GENERALITES SUR L’ENSEIGNEMENT APPRENTISSAGE DES SVT

GENERALITES SUR L’ENSEIGNEMENT-APPRENTISSAGE DES SVT

   D’après DE KONICK, « enseigner », c’est parler devant la classe. De plus, CRAHAY et LAFONTAINE affirment qu’ « enseigner », c’est reconnaître la capacité de raisonnement des élèves. Ces deux définitions se complètent, le professeur joue une double fonction : un transmetteur de connaissances ou de savoirs et un enseignant qui se soucie du processus d’apprentissage des élèves. L’enseignement est donc « un processus de transmission culturelle qui engendre le développement des capacités mentales, non encore maîtrisées par les élèves et qu’ils construisent par un apprentissage d’outils spécifiques constitutifs des œuvres humaines (littératures, scientifiques …..) ». D’une autre manière, c’est « une pratique d’éducation visant à développer les connaissances d’un élève par le biais de la communication verbale et écrite ». L’enseignement diffère donc de l’éducation. Celle-ci, beaucoup plus générale, correspond à la formation globale d’un individu, à divers niveaux (religieux, moral, social, technique, scientifique, médical….). De ce fait, c’est par l’enseignement qu’on reçoit une éducation. Ainsi, l’enseignement et l’apprentissage vont toujours de pair. RICHELLE dit : « nul n’enseigne sans l’intention ou l’espoir que l’élève apprenne ». L’enseignement est donc du ressort de l’enseignant et l’apprentissage de celui des élèves. Malgré une forte relation entre enseignement et apprentissage, un enseignant qui enseigne ne peut déduire que l’élève apprend. En effet, l’apprentissage n’a lieu que lorsque l’élève, placé plusieurs fois dans la même situation adopte un changement de sa conduite, de son comportement de façon systématique et relativement durable. Le niveau de réussite des élèves dépend donc aussi du dynamisme pédagogique de l’enseignant. Les professeurs n’obtiennent de résultats satisfaisants que lorsqu’ils parviennent à faire comprendre leurs actions et leurs intentions selon les objectifs visés par l’enseignement d’une discipline. Si l’enseignant est un professionnel et qu’il souhaite que son enseignement facilite l’apprentissage de ses élèves, il lui revient de faire appel à diverses méthodes. Mais ces dernières dépendent d’abord des intentions éducatives.

Facteurs d’apprentissage

   Plusieurs facteurs ont des effets très importants sur l’apprentissage des élèves : les facteurs liés aux caractéristiques différentielles des apprenants ou facteurs internes et les situations pédagogiques ou facteurs externes. Les premiers regroupent les aspects psychologiques relevant des apprenants eux mêmes. Ainsi en va-t-il de l’intelligence, de la motivation, de l’attention, de la sensation, de la perception, du style d’apprentissage, de la représentation et de l’âge. Quant aux situations pédagogiques ou facteurs externes, on peut en répertorier trois. La première est dite magistrale dans le cas où un professeur s’adresse en même temps à plusieurs apprenants, sans qu’il y ait contrôle des activités de ces derniers de sa part. La seconde, individuelle, met en jeu un professeur ou son substitut (par exemple l’ordinateur) et un apprenant. Dans cette situation, il y a donc échange permanent entre les deux acteurs de l’enseignement-apprentissage. Enfin, la troisième situation pédagogique est dite interactive quand un professeur anime un groupe d’élèves, ou facilite les échanges entre les différents membres du groupe. Le travail de groupe a une certaine spécificité : il offre aux élèves une occasion d’exprimer leur avis sur un point de réflexion lancé par le professeur. En plus, il crée une situation collective favorisant la motivation de chaque membre en les incitants à travailler davantage, le stimuler parce que c’est au niveau du groupe que les élèves sentent la sécurité, l’expérience nouvelle, la considération et la sympathie vis-à-vis des autres. Enfin, le travail de groupe rend les élèves constructeurs de leur savoir. Comme dit MAHIEU, il s’agit de « placer l’élève en situation active de construction de son savoir, nous avons mis en place une démarche d’apprentissage favorisant : recherche, confrontation, échange, le tout aboutissant à la construction ». L’apprentissage en groupe se déroule en trois phases successives : « la première est consacrée à la mise en place des consignes par le professeur. La deuxième phase permet aux élèves de se retrouver en groupe pour mener à bien l’activité. La dernière phase est une séance de vérification des acquis ». En réalité, dans le cadre d’un enseignement en salle, ces trois situations sont alternées selon les opportunités et les exigences des travaux que l’on attend des élèves.

