ROLE ET RESPONSABILITE DE CHACUN DES INTERVENANTS IMPLIQUES DANS LA MISE EN OEUVRE DU PROJET

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Gestion, exploitation et maintenance

La gestion, exploitation et maintenance consistent à l’organisation de l’utilisation de l’ouvrage pour assurer son fonctionnement permanent, rentable et durable afin de satisfaire les usagers de l’eau [11] [12].

Délégation de gestion à un opérateur privé

Pour les communes non habilitées à exercer la fonction de maîtrise d’ouvrage, les contrats de Concession, d’Affermage et de Gérance entrent en vigueur après avoir été approuvé par l’Organisme Régulateur selon la taille et la rentabilité du système [6].

Concession

Le mode de gestion par concession s’applique aux systèmes d’approvisionnement en eau potable dont le principe est de confier à une tierce personne le mandat de gérer le service public de l’eau potable à ses frais, risques et périls. Le Maître d’ouvrage charge ce tiers de l’exploitation du service, de la maintenance des installations d’eau, des investissements de construction, de renouvellement et d’extension du réseau. La durée du contrat de concession est inférieure à 30 ans [6].

Affermage

En principe, le mode de gestion par affermage est adopté pour le cas des systèmes d’approvisionnement en eau potable bien fonctionnels qui ne nécessitent pas de réhabilitation majeure, afin de permettre au fermier d’assurer une bonne gestion et exploitation dès le début de ses prises de fonction. L’affermage est un type de contrat par lequel le Maître d’ouvrage confie à un tiers le mandat de gérer le service public de l’eau potable ou de l’assainissement à ses frais, risques et périls. Le Maître d’ouvrage charge ce tiers de l’exploitation du service, de la maintenance des installations d’eau et de la responsabilité de tout ou partie des investissements de renouvellement. Le tiers assume les risques techniques et commerciaux et l’autorité habilitée reste responsable du financement de la majorité des dépenses en capital. La durée du contrat d’affermage est inférieure à 15 ans [6].

Gérance

La Gérance est un contrat par lequel un Maître d’ouvrage charge un tiers, contre rémunération, de la réalisation des activités techniques et commerciales nécessaires au bon fonctionnement d’un service public d’eau potable. Le Maître d’ouvrage conserve tous les risques techniques et commerciaux inhérents à ces activités, y compris la responsabilité et le financement des investissements de renouvellement et d’extension du réseau. La durée du contrat de gérance est inférieure à 15 ans [6].

Gestion et exploitation en régie directe par la Commune

L’exploitation en régie directe des systèmes d’eau n’est permise aux Communes qu’avec l’autorisation préalable de l’Organisme Régulateur et uniquement après échecs successifs de recrutement de candidat à la gestion déléguée par avis d’appel d’offre.

Gestion et exploitation par les Communautés Locales

La commune de rattachement peut déléguer la gestion à la communauté de base ou les comités des points d’eau locaux pour un petit système rural d’approvisionnement en eau potable.la délégation se fait par une convention de gestion l’exploitation des points d’eau situés sur leur territoire. Cette convention doit être visée par l’Organisme Régulateur. Dans ce cas, tout comité de point d’eau se constitue en Association règlementaire [6]. Il en est de même pour les systèmes localisés dans des zones enclavées susceptibles de ne pas intéresser les opérateurs privés.

