Une nouvelle impulsion pour les actions sociales dans les quartiers

Orly –Choisy-le-Roi dans les années 1960 et les années 1970

Orly, une ville bicéphale

Dans les années 1960, la commune d’Orly a déjà connu plusieurs vagues d’urbanisation. A côté de son vieux bourg se développent, dans la période de l’entre-deux guerres, les quartiers pavillonnaires. Première grande urbanisation d’Orly, elle est essentiellement liée à l’arrivée du chemin de fer et à la création de l’aérodrome. En parallèle au développement de ces zones pavillonnaires « ne proposant que de subtiles variations de , Orly-Ouest voit se construire l’aéroport international en 1945. Mais c’est à partir de la fin des années 1950, que la commune d’Orly, comme beaucoup de communes proches des grandes villes, va connaitre sa plus grande phase d’urbanisation avec la construction de son grand ensemble.
Pour répondre à la crise du logement de la fin des années 1950, dans l’ensemble du pays la solution est trouvée dans la mise en place de grands programmes de construction de masse : les grands ensembles. Ces derniers sont plus particulièrement construits à la périphérie des grandes villes comme en proche banlieue parisienne par exemple. Ces grands ensembles ont pour objectif d’accueillir les familles démunies de logement ou des familles qui sont contraintes de quitter le centre de Paris à l’issue des opérations d’assainissement de certains quartiers parisiens (destruction de taudis et reconstruction de nouveaux immeubles avec des loyers souvent plus élevés). Ce sont donc de véritables villes-champignons qui voient le jour, construites de manière anarchique, sans réel plan d’aménagement et dans l’urgence.
Orly et Choisy-le-Roi, deux communes situées dans la banlieue sud de Paris, n’échappent pas à la construction des grands ensembles. Ainsi, entre 1958 et 1973, ce sont plus de 5 000 logements, accueillant quelques 20 000 nouveaux habitants qui vont sortir de terre sur les communes de Choisy-le-Roi et d’Orly.
Au recensement de 1968, la population d’Orly compte près de 30000 habitants à comparer aux 11 500 habitants du village de 1960. En huit ans, suite à la construction de ces cités, la population orlysienne a été multipliée par trois (environ 20 000 habitants supplémentaires). Mais cette augmentation rapide et conséquente de la population n’est pas sans effet sur le vivre ensemble. En effet, construits à l’écart du centre-ville ancien, les cités et le vieux bourg semblent se côtoyer sans vraiment se connaître, donnant la sensation de deux villes s’opposant sur une même commune. Cette sensation est d’autant plus accentuée qu’aucun moyen de liaison n’a été prévu pour relier ces deux parties de la ville.
L’unité urbaine de la ville d’Orly est déjà mise à mal par des tranché es géographiques et de vieilles fractures provoquées. Bordée à l’est par la Seine et à l’ouest par la nationale 7, elle est également coupée en deux par la voie ferrée, créée en 1875. Aujourd’hui encore, l’ensemble de la ville d’Orly est coupé en deux par une ligne de chemin de fer. A l’Est le grand ensemble dans la plaine, à l’Ouest, sur les coteaux, le vieux village. Il n’existe aucune voie de communication entre les deux parties de la ville comme le raconte Gaston Viens, maire d’Orly:
Un film-enquête produit par Paul et Maguy Capita, intitulé Orly notre ville ou comment les Orlysiens ont fait et font leur ville , revient, dix ans après les premières réalisations sur le grand ensemble (vers 1984), avec de nombreux témoignages auprès des premiers habitants, sur cette construction du grand ensemble « sauvage, sans concertation ».Le peu de commerces présents ne répondent pas à la demande des habitants, souvent jugés trop chers et peu diversifiés dans l’offre. Les achats s’effectuent donc le plus souvent dans le vieil Orly ou à Thiais dans le grand centre commercial Belle Epine. De même, il existe trop peu, voire pas du tout d’équipements de proximité en direction des jeunes (terrains de foot, tennis, locaux à leur disposition, …). Par exemple, lorsqu’un groupe de jeunes souhaite se rendre au cinéma il n’a pas d’autre choix que d’aller à celui du centre commercial à Thiais, soit environ à quatre kilomètres de leur domicile. Mais les transports en commun sont peu développés aux alentours du grand ensemble. En effet, certains habitants doivent marcher plus de dix minutes avant de trouver le premier arrêt de bus (situé entre un et deux kilomètres), créant de grandes difficultés de déplacement notamment pour les personnes âgées ou à mobilité réduite.
C’est donc une véritable rupture sociale superposée à une rupture géographique des lieux, qui existe entre les deux parties de la commune. D’un côté des familles établies aux revenus plutôt confortables habitant des pavillons et d’un autre côté des familles aux revenus plutôt modestes, souvent touchées par le chômage habitant le grand ensemble. Cependant bien avant l’arrivée des premiers habitants des cités, c’est la construction même des ensembles qui insuffle un phénomène de rejet vis-à-vis des nouveaux habitants auprès de la population du vieux village. D’autant plus au projet de construction.
S’il est nécessaire de souligner la composition sociale au cœur même du grand ensemble, il est important de resituer cette population au sein du département du Val-deMarne, afin de mieux comprendre le rejet de la population du vieux bourg envers celle du grand ensemble, qui va au-delà de la simple implantation des logements locatifs sociaux. En effet, entre 1960 et 1968 la population de la commune d’Orly croît de 160 % alors que la population du Val-de-Marne, également très sollicité pour l’implantation de grands ensembles (Créteil, Champigny-sur-Marne, Bonneuil-sur-Marne, Vitry-sur-Seine…) ne croît que de 18% passant de 970 000 habitants environ à 1 150 000. Il y a donc une véritable rupture démographique dans la ville d’Orly dans un laps de temps très court. Il n’est donc pas surprenant d’observer des phénomènes de rejet à l’encontre de la population nouvelle. En outre, en s’appuyant sur une étude démographique, réalisée sur l’ensemble du département du Val-de-Marne, nous pouvons observer à partir de la carte ci-dessous que la population d’immigrés à Orly est supérieure à 20 %.

