Un plus grand souci de précision dans la détermination des techniques de construction ?

La Provence : un cadre géographique large et changeant

Le cadre géographique choisi pour l’étude présentée ici est celui de la région Provence-Alpes-Côte-D’Azur. Celle-ci est constituée des Bouches-du-Rhône, du Vaucluse, du Var, des Hautes Alpes, des Alpes-de-Haute-Provence et des Alpes Maritimes. La toponymie de cette région suffit pour mentionner un cadre géographique où se mêlent des reliefs et des climats fortement changeant dans tout ce territoire. Son relief nous interpelle sur les bouleversements qui, lors du Tertiaire, ont modelé les Alpes et les Pyrénées. Cette région se résume donc à une alternance de chaînons calcaire préalpins (Lubéron, Ventoux, Lure, Alpilles…) qui sont très importants dans notre étude, mais aussi à des massifs cristallins (Maures, Esterel, Mercantour). Des zones moins accidentées sont présentes, mêlant des plateaux arides (Valensole, Saint-Christol Canjuers), des plaines alluviales (Crau, Camargue, Comtat), mais aussi des bassins intérieurs (Embrunais, Gapençais) et de profondes vallées (Durance, Verdon, Ubaye, Var…) (Collectif 1987, p. 7).

Les limites de notre étude sont celles définies par les frontières de la région. Il ne sera pas question ici d’étudier l’architecture du Languedoc, du Rhône ou bien d’Italie. La partie ouest est donc délimitée par le réseau hydraulique Petit Rhône puis, plus au nord, par le Rhône ; la frontière nord est placée entre le Mont Ventoux et les Baronnies pour le Vaucluse et par la Montagne de Lure pour la transition Drôme – Alpes de Haute-Provence. Cette frontière géographique passe également au nord des Préalpes du Dévoluy, au nord du Parc national des Ecrins et du Champsaur, mais aussi au sud du massif de l’Oisans pour le nord des Hautes-Alpes. La limite pour les Hautes-Alpes, les Alpes-de-Haute-Provence et les AlpesMaritimes est la frontière avec l’Italie. Il n’y a pas de profonde séparation physique : elle est constituée par des cols et des pas (Col de l’Échelle, Col di Turres, Col Saint Veran, Col de Chabrières, Col de Larche, Pas de Colle Longue, Col de Fenestre, Mont Bertranc, Mont Clapier…) qui passent au milieu de massifs montagneux qui rythment les Alpes. La limite sud de cette entité est la Méditerranée.

Notre étude sera donc faite dans cette vaste région où sont comptabilisés, pour le Néolithique final et la transition Néolithique final/Bronze ancien, 26 sites à architecture de pierre. Même si les études restent assez marginales dans les régions montagneuses, ces habitats informent tous les types topographiques et tous les départements. Seul celui des Alpes-Maritimes sera délaissé, faute de site architecturé.