Suivi et évaluation

Le suivi de réalisation est un ensemble d’activités qui, dans le cadre d’un projet visent à vérifier si les moyens disponibles sont utilisés conformément au calendrier et au budget du projet et s’ils donnent les résultats escomptés. Le suivi vise aussi à identifier les problèmes qui peuvent surgir au cours de l’exécution et à y apporter des solutions adéquates. Le suivi se fait à trois niveaux : pendant la phase réalisation, la phase post-réalisation et la phase de l’exploitation [9] [13]. L’évaluation est une fonction qui consiste à porter une appréciation, aussi systématique et objective que possible, sur un projet en cours ou achevé, un programme ou un ensemble de lignes d’action, sa conception, sa mise en oeuvre et ses résultats [9]. Il s’agit de déterminer la pertinence des objectifs et leur degré de réalisation, l’efficience, l’efficacité, l’impact et la viabilité par rapport au développement. Une évaluation devrait fournir des informations crédibles et utiles, permettant d’intégrer les enseignements tirés aux mécanismes d’élaboration des décisions tant des pays partenaires que des bailleurs de fonds. Une évaluation peut avoir lieu au cours de la mise en oeuvre d’un projet « évaluation à mi-parcours », à la fin d’un projet « évaluation finale » ou après son achèvement « évaluation ex post », soit pour réorienter le projet ou pour tirer des leçons pour les projets et la programmation futurs [13]. Une évaluation doit conduire à une décision de continuer, de rectifier ou d’arrêter le projet. Les conclusions et recommandations doivent être prises en compte dans la planification et la mise en oeuvre des projets comparables à l’avenir.

ROLE ET RESPONSABILITE DE CHACUN DES INTERVENANTS IMPLIQUES DANS LA MISE EN OEUVRE DU PROJET

Organismes étatiques

Ministère chargé de l’AEH

Son rôle principal est de contribuer à l’élaboration de la politique du gouvernement pour le secteur et de veiller à l’application de cette politique. Le Ministère de l’Assainissement, Eau potable et Hygiène recherche aussi les financements extérieurs destinés aux subventions publiques. Il intervient dans l’étude de mise en oeuvre du projet d’adduction d’eau potable dans le pays : préparation du DAO, lancement d’appel d’offre, passation de contrat avec les prestataires pour les prestations de portée nationale. Il survient à l’appui technique aux collectivités décentralisées, au maître d’ouvrage déléguées au nom de la Commune durant la période transitoire et à la coordination du suivi et évaluation des interventions [6]. Il agit alors, sur l’ensemble des problèmes d’approvisionnement d’eau dans le pays.

Ministère de la Santé

Le Ministère de la Santé assure l’application du code de la Santé publique et participe aux contrôles de la qualité de l’eau et du suivi/évaluation des actions, ceci au sein du comité WASH en tant que membre et au niveau de l’ANDEA en tant que Conseil d’Administration et membre des comités de pilotage des agences et comités de bassin.

ANDEA

L’ANDEA est un établissement public à caractère administratif doté de la personnalité morale et de l’autonomie financière, placé sous la tutelle technique et administrative du Cabinet du Premier Ministre et sous la tutelle financière du Ministère chargé de l’Économie et des Finances, et sous la responsabilité du Ministre chargé de l’Eau Potable. Il a pour rôle de programmer, planifier et coordonner tout projet hydraulique et d’assainissement et en suivre l’exécution. Il élabore et programme les plans directeurs d’aménagement des ressources en eau, d’assainissement et de drainage [15]

Autres organismes impliqués dans le secteur

Ce sont les Ministères chargés des domaines suivants : Décentralisation- Aménagement du territoire, Éducation, Environnement- Eau et Forêt, Finances- Budget – Économie – Plan, Population, Agriculture – Élevage – Pêche, Intérieur, etc. Leurs rôles et responsabilités s’exercent au sein du comité WASH en tant que membre et au niveau de l’ANDEA en tant que Conseil d’Administration et membres des comités de pilotage des agences et comités de bassin.

Collectivités décentralisées

Ce sont les Communes, les Districts, les Régions, les Provinces. La propriété des installations, ouvrages et infrastructures d’eau sera transférée aux Communes de façon progressive en fonction de l’évolution de la capacité de chaque Commune à faire face aux responsabilités de propriétaire. Les rôles des Communes seront alors: de stimuler les Communes à exprimer leurs besoins dans les PCD/PRD; de collecter les données sur l’accès à l’eau potable et l’assainissement (liste des ONG ou acteur du secteur, liste des villages ou sites nécessitant un système d’approvisionnement en eau potable, taux d’accès aux installations d’assainissement et lavage des mains avec du savon, taux de desserte en eau potable, etc.); et de gérer des installations par un contrat de gestion déléguée à passer avec un opérateur privé.