Deux municipalités gouvernées par des maires communistes

Fernand Dupuy et Louis Luc pour la commune de Choisy-le-Roi et Gaston Viens pour la ville d’Orly sur la période 1965-1995 ont marqué ces deux municipalités tant par leur engagement politique au sein du Parti Communiste Français que par leurs actions de terrain dans leurs villes respectives. Fils d’une famille defermiers communistes, Gaston Viens est né le 24 octobre 1924 à Saint-Rémy de-Provence dans les Bouches-du-Rhône (13). Après l’obtention de son certificat d’études primaires, il devient ouvrier agricole, maçon puis chauffeur de poids lourds.
Adhérent des Jeunesses Communistes depuis 1942, il est arrêté par la gendarmerie française le 14 juillet 1943 suite à des actions menées avec son groupe. Jugé pour ses actes de résistance le 16 février 1944, il est emprisonné à la prison d’Aix-en-Provence avant d’être envoyé au camp d’internement de Saint-Sulpice-la-Pointe, puis déporté au camp de concentration de Buchenwald situé dans la région de Thuringe en Allemagne. Dès son arrivée, il se rapproche des communistes présents et participe au « comité des intérêts français » dont le double objectif est de sauver le plus grand nombre possible de Français et de poursuivre derrière les barbelés l’œuvre de la Résistance. Il est libéré le 11 avril 1945 par l’armée américaine.
Dès son retour à Saint-Rémy-de-Provence, son engagement politique au sein du Parti Communiste ne cesse de croître. Il milite alors activement au sein l’Union de la Jeunesse Républicaine de France crée en 1945. Mais il est également rattachéau Parti Communiste de Saint-Rémy-de-Provence. Il se démarque lors des grèves de novembre-décembre 1947 en aidant les paysans à défendre les productions régionales. Il jouit alors d’une grande popularité ce qui permit aux communistes d’obtenir d’excellents résultats lors des élections cantonales de 1949. Reconnu comme « un esprit jeune et dynamique. Sympathique,il est alors nommé permanent puis secrétaire de la Fédération des Bouches-du-Rhône chargé des questions paysannes. Son avenir politique est en train de se dessiner. C’est en tant que délégué au XIIème Congrès du Parti Communiste Français à Gennevilliers du 2 au 6 avril 1950, qu’il est désigné commeun membre entrant au Comité Central, à l’âge de 26 ans. Commence alors un long engagement avec sa femme Yann Pasquario dirigeante nationale de l’U.J.F.F. (Union des Jeunes Filles deFrance) puis membre du Comité Central du Parti de 1967 à 1987, avec qui il se marie en 1954. Rapidement après sa nomination en tant que membre du Comité Central, Gaston Viens est appelé dans la région parisienne en tant que permanent à la Terre et à la Section Paysanne.
Il s’installe avec son épouse dans une cité d’urgence au Kremlin-Bicêtre dans le Val-deMarne, puis dans un appartement à Villejuif, et en 1961, au cœur du grand ensemble à Orly, où sa femme est collaboratrice du maire François Boidron. Doté d’une forte personnalité, il est reconduit en tant que suppléant au Congrès du Parti Communiste d’Ivry de1954 avant de devenir titulaire lors du XIVème Congrès en juillet 1956. Mais c’est sa nomination en tant que secrétaire du Comité Central, à l’âge de 32 ans, au côté de MauriceThorez et Jacques Duclos qui surprend tout le monde, car pour la première fois ce n’est pas un membre du bureau politique qui est nommé à ce poste. Cependant, il est écarté progressivement du secrétariat du Comité Central dès juin 1959 jusqu’à voir son nom disparaître lors du XVIIème congrès de mai 1964. Mais il reste profondément engagé, notamment en tant quesecrétaire général de l’Union des Jeunesses Agricoles de France (U.J.A.F.).

