Variation spatiale de l’indice de condition en fonction des paramètres physicochimiques

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Bio-écologie de l’espèce

Répartition géographique

L’huître des palétuviers Crassostrea intertropicale africaine, du Sénégal au (Nickiès, 1955). gasar est présente à l’état naturel dans la zone sud de l’Angola (Luanda) et sur l’île de Principe
Au Sénégal, elle est présente actuellement dans les bras de mer de Joal-Fadiouth, dans le Delta du Sine Saloum et au niveau de l’estuaire de la Casamance (Diadhiou, 1995). Dans un passé récent, avant 1945, l’huître a été trouvée également dans les marigots de la Somone (Leung Tack et Pagès, 1984). Sa présence a été signalée dans le Delta du fleuve Sénégal avant la fin du XVIIIème siècle (Joire, 1974).

Habitat

L’huître vit essentiellement en estuaire où elle est parfaitement adaptée à la vie intertidale. Sur le 1ittoral, elle peut être rencontrée jusqu’à plus de 10 m de profondeur (Sandison et Hili, 1966). Elle est présente en Casamance, au sud du Sénégal, dans des zones de salinité très variable de 6 à 60 ‰ (Gilles, 1992).
A l’état naturel, les huîtres forment des grappes sur les racines semi-aériennes des palétuviers. Elles sont rencontrées également isolées et/ou groupées sur les branches les plus basses de ces arbres dans la zone de balancement des marées (Démarcq et Démarcq, 1989). Parfois elles se fixent sur des substrats durs (pierres, piquets…), partiellement ou en permanence immergées (Sandison et Hiii, 1966).

Alimentation

L’étude du contenu de son estomac prouve que l’huître se nourrit de tout ce qui est en suspension ou dissous dans l’eau (Diatomées pélagiques, micro algues, détritus, larves, bactéries) (Reverdy, 1973).
Cependant elle n’absorbe pas tout ce qu’elle filtre. Les particules ingérées par tri, ne sont pas toutes digérées (Goudiaby, 1989). Les particules indésirables soient en raison de leurs ornementations épineuses soit en raison de leur taille sont éliminées (Grassé, 1960). La quantité d’aliments ingérés dépend de la richesse de l’eau en plancton et de la quantité d’eau filtrée (Dioh, 1976).
Grâce à ses branchies et à ses palpes labiaux, elle filtre 5 à 6 litres d’eau de mer par heure, ce qui la permet à la fois de respirer l’oxygène dissous dans l’eau et de consommer le plancton animal ou végétal (zooplancton ou phytoplancton) qui constitue sa nourriture (Anonyme, 2014).

Reproduction

L’huître des palétuviers Crassostrea gasar est du genre hermaphrodite alternatif successif, c’est-à-dire qu’elle peut changer de sexe tous les ans (Anonyme, 2014). Les huîtres ovipares sont rencontrées dans le genre Crassostrea. Les produits génitaux (mâles ou femelles) sont expulsés en dehors de la coquille dans la masse d’eau. A cette période, les huîtres sont dites « laiteuses ». Les œufs des huîtres femelles matures et les spermatozoïdes des mâles adultes se rencontrent pour la fécondation qui donnera la larve trocophore ciliée. Celle-ci évolue en larve puis en jeune naissain et finalement en huître adulte après développement (Goudiaby, 1989). La reproduction est conditionnée par les modifications de température et de salinité et peut durer de 2 à 3 mois (Anonyme, 2014).

Croissance

La plupart des études de la croissance de Crassostrea gasar ont été faites sur les huîtres d’élevage. A l’état naturel, la grégarité de l’huître gène son développement normal (Dioh, 1976). Les huîtres forment des couches correspondant aux différentes époques du frai. Selon Gilles (1992), la période de forte croissance correspond à la saison froide. Le ralentissement ou l’arrêt de cette croissance provoqué par l’activité sexuelle de l’huître explique la présence de stries sur les coquilles des individus âgés de plusieurs années.
Selon Dioh (1976), la croissance de l’huître se ralentit entre un et deux ans. Car à cette période, elle se transforme ; la valve inférieure se creuse en même temps que la coquille commence à s’épaissir et s’élargir. La largeur est de 3,6 centimètres à un an et 6,3 centimètres à quatre ans.

