Réinvention du territoire stéphanois par ces toits

Histoire

Pour mieux comprendre le contexte, les particularités et des enjeux du territoire, nous allons tout d’abord regarder l’histoire de la ville, son évolution au fil des années, sa population et ses mutations. Dans cette partie nous allons brièvement parler de l’histoire de la ville de Saint-Etienne, baisse de sa population les dernières décennies et le déclin économique. Nous ferons ensuite le regard sur les actions d’amélioration de la situation de la ville. Nous regarderons aussi les actions de l’EPASE pour le renouvellement de la ville et l’amélioration de son image.

Saint-Etienne, ville de paradoxes

En différence d’autres villes françaises, Saint-Etienne n’a aucune présence romaine ou galloise, et encore moins grecque. Seuls les environs de la ville présentent des traces anciennes. Donc, entre X et XVème siècle, ce n’était qu’un bourg féodal. Qu’après XVème siècle la ville commencera à développer son économie. Au milieu de XVème siècle la route de Lyon au Puy traverse la ville, qui crée des conditions favorables pour le développement de la ville.
La ville se développe ensuite autour de la rivière Furan qui est aujourd’hui sous la ville et autour de la route de Lyon à Toulouse qui perse la ville de Nord au Sud. L’économie (l’industrie et la production) de la ville se spécialise autour la métallurgie, le charbon, la pierre et, depuis XVI siècle, le tissage de ruban. A la fin du XVIII siècle, la ville de la taille non négligeable, est en prospérité liée à cette l’activité économique. C’est cette activité qui porte la croissance de la ville, et non le charbon, dont l’exploitation est fortement présente autour de la ville, vallée du Gier notamment. Il est remarquable que l’exploitation de pierre ait une place importante dans l’économie de la commune. Les carrières de pierre sont utilisées pour extraire la pierre de construction mais aussi pour la production des meule s pour émoudre les canons des fusils.
Pendant ces jours, il commence à se développer le savoir-faire de tailler la pierre non seulement pour la construction mais aussi pour sculpter.
Dans XVème siècle la ville compte que 1500 habitants, néanmoins elle fait déjà l’objet de croissance remarquable. Cela lui permet d’avoir de plus en plus d’indépendance de Lyon, et devenir plus remarquable sur la scène nationale. Saint-Etienne commence à s’agrandir vers l’Est et l’Ouest autour de l’ancien cœur de ville avec les quartiers comme Crêt-de-Roch, Tarentaize et autres. Avec cette croissance, la ville comptant 10 000 habitants en XVI et 25 000 en XVIIème siècles, comptait 56 000 habitants vers la moitié de XIX siècle, avec un territoire de 256 hectares seulement.
A cause des contraintes foncières avec l’église, la ville ne pouvant pas s’éteindre, se densifie et se restructure sur elle-même. Pendant ce période la ville n’avait pas de gestion d’urbanisation ou une administration qui pouvait gérer ce processus. Elle avait toutes les caractéristiques de la ville, mais n’avait pas de système de bonne organisation. En deuxième moitié de XVIIIème siècle, la ville se trouve étouffée par elle-même en manque d’espace et d’hygiène. Après la révolution, l’administration de la ville fait un appel aux architectes italiens ( Pierre-Antoine et JeanMichel Dalgabio) pour leur confier la mission de réorganisation et création de système urbain de la ville.
A partir de l’an 1855 que les communes périphériques de Saint Etienne vont s’annexer à la ville. Pendant ces années, la ville se développe autour de l’axe Nord -Sud selon le plan en damier (plan hippodamien). La ville se construit avec un e vitesse remarquable, à cette époque la population est en peu moins de 100 000 habitants. Mais la dichotomie entre deux parties de la ville se voit encore : la partie ancienne avec le plan des rues chaotique et les quartiers limitrophes avec un système de s rues parallèles et perpendiculaires. Cela s’explique exhaustivement par le fait, que la ville s’est construit de toute pièce.
La veille de Première Guerre mondiale, la population de Saint Etienne comptait 150 000 habitants, la ville continuait de s’agrandir et de s’étaler. Néanmoins, elle était connue pour le manque du logement digne, car les logements étaient déjà surpeuplés et insalubres. Cela était causé par l’indifférence du peuple stéphanois à la vie politique et la gestion de la ville. Les ouvriers partaient habiter la périphérie, qui avait du mal à se construire correctement aussi. Donc, la ville se trouvait en manque de l’espace et de système pensé de gestion urbain. Cela a causé l’apparition de l’image de « la ville grise » de Saint – Etienne. La population ne cessait qu’augmenter et cela aggravait la situation, car la ville ne trouvait pas de moyens de la résoudre. La situation s’est aggravée encore plus après la Deuxième Guerre mondiale. Malgré la nécessité de se reconstruire, la ville comptant en an 1968 223 000 habitants, était en manque douloureuse de l’espace.

