Présentation des menaces qui pèsent sur chacun des oiseaux endémiques de Polynésie française

Présentation des 28 espèces et des 2 sous-espèces d’oiseaux endémiques  terrestres

Famille des  Columbidae

Aspect et couleur

Ce pigeon de 31 cm est presque deux fois plus gros que n’importe quelle autre espèce de columbidé. Il n’existe pas de dimorphisme sexuel dans cette espèce. Le bec et la queue sont presque aussi longs que le reste du corps. Le vert de son dos se prolonge jusqu’au bout de la queue et le haut du thorax est gris-vert. Le dessous de son corps est jaune et rose. Le dessus de la tête est rose (Ehrardt).

Répartition géographique

Le Ptilope de Rapa est ainsi appelé parce qu’il n’est présent que sur l’île de Rapa, l’île la plus à l’Est de l’archipel des Australes et la plus méridionale de la Polynésie Française, en lisière des eaux froides du Pacifique Sud. Ainsi, sa position, à environ 500 km au sud du tropique du Capricorne, lui vaut de connaître de fortes variations climatiques saisonnières et un hiver austral parfois rude (J.-F. Asmode, 1993). Le milieu naturel se compose de terres cultivées (taro), de marais, de pâturages, de landes à fougères, de reboisements artificiels en pin des Caraïbes et de lambeaux de forêt naturelle.
Rapa “Image courtesy of the Image Analysis Laboratory, NASA Johnson Space Center”: http://eol.jsc.nasa.gov

Abondance

La population totale de ptilopes de Hutton était estimée à environ 275 oiseaux en 1990 .
– Habitat Il vit exclusivement dans les zones de forêt en altitude avec une préférence marquée pour les régions les plus denses. L’habitat forestier de cet oiseau est en régression constante, ne survivant plus que dans les parties centrales et méridionales de l’île.
– Nourriture Le Ptilope de Hutton se nourrit principalement de fruits charnus et de nectars de fleurs. Ses plantes nourricières, qu’elles soient autochtones (Merya, Homalanthus, Corokia, Oparanthus) ou introduites, comme le caféier (Coffea spp.) et le goyavier (Psidium guajava), se trouvent toutes dans la forêt. Au total, neuf espèces d’arbres ont été notées comme importantes pour la nourriture du ptilope de Hutton (J.-F. Asmode, 1993).
– Comportement
Les oiseaux se nourrissent et se déplacent lourdement de branche en branche. Il est le plus souvent observé isolé ou en couple, rarement en groupe de 3 ou 4. Le chant peut être de deux types différents et peut être entendu de jour et de nuit
Reproduction
Selon Asmode (1993) et Ehrardt, la saison de reproduction se situerait entre les mois de Janvier et d’Avril, période la plus chaude, où les fruits sont les plus abondants. Cependant Gouni et Zysman (2007) situent quant à eux cette période entre septembre et décembre au moins. Le nid est un amas de brindilles entremêlées placé dans un arbre ou un arbuste (Gouni, Zysman, 2007). Un seul œuf est pondu.

Ptilope des Tuamotu : Ptilinopus coralensis « O’O »