Méthodes d’étude

Recherche documentaire

Plusieurs références ont été mises à contribution (documents techniques, administratifs, fiches de projet, articles scientifiques, thèses, mémoires et rapports) dans cette synthèse bibliographique. La documentation est faite aussi au niveau de la bibliothèque de WIA, les bureaux d’information et centres de documentation de l’ANA, du CRODT, de la Direction des parcs nationaux, des services des AMPs et à travers internet.
Ces différentes recherches ont permis de collecter des informations sur l’écologie et la biologie de l’huître des palétuviers Crassostrea gasar ainsi que les zones d’étude.

Protocole d’échantillonnage

Au total trois (03) campagnes de suivi mensuel ont été effectuées de septembre à novembre 2018. Au niveau de chaque site, il a été installé une série de pochons (Figure 3). Soixante (60) individus ont été placés dans chaque pochon. A chaque campagne de suivi, un échantillon de trente individus est prélevé dans chacun des deux (2) pochons pour chaque site. Pour comparaison, trente (30) individus ont été prélevés hors pochon sur des racines de palétuviers situés aux abords immédiats des dispositifs d’élevage.
Les individus sont mesurés et pesés respectivement à l’aide d’un pied à coulisse (Figure 4) et d’une balance électronique de précision 1g (Figure 5). Les variables relevées sur les individus en élevage sont le poids individuel en gramme, la hauteur et la largeur individuelles en millimètre. Par contre pour les huîtres collectées directement sur les racines des palétuviers hors sites d’élevage, en plus de ces trois variables, le poids de la coquille vide et le poids de la chair fraiche ont été pesés (Figure 6).
Au total, 3600 individus ont été mesurés et pesés dans l’ensemble des sites durant ces trois (03) mois. Soient deux cent quarante (240) individus en milieu naturel et neuf cent soixante (960) individus en élevage par site et par mois.
A chaque campagne de suivi, les paramètres physico-chimiques de l’eau suivants ont été mesurés : le pH et la température mesurés à l’aide d’un pH-mètre thermosensible et la salinité à l’aide et d’un réfractomètre à sel de précision une unité (Figure 7 et 8).

Taux de survie

Le taux de survie a été calculé chaque mois à partir du nombre total des huîtres vivant au moment de l’échantillonnage comparé à l’effectif total (60) en début d’élevage à partir de l’expression suivante : ′ î (%)( ) = ′ î ×

Indice de condition physiologique

Plusieurs variantes des indices de condition existant peuvent être utilisées comme critère de qualité pour classer les lots d’huîtres commercialisées. Dans la présente étude, l’indice utilisé est celui de Walne et Mann. Cet indice est celui qui est le moins soumis aux aléas de perte d’eau inter valvaire (pas de poids entier au dénominateur). Il est exprimé par la formule suivante : IC = Poids chair frais ×1000 / Poids coquille Cet indice renvoie à une valeur moyenne de 182 (David et al., 1982).

Relation taille-poids

Pour la plupart des ressources halieutiques (poissons, mollusques et crustacés) il y a une relation allométrique entre la taille et le poids (Beverton et Holt, 1957). Elle est très utilisée pour estimer les modifications que peut entraîner la croissance sur la morphologie de l’espèce. Elle est représentée par la relation suivante (Le Cren, 1951) : P = a×Lb
Où P est le poids, L est la taille, « a » est une constante et « b » est le coefficient d’allométrie. Cette relation peut être linéarisée par transformation logarithmique de l’expression précédente afin de réduire la variabilité et d’homogénéiser les deux variables (P et L) Log(P) = log(a)+b×log(L)
Le Coefficient d’allométrie prend une valeur caractéristique pour chaque espèce dans son milieu écologique (Le Cren, 1951) :
– Si b = 3, la relation de croissance est isométrique ;
– Si b < 3, la relation est minorante, l’huître grandit plus vite qu’il ne grossit;
– Si b >3, la relation est majorante, l’huître a une meilleure croissance en poids qu’en longueur.
La relation taille-poids est établie de façon globale mais aussi en fonction des sites.
Pour choisir le couple de variables (taille-poids), la matrice de corrélation est établie. En d’autres termes, la matrice de corrélation permet de voir quel est le poids (poids total, poids chair et poids coquille vide) qu’il faut associer à une dimension de la coquille (hauteur, largeur) pour avoir une meilleure corrélation.