Objectifs de l’enseignement des SVT

   Le but essentiel de l’enseignement scientifique est « d’apprendre à l’homme ce que c’est la nature afin que l’homme puisse s’y rendre compte de la place qu’il y occupe ». De plus il permet aux élèves de développer des idées sur le monde qui s’accordent aux observations. C’est ce que nous appelons une vision scientifique des    choses. La clé d’un enseignement scientifique efficace est que les élèves puissent développer cette vision par eux mêmes, au lieu de leur imposer la bonne réponse. Ainsi, l’enseignement des SVT doit :
– aider les élèves à comprendre les évènements de leur vie quotidienne et leur expérience du monde.
– être à leur portée, en tenant compte de leur expérience limitée et de leur façon de pensée.
– être accessible et contrôlable par les élèves avec les compétences dont ils disposent.
– fournir un socle aux enseignements ultérieurs et au développement de leur connaissance scientifique. De même, les objectifs de l’enseignement des SVT consistent à ne pas avoir, comme objectif unique, l’acquisition de connaissances, mais surtout la recherche d’une attitude, d’une formation de l’esprit, le développement des sens, de la faculté d’observation et de l’esprit critique. Plus particulièrement en classe de 2nde, notre domaine d’étude, l’enseignement des SVT donne aux élèves la capacité de décrire l’unité fondamentale de la matière vivante, la cellule, d’en expliquer le regroupement et leur fonction, et ensuite, expliquer l’interdépendance des être vivants avec son milieu. En géologie, les élèves sont aptes à expliquer la structure du globe terrestre, à analyser ses constituants : les minéraux pour pouvoir les classer et les grouper en donnant les différents types de roches. Ces études les aident à développer leur compréhension du monde qui les environne et à acquérir des méthodes. Pour cela, ils doivent apprendre à rassembler et à organiser l’information, à mettre en application et à les soumettre à l’expérience. Cela ne contribue pas seulement à donner un sens à l’environnement, mais les prépare également à mieux gérer la prise de décision et la résolution de problème au cours de leur vie.

Définition et historique : de l’EAO aux TICE 

   L’expression « Technologies de l’Information et de la Communication » : abrégée en « TIC » est l’ensemble des dispositifs techniques permettant de gérer de l’information numérisée. Quant aux TICE, où le « E » étant l’abréviation de « Education » ou « Enseignement », elles regroupent les outils, les logiciels informatiques et multimédia qui peuvent être intégrés dans un dispositif d’enseignement partiellement ou complètement à distance ou plus simplement dans un cours en salle de classe. Il y a plusieurs approches significatives de l’introduction de l’ordinateur dans l’enseignement : dans les années 60 apparaît l’Enseignement Assisté par Ordinateur (EAO). Il correspond à un courant pédagogique qui s’appuie à la fois sur l’enseignement programmé et sur les possibilités des ordinateurs. Il est fondé sur l’utilisation de logiciels d’instructions « didacticiels » dotés de certaines prérogatives de l’enseignant (interroger, expliquer, noter,….). Il concerne la mise en œuvre de logiciels à usage didactique visant à gérer des parcours d’apprentissage en se substituant partiellement à l’enseignant. Il inclut les logiciels de simulation -modélisation. Ainsi, on fait explorer à l’apprenant un réseau de situations pédagogiques appelées « items » ou unités d’interactions. Ce modèle se retrouve encore dans beaucoup de produits récents. Après avoir fait l’objet d’un grand intérêt, l’EAO a été remplacé par l’Environnement Interactifs d’Apprentissage avec Ordinateur (EIAO) depuis le début des années 90. L’utilisateur a une plus grande marge d’exploration des contenus. Cette approche est associée au courant cognitiviste plus que sur l’enseignement. De plus, 1990 correspond à l’avènement du système d’exploitation Windows permettant à l’ordinateur d’émettre sons, animations et vidéo. La question de stockage est résolue par le CD ROM. On parle de PC Multimédia. Ce produit pédagogique préexistait dans une version EAO et ceux qui découvrirent la version multimédia furent enthousiasmés. L’usage combiné du son, de l’image, de la vidéo et de l’interactivité permet d’imaginer des situations pédagogiques jusque là inédites. Dans les années 1992 est né le terme « Technologie de l’Information et de la Communication » (TIC) lorsque le courrier électronique est devenu accessible au grand public.

