Projet de création d’un microfinance

Caractéristiques du projet

Les caractéristiques du projet sont qualifiées selon la nature de ses activités, le but et l’objectif, et l’intérêt du projet pour les agents économiques de la région d’exploitation.

Nature du projet

La nature du projet dépend des activités choisies et des objectifs à atteindre. En tant qu’entreprise, le projet cherche de profit pour ses activités. Alors, le projet est de nature commerciale sous forme de prestation de service par le fait qu’il propose différents services, à savoir le financement et le dépôt d’argent pour les paysans, les fonctionnaires en vue d’améliorer et d’augmenter la productivité agricole (paysans) dans le milieu rural et leur revenu (fonctionnaires). Soulignons aussi que ce projet est destiné à aider la population rurale de la région à accéder aux micro-finances.

But et objectif 

Le but : est de devenir une grande entité dans la région d’exploitation en matière d’institution financière. En plus, en tant que projet à but lucratif, sont but est la croissance du chiffre d’affaires en vue d’accroître les investissements sur le plan social et économique de la région. En outre, le but est d’offrir un service compatible au pouvoir d’achat de la population dans les différentes communes du district d’Antsiranana.
L’objectif principal du projet : est le développement de la filière agricole en améliorant autant que possible la qualité de la production des paysans et de réduire le coût d’exploitation agricole en même temps, d’étendre l’accès social de la population de la commune en favorisent la construction de logement, en améliorant autant que possible la qualité de produit offert et d’un réduire en même temps le coût, tout cela afin de satisfaire les besoins et les attentes des clients.
En plus, étant donné que le projet se présenter sous forme d’une entreprise commerciale, donc à but lucratif, il est évident que son objectif est de produire aussi des biens et services dans la région d’exploitation, de même dans la région DIANA en vue de leur vente pour procurer des profits au gérant propriétaire. En plus, l’ objectif du projet, c’est de faciliter aux peuple l’obtention un prêt auprès de l’entité. En plus de cela, le projet assurera plusieurs fonctions dont le développement économique de la région d’exploitation, la satisfaction des besoins des clients, la création d’emplois, la création de valeur ajoutée, la distribution de revenu….
Il se préoccupera aussi de satisfaire au mieux les besoins de la clientèle surtout les paysans pour accroître la production agricole et améliorer les recettes du projet. En contre partie des prêts offerts, le projet recherche la rentabilité des activités réalisées. Pour ce faire, pour attirer et garder les clients, nous avons besoin de stratégies comme la reconnaissance des clients possibles, la qualité de service offert vis-à-vis des clients et la satisfaction de ces derniers pour les services proposés. Enfin, pour la bonne marche du projet, l’approvisionnement en matière première est assuré par les fournisseurs dans la capitale de Betsimisaraka pour avoir un meilleur prix.

Intérêt du projet

Une fois ce projet créé dans la ville d’Antsiranana, district d’Antsiranana, région DIANA, plusieurs personnes obtiendront des avantages surtout les paysans et les agents économiques de la région d’exploitation. Donc, la création de ce projet entraînera aussi un développement non seulement sur le plan social mais également sur le plan économique dans la région toute entière.
Alors, ce projet permettra : aux clients d’obtenir de la satisfaction vis-à-vis des services offerts,  aux fournisseurs d’accroître sa vente, et son chiffre d’affaires, à l’Etat d’augmenter sa caisse à l’aide du paiement des droits, des taxes et impôts comme la TVA, l’IRSA,  et aux jeunes de la région une création d’emploi pouvant diminuer le taux de chômage et les actes de banditismes.

Description du marché

La description du marché nous amène à étudier les points suivants : le domaine d’études du projet, le type des client cibles, la part de marché visé.

Domaine d’études du projet

Le domaine d’études du projet se trouve dans la ville d’Antsiranana, région DIANA. Ce choix n’est pas le fait du hasard mais dans cette ville, il n’y a pas encore d’institutions financières comme la CECAM. La seule institution financière concurrent du projet est la caisse d’épargne de Madagascar et les banques (BOA, BFV). Or la plupart des paysans n’ont pas l’habitude de verser leur argent parce que ces institutions n’offrent de prêt comme la CECAM. Dans ce cas, les paysan rencontrent des problèmes pour le financement de leurs activités car les banques demandent beaucoup de cautions. C’est pourquoi, la création d’un micro-finance «Mahavelona» dans la ville d’Antsiranana permet aux paysans d’améliorer de façon rapide et durable la productivité agricole.