– Aspect et couleur
Le Ptilope des Tuamotu mesure 20 cm. Il n’existe pas de dimorphisme sexuel dans cette espèce. Il est gris clair de la tête à la poitrine. Son dos et ses ailes sont de couleur vert foncé. Le dessus de la tête est parme soutenu. Le ventre est jaune avec parfois des franges oranges chez les oiseaux du sud des Tuamotu. La queue est moyennement longue. Le bec est jauneorangé. Les pattes sont rouges.
– Répartition géographique et abondance
Sa répartition est incomplètement connue dans la mesure où tous les atolls des Tuamotu n’ont pas fait l’objet de prospections systématiques. Il est présent dans un grand nombre d’atolls en plus ou moins grand nombre, en fonction de la disponibilité en nourriture sur chacun : Rangiroa, Tikehau, Arutua, Niau, Apataki, Manihi, Ahe, Takapoto, Takaroa, Tikei, Toau, Fakarava, Aratika, Kaukura, Kauehi, Taiaro, Raraka, Faaite, Tahanea, Tepoto, Tuanake, Hiti, Makemo, Taenga, Tenararo, Tenarunga, Maturei Vavao, Marutea Sud.
Il a disparu de Mangareva avant 1920 et de Anaa en 1983. Il est cependant absent de certains : Reitoru, Morane, Paraoa, Haraiki, Manuhangi, Tekokota … particulièrement dans le sud-est, sans que la raison en soit connue. En ce qui concerne Moruroa et Fangataufa, sa disparition est sans doute due aux essais nucléaires aériens entre 1966 et 1974 (Te Manu n°48).
Il existe une autre espèce aux Tuamotu, Ptilinopus chalcurus, qui vit uniquement sur l’île de Makatea.
– Habitat et nourriture
Il fréquente les habitats boisés et les friches à Kahaia (Guettardia speciosa). Il recherche sa nourriture qui se compose de petits fruits charnus dans toutes les strates de la végétation, dans les arbres, les buissons et au sol. Il consomme les fruits de Timonius polygamus ( keto keto), Pipturus argenteus , Tournefortia argentea (« Tahinu ») et Scaevola taccada (naupata) ; mais il se nourrit aussi de feuilles de Guettardia speciosa et de graines de Morinda citrifolia (« nono ») ainsi que des amandes coco ou de petits insectes qu’il capture au sol ou dans les feuillages (Te Manu n°48, Gouni, Zysman, 2007).
ComportementIl se déplace le plus souvent seul ou en couple, mais il peut former des groupes allant jusqu’à cinq ou six individus ou plus dans les milieux favorables.
Le chant est semblable à celui des autres ptilopes, émis en baissant la tête et en gonflant la gorge. Le Ptilope des Tuamotu est un oiseau peu farouche.
– Reproduction
Les oiseaux se reproduisent probablement toute l’année avec peut-être une activité plus marquée pendant l’été austral. Le nid est une structure plate d’une vingtaine de brindilles entrelacées, construit dans les arbres et buissons (Pandanus, Kahaia) entre 30 cm et 3 m au dessus du sol. La ponte est d’un seul œuf de couleur blanche d’environ 32 mm de long par 22 mm de large.
Ptilope de la Société ou Pigeon vert de la Société : Ptilinopus purpuratus « U’UPA » – Aspect et couleur Cet oiseau mesure une vingtaine de centimètres. Le dimorphisme sexuel n’est pas présent dans cette espèce. La tête, la gorge et la poitrine sont gris clair allant sur le vert pâle. La calotte de la tête, peu marquée, est de couleur violet clair. Le bec est jaune. Le dessus du corps est vert foncé. Le croupion est jaune. Les pattes sont bordeaux. (Gouni, Zysman, 2007 ; Te Manu n°1)
Répartition
Cette espèce se subdivise en trois sous-espèces réparties différemment au sein de la Polynésie Française : – Ptilinopus purpuratus purpuratus : il est présent sur l’île de Tahiti – Ptilinopus purpuratus frater : il est présent sur l’île de Moorea – Ptilinopus purpuratus chrysogaster : il est présent sur les îles de Huahine, Raiatea, Tahaa, Maupiti, Bora-Bora.
– Habitat
On le trouve dans les régions boisées, d’une altitude inférieure à 1 000 m, parfois près des habitations. Il est absent des cocoteraies et des motu.
– Nourriture
Il se nourrit de fruits charnus de 2 à 17 mm de diamètre de Ficus (ora), Lantana, Cananga (motoi), Psidium (tuava), Freycinetia (ieie, fara pape). Il se nourrit parfois de petits insectes.
– Chant Il chante toute la journée. Il s’agit d’un roucoulement court puis s’accélérant
– Reproduction
Il se reproduit toute l’année et n’élève qu’un seul jeune à la fois.
Ptilope des Marquises ou Ptilope Dupetit-Thouars : Ptilinopus dupetithouarsii « KUKU » – Aspect et couleur Le Ptilope des Marquises est un oiseau bien rond qui mesure 20 cm. Il est vert foncé sur le dos et les ailes, et vert clair de la tête à la poitrine. Le dessus de la tête est blanc. Le ventre porte une tache orange. La queue est barrée de jaune vif
Les femelles sont plus ternes. Les jeunes ont la tête plus verdâtre. (Te Manu n°41)
– Répartition géographique et abondance
On reconnaît deux sous-espèces de ce pigeon endémique de l’archipel des Marquises : – P. dupetithouarsii viridor dans le groupe d’îles du nord à Nuku Hiva, Ua Pou et Ua Huka où il est abondant. – P. dupetithouarsii dupetithouarsii dans le groupe du sud à Hiva Oa et Motane où il est plus rare, et à Tahuata et Fatu Hiva où il est commun. Le Ptilope des Marquises est absent de Eiao, Hatuta’a et Fatu Huku qui sont des îles plus petites et plus sèches (inf à 1000 ha). La population compte plusieurs milliers de couples de cette espèce non menacée (Te Manu n°41).
– Habitat et nourriture
Il fréquente les habitats boisés des vallées (forêt secondaire et forêt humide). Mais on le trouve aussi en altitude dans la forêt de nuages où il est plus rare. Il se déplace beaucoup à la recherche de sa nourriture qui se compose de fruits charnus de 3 à 30 mm de diamètre. Il consomme les fruits du banian (Ficus spp.), de l’ylang-ylang (Cananga odorata), d’Eugenia spp. et des cerises (les drupes) de café (Coffea arabica)… Il dissémine les graines de ces espèces et du goyavier (Psidium guajava).
– Comportement
Il est le plus souvent observé seul ou en couple. Cependant il peut former des groupes importants sur les arbres en fructification où il se nourrit. Il vole sur de longues distances pour aller d’une vallée à l’autre et il utilise les vents pour passer les cols en planant. Le chant est typique des ptilopes. Il est cependant plus court que celui de Ptilinopus purpuratus (Ehrhardt, 1978).
Reproduction
Les oiseaux se reproduisent probablement toute l’année. Le nid est constitué de brindilles placées sur une fourche dans un arbre entre 3 et 20 m.
Ptilope de Makatea : Ptilinopus chalcurus « ‘O’O »
– Aspect et couleur
Il ressemble à Ptilinopus coralensis, mais la calotte qu’il a sur la tête est plus étendue. Elle prend naissance à la base du bec et couvre le front ainsi que le sommet de la tête. Elle est de plus d’une couleur rose violet plus soutenue. Le reste de la tête, le cou et le haut de la poitrine sont de couleur gris vert. La gorge, elle, est plus claire et légèrement teintée de jaune tandis que le vert des plumes du ventre est plus intense (Murphy, 1924).