Ordinateur

   C’est un produit de l’électronique, mais d’une électronique nouvelle, digitale, faite de circuits logiques, de transistors et de mémoires magnétiques. On distingue quatre grands types d’activités possibles sur un ordinateur : jouer, programmer, réviser et utiliser. Ces quatre activités peuvent être exploitables en classe de SVT. Mais en tout cas la première activité évidente pour tout possesseur d’un ordinateur est le jeu. Les élèves sont surtout fascinés par ce genre d’activité. L’enseignant doit chercher alors un exemple pour pouvoir l’appliquer en SVT. Ceci motive l’élève à présenter ses travaux en utilisant les nouveaux outils de communication. C’est ce qu’on appelle « apprendre en jouant ». Concernant la programmation, son apprentissage est beaucoup plus difficile. Cela nécessite une formation beaucoup plus longue. L’ordinateur peut aider aussi les élèves à réviser grâce à des logiciels pédagogiques conçus pour être utilisés à la maison et non en classe. Enfin, il ne peut pas être utilisé sans l’installation de logiciels qui assurent l’interface entre l’homme et la machine. De ce fait, l’ordinateur est un des outils nécessaires si on veut intégrer les TICE à l’éducation. Pour cela, il faut qu’il soit en état de fonctionnement permanent, accompagné d’une maintenance efficace, en nombre suffisant, et surtout adapté à l’usage que l’on souhaite en faire. Les ordinateurs en panne et insuffisants suffisent à perturber une séance, voire mettre en péril un projet et découragent l’enseignant qui souhaite intégrer les TICE à sa pratique pédagogique.

Avantages pour les enseignants

    Une médiathèque électronique facilite le travail des enseignants. Ils deviennent un intermédiaire, un guide plutôt que le détenteur de savoir, seul habileté à le communiquer à l’apprenant. Il ne s’agit plus d’assurer un cours théorique qui risque d’engendrer le désintéressement de l’élève. Celui-ci va observer, guider, stimuler et contrôler les travaux individuels ou en groupe. « On passe de l’écoute de l’enseignant par l’élève à l’écoute de l’élève par l’enseignant ». Les documents d’une médiathèque électronique sont d’une grande importance didactique, ils exposent les différentes méthodes sur lesquelles peut se baser l’enseignant pour enseigner un chapitre. Ils permettent « d’apporter aux professeurs un moyen de mieux enseigner et de mieux éduquer leurs élèves » [10]. Ainsi, l’enseignant, en plus de la mise à jour des documents, peut exploiter directement les contenus pour améliorer leurs préparations du cours et va réactualiser ses connaissances. De même l’usage des documents est un bon levier pour enseigner les démarches scientifiques mettant les élèves en situation de recherche, les ouvrir sur le monde (au-delà des situations triées par l’enseignant), les obliger à confronter des thèses. C’est donc former des citoyens plus autonomes, plus critiques, peut être plus responsables. A propos de l’enseignement des SVT, l’enseignant se base, dans son cours, en premier lieu, sur le réel nature (êtres vivants, environnement naturel…..) [39]. Il peut utiliser les documents dans la médiathèque électronique, qui substituent cette   réalité pour que les élèves s’en approchent. On peut citer les représentations graphiques, les schémas, les animations. Dans ce cadre, ces derniers sont utilisés et s’utilisent pour faire un transfert de la réalité dans la classe, pour présenter des phénomènes qu’on ne peut pas observer dans le temps et dans l’espace.

