Présentation du Centre d’Information et de Documentation (CIDoc)

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Actions de mise en oeuvre

Les actions mise en œuvre par l’établissement pour l’atteinte de ses objectifs et la réalisation de ces tâches sont principallement les suivantes :
· Assistance dynamique et concertée aux petites et moyennes entreprises .
· Organisation de manifestation économique (foires, alons, …) .
· Développement des relations internationales, et .
· Développement de la Formation Professionnelle.

Moyens de mise en œuvre

Les moyens engagés par l’établissement pour la réalisation des actions sont nombreuses, mais ils  s’orientent surtout sur les points suivantes :
· Renforcement de l’autonomie financière et reforme de l’organisation comptable .
· Renforcement des compétences du personnel .
· Renovations des equipements et outils techniques, et .
· Développement des relations avec les partenaires.

Services offerts

La CCI, dans le cadre de la réalisation des attributions qui lui sont imposés, offre de nombreux services. La liste de ces services sont notamment :
· Au niveau de la politique économique : Informationset diffusion.
– des différents documents cadre de la politique économique nationale et régionale (sous forme numérique ou parier) : DSRP, PRD, MAP,Monographies.
– divers textes et lois : journal officiel (possibilité de photocopie ou scan)
– diverses documentations et études économiques : lecture sur place, possibilité de photocopie ou scan.
· Formation professionnelle :
– Conseiller les entreprises sur les établissements techniques, sur les lois relatives à la formation professionnelle.
– Identifier les besoins des entreprises en matière de formation des employés : existe sous forme statistique et selon les priorités. Appuyer les établissements de formation technique et professionnelle : orientations de la Formation, lois, stages des élèves
– Organiser des formations modulaires, des conférences et des ateliers à l’intention du personnel des entreprises.
· Développement du Commerce International et des marchés :
– Informer sur les activités du commerce international : tarifs et coûts, procédures douanières, Normes et qualités, opportunités, offres et demandes.
– Informer sur les lois et décrets sur les importations et les exportations.
– Diffuser les informations sur les manifestations et foires internationales.
– Accompagner les opérateurs dans leurs démarches envue de participation aux manifestations internationales.
· Relations publiques :
– Communication interne : coordonnées des membres à disposition du personnel et transmises aux ressortissants en cas de besoin.
– Liste protocolaire des autorités, chefs des collectivités territoriales et chefs de service déconcentrés.
– Contact des principaux chefs d’entreprises, des présidents de groupements professionnels et des associations à vocation économique.
– Répertoire des sites web des principales chambres consulaires internationales.
– Diffusion des dépliants de la Chambre de commerce.
· Administration :
– Base de données des ressortissants actualisées : 900 entreprises ou opérateurs répertoriés, classification par secteurs et filières d’activités.
– Location de salle de conférences et assistance logistique.
– Organisation de rencontres d’opérateurs avec les autorités ou entre opérateurs.
– Organisation d’ateliers et séminaires avec les institutions partenaires, à l’intention des opérateurs économiques.
De plus, la Chambre de Commerce et d’Industrie peut fournir les informations nécessaire sur :
· Les règlements relatifs aux usages commerciaux .
· Les changements projetés dans la législation commerciale, douanière, à l’usage du Commerce et de l’Industrie ou ayant une action sur le mouvement économique (Bourses de commerce, magasins généraux, salles devente, stocks) .
· Les services publics de transport exploités dans leur circonscription.
· Les changements projetés dans la législation fiscale.

Les autres Chambres

Les Chambres de Commerce et d’Industrie sont instituées sur demande des opérateurs économiques, groupement et associations professionnels d’une région. Leurs rôles et attributions peuvent variés éventuellement d’une législation à une autre et d’un territoire à un autre.