« Créer la Ville », une démarche novatrice

Habitant du grand ensemble d’Orly – Choisy-le-Roi, déjà très impliqué dans la vie politique locale par le biais du Parti Communiste, Gaston Viens connaîtles difficultés de la ville d’Orly. Ainsi, dès qu’il arrive à la tête de la municipalité en 1965, il sait que la ville d’Orly n’est pas une ville et manifeste une grande volonté à corriger cette situation. Entouré d’une équipe municipale, pour beaucoup habitant également le grand ensemble, il met en place un programme politique local ambitieux qu’il nomme «Créer la Ville ». Ce programme repose essentiellement sur trois points : équilibrer les deux parties de la ville, faire communiquer le vieux village avec le grand ensemble, placer au centreles services d’utilité commune. Pour réussir ce programme le maire est conscient que la participation de l’ensemble des orlysiens est essentielle. Le grand ensemble en tant que tel constitue une bulle dans la ville. Il est géré par l’Office public d’Aménagement du Val -de-Marne et pour certaines cités par la Société d’Economie Mixte Interdépartementale (S.E.M.I.DEP.) de la région parisienne. Il n’y a pas d’homogénéité de gestionentre les différents immeubles ce qui provoque des disparités. Par ailleurs, concernant les espaces verts et la voirie entourant les bâtiments, « ůĞƐ ƐĞƌǀŝĐĞƐ ƚĞĐŚŶŝƋƵĞƐ ŶĞ Ɛ͛ŽĐĐƵpaient alors que du vieux village, les espaces.
Alors que la population du grand ensemble est constituée majoritairement de jeunes en âge scolaire, l’offre scolaire (écoles, collèges) est largement insuffisante ce qui conduit à des classes surchargées rendant encore plus difficile la réussite scolaire d’une population déjà défavorisée. Il en va de même pour les crèches, les lieux de réunion ou d’activités pour les femmes. Dans un souci d’égalité, le programme de la ville cherche à créer des infrastructures ou une autre organisation pour faire bénéficier des mêmes types de services à l’ensemble des habitants.
Il existe entre le grand ensemble et le vieux village une discontinuité urbaine avec un très faible bâti. La voie de chemin de fer tracée entre les deux entités habitées accentue l’isolement des deux zones. Le passage d’une zone à l’autre est rendu difficile et délicat. Pour rompre cet isolement, la  municipalité propose la création de nouvelles voies de communication passant sous la voie ferrée . En 1965, la mairie d’Orly est située au cœur du vieux village. Pour un habitant du grand ensemble le déplacement pour faire des formalités administratives à la mairie est long et compliqué d’autant plus qu’il n’existe pratiquement pas de transports en commun..Le troisième axe clé de la politique « Créer la ville » est de rassembler au centre, à l’intersection des deux ensembles urbains, les services d’utilité commune. Outre la maison commune, il faut aussi y implanter des commerces, la poste, des annexes administratives. Ces lieux communs sont des lieux de rencontre favorisant le mixage social entre les deux types de population qui composent la ville d’Orly. Gaston Viens est convaincu que la réussite de son programme « Créer la ville » doit reposer sur une large participation des habitants. Il développe donc une large communication portée par un réseau de militants communistes qu’il crée lors de son installation dans le grand ensemble en 1961. Il s’appuie sur des enquêtes, des réunions, débats organisés à l’intention de tous les orlysiens.