L’évolution démographique en parallèle avec le changement de la situation foncière

La ville de Saint – Etienne est un bel exemple du développement urbain à l’époque industrielle grâce à l’emplacement favorable et la présence des ressources naturelles. Le fleurissement de l’économie de ce territoire connu à ‘époque était assuré par l’industrie de métallurgie, arme, exploitation minière et fabrication du tissu. Mais après la Deuxième Guerre mondiale, les industries présentant à l’époque le locomotif de l’essor de l’économie du territoire, ont devenus la raison de la chute économique. A cause de cela la ville subit une baisse importante de population. En vingt ans, entre 1968 et 2008, la ville a perdu presque 50 000 habitants (plus de 20 % de sa population).
Aujourd’hui les chiffres montrent que malgré la stagnation de la population de la ville, celle de l’agglomération reste peu changée, donc environ 400 000 habitants. Nous pouvons constater que la population de la ville-centre stagne à cause de l’immigration vers le périurbain. Les ménages ayant les moyens cherchent un confort d’habitation qui est peu présent en ville : grand extérieur privé, places de stationnement, etc. Le fait que le cout du foncier à Saint-Etienne est moins élevé que dans les autres grandes villes de France (figurek4), contribue à ce processus. Les ménages ayant les moyens préfèren t vivre en périurbain qu’en ville, parce qu’ils peuvent avoir des produits immobiliers de grand qualité en péri-urbain en même prix que les logements en ville avec moins d’avantages.
Le processus fortement présent aujourd’hui en ville est celui de départ de couches aisées de population en périphérie qui renforce l’augmentation du niveau de pauvreté et d’inégalité en ville. Il (ce processus) renforce aussi la dégradation du bâti ancien. Les ménages modestes qui habitent en ville n’ont pas de moyens ni de partir en périphérie, ni d’entretenir leurs bâtiments d’habitation. Nous nous retrouvons avec un cercle vicieux : les appartements dans ces immeubles coutent de moins en moins cher qu’en loyer qu’à l’achat, ce qui attire les populations modestes venir habiter en ville et ce qui fait partir les ménages plus aisés cherchant surtout la qualité de l’habitat et de leur environnement. Donc la ville se retrouve avec un parc ancien dégradé et délaissé et avec les populations financièrement fragiles ne pouvant pas aborder les couts d’entretien et de réparation / restauration devenant de plus en plus importants.
Nous observons cette situation dans plusieurs quartiers en centre-ville : quartier Jacquard, Chappe – Ferdinand, Saint – Roch et autres. Les bâtiments en monopropriété ou en copropriété rencontrent les mêmes problèmes : les travaux de réhabilitation conséquents, et, souvent, la nécessité d’avoir un architecte pour pouvoir inscrire les travaux dans le cadre de l’AVAP (ancien ZPPAUP) et pour pouvoir bien coordonner le travail des intervenants ce qui augmente le cout global à 10% environ. Ces quartiers sont importants pour la ville car ils présentent une grande partie du patrimoine dans leur parc de l’immobilier.