La Fédération des Chambres de Commerce et d’Industrie (FCCI)

La FCCI regroupe les CCI de Madagascar, son siège se trouve actuellement à Antananarivo. Aussi, il est à rappeler qu’elle a été instituée en tant qu’ Etablissement Public à caractère professionnel doté de la personnalité morale et jouissant d’une autonomie administrative et financière de plus elle est aussi placée sous la tutelle du Ministère chargée du Commerce et du Ministère chargé des Finances etdu Budget.
Ses principales attributions sont notamment de :
· Coordonner les activités des CCI et d’harmoniser leurs actions avec les objectifs nationaux de développement .
· Représenter les CCI auprès des Pouvoirs publics centraux si elle en est requise par celles- ci ;
· Appuyer les CCI en difficulté

Les membres à la base

Appelés aussi « Ressortissants », les membres à la base sont composés principalement des personnes physiques agées de plus de vingt et un ans, ayant une société et des personnes morales de droit malgaches. Ils doivent justifier, à leurs inscriptions à la CCI, des documents suivants :
· Une Attestation de Paiement de la Taxe Professionnelle (APTP) de l’exercice fiscal en cours .
· Un numéro d’immatriculation au Registre du Commerce (RC) .
· Un numéro d’Identification Fiscale (NIF) .
· Un numéro statistique délivré par l’INSTAT, et .
· Un certificat d’existence.

Les membres titulaires

Ils sont composés de personnes élues par les ressortissants parmi eux pour les représenter au sein des organes collectifs de la CCI. Tout les membres à la base n’ayant subis aucune condamnation pénale et respectant scrupuleusement les conditions requises en tant que ressortissant sont éligibles. Aucune discrimination n’est autorisés.
Le nombre minimum de membres titulaires au niveau d’une CCI est de vingt (20) personnes. Leurs mandats sont fixées à quatre (04) ans, toutefois en cas de vacance de poste constatée par l’Assemblée Générale, le candidat concerné sera remplacé par la personne qui le suit immédiatement sur la liste des candidats.
L’Assemblée Générale déclare démissionnaire les membres titulaires qui :
· Se sont abstenus d’assister à trois Assemblées Générales successives sans motif légitime .
· Sont absents du territoire plus d’un an sans cause préalablement admise par le Bureau.
· Pendant la durée de leur mandat, cessent de remplirles conditions pour être éligibles .
· Au cours de leur mandat deviennent fonctionnaires appartenant à un cadre .
· Organisé ou auxiliaire, ou contractuel de l’Administration, ou nommés à un haut emploi de l’Etat .
· Adressent au Président une lettre de démission .

Les membres associés

Les membres associés sont constitués des représentants des associations, des partenaires, des personnes physiques reconnues pour leurs compétences particulières ou des groupements oeuvrant dans le commerce, l’industrie, et le service.
Leurs rôles principale étant d’émettre des avis et d’apporter des suggestions durant l’Assemblée Générale.

Organes

Les organes de la CCI sont :
· L’Assemblée Générale .
· Le Bureau .
· La Direction Générale, et .
· La Commission de Contrôle de Gestion Budgétaire.

L’Assemblée Générale (AG)

Etant l’organe délibérant de la CCI, l’Assemblée Générale est composée principallement des membres titulaires. Les délibérations qui émanent de l’Assemblée Générale sont excécutoire et donc ne peuvent plus treê soumises à des débats ou autres manifestations mettant en question l’exactitude de la délibération en question.
Aussi, les membres associés peuvent participer aux assemblée générale mais seulement avec une voix consultative. Leur nombre, étant fixé par l’Assemblée Générale, ne peut exéder ceux des membres titulaires.
Les modalités des réunions se présente comme suit :
· Pour les Assemblée Générale Ordinaire (AGO) : lesréquencesf de réunions sont de deux (02) fois par an sur convocation du Bureau. Ces convocation, qui doivent être émise au plus tard quinze (15) jours avant la tenue de l’Assemblée, peuvent être communiquer soit par un avis inséré dans l’un des journaux habilités à ecevoir les annonces légales soit par lettre recommandée avec accusé de réception adressée à chaque membre titulaire, soit par tout autre moyen laissant trace écrite envoyée à l’adresse mentionnée sur la carte d’identité consulaire.
· Pour les Assemblée Générale Extraordinaire (AGE) les: réunions se tiennent chaque fois que le Bureau le juge utile, de plus les convocations sont émises au plus tard dix (10) jours avant la tenue de la réunion. Cependant une AGE peut se faire sur une demande de la moitié des membres titulaires. En AGE, devant êtreprise au moins par les 2/3 des membres titulaires, les décisions portent essentiellement sur les sujets relatifs à la démission des membres titulaire.

