Résultats et interprétations des analyses physico-chimiques du sol

Introduction

La définition climatique de la région méditerranéenne est fort simple pour l’écologiste, le phytogéographe ou le bioclimatologiste. C’est l’ensemble des zones qui se caractérisent par des pluies concentrées sur la saison fraîche à jours courts avec de longues sécheresses estivales (Emberger, 1955).
Des auteurs comme Barbéro et Quézel (1982) in Benabadji et Bouazza (2000) ont caractérisé la végétation forestière sur le pourtour méditerranéen du point de vue du bioclimat. Ils abordent la notion d’étage de végétation en tenant compte des facteurs climatiques majeurs et en particulier la température moyenne annuelle qui permet de traduire par ses variations les successions altitudinales et latitudinales de la végétation.
Cette notion est à distinguer de celle d’étages bioclimatiques au sens d’Emberger (1939) et Sauvage (1963), qui est affranchie de l’altitude et dont le déterminisme est à la fois pluviométrique et thermique. D’ailleurs, Achhal et al. (1980) en accord avec Ozenda (1975) proposent de les désigner par le terme zones ou ambiances bioclimatiques et de réserver le terme d’étages aux tranches altitudinales de végétation.
Avant le 20 siècle, le terme “climat” représentait toute étendue de la surface terrestre caractérisée par des conditions atmosphériques habituellement comparables. Plus récemment Viers et Vigneau (1990) ont défini le climat comme “une intégration des facteurs météorologiques et climatiques qui concourent à donner à une région donnée son caractère et son individualité. Serre (1943) le définit comme” l’ambiance atmosphérique constituée par la série des états de l’atmosphère au-dessus d’un lieu dans leur succession habituelle”.
Le climat est donc la synthèse de la succession des conditions atmosphériques dans une lésion donnée, pendant une longue période en règle générale, le climat ne varie pas, ou assez peu, à l’échelle d’un siècle, et on peut le prévoir à plus ou moins long terme (30 ans selon la norme OMM : Organisation météorologique mondiale).
La végétation de la région rnéditerranéenne résulte de l’interaction d’une multitude de : écologiques, mais doit sa spécificité à un en particulier qui est le” climat” (Aubert, 1988).
D’autre part, la situation géographique et les différences d’altitudes de la région de Tlemcen, rendent le climat plus complexe par la création de nombreux microclimats et confèrent à la région une” richesse floristique endémique” tant rupicole, messicole que sylvicole, et en constituant une véritable maquette naturelle très diversifiée tant par sa flore
que par son édaphologie. La région de Tlemcen est ainsi caractérisée par deux saisons bien distinctes : une saison estivale de 6 mois environ, sèche et chaude alors que la seconde (de octobre à avril) est pluvieuse et froide. .La végétation est finalement à l’image du climat, puisqu’à ce propos Barry-Lenger et al. (1979) expliquent que la pluie avec la température constituent la charnière du climat, elles influent cependant directement sur la végétation.
Par ailleurs, nombreux sont les travaux réalisés sur la bioclimatologie et la climatologie sur l’Algérie en général et la région de Tlemcen en particulier, citons à titre d’exemple quelques uns d’entre eux: Seltzer (1946), Bagnouls et Gaussen (1953), Long (1954), Bortoli et al. (1969), Stewart (1974), Le Houérou et al. (1977), Alcaraz (1982), Benabadji (1991 et 1995), Bouazza (1991 et 1995), Aïnad-Tabet (1996), Hasnaoui (2008), Merzouk (2010) et Medjati (2014).
Cette étude bioclimatique peut s’avérer d’une grande utilité, puisqu’elle déterminera par la suite, dans quelle ambiance climatique se développe la végétation de la région de Tlemcen, et notamment celle se rapportant aux « pelouses thérophytiques sèches ».

Méthodologie

Choix de la période et de la durée

La zone d’étude est caractérisée sur le plan climatique à partir de série de données météorologiques fournies par les différentes stations : Sebdou, Sidi Djilali et El-Aricha.
L’analyse bioclimatique consiste à mettre en évidence une étroite comparaison entre l’ancienne période (1913-1938) et la nouvelle période (1970-2012) des stations d’étude, mais aussi pourquoi ne pas préciser l’évolution de la végétation en fonction des gradients climatiques.
Ces données enregistrées s’étalent sur deux périodes; l’une ancienne (1913-1938) obtenue à partir du recueil météorologique de Seltrer (1946) et l’autre (1970-2012) obtenue des services d’hydraulique (2011).
Les données bioclimatiques des 02 stations (Sebdou et El-Aricha) sont complètes pour la période récente sur 42 années (de 1970 à 2012), celle de Sidi-Djilali est par contre incomplète, ses données s’étalent de 1970 à 2008, c’est-à-dire sur 38 années.