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Table des matières

Introduction
Présentation des 28 espèces et des 2 sous-espèces d’oiseaux endémiques terrestres de Polynésie française
Famille des Columbidae
Ptilope de Hutton ou Ptilope de Rapa : Ptilinopus huttoni « KOKO »
Ptilope des Tuamotu : Ptilinopus coralensis « O’O »
Ptilope de la Société ou Pigeon vert de la Société : Ptilinopus purpuratus « U’UPA »..14 Ptilope des Marquises ou Ptilope Dupetit-Thouars : Ptilinopus dupetithouarsii « KUKU »
Ptilope de Makatea : Ptilinopus chalcurus « ‘O’O »
Gallicolombe des Marquises : Gallicolumba rubescens
Gallicolombe de la Société : Gallicolumba erythroptera « TUTURURU »
Carpophage du Pacifique ou Carpophage de la Société : Ducula aurorae « RUPE »
Carpophage des Marquises : Ducula galeata « UPE »
Famille des Scolopacidae
Bécasseau Polynésien ou Chevalier des Tuamotu : Prosobonia cancellata « TITI »
Famille des Alcedinidae
1 Martin-chasseur respecté : Todiramphus venerata « RURO »
Martin-chasseur des Marquises : Todiramphus godeffroyi « PAHI »
Martin-chasseur des Gambier ou Martin-chasseur de Niau : Todiramphus gambieri niauensis « KOTE’UTE’U »
Martin-chasseur de Polynésie : Todiramphus tuta « RURO »
Famille des Psittacidae
Lori des Marquises : Vini ultramarina « PIHITI »
Lori de Kuhl ou Lori de Rimatara : Vini Kuhlii « URA »
I.1.1Lori Nonnette : Vini peruviana « VINI »
Famille des Muscicapidae ou Sylviidae
Fauvettes (ou Rousserolles) des Marquises : Acrocephalus mendanae et Acrocephalus percernis « KOMAKO »
Fauvette à long bec : Acrocephalus caffer « ‘OTATARE »
Fauvette de Rimatara : Acrocephalus rimatarae « OROMAO »
Fauvette des Tuamotu : Acrocephalus atyphus « KOTIOTIO »
Famille des Apodidae
Salangane des Marquises : Aerodramus ocistus « KOPEKAPEKA »
Salangane de Tahiti : Aerodramus leucophaeus « OPEA »
Famille des Pachycephalidae
Monarque de Tahiti : Pomarea nigra « OMAMA’O »
Monarque de Fatu Hiva : Pomarea whitneyi « OMAO »
Monarque Pie ou Monarque Iphis : Pomarea iphis « PATIOTIO »
Monarque marquisien : Pomarea mendozae « KOKOHUIA”
Famille des Ardeidae
Héron strié ou Héron vert de Tahiti : Butorides striata patruelis, « ‘AO »
Famille des Hirundinidae
Hirondelle de Tahiti : Hirundo tahitica tahitica « OPE’A »
Présentation des menaces pesant sur l’avifaune terrestre endémique de Polynésie française.40 Des extinctions au fil du temps
Identification des menaces actuelles
Les espèces animales étrangères envahissantes : des prédateurs et/ou compétiteurs
I.0.1.1 Les rongeurs
I.0.1.1.1 Le rat polynésien : Rattus exulans
I.0.1.1.2 Le rat surmulot : Rattus norvegicus
I.0.1.1.3 Le rat noir : Rattus rattus
43 I.0.1.1.4 La souris : Mus musculus
44 I.0.1.2 Le chat : Felis catus
I.0.1.3 Le chien : Canis familiaris
I.0.1.4 Le porc : Sus scrofa
I.0.1.5 La petite fourmi de feu : Wasmannia auropunctata
I.0.1.6 Les oiseaux introduits
I.0.1.6.1 Le Coq bankhiva : Gallus gallus
I.0.1.6.2 Le busard de Gould : Circus approximans
I.0.1.6.3 Le Grand Duc de Virginie : Bubo virginiatus
I.0.1.6.4 Le Merle des Moluques ou Martin triste : Acridotheres tristis