Un cadre chrono-culturel fraîchement révisé

Notre étude s’appuie sur des cultures et des faciès culturels de Provence occidentale qui ont été fraîchement révisés. Ceux-ci sont décrits dans une thèse (Cauliez 2009) où ces faciès culturels ont été individualisés d’après une nouvelle méthodologie basée sur des statistiques sur les formes et décors de la céramique. Cette étude se base sur les précédents travaux réalisés dans la région sur le Néolithique en général (Courtin 1969), et sur les classifications chronologiques et culturelles du Néolithique final (D’Anna 1995a et 1995b ; Lemercier 2007). Ceux-ci se basaient sur une Provence partagée pour la première phase entre les cultures de Fraischamp et du Couronnien. Pour la seconde phase, la culture couronnienne persistait, tandis qu’émergeait à la suite du Fraischamp, le Rhône-Ouvèze et le groupe du Nord Vaucluse. Le Couronnien semblait en opposition avec les deux autres groupes culturels à cause de sa céramique qui exclut le décor sur la plupart de ses formes, alors que les autres groupes ont des céramiques qui sont en général plus intensément décorées. Notre étude se fonde également sur une vision affinée de la céramique Campaniforme avec le travail de Guilaine, ainsi qu’une thèse pour l’ensemble de la Provence (Lemercier 2002) qui permet d’apporter quelques césures au sein de cette chronologie. Dans le travail de Cauliez, les principales limites apportées à sa nouvelle conception chronologique, déterminées par la mise en place de faciès céramiques, sont celles qu’avaient instaurés Lemercier, en restituant à nouveau les quatre phases du Campaniforme en terme de production de céramique. Les deux premiers stades semblent s’entrecroiser sur la même période chronologique et sont réunis dans le travail de Cauliez sous le terme de Campaniforme ancien. Puis est intercalé un stade appelé Campaniforme récent, avant l’insertion de l’ensemble Campaniforme à céramique à décor barbelé qui intervient dans la mise en place du Bronze ancien, et que Cauliez insère dans sa transition des deux périodes. La chronologie de notre étude se base donc sur les travaux les plus récents, ceux de Jessie Cauliez (2009, 2010 et 2011) qui divisent le Néolithique final et le début du Bronze ancien en quatre Horizons pour la Provence, le couloir Rhodanien et la Drôme. L’Horizon 1 est défini de 3400 à 2900-2850 av. n. è. et comporte les groupes de Fraischamp, de Ferrières, du groupe d’Allan et le Style phase 1 de la Fare. Les faciès épi-Ferrières des Vautes, de la Roquette et des Bruyères semblent conclure cette période dans les régions limitrophes au Rhône ; le reste de la Provence n’est pas informé pour cette période. L’Horizon 2, entre 2900/2850 et 2600/2550 av. n. è., possède des informations moins « indigentes ». Il se côtoie durant cette période différents faciès culturels : le Style Fontbouisse étape 1, le Style Mourre du Tendre, le Style du Luberon et des Monts du Vaucluse, le Style Limon-Raspail, le Style Crottes I, le Style Charavines et les Styles Couronnien étape 1 et 2. L’Horizon 3 est celui où les individus du Campaniforme ancien s’installent sur le territoire et correspond à des dates entre 2600/2550 et 2400/2350 av. n. è. Il se rapporte également à différents faciès culturels plus purement locaux : le Style Fontbouisse étape 2 et étape 3, le Style la Fare. Le Style la Citadelle, le Pilon du Roy qui est un style de transition entre le Couronnien et le Plan Saint-Jean est à cheval entre la fin de l’Horizon 2 et l’Horizon 3. Le Style Crottes II dispose des mêmes références temporelles sur une autre zone géographique. L’Horizon 4 se caractérise par l’introduction du phénomène Campaniforme récent rhodano-provençal et du Campaniforme barbelé/Bronze ancien. Ils sont accompagnés de cultures qui correspondent encore pour Cauliez à une étape Néolithique finale : le Style Pendimoun, le Style Plan SaintJean étape 1 et 2 et le Style Roynac le Serre I.

On remarque donc que ces dernières recherches vont dans le sens d’un éclatement en de multiples faciès culturels, alors que les premières études allaient dans le sens d’un regroupement d’entités sur plusieurs critères. Ces entités se différencient au niveau de leurs influences micro-régionales. Ces cultures qui sont donc maintenant bien comprises sur le plan de la céramique, ont été documentées sur toute la période qui nous intéresse, et n’attendent qu’à être renseignées dans d’autres domaines comme le lithique ou l’architecture. Ces travaux permettraient de voir si l’on retrouve les mêmes césures chronologiques, culturelles et géographiques que ce que Cauliez définissait, ou bien que ces césures ne correspondent qu’à des faciès céramiques.