Facteurs climatiques

La pluie et la température sont la charnière du climat (Bary et al., 1979).
Pour mieux appréhender le bioclimat de la zone d’étude, deux paramètres essentiels sont pris en considération : les précipitations et les températures.
Selon Kadik (1987), ces paramètres varient en fonction de l’attitude, de l’orientation des chaînes de montagnes et de l’exposition.

Précipitations

Les précipitations représentent les seules sources hydriques pour la végétation naturelles et terrestres. Elles exercent une action prépondérante par la définition globale du climat (Le Houerou et al., 1977).
Djebaili (1978), définit la pluviosité comme étant primordiale, elle permet de déterminer le type de climat. En effet, elle conditionne le maintien de la réparation du tapis végétal d’une part, et de la dégradation du milieu naturel par le phénomène d’érosion d’autre part.
D’après Benabadji et Bouazza (2000), l’origine des pluies dans les zones est due aux vents humides de secteur nord durant la saison froide, dont l’influence diminue au fur et à mesure que l’on s’éloigne de la mer selon Seltzer (1946), d’autre part, les pluies orageuses liées aux perturbations atmosphériques engendrées par les dépressions en provenance des régions sahariennes (Dubief, 1959 et 1963).
L’altitude, la longitude et la latitude, sont les principaux gradients définissant la variation de la pluviosité. En effet, la quantité de pluie diminue du Nord au Sud, de l’Est à l’Ouest ; et devient importante au niveau des montagnes. Ceci a été confirmé par Chaabane (1993) qui précise que le gradient pluviométrique est décroissant d’Est en Ouest. Cela est dû au fait que les nuages chargés de pluie qui viennent de l’Atlantique sont arrêtés ou déviés vers l’Est par la Sierra Nevada en Espagne et aussi par la barrière constituée par les hautes montagnes du Maroc et qui ne laissent passer que les nuages les plus hauts.
Les zones recevant plus de 400 mm sont considérées comme semi-arides, subhumides ou humides, selon l’importance des précipitations (Emberger, 1930).
Djebaili (1978) définit la pluviosité comme étant le facteur primordial qui permet de déterminer le type de climat. En effet, celle-ci conditionne le maintien et la répartition du tapis végétal d’une part, et la dégradation du milieu naturel par le phénomène d’érosion d’autre part notamment au début du printemps.
La région de l’Ouest algérien se caractérise par de faibles précipitations avec une grande variabilité inter mensuelle et interannuelle signalés par plusieurs auteurs comme Merzouk (2010), Bouazza et Benabadji (2010), Benabdelmoumen (2018).
Les précipitations varient d’une région à une l’autre et d’autre période à l’autre pour notre cas l’analyse les données du tableau ci- dessus, les moyennes annuelles des précipitations pour la période (1913-1939) s’élèvent à 321 mm. Un recul pluviométrique a été constaté pour la nouvelle période (1970-2008) dans la quelle on est passé à 313,6 mm sort une diminution non significative de 7,4 mm.

Autres facteurs climatiques

Les précipitations et les températures restent les seules paramètres qui bénéficient d’une mesure quasi-régulière depuis le début de ce siècle selon Suc (1984), cependant l’analyse des autres paramètres climatiques, lorsqu’ils sont disponibles, permettent de compléter les interprétations.

Vent

Les vents estivaux de terre sont généralement caractérisés par une grande violence et un fort pouvoir desséchant, tel que le sirocco au Maghreb. Ils font tomber l’humidité atmosphérique à moins de 30 % et contribuent à propager les incendies en transportant des étincelles et surtout des brandons sur de grandes distances.
Le vent est l’un des principaux facteurs régissant le façonnement des dîmes et la répartition du couvert végétal en déracinant les plantes annuelles, modifiant la morphologie des végétaux et influent sur la répartition des graines lors de leur dissémination. C’est un facteur écologique de premier ordre d’après Seltzer (1946). Le vent par sa force, est un des éléments les plus caractéristiques du climat. Dans la steppe, il déplace chaque année entre 60 et 200 millions de grains de poussières dans l’air. Il soulève de 10 à 20 millions de tonnes de sables en été.
Par ailleurs, l’action du vent accélère l’évapotranspiration, accentue l’aptitude des végétaux à s’enflammer et facilite de ce fait la propagation des incendies (Quezel et Médail, 2003).

Sirocco

C’est un vent chaud et sec à pouvoir desséchant élevé par l’augmentation brutale de la température et l’abaissement de l’humidité de l’air. En Algérie, il est lié aux perturbations d’orageuse, il souffle en été, période de repos estival pour la végétation annuelle et autre. Le sirocco intervient de 15 jours environ au Nord à 22 jours au Sud. Ce courant chaud, sec, est une des causes principales de la quasi-stérilité des Hautes Plaines. Le sirocco plus fréquent à l’Est (30 j) qu’à l’Ouest 15 j/an en moyenne, souffle surtout en été, son maximum de fréquence a lieu en juillet (Hadjadj-Aoul, 1995).