Ratio des différentes parties par rapport au poids total de l’huître

Une huître entière peut être répartie en trois parties. Il y a la coquille vide, l’eau inter-valvaire  (contenue à l’intérieur des valves) et la chair.
Lors de l’estimation de la qualité d’un lot d’huîtres, il est habituel d’en mesurer la proportion de chair, c’est-à-dire le rapport entre le poids de chair et celui de l’animal entier, voire d’une autre partie (espace inter valvaire, coquille). On détermine ainsi un ratio pouvant distinguer deux huîtres de même poids total.
Poids d’eau inter-valvaire = poids total (poids de coquille + poids de chair fraîche). Les poids de ces trois indices sont également exprimés en pourcentage du poids total :
– % poids coquille = 100 * Poids coquille/poids total ;
– % Poids eau inter-valvaire = 100 * Poids de l’eau inter-valvaire/poids total ;
– % Poids chair = 100 * Poids de chair égoutté/poids total.
1.4.5 Taux de croissance spécifique
C’est un coefficient qui permet d’évaluer le poids gagné par huître chaque jour, en pourcentage de son poids vif.
Il a été calculé en fonction du poids corporel humide à la fin de l’expérience. En utilisant la formule de (Ricker, 1979; Hopkins, 1992) : TCSP = {(lnPMf- lnPMi)/(T-t)} X 100
Avec PMf : le poids moyen final ; PMi : poids moyen initial ; T-t : durée de l’expérience.

Gain de poids moyen

Ce paramètre permet d’évaluer la croissance pondérale des huîtres pendant un temps donné. Il est calculé à partir de la formule ci-dessous :
Gain de poids moyen absolu (GPMa) en g /huître) = poids moyen final – poids moyen

Facteur de condition

Le coefficient de condition (Kc) permet d’estimer les modifications saisonnières de l’embonpoint sous l’influence des facteurs externes (milieu) ou internes (physiologiques) (Ricker, 1980). Il est défini par la relation suivante : Kc = P×100/ L3
Où P = poids total de l’huître et L= Hauteur.

Traitement de données et analyses statistiques

Les traitements statistiques et les graphiques ont été réalisés avec le logiciel Microsoft Office Excel 2010 et le logiciel R. Le test statistique de khideux a été utilisé pour comparer les résultats obtenus en milieu naturel et en élevage. Une différence significative est admise pour une p-value < 0,05.

Variation spatiale de l’indice de condition en fonction des paramètres physicochimiques

La corrélation des paramètres physico-chimiques à l’indice de condition est établie à la figure 10. La valeur de l’indice de condition est plus élevée à Dassilamé Sérère et plus faible à Bambougar. Toutefois les valeurs moyennes de température enregistrées dans ces deux sites sont presque égales avec respectivement 29,23°C et 29,83°C. Par contre les plus faibles valeurs de salinité et pH sont enregistrées à Dassilamé Sérère et à Bakadadji alors que l’indice de condition est plus élevé au niveau de ces deux localités.

Valeurs moyennes globales des variables mesurées

Les valeurs moyennes des variables mesurées sans distinction de sites et de mois sont consignées dans le tableau 4. Les résultats montrent que façon globale les huîtres échantillonnées en milieu naturel ont une taille (Hauteur, Largeur) légèrement supérieure. Par contre le poids moyen global plus est élevé en élevage.