Des recherches multiples sur l’architecture du Néolithique final : bref historique de la question

Des observations sur l’architecture sont intentées depuis 1960, année de la découverte du mur de l’habitation numéro 1 du Collet-Redon (Durrenmath et al. 2010, p. 245), premier mur du Néolithique final découvert en Provence. La technicité de ce mur sera dès lors considérée comme Couronnienne ; le Couronnien ayant été défini comme une culture propre par Escalon de Fonton en 1956. Ce premier mur engage dès le début des controverses, car il n’est semble-t-il pour ce dernier auteur, pas en pierres sèches mais lié de marne jaune. Cependant, les travaux qui suivent, considèrent tous les autres murs découverts comme construits en pierres sèches. Les premières analyses portant sur plusieurs sites naissent après la fouille d’un corpus étoffé qui incluait toujours des structures de délimitation. Naturellement, au cœur des années 1980, c’est la question des enceintes de ces sites d’habitat qui occupe toutes les pensées. Lors des publications (Camps-Fabrer et al. 1984 et 1985), il s’agissait de comparer les célèbres architectures du Languedoc comme celles du site de Boussargues aux sites provençaux en cours de fouilles de Miouvin, des Lauzières, du Camp de Laure, de La Barre du pommier et de La Citadelle. Ces sites qui occupent trois aires géographiques sensiblement différentes, ont été comparés du point de vue de leur implantation géologique, de leur topographie, mais aussi de leur technique de construction. Une réflexion chronologique, géographique et concernant les processus d’acquisition des matériaux a pu être engagée par ces chercheurs. Une multitude de comparaisons avec la région voisine démontrent les fortes mixités architecturales de l’architecture en pierres sèches, très tôt découvertes et publiées (Gascó 1976). L’article de 1985 essayait de prendre plus en compte l’intérêt de l’étude des techniques de construction, sans se focaliser sur la problématique des enceintes. Par ailleurs en 1987, se met en place une table-ronde à Lattes et à Aix-en-Provence sur la problématique des structures de délimitations et des implantations particulières : « Enceintes, habitats ceinturés, sites perchés du Néolithique au Bronze ancien dans le sud de la France et ses régions voisines. » (D’Anna et Gutherz 1989). Au cours des années 1990, peu de travaux sur ces architectures ont été réalisés ; ils étaient plutôt destinés à renseigner l’unité architecturale du seul groupe Couronnien, avec son architecture importante en pierre. Durant ces quelques années, la définition du Néolithique final s’affinait  D’Anna 1995a et 1995b), l’architecture du Couronnien y était incluse et participait à cette définition : leurs habitats sont constitués d’une enceinte et d’une habitation extérieure, mais certaines comme le Pilon du Roy ne comportent pas d’enceinte. Les maisons présentent des soubassements de pierres et l’élévation des murs est en torchis. Certaines cabanes ont de faibles surfaces dallées. Les murs semblent tous construits en double parement et remplissage interne. Ces habitats sont quelques fois très étendus, sur des topographies diverses et privilégient les substratums de calcaires coquilliers tertiaires (D’Anna 1995a, p. 310-311). Les recherches se sont accrues au début des années 2000 avec pour ambition de mieux définir le Couronnien dans sa chronologie et sa géographie. Pour cela des études lithiques, céramiques, fauniques et de complexes architecturaux ont été menées. Ces recherches ont été réalisées dans le cadre du PCR : « Le Couronnien en Basse Provence occidentale. Etat des Connaissances et nouvelles perspectives de recherches » qui s’est déroulé de 1999 à 2004. Celui-ci a renouvelé les recherches sur la Provence dans différents domaines qui ont permis l’ouverture et la réouverture de fouilles (Ponteau, le Collet-Redon, etc…), et la réalisation de travaux universitaires de maîtrises et de thèses. Durant ces quelques années, le travail sur l’architecture a été mené par Gilabert, souvent en collaboration avec Durrenmath et Margarit. La première étude a été dirigée comme un parallèle thématique avec l’article de CampsFabrer (Camps-Fabrer et al. 1985) et consistait à renseigner les techniques architecturales (Gilabert 2001), en développant bien sûr le concept de Couronnien avec son architecture à part, par rapport aux autres cultures présentes en même temps. Il renseigne les mêmes sites, mais ajoute les fouilles récentes de Ponteau, et celles moins récentes de la Brémonde, les Fabrys et Saint-Joseph Fontainieu. Il remet à plat la question du Collet-Redon à Martigues avec Durrenmath (Durrenmath et Cauliez 2003, 2004) durant ces mêmes années. Les questions qu’il soulève en 2002 (Gilabert 2002) nous intéressent au plus haut point, puisqu’elles traitent des indices de mixités architecturales des modes d’élévation. Pour cellesci, il discute des modes d’appareillages et individualise les parements doubles à remplissage interne, des parements simples et des parements appareillés. Il parle ainsi de murs à simple parement pour la structure ST15 de Ponteau, et pour les murs MR3 et MR8 du ColletRedon (Gilabert 2002, p. 88); la différenciation de ces mixités dans l’architecture en pierre est faiblement illustrée, mais cela pose les jalons de notre étude. Il considère d’ailleurs à ce sujet le parement double appareillé comme un outil utilisé par les Couronniens pour rénover leurs bâtiments (Gilabert 2002, p. 89). Les notions d’approches chronoculturelles de ces habitats sont réalisées avec l’aide de Lemercier (Lemercier et Gilabert 2004) qui propose de réfléchir sur toutes les composantes de l’habitat, qu’elles soient en pierre et terre, ou uniquement en terre architecturées et poteaux porteurs.