Saint-Etienne – la ville fière de son histoire industrielle

La ville de Saint – Etienne est riche en son patrimoine avec son propre style architectural. Les bâtiments typiques stéphanois ne relèvent pas ni de caractère architectural exceptionnel (comme à Lyon, Paris, Toulouse, etc.), ni de traces historique profondes : la plus grande partie de la ville était construite après 1800 : « Saint – Etienne est la ville des machines, des fumées, des rue toutes semblables les unes aux autres, aux monuments inexistants où l’on peut prendre l’hôpital pour la prison et l’hôtel de ville pour l’un ou l’autre ou les deux à la fois, où on ne voit rien qui n’ait un ca ractère laborieux. » (DORNA, 1970) Néanmoins, il existe une partie de bâti en ville de l’époque médiévale ou de renaissance. Ces immeubles ont comme des traits typiques des décors sculptés et des parements en pierre. Saint-Etienne a pris conscience de l’enjeu très important de la mise en valeur de son patrimoine architecturale et industriel et l’importance d’en tirer une fierté et le réconfort. Suite à cela plusieurs actions ont été mises en place : l’entretien et la muséification des lieux, réhabilitation des bâtiments remarquables et la mise en valeur du patrimoine industriel. Le dernier point a une haute importance car la ville est riche en friches industrielles présentes partout en ville. Les lieux comme Musée de mine, ancienne manufacture d’armes en cours de reconversion ont été mises en valeur par leur ouverture au grand public. L’EPASE est à l’appui dans cette démarche. L’une des opérations remarquables de restauration immobilière est celle de Conditions de soies. Construit en 1910, ce bâtiment se trouvant en centre-ville était désaffecté pendant 10 ans. La démarche administrative et règlementaire était assurée par l’EPA dans le cadre de l’Opération de restauration immobilière arrêté par le préfet le 16 décembre 2010. Les travaux et la commercialisation ont été effectués par Créquy, et le bâtiment est devenu le premier Monument historique de France à être réhabilité en Bâtiment Basse Consommation (BBC).
Mais ce n’est qu’une opération parmi plusieurs projets incluant la réhabilitation des anciens bâtiments ou/et leur mise en valeur. Le grand projet Manufacture – Plaine Achille, le projet dans le quartier Jacquard sont les projets dans lesquelles les actions de valorisation de patrimoine s’articulent avec l’insertion des nouveaux éléments afin d’augmenter l’attractivité et de mettre en valeur le patrimoine architecturale et industriel de la ville.
Un moment important dans la vie de la ville est la prise de décision de relancer son développement économique malgré le départ des grandes industries et le déclin économique. La création des conditions favorables pour les Petites et Moyennes Entreprises (PME) et Industries (PMI) en plus de l’appui du groupe Casino ont permis à Saint – Etienne de conforter le processus de redynamisation de son économie. Il est évident que tous ces actions et changements ont été possibles grâce à la définition de stratégie du renouvellement urbain et économique de la ville comme priorité politique municipale, régionale et nationale. Suite à la création de l’EPA en 2007, ces stratégies ont été inscrites dans les axes d’action de l’établissement.
L’EPASE mène aujourd’hui une action de reconquête de l’attractivité économique et résidentielle du territoire à travers ses cinq grands projets : Jacquard, Châteaucreux, Pont de l’Ane – Monthieu, Manufacture Plaine Achille, et Saint – Roch (fig. 9). Tout d’abord cesprojets intègrent la création de l’emploi à travers les conditions favorables pour les PME et PMI, et la construction des nouveaux bureaux, commerces et le grand projet de construction d’un grand centre commercial. Ensuite, le volet important est celui de la restauration immobilière qui vise à traiter les immeubles de logements les plus dégradés pour à la fois améliorer leur état et proposer des logements de haute qualité, mais aussi d’encourager les propriétaires de faire les travaux et accélérer le processus du changement de l’image du quartier. Finalement, pour mieux conjuguer ces actions, l’EPA aménage des espaces publics (rue Praire, Jardin Gachet, place Jacquard, passerelle Ferdinand, etc.), construit des nouveaux logements et des équipements publics.
L’ensemble des actions semble de donner des premiers résultats : la commercialisation des immeubles récemment réhabilités ne semble plus d’être une démarche infructueuse. Les travaux de réhabilitation de quatre logements récemment commencés dans un petit immeuble au 40, rue Benoit Malon à Saint – Etienne vont se terminer en septembre 2016 et l’EPA a déjà des demandes pour la location. De plus, l’établissement vend des locaux aux restaurateurs ou des médecins, aux commerçants. La vente récente des terres à bâtir dans la ZAC de Châteaucreux montre bien l’intérêt des promoteurs d’investir à Saint-Etienne.
Le détail intéressant sur l’opération au 40, rue Benoît Malon est l’appartement au dernier étage. Se trouvant sous combles, avec deux niveaux de plancher, ce logement possède une terrasse tropézienne offrant une vue exceptionnelle sur la ville. L’utilisation raisonnable d’espace conçu par l’architecte ainsi que la possibilité de profiter du coté son emplacement sous les toits font de ce logement une véritable perle. Mais ce choix n’était pas fait au hasard. En effet, aujourd’hui, grâce à l’assouplissement des règles, les services d’urbanisme facilitent la création des terrasses tropéziennes dans les zones centrales de la ville. L’EPA, comme un acteur du logement sur le territoire , essaye au mieux adapté son offre de logement à la demande existante sur le marché.
Les services de la ville nous confirment que les demandes d’autorisation pour ce type d’aménagements dans les combles sous les toits en centre-ville ont apparus depuis les années 2000. Depuis, le nombre ne cesse qu’augmenter. Ce type d’ouverture sur les toits n’est pas typique pour la région, nous le retrouvons plutôt dans les régions au sud du pays, d’où le nom « terrasse – tropézienne ».
En raison de forte demande des propriétaires, les services de la ville et l’ABF décident d’assouplir la règlementation sur les terrasses tropéziennes en ville, surtout dans la ZPPAUP. Commencée en 2004 cette démarche à la rencontre des demandeurs sorte aujourd’hui comme un outil possible d’augmentation d’attractivité résidentielle du cœur de ville.