Le Bureau

Etant l’organe excécutif de la CCI, le Bureau est composé de trois (03) à douze (12) membres élus par l’Assemblée Générale parmis ces mebres.
Les membres de Bureau, disposant chacun d’un mandat de deux ans qui ne peut être renouvelé qu’une seule fois, sont composés principallement :
· D’un Président .
· De Trois vices-présidents issus des trois collèges.
· Des conseillers (dont le nombre est déterminé par’Assemblée Générale).
Le Bureau est dirigé par un Président élu en son sein. C’est ce dernier qui a la charge de veiller à l’exécution des délibérations du Burea. A part ses responsabilités de présider les réunions, de donner des directives nécessaires au Directeur Général et de surveiller sa gestion, il est notamment le représentant de la Chambre auprès des pouvoirs publics.
A noter que la responsabilité personnelle des membres du Bureau peut être engagée s’ils ont commis une faute lourde dans l’exécution de leur mandat, ou encore s’ils ont outrepassé leurs pouvoirs.

La Direction Générale

Le recrutement du Directeur Général se fait par voie d’appel à la candidature avec un terme de référence fixé par le Bureau. De plus, lanomination du Directeur Général ou son abrogation se fait par délibération de l’AssembléeGénérale sur proposition du Bureau.
Etant l’ordonnateur principal de la CCI, le Directeur Générale assure la gestion administrative et technique de la Chambre de Commerce et d’Industrie
Lié par un contrat de travail, le Directeur Généraldirige la CCI et exécute les décisions de l’Assemblée Générale suivant les modalités d’exécution fixées par le Bureau.
Les principales attributions du Directeur Général onts notamment :
· De nommer et gérer le personnel de la CCI et des Services dont celle-ci a la charge.
· D’arrêter les états de situation, les inventaires teles comptes qui doivent être soumis à l’Assemblée Générale des membres titulaires ;

La Commission de Contrôle de Gestion Budgétaire (CCGB)

La Commission de Contrôle de Gestion Budgétaire est composé de quatre (04) membres élus parmis les membres titulaires en dehors des membres du Bureau. Ses principales missions sont notamment de contrôler le s recettes et les dépenses effectives de la CCI, de vérifier les états financier des exercicesen cours et les actes passés pour le compte de la CCI et de faire l’inventaire physique du patrimoine et des matériels. De plus elle effectue des rapports périodiques à l’Assemblée Générale ent adresse copie aux Ministères de tutelle.
Toute irrégularité constatée par la CCGB peut fairel’objet d’une saisine de l’Assemblée Générale et des Ministères de tutelleuiq étudient et prennent les dispositions nécessaires. De plus la CCGB a un rôle d’alerte, auprès de l’Assemblée Générale et auprès des Ministères de tutelle, pour toute irrégularitéconstatée.