ONG spécialisées et le secteur privé

Les ONG spécialisées et le secteur privé sont les opérateurs qui effectueront les prestations d’études, de travaux, de fournitures et de gestion des systèmes d’AEP selon les contrats à passer soit avec le Ministère chargé de l’eau, soit avec les autres organismes Étatiques cités ci-dessus, ou avec un des organismes impliqués dans le comité WASH, ou avec les collectivités décentralisées.

Partenaires financiers

Les partenaires financiers sont les bailleurs de fonds et les ONG internationales/nationales qui financent le secteur. Pour les ONG internationales, nonobstant ce statut de partenaires financiers, elles se définissent comme des organismes fondés sur des valeurs à la base, à but non lucratif et non gouvernementales. Elles mènent des activités d’amélioration de la condition de vie de la société, de promotion des intérêts des pauvres et défavorisés, de protection de l’environnement, de fourniture de services sociaux de base et/ou contribuer à ce que la communauté prenne en main son développement. Leur intégration dans le processus de développement de Madagascar, notamment dans le programme pour l’accès à l’Eau potable, Hygiène et à l’Assainissement, consiste en son implication dans le budget de programme.

Comité wash

Le Diorano-Wash est une plateforme qui réunit tous les partenaires intervenant dans le secteur de l’eau, de l’assainissement et de l’hygiène : les départements techniques des différents Ministères, les ONG internationales et nationales, les partenaires techniques et financiers. Elle assure la coordination, facilite la circulation de l’information et organise des rencontres thématiques. Cette plateforme intervient aussi en appui aux autorités responsables du secteur AEPA, du niveau central (les Ministères), en passant par le niveau régional et jusqu’au niveau local, notamment pour ce qui regarde la coordination et le suivi-évaluation.

Usagers

Ce sont les communautés locales villageoises qui bénéficient le système, principalement les Fokonolona, sont chargées, à leur niveau, du contrôle et de la surveillance du bon usage de l’eau, des installations nécessaires à son exploitation et du respect des conditions d’insalubrité [16].

Adduction/Conduite d’amenée

L’adduction/conduite d’amenée est un ensemble de conduites, ouvrages et appareillages permettant le transport de l’eau captée, jusqu’à son lieu de stockage au niveau du village.
D’un point de vue hydraulique, l’adduction peut être gravitaire ou par refoulement [14] [17].
L’adduction est dite gravitaire si la source est située en altitude par rapport au site à alimenter. La force de déplacement de l’eau est l’énergie potentielle. Le débit transitant est modulé, permanent et commandé en aval [14].
L’adduction est dite par refoulement si le déplacement de l’eau est conditionné par une pompe. Le débit transité est alors discontinu, variable selon le débit de pompage. Il est commandé en amont par la mise en marche des pompes [14].

Système de traitement

Après le captage, le traitement est presque toujours nécessaire pour obtenir de l’eau potable. Ainsi, si l’eau de captage présente la moindre contamination, un système de traitement doit être installé avant la distribution aux usagers. Les étapes généralement utilisées pour le traitement des eaux comportent [18] : le prétraitement et le traitement proprement dit.

Prétraitement

Il consiste à éliminer, par des procédés mécaniques, tous les éléments grossiers qui pourraient détériorer l’équipement de la filière ou constituer une gêne pour les traitements ultérieurs. Il peut s’effectuer soit par dégrillage, tamisage et/ou dessablage.

Dégrillage

Il permet non seulement de protéger la station contre l’arrivée intempestive de gros objet susceptible de provoquer les bouchages dans les différentes installations ; mais aussi, de séparer et d’évacuer facilement les matières volumineuses charriées par l’eau brute qui pourraient nuire à l’efficacité des traitements.

Tamisage

L’eau passe dans des tamis de maille de plus en plus fine retenant les débris végétaux et animaux, les insectes, les mollusques, les crustacés d’eau douce, les alluvions, les herbes, puis les algues et le plancton.

Dessablage

Il est pour but d’extraire de l’eau brute les graviers, sables et particules minérales plus ou moins fines de façon à éviter les dépôts dans les canaux et conduites, et à protéger les pompes et autres appareils contre l’abrasion. Les domaines usuels du dessablage portent sur les particules de granulométrie supérieure à 200 μ. Une granulométrie inférieure sera du ressort de la décantation.