Quelle est la réglementation concernant des terrasses de toits dans les villes françaises ?

Pour étudier des exemples sur la réglementation concernant des terrasses de toits nous avons choisi deux villes proches à Saint-Etienne par leur taille et la population. Nous allons étudier l’AVAP Grenoble et le PSMV Aix-en-Provence surtout les règles à respecter dans le cas de demande d’autorisation de création d’une terrasse tropézienne en centre ville.
La ville de Grenoble comptant 160 215 habitants (2013), possède de l’Aire de Valorisation de l’Architecture et du Patrimoine qui couvre une grande partie de la ville. La réglementation de l’AVAP de Grenoble liste très précisément les matériaux des toitures du périmètre ainsi que leur typologie et l’époque de construction. Par exemple, les toitures de l’époque de Moyen Age sont exécutées en tuile terre cuite de couleur rouge vieilli. L’autre typologie des toitures est celle de l’époque haussmannienne. Les toitures de ce bâti sont de couleur gris sombre en ardoise ou en zinc.
La ville de Grenoble est riche en patrimoine architecturale de XXe siècle, les toitures de ce type de constructions sont souvent plates. Les toitures terrasses sont uniquement autorisées dans les parties de la ville avec l’architecture de ce période. En termes d’aménagement de ces toitures le document entre en cohérence avec la stratégie globale de la ville, c’est-à-dire, il encourage leur végétalisation. Ce type d’aménagement est perçu comme un moyen « d’atténuer les fortes chaleurs estivales et assurer une meilleure régulation des eaux de pluie » (Ville de Grenoble, 2014).

La réglementation sur les terrasses tropéziennes à SaintEtienne

Dans toutes les villes françaises de la taille importante, le patrimoine architectural bâti est protégé par les Aires de Valorisation de l’Architecture et du Patrimoine – AVAP (ancien ZPPAUP) ou des PSMV. Ces aires sont installées dans les zones des villes où le patrimoine présent un intérêt esthétique, urbain et architectural. Saint-Etienne en fait partie. La ville contient plusieurs AVAP couvrant une grande partie de la ville. Dans les années 2000 la ville se déclare ville d’Art et d’Histoire pour son patrimoine du XIX et du XX siècle. Les deux premières Zones de Protection du Patrimoine Architectural Urbain et Paysager (ZPPAUP) vont être instaurées en 2004 sur les quartiers anciens du Crêt de Roc et de Beaubrun – Tarentaize. Et en 2010 vont être validées les ZPPAUP du centre-ville (Centre Sud et Centre Nord).