Clientèle cible

Le type de clients cibles sont les coopératives agricoles, les associations paysannes, les paysans dans le milieu rural de la région. Nous ciblons le milieu rural car la plupart des cultivateurs n’ont pas accès aux institutions financières pour financier leurs activités.

La part du marché visé

Pour satisfaire les besoins de la population surtout les paysans dans la région d’exploitation, ce projet propose des activités suivantes : les crédits de production, la location vente mutualiste,  le crédit grenier,  les crédits sociaux, les crédits commerciaux.

Besoin des clients

En général, un client cherche toujours une satisfaction des services offerts par l’entité. Celui qui fournit le maximum de valeur ajoutée donne une satisfaction. Alors, lorsque le service offert délivre effectivement la valeur ajoutée qu’il attendait, la satisfaction naîtra automatiquement. Cette satisfaction est le sentiment d’un client résultant d’un jugement comparant les performances d’un service par rapport à ses attentes. Alors, si les clients sont satisfaits des services offerts, ils sont moins en clin au changement sur leur choix. D’où, la manière la plus sûre de mesurer le réel impact de la satisfaction de la clientèle est de mesurer sa satisfaction vis-à-vis des services offerts par les concurrents parce que quand il manifeste une excellente satisfaction, cela ne signifie pas forcement qu’il est plus satisfait d’un service donné.
En résumé, les clients cherchent toujours la qualité et le prix des services pour les quels obtiennent de satisfaction.

Stratégies marketing à adopter

Dans notre cas, nous allons adopter deux types de stratégie, à savoir : La stratégie push ; Et la stratégie pull.

Stratégie push

La stratégie push consiste à faire pousser les services vers les clients, c’est à dire que le projet assure la présentation des services auprès des clients. Elle s’appuie essentiellement sur les avantages offerts aux clients. L’objectif est donc, de satisfaire les clients. Le but est d’informer les clients sur les services chez l’entreprise. Pour cela, le représentant de l’entreprise montre les services (type et qualité) sur un prospectus. Nous allons présenter dans le schéma ci-après la stratégie push.

Stratégie pull

En revanche, la stratégie pull consiste à faire demander les services chez l’entité. Pour cela, les éléments moteurs principaux sont la politique de communication et de la promotion. En principe, la stratégie pull est plus avantageuse par rapport à la stratégie push pour la publicité des services dans la mesure où elle donne une plus grande indépendance vis à vis de clients mais, elle n’est pas toujours applicable parce que soit elle exige de gros moyens financiers soit elle pousse certaine qualité de services. Dans ce cas, les clients font entièrement confiance à l’entité pour guider son choix.

Politiques marketing mix

Les politiques marketing mix sont la politique sur le produit, sur le prix, sur la distribution et sur la communication et la promotion.

Politique de services

Elle a pour objectif d’améliorer la position de l’entreprise vis à vis des concurrents sur le marché. Pour ce faire, il faut que le service offert répondez au besoin de clients (qualité et service rendu), la compétitivité des services vis à vis des concurrents, la maîtrise la relation entre la qualité et le service, la maîtrise du service après vente, l’utilisation d’une marque commerciale sur le service pour faciliter la commercialisation sur le marché.

Politique de dépôt

La politique de dépôt est fonction du prix pratiqué par les concurrents sur le marché, c’est à dire si les concurrents pratiquent un droit d’adhésion à Ar 3.000,00, notre projet adopte un droit d’adhésion à Ar 2.000,00 sur le marché. Il en est de même pour la part social, c’est à dire si les concurrents pratiquent une part sociale à Ar 2.100.000,00, notre projet vend une maison à Ar 2.000,00 sur le marché. Cela veut dire que l’objectif est donc d’écraser tout simplement le prix pratiqué par les concurrents sur la marché en vue d’obtenir ou de maîtriser le marché.