Traitement proprement dit

Le traitement de l’eau est l’élimination totale ou partielle des éléments indésirable dans l’eau. Elle comprend deux phases dont la première phase est la clarification qui a pour but d’éliminer les matières en suspension et qui est effectué par coagulation, floculation, décantation et filtration. La deuxième phase est la stérilisation qui désinfecte l’eau par le processus de désinfection.

Coagulation

La coagulation a pour but d’éliminer les charges relatives qui empêche les particules de s’agglomérer. Les particules sont naturellement maintenues en suspension sous l’action de force électrostatique de répulsion. Pour rompre ces forces et déstabiliser les colloïdes, on injecte des réactifs appelés « coagulants » qui conduisent à la formation de précipités insolubles appelés « flocs » capable de décanter. L’injection des réactifs se fait dans un compartiment sous forte agitation. Les réactifs utilisés sont des sels de fer et d’aluminium : le chlorure de fer (FeCl3) ou le sulfate de fer (FeSO4) ou le sulfate d’alumine Al2(SO4)3) [18]. Le choix du produit et de la dose à employer dépend étroitement de la nature de l’eau à traiter et ne peut être déterminé avec précision qu’après des essais. Toutefois, le sulfate d’alumine est souvent le plus utilisé dans le domaine du traitement de l’eau [19].

Floculation

La floculation a pour but d’agglomérer les particules entre elles pour former des flocs plus volumineux. Le poids et la cohésion des flocs formés favorisent la sédimentation. Une fois la coagulation accomplie, on injecte un floculant ou aide-coagulant, dans un compartiment distinct de celui de la coagulation. On réalise une agitation lente qui permet l’agglomération des flocs. Les réactifs généralement utilisés sont : les carbonate de sodium (Na2CO3), la chaux (Ca(OH)2), etc [20].
La coagulation et la floculation sont au coeur du traitement de l’eau pour la rendre potable. Elles permettent d’éliminer 90% de MES.

Décantation

Cette étape suit la coagulation-floculation et précède la filtration. Une fois que le floculant soit injecté et mélangé à l’eau, la solution d’eau est dirigée ensuite vers les bassins de sédimentation aussi appelés décanteurs. Ce sont de gros bassins avec un temps de rétention assez élevée afin de permettre aux flocons de couler au fond du bassin et de s’accumuler pour former de la boue. La boue devra être régulièrement extraite pour prévenir les accumulations. Pour que les boues se déposent, il faut que la densité des particules soit supérieure à celle de l’eau. Pour permettre la séparation d’une suspension colloïdale dans des conditions de densité satisfaisante sous l’influence de la pesanteur, il faut que le floc soit bien formé. L’eau sera ensuite acheminée vers les filtres qui enlèveront les plus petites particules n’ayant pas été sédimentées ou décantées lors de l’étape précédente.

Filtration

C’est la dernière étape de clarification de l’eau. Elle consiste à faire passer l’eau à travers un milieu poreux constitué des matériaux filtrant comme le sable, le gravillon, et il y a aussi ceux en membranes. L’eau sortant du filtre est claire mais pas encore potable car elle contient encore des microorganismes qui peuvent être pathogène. Elle doit alors passer dans une étape de stérilisation qui est appelée la désinfection [18].