Relations taille-poids (Hauteur/Poids total) de l’huître pour chaque site

La relation taille-poids de l’huître a été établie pour chaque site en milieu naturel et en élevage (Annexe IV). Les paramètres de cette relation taille-poids sont représentés dans l’annexe V. Le coefficient d’allométrie qui indique le type de croissance est consigné dans le tableau 8.
L’analyse des résultats indique que quel que soit le site et le milieu considérés le coefficient d’allométrie b est inférieur à trois. L’huître présente une croissance de type allométrie minorante (Tableau 8). Autrement dit, l’espèce grandit plus qu’elle ne grossit ; la croissance en taille (Hauteur) l’emporte donc sur la croissance en poids (Poids total).
La relation taille-poids par localité montre qu’il n’existe pas de différence significative (p<0,05) du coefficient d’allométrie entre sites mais aussi entre le milieu naturel et le milieu contrôlé (élevage). Toutefois, à Dassilamé Sérère, Bakadadji, Dionewar, Baout et Joal-Fadiouth la croissance de l’huître est légèrement plus importante en milieu d’élevage qu’en milieu naturel. Par contre pour les sites de Mbassis et Palmarin, la croissance est légèrement plus rapide en milieu naturel.

Ratios du poids de la coquille, du poids de la chair fraiche et du poids de l’eau inter-valvaire par rapport au poids total de l’huître

Les pourcentages du poids de la coquille, du poids de la chair fraiche et du poids de l’eau inter-valvaire par rapport au poids total ainsi que le ratio du poids de chair par rapport au poids de la coquille de l’huître dans chacune des localités sont consignés dans le tableau 9. L’analyse des résultats indique que pour tous les sites, le poids de la coquille représente plus de la moitié de la masse totale de l’huître. Il est noté également qu’au niveau de chaque site, le pourcentage du poids de l’eau inter-valvaire est supérieur à celui du poids de la chair de l’animal. L’eau inter-valvaire représente également un composant significatif dans le poids de l’huître.
De façon globale, la coquille de l’huître représente environ plus de soixante-dix pour cent (73,32%) du poids total de l’huître et le poids de l’eau inter-valvaire est supérieur à celui de la chair d’environ 15% (14,69%) (Tableau 9).
Quant au ratio du poids de la chair par rapport au poids de la coquille, il est noté que dans chacun des sites, ce rapport n’atteint pas 0,3. Ce ratio est plus important à Bakadadji (0,22), suivi respectivement de Dassilamé Sérère (0,20), Palmarin (0,18), Dionewar (0,17) et Bambougar (0,16). Dans les autres sites (Baout, Joal-Fadiouth, Mbassis), ce ratio est égal à 0,14. La valeur moyenne globale calculée pour le ratio du poids de la chair par rapport au poids de la coquille est de 0,17. Ces résultats indiquent donc que les huîtres récoltées à Bakadadji, Dassilamé Sérère, Palmarin, Dionewar et Bambougar ont un poids de chair plus développé par rapport à celles des autres sites. Ceci montre que ces sites présenteraient de meilleures conditions de développement pour l’huître.