Les Ressources matériels

Une des particularités de la Chambre de Commerce etd’Industrie de Mahajanga est le fait qu’elle dispose de nombreuses ressources matérielles surtout en termes d’immobilisation. Ainsi, le patrimoine immobilier de la CCI est composé en grande partie des ressources suivantes :
· Un (01) siège – Bureaux de la Chambre de Commerce et d’Industrie de Mahajanga, se situe au Boulevard Poincaré (Bord de la mer) à Mahajanga -Ville, clôturé, à un seul étage avec terrasse – composé de 12 pièces– construit dans la propriété de la CCI dite « CHANCOMER III », Titre foncier N°1222-BR, d’une c ontenance de 15 ares 84 ca .
· Une (01) villa de cinq (05) pièces, meublée avec dépendances, à la Cité « MISAINE » sise lot 17 à Mangarivotra-Mahajanga, servant de lo gement de fonction du Président de la Chambre –construite dans la propriété de la CCI dite « CHANCOMER MAJUNGA », Titre foncier N°1042-BR, d’une contenanc e de 22 ares 44 ca .
· Un (01) bâtiment sans étage, servant d’Ecole Technique Commerciale, comprenant 7 pièces, sis lot 19 « Cité MISAINE » à Mangarivotra-Mahajanga, construit dans la propriété de la CCI précitée ;
• Un (01) bâtiment dit « Soucoupe » sis à Amborovy- Mahajanga, construit sur un terrain domanial, comprenant une grande pièce ronde pouvant servir de Restaurant Bar et de 2 autres petites pièces louées .
· Quatre (04) magasins généraux d’entreposage sis au quai ORSINI du Port de Mahajanga dont :
– Un (01) magasin dit « CANDAU » de dimensions : 130 m x 35 m dont la moitié est utilisée pour le Dépôt de douanes et l’autre moitié est occupé par une société de manutention locale .
– Trois (03) magasins occupés aussi par des sociétésde manutention, qui se présentent comme suit
Le premier magasin est dénommé « COSTE », de dimension 130m x 35 m .
Le deuxième magasin est dénommé « ANNEXE COSTE ou RANDRIAMBOLOLONA », de dimensions 220 m x 35 m, et .
Le troisième magasin est dénommé « VUILLEMIN », dedimensions 90 m x 35 m.
· Un (01) magasin d’entreposage de dimensions 26,50 m x 15,90 m sis au quai BARRIQUAND du Port de Mahajanga loué actuellement par des sociétés locale .
· Une (01) petite maison à une pièce en dur servant de Bureau de la Régie du Pont-bascule de la CCI, construite à côté même dudit Pont-bascule – sise près des Bureaux des Douanes de Mahajanga.
De plus, la CCI dispose d’autres patrimoines à Ants ohihy dont les plus importants sont :
· Trois (03) magasins d’entreposage sis à l’ancien Po rt d’Antsohihy, ayant les dimensions respectives de 13,60 m x 8,60 m, de 20,50 m x 8,20 m et de 30,30 m x 8,90 m.
· Un (01) magasin d’entreposage sis au nouveau Port d’Antsohihy de dimensions : 40,40 m x 15,40 m .

Les Ressources financières

La CCI dispose de plusieurs sources de financement, mise à part les subventions annuelles de l’Etat, pour soutenir leurs charges et dépenses. Ces sources de financement sont notamment :
· Les services payants :
– Certificat d’origine : permettant de certifier qu’u ne marchandise provient vraiment de Madagascar. Ce certificat coûte 10 000 Ar .
– EUR1 : c’est un certificat des marchandises à expor tés spécialement vers les pays de l’Europe. Ce certificat coûte 30 000 Ar.
– L’Ecole Technique Commerciale : les frais d’études, en moyenne, s’évalue dans les 18 000 Ar/étudiant/mois.
– Formation Professionnel Dual .
– Pont bascule .
– Location de salle : la CCI, au niveau de son Bureau, dispose d’une grande salle pouvant être utilisé pour des réunions, séminairesou ateliers de travail. La location coute 40 000 Ar par jour.
· Location de patrimoine immobilier : cela concerne essentiellement les patrimoines
déjà cités dans le précédent paragraphe, et qui sont otamment :
– Les quatre (04) magasins d’entreposage qui se situe au quai ORSINI du port de Mahajanga .
– Le bâtiment dit « SOUCOUPE » situé à Amborovy .
– La propriété CHANCOMER MAJUNGA sise à Amparihingidro.
A rappeler que les opérations budgétaires de la CCIsont décrites dans un Budget er annuel, devant être voté avant le 1 novembre de l’année précédant l’exercice auquel ilse rapporte, qui s’exécute du 01 janvier au 31 décembr. Ce budget sera communiqué pour VISA et approbation aux autorités de contrôle et de tutelle, un mois au moins avant l’ouverture de l’exercice pour lesquels ils sont établis. A noter cependant que le tribunal financier peut contrôler à tout moment la gestion f inancière de la CCI.