Politique de distribution

Elle a pour but de faciliter le service après vente entre l’entreprise et les clients. Pour cette politique, l’intérêt de l’entreprise résident dans le pouvoir de gérer le temps pour réaliser une autre activité. En effet, le frais de distribution, les difficultés de contrôle et les prix sont des fonctions croissantes de la longueur du réseau. La distribution, c’est donc l’ensemble d’opérations exercées par l’entreprise sur les activités jusqu’à la réception du membre au sein de notre entreprise. Dans ce cas, le commercial est le seul intermédiaire autorisé en tant qu’employé de l’entreprise. Enfin, nous utiliserons en effet la stratégie intensive pour atteindre le maximum de clients. C’est un circuit de distribution direct, c’est à dire une relation entre l’entreprise et les clients.

Politique de communication et de promotion

Elle a pour objectif de faire connaître les services proposés aux clients, de créer une condition favorable entre l’entreprise et leurs clients sur le marché. Pour cela, nous utiliserons une communication directe, c’est à dire qu’il n’y a pas d’intermédiaires entre l’employé et les clients.
Cette politique facilite aussi le suivi et le contrôle du service marketing de l’entreprise et réduit les charges sur la publicité des services même si elle peut vendre ses services sans publicité. La communication assure donc, la réussite du chiffre d’affaires de l’entreprise. En plus, il existe aussi d’autres moyens de communication autre que la publicité, c’est la satisfaction des clients qui ont déjà acheté notre service sous forme d’une autre communication. C’est une publicité de bouche à oreille. En revanche, la promotion c’est l’ensemble des moyens pour stimuler les clients en achetant notre service. Elle a pour objectif de mettre en contact permanent, par le biais d’un canal, l’entreprise et sa clientèle se communiquent en message. Dans notre cas, on emploie le système de réduction de prix sur les produit c’est à dire que l’entreprise donne une réduction de prix jusqu’à 08 %, si les clients achètent plus d’une maison. Réduction de 5 %, si les clients achètent une maison.

Les produits crédits

Pour ce projet, sept types de crédits sont mis en place, à savoir le : crédit social, crédit productif, crédit commercial de personne physique,  grenier commun villageois, location vente mutualiste, crédit culture pérenne, crédit achat de terrain cultivable ou aménagement de terrain à cultiver.
Crédit social : c’est un service financier offert par l’entité permettant au bénéficiaire de répondre à un besoin de trésorerie imprévu et parfois non productif, prenons comme exemple le cas d’une maladie. Dans ce cas, la durée est de 4 mois au maximum et le plafond s’élève à Ar 60.000,00, avec un taux de 4 % par mois, et la garantie est de 150 % du capital (caution solidaire).
Crédit productif : c’est un prêt accordé par l’entité à ses sociétaires afin de leur permettre de développer leurs sources de revenus. Ce crédit sert à l’exploitation, notamment dans le secteur primaire comme l’agriculture, l’élevage et la pêche.
Dans ce cas, la durée d’utilisation du capital est de 03 mois au minimum et 10 mois au maximum, avec un plafond de Ar 400.000,00. Si le montant des capitaux est supérieur de ce dernier, le dossier est passé à la commission des engagements. Le taux d’intérêt est entre 3 à 4 % par mois, la garantie est semblable au celle du crédit social s’élevant à 150 % aussi. Nous soulignons que le montant du crédit se détermine à partir du produit des clients. Prenons par exemple pour le cas de l’agriculture : 40 %, élevage et pêche : 30 %, artisanat : 50 %.
Crédit commercial personne physique : c’est un crédit accordé à une personne physique pour financier les activités à caractères commercial qui permettent de développer le monde rural et le niveau de vie des sociétaires. En plus, les activités suivantes sont éligibles au financement par ce crédit commercial individuel, à savoir l’épicerie, de gargote, boucherie, l’épi-bar (ppn, boissons,..). Dans ce cas, la durée d’utilisation de capital investi est de 10 mois au maximum, avec un plafond de Ar 400.000,00, taux d’intérêt de 4 à 6 % par mois, garantie de 150 % du capital.
Le grenier commun villageois : c’est un service financier offert par l’entité dans le but d’aider les paysans cultivateurs sociétaires à maîtriser le prix de leurs produits dans un grenier en période de récolte. Pour cela, la durée d’utilisation du capital est de 5 à 10 mois.
Dans ce type de crédit, le plafond varie selon les produits. Prenons comme exemple : pour le paddy, il s’élève à Ar 700.000,00 et les autres produits, ils élèvent à Ar 500.000,00. Le taux d’intérêt est de 3 à 4 % par mois, garantie : produits stockés.
Location vente mutualiste : elle figure parmi l’éventail de produits mis à la disposition par l’entité à ses sociétaires pour leur permettre d’acquérir du matériel de production. Dans ce cas, la durée est de 36 mois au maximum et le plafond au niveau régional est de 10 % des fonds disponible de l’entité. Le taux d’intérêt est de 2,5 à 3,5 % par mois, garantie de 50 % du crédit.
Crédit culture pérenne : c’est un prêt à moyen terme destiné à l’installation de plantation de café et des cultures pérennes comme l’orange et vanille. Pour cela, la durée d’utilisation du capital est de 6 ans 72 mois au maximum et le plafond au niveau régional est de Ar 300.000,00, avec un taux d’intérêt de 1,5 % par mois, garantie de 150 % du capital.
Crédit achat de terrain cultivable ou aménagement de terrain à cultiver : c’est un service financier réservé aux paysans pour les aider à acquérir un terrain à cultiver ou une rizière par achat ou bien transformation de terrain brut en terrain cultivable ou rizière sous forme d’aménagement ou bien extension de surface à cultiver.
Dans ce cas, la durée d’utilisation du capital est de 6 à 24 mois, avec un plafond de Ar 1.000.000,00, taux d’intérêt de 3 à 4 % par mois. Cela montre que le taux d’intérêt s’élève à 36 % et 48%.