I.0.1.6.5 Le Bulbul à ventre rouge : Pycnonotus caffer
I.0.1.6.6 Le Zostérops : Zosterops lateralis
I.0.1.6.7 Le Pigeon biset : Columba livia
Les espèces végétales envahissantes
I.0.1.7 Le Miconia : Miconia calvescens
I.0.1.8 L’Acacia : Leucaena leucocephala
La destruction de l’habitat
I.0.1.9 L’action du bétail
I.0.1.10 Les feux et défrichements
I.0.1.11 Les catastrophes naturelles
I.0.1.12 L’urbanisation
I.0.1.13 La déforestation et le reboisement
Autres menaces
I.0.1.14 Les maladies aviaires
I.0.1.15 La surexploitation des ressources
I.0.1.16 L’effet de serre
Présentation des menaces qui pèsent sur chacun des oiseaux endémiques de Polynésie française
La Gallicolombe érythroptère (CR)
Le Monarque de Tahiti (CR)
Le Monarque de Fatu Hiva (CR)
Le Carpophage des Marquises (CR)
Le Martin-chasseur des Gambier (CR)
Le Bécasseau polynésien (EN)
Le Lori de Kuhl (EN)
Le Lori des Marquises (EN)
Le Carpophage du Pacifique (EN)
La Gallicolombe des Marquises (EN)
Le Martin-chasseur des Marquises (EN)
Le Monarque des Marquises (EN)
Le Lori Nonnette (VU)
Le Ptilope de Hutton (VU)
La Fauvette à long bec (VU)
La Salangane de Tahiti (VU)
Le Ptilope de Makatea (VU)
Le Monarque iphis (VU)
La Fauvette de Rimatara (VU)
Le Ptilope des Tuamotu (NT)
Le Ptilope de la Société (LC)
La Salangane des Marquises (LC)
Le Martin-chasseur respecté (LC)
Le Martin-chasseur vénéré (LC)
La Fauvette des Tuamotu (LC)
Le Ptilope des Marquises (LC)
Les Fauvettes des Marquises (LC)
Le héron strié (LC)
L’hirondelle de Tahiti (LC)
La classification et la liste rouge de l’UICN
Qu’est-ce-que l’UICN
Présentation de la classification UICN
I.0.1.17 Espèces en danger critique d’extinction (« CR »)
I.0.1.18 Espèces en danger d’extinction (« EN »)
I.0.1.19 Espèces vulnérables (« VU »)
65 I.0.1.20 Espèces quasi-menacées (« NT »)
I.0.1.21 Espèces de préoccupation mineure (« LC)
I.0.1.22 Tableau récapitulatif
Les mesures mises en œuvre pour la conservation de l’avifaune endémique terrestre de Polynésie française
Les acteurs de la conservation
Sur le plan administratif et financier
La Société Ornithologique de Polynésie « Manu »
La réglementation
Les espèces classées
Le classement des espaces naturels
La réglementation concernant les espèces menaçant la biodiversité
Les limites de la réglementation
Les Zones Importantes pour la Conservation des Oiseaux ou ZICO
Les mesures de conservation in situ
Le Monarque de Tahiti
I.0.1.23 Les observations des Monarques
I.0.1.24 La dératisation
I.0.1.25 La lutte contre merles et bulbuls
Le Monarque de Fatu Hiva
I.0.1.26 L’inventaire de la population de monarques de Fatu Hiva
I.0.1.27 La dératisation
I.0.1.28 La sensibilisation de la population
Le Lori des Marquises sur Fatu Hiva
La Gallicolombe érythroptère
I.0.1.29 L’estimation de la population
I.0.1.30 La dératisation du motu Taere ere
I.0.1.30.1 La pose du raticide
I.0.1.30.2 Le control de l’efficacité de la dératisation
I.0.1.30.3 La sensibilisation des scolaires
Le Bécasseau polynésien
Les réintroductions et les translocations
La sensibilisation de la population
L’élevage en captivité
Conclusion

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