1) Présentation du Centre d’Information et de Documentation (CIDoc)
Créé en 2003, ce service a pour principale objectifd’appuyer les entreprises et les futurs créateurs d’entreprises.
Mise à part les tâches déjà cités dans le paragraphe IV-2, les principales activités que l’on réalise au niveau du CIDoc s’orientent essentiellement sur la constitution, la tenue et la mise à jour des Fichiers consulaires, le listage de s opérateurs par collèges et par secteurs d’activité, la gérance d’un centre de documentationservant surtout d’appuie, d’information et de base de donnée aux opérateurs et aussi l’organisation de foire et salon.
Appuyé par la Banque mondiale sur le plan technique, le CIDoc peut être considéré comme étant l’interface entre la Chambre de Commerce et d’Industrie et les opérateurs économiques

Situation actuelle

Actuellement, le CIDoc est tenu par le Responsable de la formation professionnel. Ce dernier, n’étant qu’un intérim, occupe à la fois d’autre poste. Le dernier Responsable du CIDoc a quitté la CCI en 2009 et la plupart des informations et des procédures concernant le fonctionnement du CIDoc n’ont pas été transférer etcommuniquer convenablement.
Le nombre actuel de lecteur est d’environ deux à t rois personnes par jour. Le CIDoc, actuellement transféré provisoirement dans la salledu Conservatoire nationale des arts et métiers (Cnam) , est plus consultés par les étudiants que par les opérateurs économiques.
La salle conçue pour le CIDoc est actuellement util isée de manière provisoire par les étudiants de la FPD à titre de salle de classe.
Les programme de la CCI pour l’année 2011, par contre, prévoit une redynamisation, restructuration et reconstitution du CIDoc.
Au niveau de la gestion des documentations existante, qui fait l’objet de notre recherche, le CIDoc présente une bibliothèque contenant notamment des ouvrages, des livres de mémoires, des revues, des journaux officiels, des publications et des prospectus diverses. Certaines documentations sont disponibles sous forme numérique alors que pour les autres, les Journaux officiel par exemple, des saisies périodiques doivent être faites par le responsable du CIDoc pour une communication aux opérateurs concernés.
Il est à rappeler que tous les personnes peuvent co nsulter les documents au niveau du CIDoc ; les consultations peuvent se faire sur place ou par transfert sur disque amovible (Flash disk, disque dur externe ou d’autres types de périphérie) si le CIDoc dispose du document sur fichier, par ailleurs les scans sont aussi autorisés. De plus les lecteurs peuvent effectuer des photocopies en remplissant certaines formalités, que nous verrons dans le paragraphe suivant.
Il est aussi à souligner que faute de place insuffi sant au niveau du CIDoc, les Journaux officiel qui encombrent les étagères seront archivés au fur et à mesure de l’arrivée des nouveaux journaux officiels. Ces Journaux officiel, groupés par années d’édition, seront par la suite transférés au niveau du magasin pour archivage.
Les documents proviennent essentiellement des entités suivantes : Etat, Banque mondiale, MECIE environnement, Douane, OMAPI, PRIDE, Centre de Commerce International, Organisation Mondiale.
A noter que cette liste n’est pas exhaustive car tout entités (entreprises, institut, établissement public, étudiant, ou particulier), peuvent offrir leur ouvrages à la CCI pour publication au niveau du CIDoc. Dans ce cas, ces ouvrages deviendront la propriété de la CCI. La procédure à suivre est semblable à la procédure d’enregistrement.
Le dernier recensement effectué par la CCI de Mahajanga sur les fichiers consulaires date du 14 janvier 2009, à rappeler que les recense ments sont effectués annuellement au début de l’année afin de constater les entreprises dissoute ou nouvellement créés.