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Table des matières

INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : GENERALITES SUR L’ENSEIGNEMENT APPRENTISSAGE DES SVT ET LES TICE
I.1. GENERALITES SUR L’ENSEIGNEMENT-APPRENTISSAGE DES SVT 
I.1.1. INTENTIONS EDUCATIVES
I.1.2. METHODE D’ENSEIGNEMENT-APPRENTISSAGE
I.1.2.1. Stratégie d’enseignement
I.1.2.2. Théories de l’apprentissage
I.1.2.3. Facteurs d’apprentissage
I.1.3.OBJECTIFS DE L’ENSEIGNEMENT DES SVT
I.2. L’INTRODUCTION DES TICE DANS LES PRATIQUES PEDAGOGIQUES
I.2.1.DEFINITION ET HISTORIQUE : DE L’EAO AUX TICE
I.2.2. OBJECTIFS GENERAUX DES TICE
I.2.3. CONDITIONS MATERIELLES D’INTEGRATION DES TICE DANS LES PRATIQUES PEDAGOGIQUES
I.2.3.1.Ressources matérielles
I.2.3.1.1. Ordinateur
I.2.3.1.2. Les logiciels
a . Définitions et formes
I.2.3.1.3. Infrastructures
I.2.3.2.Ressources humaines
I.2.4. MEDIATHEQUE ELECTRONIQUE ET ENSEIGNEMENT- APPRENTISSAGE DES SVT : REVUE DE LA LITTERATURE
I.2.4.1. Définition et historique
I.2.4.2. Contenus de la médiathèque électronique des sciences
I.2.4.3. Avantages pédagogiques d’une médiathèque électronique
I.2.4.3.1. Avantages pour les enseignants
I.2.4.3.2. Avantages pour les élèves
I.2.4.4. Problèmes d’intégration d’une médiathèque dans la pratique pédagogique
I.3. UNE EXPERIENCE MALGACHE D’UTILISATION DES TICE DANS L’ENSEIGNEMENT DES SVT : LE PROJET ETICMAD
I.3.1. OBJECTIFS DU PROJET
I.3.2. STRATEGIES
I.3.3. CONTENUS DE LA « MEDIATHEQUE ELECTRONIQUE »
I.3.4. ACTEURS DU PROJET
I.3.4.1. Acteurs principaux
I.3.3.2. Les partenaires
I.3.3.3. Les sponsors
I.3.5.PLAN D’ACTIVITES
I.3.6. BILAN DES ACTIVITES DU PROJET DEPUIS 2004
I.3.7. SITUATION ACTUELLE DE LA MEDIATHEQUE (ANNEE SCOLAIRE 2009-2010)
I.3.7.1. Nouvelle version 4.5 de la médiathèque
I.3.7.2. Plan d’action et projet d’avenir
I.4. CONCLUSION DE LA PREMIERE PARTIE
DEUXIEME PARTIE : RESULTATS- INTERPRETATIONS ET DISCUSSIONS DE LA MEDIATHEQUE ELECTRONIQUE AU LJJR
II.1. LES OUTILS ET METHODES D’INVESTIGATION
II.1.1. LES OBSERVATIONS DE CLASSE
II.1.2. ENQUETES PAR QUESTIONNAIRE
II.1.2.1.Questionnaire aux professeurs
II.1.2.2. Questionnaire aux élèves
II.1.2.3.Objectifs
II.1.2.4. Conditions et réalisation de l’enquête
II.1.3. RECUEIL DES DONNEES
II.1.4. LECTURE BIBLIOGRAPHIQUE
II.2. ETUDE DU MILIEU DE RECHERCHE
II.2.1. CHOIX DU NIVEAU
II.2.2. REPARTITION DES ELEVES ET DES ORDINATEURS
II.2.3. ANALYSE DES EMPLOIS DU TEMPS
II.2.4. LES PROFESSEURS ET LEUR FORMATION EN MATIERE DE TICE ET DE MEDIATHEQUE ELECTRONIQUE
II.3. ANALYSE DU PROGRAMME DE SVT EN SECONDE
