RESEAUX ET PROGRAMME DE PREVENTION ET DE PRISE EN CHARGE DE L’OBESITE INFANTILE

PREVALENCE DE L’OBESITE INFANTILE

a) Dans le monde : L’obésité infantile est une pathologie chronique grave qui a connu un essor mondial important au cours de la deuxième moitié du XXème siècle. Même si ces chiffres ne sont pas directement comparables(car reposant sur des références différentes pour définir le surpoids et l’obésité, et sur diverses valeurs limites), plusieurs études internationales ont montré une augmentation importante de sa prévalence à la fin du siècle dernier. En effet, au Royaume Uni, la prévalence de l’obésité infantile est passée de 14.7% en 1989, à 23.8% en 1998 ; en Allemagne, de 10% pour les garçons en 1975, à 16.3% en 1995, et de 11.7% chez les filles en 1975, à 20.7% en 1995 ; en Amérique du Nord, pour le surpoids, de 15% en 1963, à 22.5% en 1991, et pour l’obésité, de 5% en 1963, à 11% en 1991. (14) De manière plus générale, la prévalence du surpoids et de l’obésité, chez l’enfant et l’adolescent, a augmenté, de 1980 à 2013, dans les pays en voie de développement: le pourcentage chez les garçons est passé de 8.1 % à 12.9%, et chez les filles de 8.4% à 13.4%. (15) Mais, depuis le milieu des années 90, on note une stabilisation mondiale de la prévalence de l’obésité. En effet, une étude réalisée dans plusieurs pays développés (Australie, Chine, Angleterre, France, Pays-Bas, Nouvelle-Zélande, Suède, Suisse et Etats-Unis), a montré une très faible variation de la prévalence du surpoids et de l’obésité chez des enfants de 2 à 19 ans. Le taux de variation moyen, non pondéré, de la prévalence du surpoids et de l’obésité, était de 0.49% par an, dans tous les groupes sexuels et tous les pays, entre 1995 et 2008. (16) Il en est de même aux Etats-Unis où cette prévalence a baissé significativement, passant de 13.9% en 2003/04, à 8.4% en 2011/12 chez des enfants plus jeunes, de 2 à 5ans. (17) Malgré cette stabilisation, la prévalence de l’obésité infantile reste relativement élevée, ce qui en fait un réel problème de santé publique. De manière générale, on rapporte, dans les pays développés, en 2013, chez les enfants de moins de 20 ans, 23.8% de garçons et 22.6% de filles, en surpoids ou obèses. (15) D’après l’OMS, si la tendance actuelle se poursuit, le nombre de jeunes enfants et de nourrissons en surpoids ou en obésité atteindra environ les 70 millions d’ici les années 2025.
b) En France Métropolitaine : La France, comme tous les autres pays développés, a, elle aussi, connu son augmentation du taux de prévalence de l’obésité infantile. Entre 1996 et 2001, le taux de surpoids (obésité comprise), est passé de 11.5% à 15.2%, chez les enfants de 6 à 15 ans. (5) L’on note, par la suite, une tendance à la stabilisation, voire une diminution, du taux de prévalence du surpoids et de l’obésité infantile. Les archives de Pédiatrie rapportent les pourcentages ci-dessous (selon les références de l’IOTF) :
 Pour les enfants de grande section de maternelle : en 1999 2000, 14.4% des enfants présentaient un surpoids, dont 4% d’obésité; en 2005-2006, ce taux était respectivement de 12.2% et de 3.1%
 Pour les enfants de 7-9 ans (CE1, CE2) : en 2000, 18.1% d’entre eux étaient en surpoids, dont 3.8% d’obésité, contre respectivement, 18.4% et 3.8% en 2007