Procédures existante

Au niveau du CIDoc de la CCI de Mahajanga, dans le cadre de la gestion des documentations, les  tâches peuvent être englobées arp les procédures suivantes :
· Procédure d’enregistrement.
· Procédure de consultation.
Nous allons présenter successivement ces procédures.

Procédure d’enregistrement d’ouvrage

La procédure d’enregistrement simplifié des ouvrages venant de l’extérieur se présente comme suit .
A l’arrivé du détenteur de l’ouvrage ou son représentant, l’ouvrage sera reçu par le responsable du CIDoc. S’il s’agit d’une nouvelle en tité qui désire déposer des ouvrages alors il sera enregistré dans un document contenant la liste des sources d’ouvrage sinon l’ouvrage sera immédiatement envoyé au service de la Direction par le responsable du CIDoc.

Procédure de consultation d’ouvrage

Rappelons que la consultation des ouvrages au niveau du CIDoc est libre et gratuite. De plus, la Banque mondiale exige un rapport mensuel sur la consultation de leurs ouvrages. Pour cela un document doit être rempli par le responsable du CIDoc et transmis à la banque mondiale.
A l’arrivé, le lecteur consulte la liste des ouvrages disponibles au niveau du CIDoc. Si l’ouvrage qu’il recherche n’est pas disponible alor s il peut en choisir un autre ou il peut attendre jusqu’à ce que l’ouvrage soit libre (dans le cas où l’ouvrage est consulté par une autre personne).
Si l’ouvrage est disponible alors il aura le droit de le consulter sur place (au niveau du CIDoc). Par contre si l’ouvrage est disponible sur fichier alors le lecteur aura le droit de le transférer sur des périphériques. Aussi si le fichier numérique n’existe pas alors il pourra effectuer un scan au niveau du CIDoc et puis le transférer sur un périphérique. Si le fichier numérique n’est pas disponible et si le lecteur ne souhaite pas effectuer un scan, alors il pourra toujours en faire une photocopie mais en dehors de la CCI ; pour cela il devra déposer sa Carte d’Identité Nationale (CIN) au responsable du CIDoc.

Statistique des lecteurs des publications de la Banque mondiale

Ce document dont le principal objet est la connaissance par la Banque mondiale des domaines (dans le cadre des ouvrages émise par la banque mondiale) qui intéressent ne le plus de personne. Il contient notamment les rubriques suivantes :
· Pays : qui est le nom du pays concerné, dans notrecas Madagascar.
· Mois : contient la date d’édition du présent document.
· Nom & Prénom : qui contient le nom et prénom des lecteurs ayant consultés les ouvrages de la Banque mondiale .
· Type de lecteur : contient le statut du lecteur concerné (opérateur, étudiant, particulier,….), et ;
· Domaine d’intérêt : qui est une liste de domaine àcocher selon la nature de l’ouvrage concerné.

Rapport mensuel pour la Banque mondiale

Ce rapport, à l’attention de la banque mondiale, co ntient les rubriques suivantes :
· Numéro : qui est le numéro d’incrémentation des livres en questions, le premier ouvrage sera le numéro 1, le deuxième sera le numéro 2 et ainsi de suite.
· Titre : contient le libellé du titre de l’ouvrage.
· Qualité : contient le statut du lecteur concerné (opérateur, étudiant, particulier,….).
· Date : qui est la date de consultation de l’ouvrage.
Ce document sera signé par le responsable du CIDoc puis ce sera un coursier représentant la Banque mondiale qui le récupérerauaniveau de la CCI de Mahajanga.

Liste des visiteurs

Les rubriques que contient ce document sont les suivantes :
· Numéro : qui est le numéro d’identification automatique des visiteurs. Le premier visiteur aura le numéro 1, le deuxième le numéro 2et ainsi de suite .
· Date : qui est la date de consultation de l’ouvrage par le visiteur .
· Nom et Prénom : qui contient le nom et prénom des ecteursl ayant consultés les ouvrages .
· Qualité du visiteur : contient le statut du visiteur concerné (opérateur, étudiant, particulier,….).
· Titre du livre : contient le libellé du titre de l’ouvrage.
· Signature : contenant l’émargement du lecteur.