II.4. ANALYSE ET INTERPRETATION DES OBSERVATIONS DE CLASSE
II.4.1. LES OBSERVATIONS DES PROFESSEURS
II.4.1.1. Comportements des professeurs pendant le cours théorique
II.4.1.2.Comportements des professeurs pendant la séance de médiathèque électronique
II.4.1.2.1. Déroulement de la séance
II.4.1.2.2. Manière d’enseigner des professeurs
II.4.1.3. Comparaison des manières d’enseigner des professeurs dans les deux situations
II.4.2. LES OBSERVATIONS DES ELEVES
II.4.2.1. Comportements des élèves durant le cours théorique
II.4.2.2. Comportements des élèves durant les séances de médiathèque électronique
II.4.2.3. Comparaison des comportements des élèves dans les deux situations
II.5. ANALYSE ET INTERPRETATION DES REPONSES AU QUESTIONNAIRE DESTINE AUX PROFESSEURS
II.5.1. IDENTIFICATION DES PROFESSEURS ENQUETES
II.5.2. LES PROFESSEURS ET L’ENSEIGNEMENT DES SVT
II.5.3. LES PROFESSEURS DE SVT ET LES TICE
II.5.4. LA MEDIATHEQUE ELECTRONIQUE ET L’ENSEIGNEMENT DES SVT
II.6. ANALYSE ET INTERPRETATION DES REPONSES AU QUESTIONNAIRE ADRESSE AUX ELEVES
II.6.1 IDENTIFICATION DES ELEVES ENQUETES
II.6.2.LES ELEVES ET L’APPRENTISSAGE DES SVT
II.6.3. L’APPRENTISSAGE DES ELEVES ET LES TICE
II.6.4.L’APPRENTISSAGE DES SVT ET LA MEDIATHEQUE ELECTRONIQUE
II.7. CONCLUSION DE LA DEUXIEME PARTIE
TROISIEME PARTIE : PROPOSITIONS DE SOLUTIONS
III.1. CONCEPTION D’UNE SEQUENCE D’ENSEIGNEMENT DES SVT COMME ELEMENT DE SOLUTION INTEGREE
III.1.1. DESCRIPTION DU PRODUIT
III.1.1.1.Description du thème et objectifs
III.1.1.2. Objectifs généraux du produit
III.1.1.3. Mode d’utilisation du produit
a. Première étape : Identification des noms des animaux
b. Deuxième étape : Classification des animaux en embranchement
c. Troisième étape et quatrième étape : Classement des Invertébrés et classement des Vertébrés
d. Cinquième étape : Synthèse générale
III.1.2. CHOIX DU LOGICIEL
III.1.3. SOLUTIONS APPORTEES POUR LES ELEVES
III.1.3.1. Traitement de l’information visuelle
III.1.3.2. Développement du sens
III.1.3.3. Autonomie et responsabilité des élèves
III.1.3.4. Ouverture aux autres
III.1.4. SOLUTIONS POUR PALIER LA CONTRAINTE DE TEMPS
III.1.5. SOLUTIONS AUX COMPORTEMENTS ET ATTITUDES DES PROFESSEURS
III.2. AMELIORATION DE LA FORMATION DES ACTEURS
III.2.1. HYBRIDATION ENTRE LA FORMATION A DISTANCE ET EN PRESENCE
III.2.2. MISE EN PLACE D’ESPACE TICE DE FORMATION
III.2.3. SOUTIEN INSTITUTIONNEL AUX PROJETS TICE DE TYPE MEDIATHEQUE ELECTRONIQUE
III.3. CONCLUSION DE LA TROISIEME PARTIE
CONCLUSION GENERALE
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES

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