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Table des matières

INTRODUCTION
I. CADRE THÉORIQUE SUR L’AEPG
I.1 DEFINITIONS
I.1.1 Projet d’AEP
I.1.2 Eau potable
I.1.3 Système d’AEP
I.1.4 AEPG
I.1.5 Pérennisation
I.1.6 Fonctionnalité du système
I.2 CYCLE DE MISE EN PLACE D’UN PROJET D’ADDUCTION D’EAU POTABLE
I.2.1 Programmation
I.2.2 Identification
I.2.2.1 Formulation
I.2.3 Financement
I.2.4 Mise en oeuvre
I.2.4.1 Étude
I.2.4.2 Travaux
I.2.5 Gestion, exploitation et maintenance
I.2.5.1 Délégation de gestion à un opérateur privé
a) Concession
b) Affermage
c) Gérance
I.2.5.2 Gestion et exploitation en régie directe par la Commune
I.2.5.3 Gestion et exploitation par les Communautés Locales
I.2.6 Suivi et évaluation
I.3 ROLE ET RESPONSABILITE DE CHACUN DES INTERVENANTS IMPLIQUES DANS LA MISE EN OEUVRE DU PROJET
I.3.1 Organismes étatiques
I.3.1.1 Ministère chargé de l’AEH
I.3.1.2 Ministère de la Santé
I.3.1.3 ANDEA
I.3.1.4 Autres organismes impliqués dans le secteur
I.3.2 Collectivités décentralisées
I.3.3 ONG spécialisées et le secteur privé
I.3.4 Partenaires financiers
I.3.5 Comité wash
I.3.6 Usagers
I.4 DESCRIPTIONS TECHNIQUES DU SYSTEME D’AEPG
I.4.1 Schéma générale des installations et ses fonctions
I.4.1.1 Captage
I.4.1.2 Adduction/Conduite d’amenée
I.4.1.3 Système de traitement
a) Prétraitement
b) Traitement proprement dit
c) Neutralisation
I.4.1.4 Stockage
I.4.1.5 Réseau de distribution
II. METHODOLOGIE
II.1 MILIEU D’ETUDE
II.1.1 Cadre géographique
II.1.1.1 Localisation
II.1.1.2 Délimitation de la zone de l’étude
II.1.2 Cadre physique
II.1.2.1 Relief
II.1.2.2 Climat
II.1.2.3 Températures et précipitations moyennes
II.1.2.4 Insolation
II.1.2.5 Vent
II.1.2.6 Cyclones
II.1.3 Cadre hydrogéologique
Activité dans le Bassin Versant
II.1.4 Cadre Social et économique
II.1.4.1 Situation démographique
II.1.4.2 Services publics
a) Infrastructure scolaire et éducative
b) Infrastructure sanitaire
c) Institution financière
d) Électrification
II.1.4.1 Activités socio-économiques
II.1.5 Cadre d’AEPG
II.1.5.1 Captage
II.1.5.2 Station de traitement
II.1.5.3 Réservoir
II.1.5.4 Réseau de distribution
II.2 COLLECTE DES DONNEES ET DES INFORMATIONS
II.2.1 Documentations
II.2.2 Enquête ménage
II.2.3 Réunion avec la partie prenante
II.3 ÉVALUATION DE LA QUALITE ET DE LA QUANTITE DE L’EAU DU SYSTEME
II.3.1 Analyse de la qualité de l’eau
II.3.1.1 Paramètres physico chimiques
a) Mesure des paramètres physiques
b) Mesure des paramètres chimiques
II.3.1.1 Paramètre bactériologique
Mode opératoire
II.3.1.2 Inspection sanitaire
II.3.2 Evaluation de la quantité d’eau
II.3.3 Analyse des facteurs influençant la pérennisation du système
III. RESULTATS, INTERPRETATIONS ET RECOMMANDATIONS
III.1 RESULTATS ET INTERPRETATIONS
III.1.1 Analyse de la qualité de l’eau
III.1.1.1 Période sèche
III.1.1.2 Période de pluie
III.1.1.3 Inspection sanitaire
a) Captage
b) Réseau de distribution
III.1.2 Résultats des analyses de la quantité.
III.1.2.1 Consommation
III.1.2.2 Production journalière
III.1.2.3 Estimation des besoins en eau de la population totale
a) Évolution de la population d’ici 5ans, 10ans, 14 ans dans la zone desservie
b) Estimation de la demande
III.1.1 Évaluation de la pérennisation
III.2 RECOMMANDATIONS
III.2.1 Recommandations dans le domaine environnemental
III.2.2 Techniques
III.2.2.1 Qualité
III.2.2.2 Quantité
III.2.2.3 Gestion
III.2.2.4 Institutionnel
CONCLUSION GÉNÉRALE
RÉFÉRENCE BIBLIOGRAPHIES
RÉFÉRENCE WEBOGRAPHIE

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