espaces verts à Batna
III-5-Les instruments de l’urbanisme
III-5-1-Le PDAU
III-5-2-Le POS
III-6-Conclusion
Références
Synthèse et recommandations
I-Introduction
II- Vers un nouvel imaginaire de l’espace vert urbain
II-1-Agir sur le sujet : l’habitant
II-1-1Analyse de base
II-1-1-1-Education
II-1-1-2-La sensibilisation
II-1-1-3-La motivation
II-1-14-L’implication et la participation
II-2-Agir sur l’objet : les espaces verts urbains
II-1-2-1-Qualité de l’espace
III- La politique des espaces verts
III-1-Les actions dans l’espace
II-1-1-Programmer
II-1-2-Planifier
III- 2- Le système de contrôle
III-3-Mesures à prendre
III-3-1-Réalisation d’espaces verts en zones urbaines
III-3-2-Mode opérationnel
III-3-3-Critères d’un espace vert urbain écologique
IV-Conclusion
Références
Conclusion générale
Conclusion générale
Bibliographie
Bibliographie
Annexes

Rapport PFE, mémoire et thèse avec la catégorie l‘espace vert urbain

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L’analyse d’une image d’un environnement

L’image d’un environnement peut s’analyser à travers trois composantes :
1- Identité : l’identification d’un objet veut dire qu’on le distingue, qu’on le reconnaisse comme une entité séparée individualité et unicité.
2- Structure : La relation spatiale ou pragmatique de l’objet avec l’observateur et avec les autres objets.
3- Signification : L’objet doit avoir une signification ; soit pratique, soit émotive, pour l’observateur. La signification est aussi une relation mais tout à fait différente de la relation spatiale ou pragmatique.

Perception
Définitions

-C’est la représentation consciente à partir des sensations ; conscience d’une, des sensations.
-« Impression qui se produit en nous à la présence des objets ».
– La perception ne livre pas son essence à une saisie immédiate : « elle est ensevelie sous les sédiments des connaissances ultérieurs ». C’est-à-dire des choses perçue dans le sens ordinaire du mot, mais aussi ce qui se présente dans la dimension du passé, de l’imaginaire, du langage ou de l’histoire.

Elle n’est pas une première découverte (naïve) de l’objet précédant sa connaissance proprement dite, elle l’origine permanente et l’enracinement ontologique de toute connaissance : « la référence à un donné sensible ou historique n’est pas une imperfection provisoire, elle est essentielle à la connaissance physique ».
La perception est l’ensemble des mécanismes et des processus (fig 21) par lesquels l’organisme prend connaissance du monde et de son environnement sur la base des informations élaborées par ses sens. La perception a essentiellement une fonction cognitive d’interprétation des informations sensorielles. La définition proposée ici (Bloch et al., 1991) se place dans une approche cognitive, résolument constructiviste, car elle suppose une activité de traitement des informations.
Percevoir ce n’est pas voir, ce n’est pas entendre, ce n’est pas sentir…
Percevoir, c’est tout cela à la fois. Mais percevoir, c’est aussi imaginer, sélectionner et faire des tris, donner la priorité à certaines informations et donner un poids moindre à d’autres…
En permanence, le cerveau reçoit de multiples informations fragmentées, provenant de récepteurs spécifiques ou de terminaisons nerveuses sensibles, sur l’état de notre monde intérieur et du monde qui nous entoure.
Le cerveau se construit, grâce à tous ces messages, une représentation unique.
À tout moment, en une fraction de seconde, il faut évaluer une situation dans son contexte, il faut plonger dans notre mémoire et comparer la situation présente à nos expériences passées pour l’analyser, en faire une interprétation, puis prendre des décisions et agir.
Contrairement à ce que l’on pourrait imaginer, la perception n’est pas si facile à définir. Mais osons une définition : la perception correspond à l’ensemble des processus cérébraux qui, à partir d’entrées sensorielles et de leur traitement, permet à l’organisme qui perçoit de connaître le monde qui l’entoure et d’en construire une représentation.

Psychologie de la perception

Le rapport entre réalité et perception varie selon les écoles philosophiques : pour les courants dits « réaliste » « rationaliste » et « empiriste », « il y a » un monde objectif et « il y a » une perception subjective de ce monde objectif, que l’on peut partiellement atteindre par la raison ou par l’expérience. Pour le courant phénoménologique, il n’y a pas de « réalité » hors de sa construction par le sujet percevant.
La psychologie expérimentale évite de se demande ce qu’est la perception, elle se contente de décrire sa manifestation en terme de comportement ou de verbalisation. La « réalité » du monde des objets, en psychologie expérimentale, est définie statistiquement comme l’ensemble des propriétés perçues partagées par tous les sujets « normaux ». C’est une approche normative de la perception.

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