Les Tilleuls, un cas exemplaire

Les Tilleuls : une cité de transit très dégradée

A partir des années 1950, la ville de Paris entreprend des vastes programmes de rénovation et de reconstruction de ses quartiers dégradés hébergeant des populations peu solvables ou immigrées. Pour mener à bien ces opérations, elle construit en banlieue proche de Paris des cités dites de transit pour reloger provisoirement les habitants concernés par les quartiers en rénovation. Ainsi, le département du Val-de-Marne compte vingt-huit cités dites de transit sur son territoire.
Elles sont toutes gérées par des organismes différents : la Société d’Economie Mixte Interdépartementale (S.E.M.I.DEP.) ; l’Office Public d’Aménagement Concerté (O.P.A.C.) ; la Société Nationale de Construction des Travailleurs (SO.NA.CO.TRA.), le Logement Gestion Immobilière de la Région Parisienne (LO.G.I.RE.P.). La commune d’Orly recense trois habitats dits cités de transit : la Faisanderie, les Tilleuls I et II, et les Lilas . La municipalité Orlysienne accorde une grande importance à ces troiscités du fait de leur état de dégradation avancé et important. Cependant, elles n’ont pas subi le même traitement. C’est pourquoi nous nous attacherons essentiellement aux perspectives d’avenir et aux actions envisagées par Gaston Viens sur la cité des Tilleuls I et II. Cette cité de transit marque un coup d’éclat dans la politique locale du Maire concernant son habitat social mais aussi au niveau départemental, tant pas son originalité de réhabilitation que par l’implication des habitants à son amélioration. En 1956, la ville de Paris édifie sur la commune d’Orly sur un terrain lui appartenant une cité de transit Les Tilleuls. Pour rassurer les habitants la municipalité de Paris annonce « que les bâtiments sont réalisés pour dix ans » . Cette cité d’environ 220 logements est située en bordure de l’avenue des Martyrs de Chateaubriand au numéro 9, à proximité du domaine Gazier et de la Pierre-aux-Prêtres. Ce sont près de 6 000 logements (le domaine Gazier et la Pierre-aux-Prêtres cumulés) qui entourent la cité de transit les Tilleuls. Située au cœur du grand ensemble, cette dernière n’en fait néanmoins pas pleinement partie du fait de son statut de cité de transit, de sa forme architecturale et de seshabitants, des relogés de la capitale les plus pauvres qui ne peuvent pas accéder aux logements H.L.M.

« Créer la ville », un modèle ?

La fin des années 1960 et le début des années 1970 voit se mettre en place des procédures de réflexion concernant l’habitat dégradé, la place de l’habitant dans ces ensembles urbains de taille inhumaine, et le risque accrût de développement de véritables ghettos urbains. Mais le maire d’Orly, Gaston Viens, avait réagit bien avant. Cependant, pouvons-nous accorder le titre d’« exemple » à la mise en place des principales actions citées plus haut par le biais de la rénovation des Tilleuls et plus largement par l’action du Maire à travers sa démarche « Créer la Ville » mise en œuvre dès 1965. Rénovation quelque peu avant-gardiste dans une époque où peu de communes semblent porter attention à l’habitat social qui s’y trouve.
Une des principales caractéristiques de la démarche « Créer la Ville » est l’engagement fort du Maire et de sa municipalité pour améliorer le cadre de vie des Orlysiens aussi bien du centre ancien que des nouveaux locataires du grand ensemble. Ainsi comme nous l’avons vu précédemment, lors des six séminaires régionaux qui suivent la Circulaire Chalandon de décembre 1971, la plupart des acteurs concernant l’habitat social sont présents.