 Pour les enfants scolarisés en 3ème : en 2000-2001, on notait 15.7% de surpoids, dont 3.3% d’obésité, et en 2008-2009, ces valeurs étaient respectivement de 17.6% et 3.9%
A Bordeaux, les chiffres de l’obésité ont connu une nette diminution entre les années 2004 à 2011. En 2004, le surpoids représentait 8.9% des enfants de 5-6 ans, dont 2.8% d’obésité. En 2011 ces valeurs étaient de 5.2% et 1.4%. (20) Dans la Haute Garonne, chez les enfants de 3 à 4 ans, dans les années 2007-2008 et 2008-2009, le taux de surpoids (obésité comprise), était de 8.4%, dont seulement 1.8% d’obésité en 2007-2008, et 1.6% en 2008-2009. (21) A l’heure d’aujourd’hui, en France métropolitaine, 12 à 15% des enfants seraient en surpoids et 3.5% obèses. (22) Des structures sont alors mises en place pour pallier cette obésité. (PNNS, Réseau de prévention et de prise en charge de l’obésité pédiatrique (RePPOP)…)
c) Dans les territoires ultra-marins : Les taux d’obésité infantile sont majoritairement plus importants qu’en France métropolitaine. Ile de la Réunion : Différentes études de la direction régionale des affaires sanitaires et sociales (DRASS), montrent les chiffres suivants:
 En 1999-2000, 16% des enfants de 5 à 6 ans présentaient un surpoids (obésité comprise), contre 18% en France métropolitaine
 En 2000, 13% des enfants de 4-5 ans étaient en surpoids (obésité comprise)
 En 2003-2004, 19 % des enfants de 14-15 ans présentaient un surpoids, contre 17% en France métropolitaine
 En 2004-2005 :
– chez les enfants de 9-10 ans, ces valeurs étaient de 26% contre 20% en France métropolitaine
– chez les enfants de 10-11 ans, 26.2.% d’entre eux présentaient un surpoids (dont 8.7% d’obésité), contre 19.7% en France métropolitaine (dont 3.7% d’obésité) Publiée en 2012, cette étude rapporte, selon les références IOTF, chez les enfants de 2 à 18 ans :
 Guadeloupe : 15.4% de surpoids, dont 7.2% d’obésité
 Guyane : 13.2 % de surpoids, dont 7.7% d’obésité
 Martinique : 17% de surpoids, dont 7.7% d’obésité
 Polynésie Française : 17.2% de surpoids, dont 15.9 % d’obésité (Figure 5)
En règle générale, il existait un plus fort taux d’obésité, surpoids exclu, chez les filles, âgées de 5 à 9 ans, par rapport à celles de 10 à 14 ans, excepté en Martinique, où le pourcentage est plus élevé chez celles de 10 à 14 ans avec 4.1% contre 2.7% chez les plus jeunes. (27)
d) En Martinique : Avec l’étude PODIUM suscitée, seule une autre étude de prévalence, l’enquête ESCAL en 2003, a été réalisée en Martinique, bien que l’obésité soit une préoccupation importante dans le territoire. Réalisée par les services de santé scolaire du rectorat et du contrôle médical de l’assurance maladie, elle fait état de la prévalence de l’obésité chez les enfants de 5 à 6 ans, scolarisés en grande section de maternelle. En 2003, 13.18% des enfants de 5 à 6 ans étaient en surpoids, dont 5.41% d’obésité. L’obésité infantile en Martinique avait été inscrite au programme de la conférence régionale de santé, en 2002, comme priorité de la santé publique (la même année, l’hôpital de jour de la Valériane pour la prise en charge de l’obésité, voyait le jour). Si par le monde, la prévalence de l’obésité tend à se stabiliser, voire amorcer une inflexion, au début du XXIème siècle, qu’en est il de la Martinique ?