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Table des matières

INTRODUCTION
PARTIE I : IDENTIFICATION DU PROJET
CHAPITRE I : PRESENTATION DU PROJET
Section 1 : Historique du projet 
1.1- Généralité sur la situation géographique de la région
1.2-Problème socio-économique de la région
1.3- Principales activités
Section 2 : Caractéristiques du projet
2.1-Nature du projet
2.2-But et objectif
2.3-Intérêt du projet
CHAPITRE II : ETUDE DE MARCHE VISE 
Section 1 : Description du marché
1.1-Domaine d’études du projet
1.2-Clientèle cible
1.3-La part du marché visé
Section 2 : Analyse de l’offre
2.1-Estimation de l’offre dans la région DIANA
2.2-Les Concurrents
2.2.1-Les concurrents dans la région d’exploitation
2.2.2-Les concurrents en dehors de la région
Section 3 : Analyse de la demande 
3.1-Situation globale de la demande de la région
3.2-Besoin des clients
Section 4 : Stratégie et Politique marketing envisagée 
4.1- Stratégies marketing à adopter .
4.1.1- Stratégie push
4.1.2- Stratégie pull
5.2.1- Politique de services
5.2.2- Politique de dépôt
5.2.3- Politique de distribution
5.2.4- Politique de communication et de promotion
CHAPITRE III : THEORIE GENERALE SUR LES OUTILS, LES CRITERES D’EVALUATION ET
LES STRUCTURES FINANCIERES 
Section 1 : Outils d’évaluation du projet 
1.1- Valeur actuelle nette
1.1.1- Définition
1.1.2- Formule
1.1.3- Interprétation
1.2- Taux de rentabilité interne
1.2.1- Définition
1.2.2- Formule
1.2.3- Interprétation
1.3- Indice de profitabilité
1.3.1- Définition
1.3.2- Formule
1.3.3- Interprétation
1.4- Délai de récupération des capitaux investis
1.4.1- Définition
1.4.2- Formule
1.4.3- Interprétation
Section 2 : Critères d’évaluation du projet 
2.1- Pertinence
2.2- Efficacité
2.3- Efficience
2.4- Durée de vie
2.5- Impact
Section 3 : Structures financières 
3.1- Les ratios
3.1.1- Définition
3.1.2- Formules
3.1.3- Interprétations
3.2- La rentabilité
3.2.1- Formules
3.2.2- Interprétations
PARTIE II: CONDUITE DU PROJET
CHAPITRE I : TECHNIQUE DE REALISATION 
Section 1 : Moyens à mettre en place
1.1-Moyens humains
1.2-Moyens financiers
1.3-Moyens matériels
Section 2 : Caractéristique d’approvisionnement 
2.1-Méthode d’achat de matières premières à adopter
2.2-Processus de réalisation
2.3-Le critère d’évaluation de stock à choisir
CHAPITRE II : CAPACITE DE FINANCEMENT DU PROJET 
Section 1 : L’allocation des crédits 
1.1-Les produits crédits
1.2-Les opérations dépôt et épargne
1.2.1-Dépôt à vie
1.2.2-Dépôt à terme et ses opérations