Les problèmes constaté s

Grâce aux analyses effectuées nous avons put constater certaines failles au niveau du CIDoc, et qui peuvent être regroupées comme suit :

Au niveau de la gestion de la documentation en général:

Actuellement aucune informatisation n’a encore étémise en place, rendant les tâches difficiles à réaliser et les suivis pénibles à effectuer.

Au niveau de la consultation des Journaux officiel :

La plupart des lecteurs ignore la date d’édition et le numéro d’édition du Journal officiel qu’ils veulent consulter ; pour la recherche d’une rubrique par exemple, il faut déjà connaitre ces informations là et en plus le numéro de la rubrique à rechercher ainsi que la nature de la rubrique (Décret, Loi, Jugement,…) ce qui est tout un travail pour le lecteur.
Avec les centaines de Journal officiel dont dispose la CCI et avec les centaines de pages qu’un Journal officiel peut contenir, la recherche s’avère très difficile. Bien que le responsable du CIDoc aide le lecteur dans ses recherches cela peut cependant prendre des heures.
De plus le mode d’entreposage des Journaux officiels archivés ne suit pas un ordre précis, ces derniers sont tout simplement placés auhasard sur les étagères libres ; ce qui pose problème lorsque l’on souhaite consulter ces documents. S’ajoutant à cela, l’état du magasin qui n’est pas très adéquates pour l’archivage des Journaux officiels.

Au niveau de la consultation des ouvrages :

La liste des ouvrages n’est pas mise à jour périodiquement, de plus rechercher un livre dans cette liste s’avère très pénible pour le lecteur. Dans le cas où un lecteur souhaite consulter un livre en particulier alors il sera obligé de consulter cette liste pour voir si ce qu’il recherche y est.
Aussi, les magasines, dépliants ou autres documents diverses ne sont pas enregistrés dans une liste. S’ajoutant à cela, la liberté de consultation des documents par les stagiaires et les élèves de la FPD peut être un risque de perteuode détérioration des documents sans que personne ne soit tenue responsable.
La liste ne permet pas de savoir précisément l’emplacement du document (rangé, colonne)

Au niveau du transfert des fichiers :

Certaines informations que la CCI juge utile de mettre à la connaissance des opérateurs, si le CIDoc ne dispose pas du document sous forme numérique, devront être saisies par le responsable du CIDoc puis transférersoit par mail soit par voie d’affichage au destinataire. Ce qui est une perte de temps et une mobilisation inutile des ressources, cela concerne surtout certaines dispositions réglementaires émises par l’Etat dans les Journaux officiel.