Humidi t é relative

L’humidité relative se définit par le rapport de la tension de vapeur réelle observée à la tension de vapeur saturante à la même température. Dans la steppe, il est signalé que l’humidité relative moyenne commence dès la fin de l’hiver.

Evaporation

Parmi les facteurs climatiques l’évaporation joue également un rôle important pendant les mois les plus chauds généralement.

Gelées

Il est connu que les conditions orographiques locales exercent une influence sur la fréquence des gelées. D’après Seltzer (1946), il ressort que les gelées blanches sont plus fréquentes dans les hautes plaines avec 30 jours par an .Elles apparaissent généralement dès le mois de janvier et le risque des gelées commence lorsque le minimum de température tombe au dessus de 0°C, il dure tant que ce minimum reste inférieur à cette valeur.

Neige

Au dessus de 600-700 m d’altitude, la neige apparaît presque régulièrement chaque hiver où elle fond très rapidement. Ce n’est que sur les sommets au-delà de 1000 m que l’enneigement peut durer (Hadjadj, 1988).
D’après Djebaili (1984) dans les hautes plaines, la neige ne dépasse guère les 10 cm.

Synthèse bioclimatique

La synthèse bioclimatique sera établie à partir des travaux d’Emberger (1930 et 1955), Gaussen (1953) et De Martone (1926) qui nous servirons à exploiter les données météorologiques dans le but d’apprécier le climat de la région d’étude.
La synthèse bioclimatique met en évidence les différentes caractéristiques du climat qui permettent de délimiter les étages de végétation (Rivas-Martinez, 1981) et (Dahmani, 1997).
Djellouli (1983) ajoute que l’une des préoccupations des phytogéographes, climatologues, et écologues est de chercher en manipulant les données climatiques disponibles des expressions susceptibles de traduire au mieux et de façon globale la combinaison des variables climatiques influençant la vie végétale.
Une combinaison des données pluviométriques et des températures est très intéressante pour caractériser l’influence du climat de la région.
Solon le diagramme d’Emberger (Figure N° 15) il existe une différance entre les stations situes dans la zone ; ces dernières sont marquées par lus d’aridité avec un hiver rigoureux.
La lecture du climagramme pluviothermique montre que :
La station de Sidi Djilali passe de semi-aride inférieur à hiver frais à l’aride supérieur à hiver frais.
La station de Sebdou se déplace du semi-aride à hiver tempéré au semiaride à hiver frais.
La station d’EL-Aricha a subie un décalage de l’étage bioclimatique semiaride à hiver froid à l’aride à hiver frais.
Au terme de cette analyse, l’etude comparative temporelle des principaux facteurs climatiques (précipitations, températures) et les différentes analyses réalisées (diagrammes ombrothermiques, climatogrammes, etc…) sont là pour justifier les modifications climatiques opérées dans la zone d’étude (Figure N° 15).
Les pluies cumulées de la nouvelle période sont en régression par rapport à l’ancienne. Nous constatons entre autres que la zone d’étude à notre avis et à la lumière des résultats recueillis semble connaitre une nette diminution des précipitations.
Thierry (2006) constate que le déficit est planétaire.Ce même auteur ajoute que ces bouleversements du dernier demi-ciècle atteint 30% et une fluctuation importante entre des bonnes et les mauvaises sont dûes incontestablement aux activités humaines en nette progression agissant parfois différemment sur ces écosystèmes de la région.
Les stations sont situées dans l’étage aride sont ainsi caractérisées par des saisons pluvieuses allant de novembre à Mars et une sécheresse estivale qui s’étale jusqu’à 8 mois.
La région d’étude est caractérisée par l’instabilité des régimes saisonniers pour les deux périodes.

Conclusion

L’étude comparative des stations de référence pour les périodes montre une diminution des valeurs de Q2 pour notre station.
La classification des ambiances bioclimatiques en fonction de la température moyenne annuelle et de la température moyenne des minima « m » montre que notre région appartient à l’étage méso-méditerranéen.
Des études récentes sur les changements globaux ont montré que la région méditerranéenne pouvait être soumise à des variations climatiques complexes.
D’après Vêlez (De Martonne, 1926), les conditions climatiques ont été particulièrement défavorables au cours des années 80, caractérisées par des sécheresses, extrêmement graves, qui ont fortement affecté l’ensemble des pays du bassin méditerranéen, en particulier le Maroc, l’Algérie, le Portugal, l’Espagne et la France.
L’exploitation des données a mis en évidence la saison sèche qui débute généralement en mai et se prolonge à octobre. Les précipitations saisonnières montrent que globalement les saisons automnales (A) et hivernales (H) sont les plus arrosées.
Selon la classification thermique de Debrach (1959) nous avons deux types de climat à savoir le semi-continental et le continental.
Benabadji et Bouazza (2000) soulignent que les effets de l’été xérotbère sont atténués par l’humidité relative notamment lorsqu’un couvert forestier ou pré forestier existe.
Le-Houérou (1971) souligne à ce sujet que les conséquences du climat sont à l’origine de l’un des mécanismes essentiels de la dégradation de la végétation méditerranéenne en général. Face à cette évolution climatique, la réponse des végétaux ne sera évidemment pas univoque et les espèces, voire même les populations, réagiront de façon individuelle, selon Huntley (1991) trois possibilités non mutuellement exclusives doivent être envisagées:
 Une réduction du tapis végétal ;
 Une migration ou une modification de son aire de répartition;
 Une adaptation aux nouvelles conditions de milieu par une réponse