Les mêmes questions seront soulevées jusqu’à aujourd’hui, sans grandes innovations. On peut noter des synthèses architecturales sur un site (Margarit et al. 2009), des réinterprétations de sites anciennement et nouvellement fouillés (Durrenmath et al. 2010), et la continuité de l’élaboration d’une approche chrono-culturelle (Lemercier et Gilabert 2009). Mais il a été également mis en place des comparaisons micro-régionales avec les sites très architecturés du Collet-Redon et de Ponteau (Gilabert et al. 2004), tous les deux localisés à Martigues au sud de l’étang de Berre. Parallèlement à ces recherches, se mettent en place depuis 1987 des congrès diachroniques internationaux sur la Pierre Sèche. Ceux-ci, même s’ils s’occupent surtout d’études architecturales de tous types pour des réalisations modernes, et surtout sur les problématiques de mises en culture, ils étudient aussi les architectures de populations antérieures, par exemple une partie des architectures néolithiques (Tufnell 2010). Toutes ces études nous permettent d’orienter notre pensée selon différents axes.

Le rapport de stage ou le pfe est un document d’analyse, de synthèse et d’évaluation de votre apprentissage, c’est pour cela rapport-gratuit.com propose le téléchargement des modèles complet de projet de fin d’étude, rapport de stage, mémoire, pfe, thèse, pour connaître la méthodologie à avoir et savoir comment construire les parties d’un projet de fin d’étude.