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Table des matières

Partie I : Presentation de la Chambre de Commerce et d’Industrie
I-1) PRESENTATION GLOBALE DE LA CCI
1) Contexte de la CCI
a) Historique
b) Statut juridique
c) Rôles et missions
a-1) Actions de mise en oeuvre
a-2) Moyens de mise en oeuvre
d) Services offerts
e) Les autres Chambres
e-1) Les Chambres de Commerce et d’Industrie à Madagascar
e-2) La Fédération des Chambres de Commerce et d’Industrie (FCCI)
e-3) Les Chambres de Commerce et d’Industrie à l’étranger
2) Organisation de la CCI
a) Composition
a-1) Les membres à la base
a-2) Les membres titulaires
a-3) Les membres associés
b) Organes
b-1) L’Assemblée Générale (AG)
b-2) Le Bureau
b-3) La Direction Générale
b-4) La Commission de Contrôle de Gestion Budgétaire (CCGB)
c) Organigramme
3) Environnement général de la CCI
a) Ressources de la CCI
a-1) Les Ressources humaines
a-2) Les Ressources matériels
a-3) Les Ressources financières
b) Les services existant
b-1) Accueil et Orientation des opérateurs (AccOr)
b-2) Centre d’Information et de Documentation (CIDOC)
b-3) Formations professionnels
b-4) Administration et gestion des services publics
I-2) DOMAINE DE L’ETUDES
1) Présentation du Centre d’Information et de Documentation (CIDoc)
a) Situation actuelle
b) Procédures existante
b-1) Procédure d’enregistrement d’ouvrage
b-2) Procédure de consultation d’ouvrage
c) Documents en circulation
c-1) Courrier d’arrivée
c-2) Liste ouvrage
c-3) Liste des sources d’ouvrage
c-4) Statistique des lecteurs des publications de la Banque mondiale
c-5) Rapport mensuel pour la Banque mondiale
c-6) Liste des visiteurs
2) Ressources utilisés
a) Matériels
b) Méthodes
3) Résultats obtenus
a) Les problèmes constatés
a-1) Au niveau de la gestion de la documentation en général :
a-2) Au niveau de la consultation des Journaux officiel :
a-3) Au niveau de la consultation des ouvrages :
a-4) Au niveau du transfert des fichiers :
b) Les solutions proposées
Partie II : Mise en oeuvre du Projet de Conception
II-1) DELIMITATION DU PROJET
1) Concept du projet
a) Tâches à effectuer
b) Utilisateurs final
2) Choix du Logiciel de développement
a) Description général
b) Avantages
II-2) TECHNIQUE D’ANALYSES
1) Description méthode d’analyse
a) Description général du MERISE
b) Les Axes du MERISE
2) Conception du nouveau système
a) Niveau Conceptuel de Données
a-1) Grille d’analyse
a-2) Règle de gestion
a-3) Dictionnaire des données
a-4) Concepts adoptés
i) Notions
i-1) Entité
i-2) Association
ii) Entités utilisés
ii-1) Dépendances fonctionnelle
ii-2) Constitution des entités
a-5) Modèle Conceptuel des Données
b) Niveau Logique des Données
b-1) Concepts
i) Attribut
ii) Relation
ii) Clé
b-2) Modèle Logique des Données
c) Niveau Conceptuel des Traitements
c-1) Diagramme des flux
c-2) Graphe des flux
c-3) Modèle Conceptuel des Traitements
d) Niveau Physique de Données
Partie III : Mise en Exploitation de L’Application Informatique
III-1) ORGANISATION GENERALE
1) Chronologie de la conception
2) Synoptiques détaillés
a) Synoptique fichier Etablissement
b) Synoptique fichier Source documents
c) Synoptique fichier Entités
d) Synoptique fichier Entête Journal officiel
e) Synoptique Contenues Journal officiel
f) Synoptique fichier Ouvrage
g) Synoptique fichier Lecteur
h) Synoptique fichier Consultation
3) Codification adoptées
4) Nouvelle procédure de consultation
5) Procédure d’installation de l’application créée
6) Procédure d’installation des mises à jour
7) Paramétrage d’accès
III-2. PRESENTATION DE L’APPLICATION INFORMATIQUE
1) Présentation générale
a) Liste des fenêtres
b) Liste des états (pour les impressions)
c) Option Menu
d) Icône de l’application
e) Boite à outil
f) Les boutons
2) Présentation des fenêtres de l’application
a) Première Fenêtre
b) Fenêtre principale
c) Fenêtre Fiche Journal Officiel
d) Fenêtre Liste Journal Officiel
e) Fenêtre de Recherche sur Journal Officiel
f) Fenêtre Fiche Ouvrage
g) Fenêtre Liste Ouvrage
h) Fenêtre de Recherche sur Ouvrage
i) Fenêtre de saisie Partie 1 du Journal Officiel
j) Fenêtre Liste Lecteur
k) Fenêtre Fiche Consultation
l) Fenêtre de choix de modèle d’impression
m) Fenêtre de saisie de Compte Administrateur
CONCLUSION
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES

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