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Table des matières
DEDICACES
REMERCIEMENTS
RESUME
LISTE DES TABLEAUX
LISTE DES FIGURES
LISTE DES PHOTOS
TABLE DE MATIERES
Introduction générale
Chapitre I : Quelques travaux réalisés
I.1. Pays Méditerranéens
I. 2 Afrique du Nord
I. 3. Pays du Maghreb
I. 3.1. En Algérie en général
I. 3. 2. Région de Tlemcen en particulier
Chapitre II : Milieu physique et méthodologie
II. 1. Introduction
I I . 2 . P r é s e n t a t i o n d e l a z o n e d ’ ét u d e
I I . 2 . 1 . S i t u at i o n g é o g r ap h i q u e
II. 2. 2. Géologie et géomorphologie
II. 2.3. Géologie
II. 2.4. Géomo r p h o l o gi e
II. 2. 5. Hydrologie
II. 2. 6. Pédologie
II. 3. Méthodologie
II. 3. 3. 1. Echantillonnage
II. 3. 3. 2. Choix des stations
II. 4. Description des stations
II. 4. 1. Station 1 (Sidi Djilali)
II. 4. 2. Stat ion 2 (Aïn Sfa)
II. 4. 3. Station 3 (Barrage vert)
II. 4. 4. Station 4 (Sidi El-Mokhfi)
Chapitre III : Etude bioclimatique
III. 1. Introduction
III. 2. Méthodologie
III. 3. Facteurs climatiques
III. 3.1. Précipitations
III. 3. 1. 1. Précipitations annuelles
III. 3. 1. 2. Précipitations saisonnières
III. 3. 2. Températures
III. 3. 2.1. Températures moyennes mensuelles (M+m)
III. 3. 2. 2. Amplitude thermique, continentalité
III. 3. 3. Autres facteurs climatiques
III. 3. 3. 1. Vent
III. 3. 3. 2. Sirocco
III. 3. 3. 3. Humid i t é relative
III. 3. 3. 4. Evaporation
III. 3. 3. 5. Gelées
III. 3. 3. 6. Neige
III. 4. Synthèse bioclimatique
III. 4. 1. Diagrammes ombrothermiques de Bagnouls et Gaussen
III. 4. 2. Indice d’aridité de De Martonne
III. 4. 3. Quotient pluvio-thermique d’Emberger
III. 5. Conclusion
Chapitre IV : Etude édaphique
IV. 1. Introduction
IV. 2. Méthodes d’étude
IV. 2. 1. Au terrain
IV. 2. 2. Au laboratoire
IV. 2. 3. Analyses de sol
IV. 2. 3. 1. Analyses physiques
IV. 2. 3. 2. Analyses chimiques
IV. 2. 3. 3. Résultats et interprétations des analyses physico-chimiques du sol
IV.2. 3. 4. Analyses statistiques ACP)
IV. 3. Conclusion
Chapitre V : Approche floristique
V. 1. Introduction
V. 2. Echantillonnage
V. 3. Méthodologie
V. 3. 1. Surface de relevé
V. 3. 2. Relevés floristiques
V. 3. 3. Estimation du recouvrement
V. 4. Résultats et interprétations
V. 4. 1. Composition systématique
V. 4. 2. Caractérisation biologique
V. 4. 3. Caractérisation morphologique
V. 4. 4. Caractérisation biogéographique
V. 4. 5. Indice de perturbation
V. 5. Traitement floristique par l ‘A.F.C
V. 5. 1. Introduct ion
V. 5. 2. Méthodologie
V.5. 2.1. Codage
V.5. 2.2. Trai tement numérique
V. 5. 3. Résultats et interprétations
V. 6. Conclusion
Chapitre VI : Mesures biométriques 
VI. 1. Introduction
VI. 2. Méthdes d’étude
VI. 3. Résultats et interprétations
VI. 4. Conclusion
Conclusion générale
Références bibliographiques
ANNEXE

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