CONCLUSION ET RECOMMANDATIONS

Les résultats de l’étude montrent que la température, la salinité et le pH mesurés seraient favorables à la croissance de l’huître. Les paramètres morpho métriques et pondéraux sont faiblement corrélés entre eux à l’exception du couple (poids total/hauteur) pour les huîtres en élevage et le couple (poids total/poids coquille) pour le milieu naturel. L’huître présente une croissance de type allométrie minorante. Pour tous les sites, le poids de la coquille représente plus de la moitié de la masse totale de l’huître. La valeur de l’indice de condition trouvée est inférieure à la moyenne de référence (182), à l’exception de Dassilamé sérère et le taux de survie y est plus élevé. Le facteur de condition montre que le régime alimentaire de l’huître est meilleur en élevage. Ainsi la croissance de l’huître en élevage dépendrait des facteurs environnementaux et anthropiques. Elle est plus favorable en milieu contrôlé (élevage) qu’en milieu naturel. Le village de Dassilamé Sérère serait le meilleur site pour l’installation des parcs ostréicoles. Des conditions environnementales défavorables (Envasement, non disponibilité de la nourriture, pollution, stress thermiques …) peuvent accroitre la mortalité des huîtres. La coupe des racines des palétuviers, la présence de prédateurs et de maladies peuvent endommager les installations des pochons.
En perspective, il est nécessaire de poursuivre ce travail sur une longue période. Il serait utile également d’étudier l’influence d’autres facteurs abiotiques tels que l’oxygène dissous, la turbidité, la densité, le taux de chlorophylle, la profondeur, l’amplitude des marées, les variations saisonnières, la nature du substrat et biotiques comme la prédation, la compétition et les maladies.
Pour maximiser la croissance des huîtres au niveau des parcs ostréicoles, ces quelques recommandations qui suivent, pourraient ouvrir des pistes de solutions face aux nombreuses difficultés que rencontrent les producteurs ostréicoles, à savoir :
 Augmenter la fréquence de nettoyage des pochons au moins trois fois par mois (tous les 10 jours) pour augmenter le taux de survie et de croissance ;
 Espacer les pochons d’une distance de 10 à 20 cm pour diminuer la rétention des débris qui peuvent affecter la qualité de l’eau ;
 Éviter de laisser les huîtres détroquées plus de 12 heures avant de les mettre dans les pochons ;
 Mettre les huîtres qui seront utilisées pour l’élevage dans un endroit humide ;
 Utiliser les huîtres de petites tailles au début de l’élevage (les juvéniles) et chercher des filets de petites mailles ;
 Analyser la teneur en phytoplancton et zooplancton de chaque site pour apprécier la disponibilité de la nourriture.
 Mesurer l’oxygène dissous dans chaque site ;
 Installer les pochons à côté de la mangrove pour qu’il ait protection contre le soleil et l’alimentation à permanence ;
 Effectuer des études sur la période idéale pour le captage des naissains ;
 Faire une prospection de site avant d’installer les pochons.

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Table des matières

INTRODUCTION
1.METHODOLOGIE
1.1 Sites d’étude
1.2 Description de l’espèce Crassostrea gasar
1.2.1 Rappel de la taxonomie
1.2.2 Bio-écologie de l’espèce
1.2.2.1 Répartition géographique
1.2.2.2 Habitat
1.2.2.3 Alimentation
1.2.2.4 Reproduction
1.2.2.5 Croissance
1.3 Méthodes d’étude
1.3.1 Recherche documentaire
1.3.2 Protocole d’échantillonnage
1.4 Indicateurs biologiques mesurés
1.4.1 Taux de survie
1.4.2 Indice de condition physiologique
1.4.3 Relation taille-poids
1.4.4 Ratio des différentes parties par rapport au poids total de l’huître
1.4.5 Taux de croissance spécifique
1.4.6 Gain de poids moyen
1.4.7 Facteur de condition
1.5 Traitement de données et analyses statistiques
2. RESULTATS ET DISCUSSION
2.1 Résultats
2.1.1 Paramètres physico-chimiques
2.1.2 Indicateurs biologiques
2.1.2.1 Taux de survie
2.1.2.2 Indice de condition physiologique
2.1.2.3 Variation spatiale de l’indice de condition en fonction des paramètres physicochimiques
2.1.2.4 Valeurs moyennes globales des variables mesurées
2.1.2.5 Matrices de corrélation
2.1.2.6 Relations taille-poids (Hauteur/Poids total) de l’huître pour chaque site
2.1.2.7 Ratios du poids de la coquille, du poids de la chair fraiche et du poids de l’eau intervalvaire par rapport au poids total de l’huître
2.1.2.8 Taux de croissance spécifique
2.1.2.9 Gain de poids moyen
2.1.2.10 Facteur de condition kc
2.2 Discussion
CONCLUSION ET RECOMMANDATIONS
BIBLIOGRAPHIE
ANNEXE
i. ANNEXE I : Fiche de collecte de données biologiques sur les huîtres en milieu naturel
ii. ANNEXE II : Fiche de collecte de données biologiques sur les huîtres en élevage
iii. ANNEXE III : Fiche de collecte de paramètres physico-chimiques
iv. ANNEXE IV : Relations taille-poids (Hauteur/Poids total) des huîtres en milieu naturel et en élevage selon les sites
v. ANNEXE V : Paramètres de la relation taille-poids (Hauteur/Poids total) et valeur moyennes des variables mesurées de l’huître en milieu naturel et en élevage selon les sites
vi. ANNEXE VI : Confection, installation des Pochons et suivi des paramètres
bioécologiques

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