Table des matières

INTRODUCTION
1. MISE EN CONTEXTE ET PROBLEMATIQUE
1.1. LA PROVENCE : UN CADRE GEOGRAPHIQUE LARGE ET CHANGEANT
1.2. UN CADRE CHRONO-CULTUREL FRAICHEMENT REVISE
1.3. DES RECHERCHES MULTIPLES SUR L’ARCHITECTURE DU NEOLITHIQUE FINAL : BREF HISTORIQUE DE LA QUESTION
1.4. UNE DEFINITION APPORTEE AUX CONSTRUCTIONS EN PIERRES SECHES
1.5. MISE EN PLACE DE LA PROBLEMATIQUE
2. UNE CHRONOLOGIE ET DES CULTURES DIFFICILES A APPREHENDER ? VERS UNE CHRONOLOGIE A CONSONANCES PLURICULTURELLES
2.1. LES PREMIERES SYNTHESES DU NEOLITHIQUE PROVENÇAL
2.1.1. La mise en place du Couronnien
2.1.2. Des cultures néolithiques bien mises en place et rapidement
2.2. L’ELABORATION D’UN PHASAGE CHRONOCULTUREL POUR LE NEOLITHIQUE FINAL
2.2.1. L’élaboration d’un ensemble de références pour le Couronnien
2.2.2. La différenciation du Rhône-Ouvèze
2.2.3. La découverte tardive d’un groupe stylistique particulier : le Fraischamp
2.2.4. D’autres cultures à part de ces ensembles qui sont bien différenciées ?
2.2.5. La réalisation d’un tableau d’analyse chronoculturelle
2.3. UNE AMELIORATION DES CONNAISSANCES DU PHENOMENE CAMPANIFORME ET DES GROUPES DU NEOLITHIQUE FINAL : LES APPORTS DE LEMERCIER
2.3.1. Les différentes phases stylistiques campaniformes
2.3.2. Un nouveau phasage chronologique
2.4. LE BOULEVERSEMENT DES CADRES CULTURELS : LES TRAVAUX DE CAULIEZ
2.4.1. Des divergences quant aux définitions des cultures locales du Néolithique final
2.4.2. La mise en place de faciès locaux à large échelle
2.4.3. Distribution chronologique et géographique des styles mis en place, bref aperçu de la céramique définissant ces styles
2.4.4. La nouvelle présentation d’un phasage chronologique
2.4.5. La Provence et son acceptation des phénomènes extérieurs : une région à part
2.5. DES TRAVAUX EXTRAREGIONAUX NOVATEURS POUVANT SERVIR A DE NOUVELLES CARACTERISATIONS DES GROUPES PROVENÇAUX ?
3. LA MISE EN PLACE D’UNE METHODOLOGIE
3.1. UN VOCABULAIRE ARCHITECTURAL REVISITE
3.1.1. Habitation, mur, maçonnerie en pierre sèche
3.1.2. Le vocabulaire du type d’agencement des pierres lui aussi revisité
3.1.3. Un plus grand souci de précision dans la détermination des techniques de construction ?
3.2. CONCEPT ET METHODE : LA SEGMENTATION DES MURS
3.2.1. Pourquoi découper des entités architecturales ?
3.2.2. Les possibilités offertes par cette segmentation architecturale
3.2.3. Des divergences chronologiques ou structurelles
3.2.4. Des techniques architecturales propres à des cultures
3.3. LA MISE EN PLACE DE FICHES INFORMATIVES POUR CHAQUE PARTIES DE MUR DETERMINE
3.3.1. Les informations liées au numéro de structure
3.3.2. Des informations d’apparence insignifiante mais à haute valeur informative
3.3.3. Des habitats séquencés chronologiquement
3.3.4. Un vocabulaire normé pour l’architecture
3.4. PRESENTATION SUCCINCTE DES SITES DU CORPUS
3.4.1. Les Alpes de Hautes-Provence
3.4.2. Les Bouches-du-Rhône
3.4.3. Les Hautes-Alpes
3.4.4. Le Var
3.4.5. Le Vaucluse
4. ANALYSE DES DONNEES EMISES PAR LE CATALOGUE RAISONNE DES MURS
4.1. DES SITES INEGALEMENT REPARTIS SUR LE TERRITOIRE
4.1.1. L’analyse des sites architecturés toutes phases confondues
4.1.2. Un Horizon 1 avec une architecture très lacunaire
4.1.3. Une explosion de l’architecture en pierre durant l’Horizon 2
4.1.4. Un retrait des structures en pierre pendant l’Horizon 3
4.1.5. Une redécouverte des architectures de pierres sèches
4.2. UNE PERIODISATION DES STRUCTURES DE DELIMITATION ET DES STRUCTURES INTERNES ?
4.2.1. Des structures en pierre liées à leur géographie pour l’Horizon 2 ?
4.2.2. Une grande diversité des types de structures durant l’Horizon 3 ?
4.2.3. Une architecture en pierre omniprésente ?
4.3. UNE DISTRIBUTION GEOGRAPHIQUE DES TECHNIQUES DE CONSTRUCTIONS ?
4.3.1. Un Horizon 1 faiblement documenté
4.3.2. Un horizon 2 composé de sites à grands nombre de structures
4.3.3. Des sites très différenciés durant l’Horizon 3 ?
4.3.4. Une architecture régit par des particularités culturelles ou géographiques durant l’Horizon 4 ?
4.4. UNE ARCHITECTURE CHANGEANTE DURANT LE NEOLITHIQUE FINAL
4.4.1. Mise en évidence de phénomènes de modes architecturaux
4.4.2. Un séquençage des techniques architecturales selon les chronologies établies par André D’Anna en 1999 et Jessie Cauliez en 2009
CONCLUSION

Lire le rapport complet

Télécharger aussi :

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *