Solutions techniques pour les fonds en langue bretonne du CRBC

UN PROJET DE NUMERISATION AU CRBC

ANTECEDENTS

Le centre documentaire dispose, depuis 3 ans, de documents, appartenant au fonds Donatien Laurent, numérisés par le Ministère de la Culture, en 1999, dans le cadre d’un plan de numérisation du patrimoine culturel sonore national. Il s’agit de la totalité des enregistrements sonores effectués par cet ethnologue, directeur de recherche au CNRS de 1960 à 1995 et également ancien directeur du CRBC. C’est au cours de missions CNRS du Centre d’Ethnologie Française du Musée des Arts et Traditions Populaires, dans les 3 départements bretonnants que Donatien Laurent a constitué, entre 1955 et 1975, son fonds d’enregistrements sur bandes magnétiques (300 heures environ). Ils sont en majeure partie l’illustration d’enquêtes sur la chanson bretonne de tradition orale menées auprès d’informateurs âgés et souvent monolingues.
Ces échanges ne sont en général plus possibles aujourd’hui.
La numérisation de ces enregistrements s’est avéré indispensable compte tenu de la fragilité du support analytique. Ces documents sonores numérisés, soit une collection de 100 CD appartiennent désormais au Musée des ATP et au CRBC. Ils restent conservés au Ministère et au CRBC.

ORIGINE DU PROJET

UNCONSTAT ALARMANT

Ainsi, Donatien Laurent poursuit le travail des collecteurs qui, depuis 2 siècles, peinent à rassembler les richesses de la langue bretonne, d’abord exclusivement sous forme écrite (textes et partitions) puis au moyen d’enregistrements sonores et visuels. Mais le problème (déjà évoqué précédemment) qui se pose actuellement tient de la situation du breton oral devenant extrêmement critique. En effet, les résultats de la dernière enquête sur la situation sociolinguistique de la langue bretonne réalisée par l’agence TMO Ouest en 1997, sur un échantillon représentatif de la population de Basse-Bretagne démontrent que les 2/3 des bretonnants (240.000 personnes) ont dépassé la soixantaine et sont désormais retraités. Le pourcentage a augmenté de plus de 20 % depuis 7 ans.
Avec le déclin inéluctable des dernières générations de bretonnants de naissance, la nontransmission de la langue entre les générations s’accentue. Il devient donc urgent de sauver ce qui peut l’être de la mémoire orale de la langue, sans négliger toutefois toutes sources écrites. Et ce rôle incombe à tout centre documentaire en tant que lieu de la mémoire collective. Quand Yves Le Gallo témoigne en 1975 et se remémore la création du CRBC: ille définit comme un organisme qui servît de MEMOIRE [à la Bretagne bretonnante j car susceptible de 1 ‘éclairer sur son passé et par conséquent, sur son présent, voire sur son avenir et ajoute que ce terme de MEMOIRE n’est pas dépourvu de signification dans un pays dont la culture fut longtemps de tradition et de transmission orale.
C’est pourquoi, la bibliothèque du CRBC a procédé à la numérisation du fonds sonore D. Laurent et s’évertue, depuis 1969, à conserver et à renouveler son fonds documentaire breton et celtique, considéré comme le plus riche de l’hexagone. De plus, le centre documentaire entend rendre active, dynamique cette mémoire culturelle, linguistique, historique, en améliorant l’accessibilité aux documents en langue bretonne. Leur numérisation et leur mise en ligne pourraient être une solution et par cette opération, le centre documentaire affirmerait sa place dans un environnement informationnel nouveau.

POLEMIQUE BRETONNE

Or, pour des raisons équivalentes de sauvegarde du patrimoine breton, un autre projet des plus ambitieux est annoncé par voie de presse, en décembre 1998. Ronan Le Coadic, initiateur du projet émet ce constat: aucune bibliothèque de Bretagne ne rassemble des textes en langue bretonne traités par des professionnels et ensuite communiqués au public en langue bretonne.
Il suggère l’implantation, au cœur de la Bretagne bretonnante, d’une médiathèque bretonne en Centre-Bretagne ; celle-ci fonctionnerait en langue bretonne et deviendrait le lieu d’accueil privilégié de la documentation bretonne.
La création d’une telle structure avait déjà été envisagée en 1993 par les membres de l’association Levraoueg Breizh (la Bibliothèque de Bretagne). Ces derniers appartiennent désormais à la fédération Levraoueg ar Vro (la Bibliothèque du pays), menée parR. Le Coadic, regroupant 7 associations actives dans la promotion de la langue et de la culture bretonnes, dont Diwan Breizh pratiquant l’enseignement du breton en immersion, Dastum Bro-Dreger et Dastum Kreiz-Breizh, 2 antennes de l’association Dastum dans le Trégor et en Centre-Bretagne. Née le 31 octobre 1998, cette association d’intellectuels bretonnants s’est donné comme premier objectif, écrit Fanch Olivier dans son article Une « breizhothèque » pour garder la mémoire du Télégramme du 18 novembre 1998, de faire étudier par un cabinet spécialisé la faisabilité et le coût prévisible de l’opération.
Le bilan des 4 mois et demi d’enquêtes menées en 1999 est exposé dans un rapport intitulé Langue bretonne: étude de préfiguration d’une médiathèque.
Cette annonce a suscité certaines craintes, réticences et interrogations dans le monde des bibliothèques dans la mesure où existent déjà des structures documentaires disposant d’importants fonds breton et de renommée régionale, comme la Bibliothèque Municipale à Vocation Régionale (BMVR) de Rennes et le CRBC.

L’INTEGRATION REGIONALE DU CRBC

En effet, le Centre fait autorité dans la région en tant que partenaire local et acteur culturel, soutenu par les collectivités locales et territoriales qui fournissent 50 % des crédits de fonctionnement: le Conseil Général du Finistère finance fréquemment des opérations ponctuelles effectuées par le Centre, comme l’informatisation de la bibliothèque en 1986, des restaurations d’ouvrages ou encore la prise en charge de colloques. De son côté, le laboratoire aide le Conseil Général ou la ville de Brest en leur transmettant des documents en vue d’expositions par exemple ou en collectant l’information nécessaire à la rédaction d’articles de journaux locaux.
Le Centre de Recherche Bretonne et Celtique collabore depuis 1987 avec le Musée départemental breton et s’est aussi associé en 1999 à Hermine , réseau régional de dépouillement de périodiques offrant via l’Internet l’accès facile à des articles sélectionnés pour découvrir le patrimoine culturel breton. Plus récemment, il s’est investi dans le projet Britalis, futur portail documentaire breton, reposant sur le protocole de communications Z 39.50 (ouverture en octobre 2002).

LA RECONNAISSANCE NATIONALE ET INTERNATIONALE

De plus, il a acquis un rayonnement national et international en collaborant avec des équipes de recherche de France ou de l’étranger, notamment d’Europe centrale ou du RoyaumeUni. Aussi, le développement des collections est rendu possible grâce au soutien financier du Ministère de l’Education Nationale et du Centre National de la Recherche Scientifique auquel il est associé depuis maintenant 19 ans, le label de laboratoire associé au CNRS étant renouvelé tous 1 es quatre ans.
Il participe également au réseau documentaire des bibliothèques d’ethnologie du CNRS, à la base de données BN-OPALINE de la Bibliothèque Nationale de France et au Système Universitaire de Documentation (SUDOC), le catalogue commun des bibliothèques universitaires de France.
Le catalogue du CRBC figure dans le portail des Maisons de la Recherche du Département des Sciences Humaines et Sociales du CNRS.
Ainsi, le Centre de Recherche Bretonne et Celtique est de plus en plus consulté et sollicité à mesure que la prise de conscience de l’enjeu que représente le patrimoine culturel breton s’accroît et que s’affirme la force de l’identité régionale.

OBJECTIFS DU PROJET

Le programme de numérisation que le CRBC souhaite lancer devra satisfaire plusieurs eXIgences.
Une des missions de ce Centre est de mettre en valeur ses collections de manière à participer à la promotion du patrimoine breton non seulement au niveau régional mais également au niveau national. La numérisation d’ouvrages exclusivement en langue bretonne et leur mise en ligne garantiront la diffusion à l’échelle planétaire d’un savoir breton écrit, accessible librement et à distance. Cette technique solutionne simultanément les problèmes de conservation et de consultation qui préoccupent toutes les bibliothèques.

PRELIMINAIRES : PARAMETRES A DETERMINER

ASPECTS JURIDIQUES

Un programme de numérisation soulève des questions juridiques non négligeables.
Conformément aux articles L 123-1, L 123-8, L 123-9 et L123-10 du Code de la propriété intellectuelle, les œuvres sont protégées du vivant de 1 ‘auteur et pendant une période de 70 ans à compter du 1er janvier qui suit la mort de cet auteur. Ses droits accordés aux héritiers ou ayants droit peuvent être prorogés pour années de guerre. En ce qui concerne les œuvres de collaboration, elles sont encore protégées 70 ans après la mort du dernier auteur; 70 ans après la publication, pour une œuvre collective.
Le simple fait de posséder un document ne suffit pas pour décider de sa numérisation et de sa diffusion. Seuls les documents tombés dans le domaine public sont libres de droit : ils peuvent être librement exploités lorsque la durée des droits patrimoniaux a été respectée. Mais, il faut veiller à ne pas porter atteinte au droit moral de l’auteur, droit perpétuel, inaliénable (mention du nom de l’auteur obligatoire, droit au respect de l’œuvre, à son intégrité).
Au contraire, les documents protégés par le droit d’auteur sont eux inexploitables, au regard de la propriété littéraire et artistique afin de ne pas léser de leurs droits patrimoniaux les héritiers d’auteurs. Dans certains cas, les droits de reproduction et de diffusion peuvent être accordés après négociation avec les titulaires des droits d’exploitation. 30 %du fonds des 86.000 ouvrages de la Bibliothèque Nationale de France sont soumis au droit d’auteur. Pour cette raison, un protocole a été signé avec le Syndicat National de l’Edition (SNE), suivi de conventions avec chaque éditeur : la bibliothèque verse annuellement la somme d’environ 60.980 euros, répartie entre les ayants droit, par l’intermédiaire du Centre Français d’exploitation du droit de Copie (CFC).
Ainsi, avant de procéder à la numérisation, le détenteur des pièces à numériser doit impérativement s’en remettre à leur(s) propriétaire(s) afin de s’assurer qu’il dispose de tous les droits d’exploitation des images. Cela impose une minutieuse vérification de chaque article et illustration.

ASPECTS FINANCIERS

Nombre de projets envisagés antérieurement sont abandonnés ou interrompus faute de ressources budgétaires suffisantes ou pour cause de sous-estimation du coût de l’opération. C’est pourquoi au préalable une estimation du coût prévisionnel de l’opération est impérative afin de déterminer le montant des aides à acquérir par le biais des partenaires du projet.

SURLEPLAN NATIONAL

Depuis 1996, la MRT (Mission Recherche et Technologies) du Ministère de la Culture et de la Communication lance, tous les ans, 1 ou 2 appels à projets, dans le cadre d’un programme d’aide à la numérisation des contenus culturels. En 2000, cette prise en charge à 100% des frais techniques de numérisation qui ne concernait jusqu’alors que les collections d’Etat s’est étendue aux fonds des collectivités locales et a déjà permis la production de plus de 2 millions de documents numérisés. L’année dernière, le ministère a consacré à la numérisation du patrimoine de l’Etat 1.22 MEuros et des collectivités, 0.61 Meuros.

AU NIVEAU REGIONAL

Une aide financière des Conseils régionaux peut être accordée. En 2000, les régions Bretagne et Pays de la Loire lancent le premier appel à projets interrégional Mégalis. L’objectif de cette opération est de susciter la création d’applications et de services à hauts débits, basés sur les technologies de l’information et de la communication.
C’est ainsi que par exemple, le projet de mise en ligne de cartes postales du Conservatoire régional de la carte postale de Baud a été retenu pour la section Culture et a bénéficié d’une subvention de 31 252.05 Euros H.T.

DES EXEMPLES A SUIVRE?

L’équipe technique du Centre de Ressources Informatiques désapprouve l’option proposée par la société Tamil : elle semble opposée à une solution serveur NT pour la diffusion sur Internet.
En effet, le système serait difficile à sécuriser et deviendrait donc rapidement la proie des pirates informatiques.
Concernant l’expérience lyonnaise, la reproduction de la technique rapide et novatrice de chaîne de numérisation de la MOM ne paraît rentable que pour un organisme souhaitant assurer le traitement d’un grand nombre de pages. Cette solution « matériel en main » ne conviendrait donc pasauCRBC.
Néanmoins, l’organisme lyonnais a proposé de mettre à disposition du Centre sa chaîne de numérisation, après signature d’une convention. Le personnel devrait se rendre sur place avec les documents pour y suivre une formation et y réaliser 1′ opération.
Par ailleurs, il est souvent recommandé, dans le cas d’une numérisation de fonds patrimoniaux, de confier l’opération à une entreprise spécialisée. Néanmoins, la solution de numériser en sous traitance est également adaptée aux établissements, comme la BNF, disposant d’un volume important de documents de différentes natures à traiter et ne souhaitant pas investir dans des équipements coûteux et vite dépassés. Elle exige des moyens fmanciers conséquents, incluant les frais relatifs au déplacement des collections à numériser dans les locaux du prestataire. Le problème d’assurance se pose pour les ouvrages précieux. Aussi, après la livraison des documents numérisés, une lourde opération de contrôle qualité de la production est nécessaire, avant de procéder au stockage. Pour la numérisation d’ouvrages régionaux, l’équipe du programme NordNum (projet développé dans le chapitre suivant) a fait appel à un prestataire, l’Atelier des thèses de Lille.

LE DEVENIR DES DOCUMENTS NUMERIQUES

ENTRE ARCHIVAGE ET DIFFUSION

LE FORMAT ET LE NOM D’UN FICHIER NUMERIQUE

Le format constitue un élément clé pour la pérennité du document numérisé car il conditionne sa lisibilité à moyen et long terme. Il dépend du type d’informations qu’il contient et de sa future utilisation, archivage ou consultation.
A des fins de sauvegarde et de conservation, il est conseillé de conserver une version dite « brut de scan », c’est-à-dire non compressée, pour rendre possible une conversion ultérieure sous d’autres formats au fur et à mesure de leurs évolutions, avant que le matériel utilisé ne soit obsolète. Le format préconisé est le TIFF (Tagged Image File Format), format propriétaire mais devenu un standard de fait. Il n’engendre pas de perte mais est seulement adapté aux documents non compressés ou faiblement compressés.
Dans une optique de consultation des fichiers numériques, on adopte volontiers le format JPEG qui trouve davantage son utilisation pour une exploitation des images en réseau ou sur l’Internet. C’est pourquoi la Maison de l’Orient Méditerranéen a choisi ce format, le plus répandu sur le web et mieux adapté que le format TIFF pour des transferts rapides. Le Service Image a donc procédé à la transformation de ses images numériques au format TIFF, en mode bitmap en images au format JPEG et en mode niveaux de gris (car le mode bitmap n’est pas implémenté pour le format JPEG) à l’aide du Robot Trans Vision, logiciel conçu en interne.
Dans le cadre du projet NordNum lancé par le Service Commun de Documentation (SCD) de l’Université de Lille 3, trois formats sont utilisés pour la diffusion d’ouvrages régionaux du XIXe siècle conservés à la Bibliothèque Centrale et à la Bibliothèque du Centre de Recherche sur l’Histoire de l’Europe du Nord-Ouest (CRHEN-0). Ils seront donc accessibles en texte intégral sur Internet, aux format TIFF, PDF et PNG.
Le logiciel Acrobat Reader, qui lit les documents PDF, est installé sur la plupart des postes de travail. Mais, il dégrade les images lors de l’affichage sur des écrans à faible résolution.
C’est pourquoi la diffusion en TIFF est préférable. Le choix du format PNG n’exige pas de logiciel particulier. Tout utilisateur, avec un simple navigateur Web, peut consulter le corpus numérique.
De plus, pour que ces fichiers soient exploités convenablement et repérables, il est impératif d’attribuer à chaque image numérique créée un nom spécifique, unique.
Dans le cadre de son plan d’aide à la numérisation, la MRT (Mission Recherche et Technologies) du Ministère de la Culture et de la Communication a établi une structure type des noms de fichiers, composée de 2 parties: l’identifiant de l’établissement détenteur du document et l’identifiant du document numérisé. Le premier élément référence notamment le code de l’établissement, délivré par les agences du CCN-PS (Catalogue CollectifNational des Périodiques en Série. Le second élément situe le document numérisé dans les collections du centre concerné suivant les critères suivants : code ou n° du fonds, cote du document, n° du volume et n° de page, type de vue (pleine page, double page, détail), type de fichier (vignette, tiers d’écran, plein écran).
Toutes ces informations trouvent leur intérêt quand un centre documentaire s’engage dans un ou plusieurs programmes de numérisation de ses collections et qu’il a besoin d’identifier avec certitude ses fichiers numériques pour les stocker de façon distincte, comme il procèderait pour des documents traditionnels.

MODES DE NAVIGATION AU SEIN DU DOCUMENT NUMERISE

LA PAGINATION

L’équipe de Lyon a opté pour une pagination physique pour une meilleure exploitation des documents numériques sur Internet. Le même outil Robot TransVision a converti la pagination logique de sortie du numériseur (page 1, page 2, … page 399) en pagination physique de l’ouvrage numérisé (page préliminaire 1, page préliminaire 2, page 1 de l’ouvrage, … table des matières, page éditeur). Ce procédé rend possible une progression de page en page, au cœur d’un volume ou d’un article, par le biais d’une liste déroulante (la page précédente, la page suivante, la/les page(s) de la table des matières, la page x)
Ce feuilletage des ouvrages page par page a aussi été étudié lors de la réalisation technique du projet NordNum par la société AJLSM . On a vu précédemment le principe de numérotation des pages numérisés et des fichiers images . C’est une table de correspondance, produite à l’aide d’une macro Excel, qui assure l’association. La feuille de calcul Excel obtenue contient les données suivantes (codes de bibliothèque et document, titre, n° de fichiers, n° de pages codées). Une deuxième macro complète la première et convertit la feuille de calcul en document XML, qui répond à une DTD (Définition de Type de Documents) créée spécialement.
La bibliothèque et le document sont identifiés par un code et à chaque page, est attribué un code fichier. L’opération est réalisée sur un poste PC sous Windows relié à Apache, faisant office de serveur de production et de diffusion.

ÉLEMENTS PERITEXTUELS

Outre ce mode de navigation, , le Service Commun de Documentation de l’Université de Lille 3 propose aussi une lecture progressive d’un ouvrage en sélectionnant les pages voulues, à l’intérieur des tables et index. Ces éléments font référence à la pagination déjà établie et sont saisis selon la DTD BiblioML, à l’aide d’un éditeur XML (ici, XMLMind XML Editor). Les saisies des tables et index s’opèrent indépendamment de la notice de l’ouvrage. L’assemblage des informations est effectué lors de la mise en ligne, directement par 1 ‘outil de consultation.