Section 2 : Le crédit bâtiment et foncier
2.1-Le crédit construction
2.2-Le crédit « achat de terrain à bâtir »
Section 3 : Dépense en matière premières 
3.1-Dépense sur chaque unité de réalisation
3.2-Prévision d’achat
3.2.1-Achat prévisionnel pour l’année 1
3.2.2-Achat prévisionnel sur cinq ans
Section 4 : Prévision sur le service envisagé 
4.1-Prestation de service prévisionnel
4.1.1-Prestation de service réalisé pour l’année 1
4.1.2-Prestation de service réalisé sur cinq ans
4.2-Chiffre d’affaires prévisionnels
4.2.1-Chiffre d’affaires prévisionnels pour l’année 1
4.2.2-Chiffre d’affaires prévisionnels sur cinq ans
CHAPITRE III : ETUDE ORGANISATIONNELLE
Section 1 : Structure organisationnelle 
1.1-Fonction
1.2-Organigramme choisi
Section 2 : Organisation du travail 
2.1-Direction
2.2-Service administratif et financier
Section 3 : Chronogramme
PARTIE III: ETUDE FINANCIERE DU PROJET
CHAPITRE I : COUT D’INVESTISSEMENT ET COMPTE DE GESTION 
Section 1 : Le coût des investissements 
1.1-Immobilisations
1.1.1-Matériels et mobiliers du bureau
1.1.2-Matériels informatiques
1.1.3-Matériel de transport
1.1.4-Agencement et installation de chantier
1.1.5-Récapitulation des immobilisations et investissement
1.2-Charges
1.2.1-Salaires prévisionnels du personnel pour l’année 1
1.2.2-Salaires prévisionnels du personnel sur cinq ans
1.2.3-Autres charges prévisionnelles pour l’année 1
1.2.4-Autres charges prévisionnelles sur cinq ans
Section 2 : Tableau d’amortissement
Section 3 : Tableau de remboursement des dettes
Section 4 : Plan de financement 
Section 5 : Comptes de gestion
CHAPITRE II : ANALYSE DE LA RENTABILITE ET ETUDE DE LA FAISABILITE 
Section 1 : Compte de résultat prévisionnel et la rentabilité 
1.1-Compte de trésorerie mensuelle prévisionnelle
1.2-Les ratios
1.3-La rentabilité
Section 2 : Plan de trésorerie 
Section 3 : Marge brute d’autofinancement
Section 4 : Bilan prévisionnel 
CHAPITRE III : EVALUATION DU PROJET
Section 1 : Evaluation économique 
Section 2 : Evaluation financière 
2.1-Sur les outils d’évaluation du projet
2.1.1-Valeur actualisée nette
2.1.2-Taux de rentabilité interne
2.1.3-L’indice de profitabilité
2.1.4-La durée de récupération des capitaux investis
2.2-Sur les critères d’évaluation du projet
2.2.1-La pertinence
2.2.2-L’efficacité du projet
2.2.3-L’efficience du projet
2.2.4-La durée de vie du projet
2.2.5-L’impact du projet
Section 3 : Evaluation sociale 
CONCLUSION GENERALE

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