Prise en charge diététique

La prise en charge diététique touche différents tableaux :
 Le choix des aliments (qualité, quantité)
 La fréquence des prises alimentaires (repas /collations/ grignotage)
 Le contexte, la durée de la prise alimentaire (maison, cantine, seul ou en famille)
 Les perceptions liées à la faim, à la satiété, à l’envie et au plaisir procuré par l’alimentation
En premier lieu, il faudra faire le point sur l’alimentation de l’enfant et de sa famille afin d’explorer leurs habitudes alimentaires, d’en repérer les « mauvaises » et de les modifier. Ces modifications seront mises en place de concert avec l’enfant et son entourage, en tenant compte de leur mode de vie, de leurs goûts et de leur situation sociale et culturel le. Il est important que le changement de pratiques alimentaires concerne toute la famille et pas seulement l’enfant obèse, car celui-ci, pouvant déjà faire l’objet de moqueries par ses camarades, est davantage sensible à un sentiment d’exclusion, d’injustice. (68) Déceler les « mauvaises habitudes alimentaires » c’est :
 Repérer les grignotages et de trop nombreux « goûters ». Par exemple, depuis 2003, le comité de nutrition de la société française de pédiatrie développe le côté néfaste de la collation des enfants à 10h (69)
 Repérer les erreurs caloriques, comme la prise de liquides sucrés : sodas, jus de fruits industriels, dont la consommation est en nette augmentation depuis une vingtaine d’années, en particulier aux Etats-Unis. La Grande Bretagne a connu une stabilisation de son taux d’obésité infantile par le simple fait d’avoir diminué la consommation en soda et la teneur énergétique des jus de fruits vendus en commerce (70)
La prise en charge nutritionnelle repose aussi sur l’éducation à des habitudes alimentaires correctes. Les recommandations du deuxième PNNS, pour tous les enfants et les adolescents, établissent les règles d’une bonne hygiène alimentaire à adopter. En voici les grandes lignes:
 Au moins 5 fruits et légumes par jour, sous toutes leurs formes (pas de jus de fruits industriels), en alternant fruits et légumes
 Des féculents à chaque repas et en fonction de l’appétit de l’enfant. Ils permettent d’éviter les « fringales » et donc le grignotage
 3 ou 4 produits laitiers par jour(de préférence lait demi-écrémé, même apport en calcium pour moins de matières grasses) : pour l’apport de calcium (croissance et solidité des os), de protéines (solidité des os et des muscles), vitamine D (permet l’utilisation du calcium)
 Viande, œuf, poisson : 1 à 2 fois par jour, en alternant
 Modérer et varier les matières grasses
 Limiter les produits sucrés
 Limiter la consommation de sel
 Consommer de l’eau sans modération, pendant et entre les repas
 Faire du petit déjeuner un repas royal
 Ne prendre qu’un seul goûter dans la journée
Comme énoncé précédemment, pour une bonne évolution du surpoids ou de l’obésité, il est nécessaire d’obtenir des changements durables quant aux habitudes alimentaires. Pour cela, le soignant intervenant devra veiller à :
 Soutenir et renforcer les parents dans leur rôle éducatif : éviter les aliments récompense/réconfort, savoir dire « non », adopter un style éducatif cadrant : ni trop permissif, ni trop autoritaire, ni négligent
 S’assurer que le comportement des parents, du reste de la famille (grands-parents, fratrie) et des autres personnes responsables de l’enfant, soit cohérent avec les objectifs de la prise en charge (achats, contenu des placards et réfrigérateur, quantités préparées…)
 Préserver l’enfant de toute forme de stigmatisation, et s’assurer de l’harmonisation effective des pratiques dans l’entourage. L’enfant, ou l’adolescent, ne doit pas se trouver mis à l’écart (menu différent, contrainte à manger plus de fruits et légumes…)
Et dans tout cela, quelle est la place du régime alimentaire chez l’enfant ou l’adolescent ? Les régimes alimentaires restrictifs, quels qu’ils soient (hypocalorique, hyperprotidique), ne sont indiqués que dans de rares cas, et doivent faire l’objet d’une prise en charge spécialisée. Les conséquences d’un tel régime, sur un enfant ou un adolescent, peuvent être néfastes. Ils peuvent provoquer un ralentissement de la croissance staturo-pondérale et du développement pubertaire. Il existe également, chez les filles, des risques d’aménorrhée primaire et secondaire, par diminution trop importante de graisses et donc, non production hormonale. Ils peuvent provoquer des tendinites, des déminéralisations osseuses, et des carences martiales par insuffisance d’apport, surtout chez l’enfant sportif. Par manque d’apport, les régimes entrainent un affaiblissement, plus important encore chez un enfant en pleine croissance. Un autre problème survient à l’arrêt du régime. En effet, 80 % des sujets ayant fait un régime connaissent une prise de poids importante, un an et demi après l’arrêt du régime. Ceci s’explique par le fait que le régime entraîne une perte de masse maigre, et donc une diminution du métabolisme de base. Lors de la reprise d’une alimentation normale, les apports énergétiques seront plus importants mais la dépense énergétique de base aura diminué. (71) Le versant restrictif d’un régime chez un enfant, déjà blessé par son obésité, peut engendrer des troubles psychologiques,tels que des TCA, avec des épisodes d’hyperphagies compensatrices, ainsi qu’un phénomène de restriction cognitive (préoccupations excessives à l’égard du poids, conduisant l’enfant à contrôler son alimentation dans le but de maigrir ou de ne pas grossir). Cette phase d’inhibition volontaire de la pulsion à manger, peut favoriser une phase de désinhibition (perte de contrôle avec phase d’hyperphagie compensatrice). (9) Si nécessaire, la famille peut être adressée à un diététicien, qui devra être spécialisé, ou formé, aux TCA et à l’obésité de l’enfant. En conclusion, la place de l’alimentation, dans la prise en charge de l’obésité d’un enfant, est importante. Mais si elle a,seule, un certain impact positif sur la santé de l’individu, elle ne permet pas une diminution significative de l’IMC, surtout s’il existe une obésité. Aussi l’hygiène alimentaire doit être couplée à l’activité physique pour que l’on obtienne un effet significatif sur la diminution de la masse corporelle.