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Table des matières
INTRODUCTION
1. PRESENTATION DU CENTRE DE RECHERCHE BRETONNE ET CEL TIQUE
1. 1 LE CRBC, LABORATOIRE DE RECHERCHE
1.1.1. Un terrain d’étude privilégié
1.1.2. La convergence de disciplines complémentaires
1.1.3. Le CRBC: une vitrine bretonne de qualité pour l’UBO
1. 2 LE CENTRE DOCUMENT AIRE
1.2.1. La constitution du fonds de base
1.2.2. La composition actuelle du fonds de la bibliothèque
1.2.3. Un service public
1.2.4 .. .facilité par 1 ‘informatisation du fonds
1.2.5 Nouveauté 2002: le catalogue du CRBC en ligne
2. UN PROJET DE NUMERISATION AU CRBC
2. 1 ANTECEDENTS
2. 2 ORIGINE DU PROJET
2. 2.1. Un constat alarmant
2. 2. 2. Polemique bretonne
2. 2. 3. L’intégration régionale du CRBC
2.2.4. La reconnaissance nationale et internationale
2. 3 OBJECTIFS DU PROJET
3. PRELIMINAIRES : PARAMETRES A DETERMINER 
3. 1 ASPECTS JURIDIQUES
3. 2 DESCRIPTION DU FONDS A NUMERISER
3.2.1. Que numeriser?
3. 2. 2. Evaluation quantitative et qualitative des documents
~ La totalite du fonds breton
~ Conformement aux criteres predetermines
3. 3 ASPECTS FINANCIERS
3. 3.1. Sur le plan national
3.3.2. Au niveau regional
4. SOLUTIONS TECHNIQUES POUR LES FONDS EN LANGUE BRETONNE DU CRBC 
4. 1 REVUE DES ASPECTS TECHNIQUES
4.1.1. Le mode image
4.1.2. Le mode texte ou alphanumérique
4. 1.3. La resolution del ‘image
4. 1.4. La compression de l’image
4. 2 PLUSIEURS OPTIONS POSSIBLES
4.2.1. Le materiel de numerisation
4.2.2. Les logiciels
4. 3 DES EXEMPLES A SUIVRE ?
5. LE DEVENIR DES DOCUMENTS NUMERIQUES
5. 1. ENTRE ARCHIVAGE ET DIFFUSION
5.1.1. Le format et le nom d’unfichier numerique
5.1. 2. Le support de conservation et de diffusion
5.1.3. Le signalement des documents numerises
5. 2 DU FAC-SIMILE A L’HYPERTEXTE
5.2.1. L’architecture web
5.2.2. Consultation thématique
5.2.3. Recherche documentaire et interface publique
5.2.4 Modes de navigation au sein du document numérise
-<} La pagination
-<} Élements peritextuels
5. 3 L’OUTIL DE CONSULTATION ET DE RECHERCHE DU CRBC
5.3.1. La langue bretonne sur internet
-<} Dastum
-<} Le Cartopôle de Baud
-<} L’Institut National de l’ Audiovisuel
5. 3. 2. . .. En chansons
-<} Myriam Guillevic
-<} Serge Nicolas et Thierry Rouaud
-<} Pierre Quentel
-<} Kan ha diskan
-<} Fanch Broudic
-<} Ronan Le Coadic
5.3.3. Ambitions du CRBC
-<} Production des documents numeriques
-<} Diffusion en ligne
-<} Recherche documentaire
-<} Visualisation des documents numerises
CONCLUSION 
BIBLIOGRAPHIE 
REMERCIEMENTS
ANNEXES

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