Un grand ensemble aux multiples facettes

Le département du Val-de-Marne compte environ 482 000 logements sur son territoire dont près de 130 000 logements sont des logements sociaux. La surface de logements représente 13 % de la surface construite de la région de l’Ile-de-France, alors que le Val-deMarne n’occupe que 2 % de la surface totale de l’Ile-de-France (245 km2 / 12 012 km 2 ).
Parmi ces logements sociaux, 100 000 sont des logements locatifs de financement type H.L.M., soit 21 % du parc total de logement. Ainsi, le parc total des logements sociaux représente 26,9 % de l’ensemble des logements construits sur tout le département valdemarnais en 1983. Le parc du Val-de-Marne est relativement jeune car plus de la moitié des constructions datent d’après 1948, dont près de 70 % du parc bâti entre le début des années 1960 et la fin des années 1970, soit au moment de la construction des grands ensembles et du desserrement de Paris intra-muros. Parmi les quarante sept communes du département, nous pouvons identifier six communes où l’importance des logements sociaux est considérable. Ces dernières se répartissent en deux groupes de trois communes. Ainsi, les communes de Champigny-sur-Marne, Créteil et Vitry-sur-Seine recensent 10 000 logements sociaux minimum chacune, soit le quart du parc social. Les trois communes de Bonneuil-surMarne, Valenton et Orly comptent chacune près de 60 % de logements sociaux dans leur parc total. Il n’est donc pas étonnant de trouver à Orly un très grand ensemble construit à partir de la fin de l’année 1956.

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Table des matières
Remerciements 
Introduction 
Première partie : « Créer la Ville » (1965-1979) 
Premier chapitre : Orly-Choisy dans les années 1960 et les années 1970
1) Orly, une ville bicéphale
2) Deux municipalités gouvernées par des maires communistes
3) « Créer la Ville », une démarche novatrice
Deuxième chapitre : Les Tilleuls, un cas exemplaire
1) Les Tilleuls, une cité de transit très dégradée
2) De la contestation à la participation
3) Changement de rythme dans la politique locale
4) Les Tilleuls, premiers pas vers une rénovation ?
Troisième chapitre : Orly, berceau d la politique de la ville ?
1) Les prémices d’une politique de la ville
2) L’arrêt des grands ensembles
3) « Créer la Ville », un modèle ?
Deuxième partie : Rénover le grand ensemble (1979-1982) p.62
Premier chapitre : un grand ensemble aux multiples facettes
1) Description physique du grand ensemble
2) Griefs et dysfonctionnements vus par les locataires
Deuxième chapitre : Orly et Choisy s’engagent dans le programme Habitat et Vie Sociale
1) Les premiers engagements des municipalités dans le programme Habitat et Vie Sociale
2) Des hésitations sous tendues par un conflit politique
3) Du conflit à un accord global
4) Un programme complet
Troisième chapitre : Le Val-de-Marne s’implique dans la politique de la ville
1) « Harmoniser la Ville »
2) Le département accompagne la rénovation des grands ensembles d’Orly
Troisième partie : d’une rénovation à l’autre (1982-1993) 
Premier chapitre : une nouvelle impulsion pour les actions sociales dans les quartiers
1) Vers une nouvelle politique des grands ensembles
2) Orly-Choisy se reconnaissent dans les conclusions Dubedout
3) Orly-Choisy, un îlot sensible national
4) Du quartier vers la ville : une approche globale
Deuxième chapitre : Une rénovation d’envergure
1) Un programme global de rénovation sur dix ans
2) Des financements appropriés
3) Les relations avec les gestionnaires
Troisième chapitre : Dynamiser le cadre de vie
1) Embellir les quartiers
2) Faire face à la délinquance
3) Des populations, des solutions plurielles
Conclusion 
Abréviations –Bibliographie –Sources –Annexes

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