Les réseaux de prévention et de prise en charge de l’obésité  pédiatrique (RéPPOP)

    Ils ont été mis en place en 2003. Pour la majeure partie, ils sont financés par l’état et l’assurance maladie, par le biais des fonds d’intervention pour la qualité et la coordination des soins(FIQS). Le fonctionnement du réseau, permet à plusieurs professionnels de santé, majoritairement libéraux, de travailler ensemble auprès d’enfants en surpoids, ou obèses, et de leur famille. Cette démarche pluridisciplinaire de soins s’inscrit dans un suivi régulier, prolongé et idéalement de proximité. Pour les professionnels de santé, c’est une aide concrète dans la prise en charge de leurs patients. Elle apporte une organisation lisible et coordonnée des soins. Pour les familles et les enfants, ce réseau leur permet une prévention coordonnée et un dépistage précoce, grâce aux partenariats avec les professionnels de la petite enfance, lesinfirmiers scolaires et de PMI, les professionnels du monde sportif, de l’éducation et de la prévention. Cela leur permet également d’avoir accès à des consultations gratuites de psychologues et de diététiciennes, des journées d’éducation thérapeutique,souvent en milieu hospitalier, des activités physiques adaptées, et parfois, de profiter d’un soutien téléphonique. Depuis 2006, les RéPPOP sont réunis au sein d’une coordination nationale (CN-RéPPOP). Ils sont fédérés par une charte et ont un mode de fonctionnement, et des outils, communs. Cependant, chaque RéPPOP conserve certaines particularités liées à sa région. Au 1er septembre 2011, il existe 10 RéPPOP en France métropolitaine et en outre-mer:
 RéPPOP Ile de France
 RéPPOP 69 (département du Rhône)
 RéPPOP Toulous Midi-Pyrénées
 RéPPOP Franche Comté
 RéPPOP Aquitaine
 RéPPOP DONC (Cherbourg)
 Preo RéPPOP (Annonay)
 RéPPOP HN (Mont-Saint-Aignan)
 RéPPOM Martinique Lamentin
 RéPPOP 38 (département de l’Isère)
Le RéPPOM n’a malheureusement duré que deux ans en moyenne.

CONCLUSION

    La prévalence de surpoids (obésité incluse), chez les enfants de 4 à 6 ans en Martinique,sur l’année scolaire 2015-2016, était de 12.08%, dont 7.07% de surpoids et 5.01% d’obésité,selon les courbes de corpulence du PNNS couplées aux valeurs IOTF. L’éducation monoparentale est un facteur favorisant la survenue d’une obésité au cours de l’enfance. Depuis 2003, le pourcentage d’enfants en surpoids et obèses a donc diminué sur notre territoire , avec un surpoids qui passe de 13.2% à 7.07%, et de 5.4% à 5.01% pour l’obésité. Concernant cette dernière, on parlerait davantage de stabilisation des chiffres. La Martinique suit donc la tendance internationale, qui est à la baisse, concernant la prévalence de l’obésité infantile. L’obésité infantile est une pathologie dont les conséquences au cours de la croissance et à l’âge adulte peuvent être dangereuses pour la santé. Certes, sa prévalence connait une stabilisation, voire une diminution en Martinique et dans le reste du monde, mais les chiffres restent importants. Il est nécessaire de poursuivre les démarches de prévention auprès des familles, dans les écoles, dans le secteur privé, débutées par les autorités sanitaires depuis quelques années et inciter les médecins à accentuer leurdiscours de prévention et à adopter une prise en charge adaptée afin que cette tendance à la stabilisation de l’obésité se poursuive. Et qui sait, il pourrait être possible, un jour, de la voire quasiment disparaître. Il serait intéressant d’évaluer la prise en charge médicale et extra médicale faite sur le territoire, et si nécessaire, de l’améliorer afin de réduire au maximum le pourcentage d’obésité infantile.