Faire une terrasse tropézienne sur le territoire stéphanois : démarche administrative

Après la définition du projet d’aménagement de la terrasse de toit et avant l’engagement des travaux, il faut procéder à une démarche administrative. Précédemment, nous avons vu que dans plusieurs villes françaises les contraintes patrimoniales peuvent empêcher ou limiter la réalisation du projet sur les toits. Donc, quelle est la démarche administrative à suivre pour obtenir les autorisations et pouvoir engager les travaux ? Nous allons aussi étudier le cas de l’immeuble faisant objet d’un futur projet d’aménagement d’une terrasse tropézienne au dernier étage se situe en zone de l’AVAP.

Conclusion

Saint-Etienne subit encore aujourd’hui les conséquences importantes du déclin économique de fin d’ère industrielle : les industries qui étaient en cause de développement de la ville, ont été la cause de la perte de sa population. Le gouvernement de la ville a mis en place plusieurs outils d’amélioration de la situation et de réinvention du territoire. Malgré un exode résidentiel vers le péri-urbain important, la ville se batte pour ses habitants.
La tendance d’aménager des terrasses tropéziennes en centre-ville semble d’être l’une des réponses possibles à la campagne et nombreux ménages en font preuve. Les stéphanois préfèrent de plus en plus avoir un extérieur privé en ville et profiter des avantages de la ville que de résider le péri-urbain. Cela créer une nouvelle valeur immobilière et attire les ménages de la classe moyenne habiter la ville.
Ce type des aménagements permet aussi de penser une nouvelle offre de logement urbain. L’EPA de Saint-Etienne commence déjà d’intégrer les terrasses tropéziennes dans les projets de réhabilitation des immeubles dégradés pour au mieux répondre à la demande.
Les particuliers réalisent eux même les travaux dans les combles en ville pour adapter leur logement aux leurs souhaits personnel et de « personnaliser » leurs appartements. Donc, avec l’assouplissement des règles administratives, la ville obtient non seulement l’augmentation quantitative de logements en ville, mais aussi qualitative.
Le fait de faciliter l’obtention des autorisations des travaux pour les ouvertures des toits permet aussi de contribuer à l’amélioration de l’image de la ville et d’attirer des nouvelles populations. A Saint – Etienne, la recherche d’augmentation d’attractivité du centre ancien a comme but de permettre la mixité sociale et culturelle, d’apporter une réponse à la question importante de vivre la ville ensemble. L’aménagement des terrasses de toit est un outilintéressant pour cela, mais est-il possible d’éviter que l’augmentation de qualité de logements et des logements offrant l’extérieur privé, par l’augmentation du prix du foncier déclenche un départ des populations modestes du centre-ancien ? Les nouveaux habitants sont-ils prêts de « vivre ensemble » et d’avoir les voisins moins fortunés ?
Pour répondre à ces questions, il faut surtout avoir conscience de l’ouverture d’esprit des stéphanois et de façon qu’ils cohabitent la ville. Il semble que Saint –Etienne par son histoire industrielle n’a jamais été une ville bourgeoise et aujourd’hui elle s’oriente vers l’ouverte pour toutes les populations, sans exclusion.
La rénovation urbaine de Saint-Etienne lui permet aujourd’hui se battre pour la nouvelle image accueillante et attractive, et le processus de réinvention du centre urbain par ces toits doit permettre au territoire stéphanois de construite son avenir.

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Table des matières
Note analytique 
Remerciements 
Introduction 
1. Partie I : Histoire 
1.1. Saint-Etienne, ville de paradoxes
1.2. L’évolution démographique en parallèle avec le changement de la situation foncière
1.3. Saint-Etienne – la ville fière de son histoire industrielle
2. Partie II : Réaliser son projet d’aménagement de terrasse de toit 
2.1. Quelle est la réglementation concernant des terrasses de toits dans les villes françaises ?
2.2. La réglementation sur les terrasses tropéziennes à Saint-Etienne
2.3. Faire une terrasse tropézienne sur le territoire stéphanois : démarche administrative
3. Partie III : Réinvention du territoire stéphanois par ces toits
3.1. L’homme et son regard vers le haut
3.2. Vivre les toits à la stéphanoise
3.3. Conséquences économiques et sociales pour la ville
Conclusion
Bibliographie 
Liste des annexes

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