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Table des matières

A) PREMIERE PARTIE
I) CONTEXTE
1) PROBLEMATIQUE DU TRAVAIL
2) OBJECTIFS DU TRAVAIL
II) GENERALITES SUR L’OBESITE
1) DEFINITIONS
a) Surpoids et obésité infantile
b) Rebond d’adiposité
2) PREVALENCE DE L’OBESITE INFANTILE
a) Dans le monde
b) En France Métropolitaine
c) Dans les territoires ultra-marins
d) En Martinique
3) ETIOLOGIES DE L’OBESITE INFANTILE
a) Obésité comportementale et sociétale
b) Obésité endocrinienne
c) Obésité génétique
4) FACTEURS DE RISQUES DE L’OBESITE INFANTILE
a) Facteurs environnementaux et socio-culturels
b) Facteurs génétiques et biologiques
c) Facteurs psychopathologiques
5) COMPLICATIONS DE L’OBESITE INFANTILE
a) Complications cardio-vasculaires
b) Complications métaboliques
c) Complications neurologiques
d) Complications digestives
e) Complications respiratoires
f) Complications orthopédiques
g) Conséquences sur la puberté
h) Complications psychiatriques, psychologiques et sociales
6) PRISE EN CHARGE
a) Prévention
b) Dépistage
c) Prise en charge et première approche, une fois l’obésité dépistée
d) Prise en charge pratique pluridisciplinaire
7) RESEAUX ET PROGRAMME DE PREVENTION ET DE PRISE EN CHARGE DE L’OBESITE INFANTILE
a) Les réseaux de prévention et de prise en charge de l’obésité pédiatrique (RéPPOP)
b) EPODE : « Ensemble prévenons l’obésité des enfants »
c) Programme National de Nutrition Santé
B) DEUXIEME PARTIE
I) MATERIELS ET METHODES
1) SCHEMA D’ETUDE
2) POPULATION
3) LIEU D’ETUDES
4) VARIABLES ET DEFINITION
5) RECUEIL DES DONNEES
6) METHODES STATISTIQUES
II) RESULTATS
1) TOTAL D’ENFANTS INCLUS
2) VILLES OU CIRCONSCRIPTIONS ETUDIEES
3) SEXE
4) AGE
5) LES AUTRES FACTEURS, TOUTES CIRCONSCRIPTIONS MELEES
a) Terme de la naissance
b) Situation familiale
c) Troubles du développement
d) Poids de naissance
e) Diabète
6) LES AUTRES FACTEURS EN FONCTION DES CIRCONSCRIPTIONS
a) Terme de la naissance
b) Situation familiale
c) Troubles du développement
d) Poids de naissance
e) Diabète
1) IMC ET PREVALENCE DE L’OBESITE
a) Evaluation de l’IMC de la population incluse
b) Prévalence du surpoids et de l’obésité
2) SURPOIDS ET OBESITE EN FONCTION DE L’AGE ET DU SEXE
a) Répartition par âge
b) Répartition par sexe
3) ETUDE DE POTENTIELS FACTEURS FAVORISANT LE SURPOIDS ET/OU L’OBESITE
a) Distribution d’un IMC élevé selon la naissance à terme ou prématurée
b) Distribution d’un IMC élevé selon un mode de vie mono ou biparental
c) Distribution d’un IMC élevé selon les études supérieures des parents
d) Distribution d’un IMC élevé selon les antécédents familiaux de diabète
e) Distribution d’un IMC élevé selon la présence d’un retard psychomoteur
f) Distribution d’un IMC élevé selon la présence d’un retard de langage
g) Distribution d’un IMC élevé selon le poids de naissance
III) DISCUSSIONS
1) ANALYSE DES RESULTATS
a) Effectif global
b) Analyse de la prévalence
c) Analyses des facteurs favorisants en fonction de l’obésité
2) FORCES ET FAIBLESSES DU TRAVAIL
a) Les forces de cette étude
b) Les faiblesses et limites de l’étude
c) Quelles ouvertures ?
IV) CONCLUSION

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