Pratiques identitaires des betsimisaraka sud cas de la commune rurale d’ambalabe du district de vatomandry

Généralités

Croire? C’est un mot qui nous semble familier et ordinaire tout comme des autres mais c’est ce qu’il y a de plus humaine. Il véhicule aussi une grande idée et contribue pleinement â l’existence humaine. Il est sorti d’un concept bien précis, d’une idéologie qu’est la « croyance. » .

Cette croyance toujours existée évolue suivant le temps et l‘espace. Mais cette même croyance peut avoir des ambiguïtés de sens surtout de notre ère. Une ère postmoderne vivant et évoluant dans la mondialisation. C’est-à-dire globaliser tout l’économie, la politique, la culture et aussi la croyance à l’aide des nouvelles technologies. Il peut succéder donc des multiples formes de croyance allant de l’antiquité jusqu’à l’époque actuelle qui s’avance à l’hypermodernité. Cette croyance suivant cette évolution temporelle, la croyance en dieux multiples en un seul Dieu, puis le passage de cette dernière â la croyance sur la science depuis les siècles de lumière.

Motifs du choix du thème et du terrain 

Le betsimisaraka sud est l’une des ethnies malgaches qui a sa propre langue vernaculaire, ses cultures, ses pratiques bref, son histoire, se trouvant dans la partie centre orientale de l’ile. Ici, donc l’étude va se pencher sur ce peuple Betsimisaraka sud plus précisément sur leur pratiques traditionnelles dans une localité d’où l’intitulé de ce sujet «pratiques identitaires des Betsimisaraka sud » dans la commune rurale d’Arnbalabe, district de Vatomandry. On a choisi cette étude des pratiques identitaires d’une localité pour en savoir les différents types des pratiques identitaires et leur niveau d’application dans cette partie orientale par rapport à la religion moderne. Tout en étant originaire de cette localité notre motivation et notre intérêt se repose sur la mise en valeur de ces pratiques Betsirnisaraka Sud pour que ça constitue une vraie richesse tant que locale que nationale afin d’aboutir à un vrai développement du pays. Surtout le développement local partant et basé sur sa culture identitaire car la non sur sa culture identitaire car la non considération donc la culture comme un atout principal de la politique endogène du développement durable crée une énorme handicap dans la vie socioculturelle du peuple et dans la croissance économique d’un pays.

Dimensions théorh1ncs 

La mondialisation désigne l’expansion et l’harmonisation des liens d’interdépendance entre les nations, les activités humaines et les systèmes politiques à l’échelle du monde. Ce phénomène touche les personnes dans la plupart des domaines avec des effets et une temporalité propres à chacun. Il évoque aussi les transferts et les échanges internationaux de biens, de main-d’œuvre et de connaissances. C’est ainsi qu’il nous faut évidemment de rappeler quelque trait historique de la mondialisation et les bases théoriques sur la mondialisation et l’intérculturalité, d’une part et sur la Croyance chez les Betsimisaraka, d’autre.

Historique de la mondialisation 

En discutant la question de la mondialisation et de ses relations à la religion, reste très peu en dehors ces deux domaines très importants de la société. La religion est une institution qui existe depuis l’émergence du premier homme et de l’humanité. Dune part, la mondialisation d’autre part, comme nous le percevons aujourd’hui, a été un processus en cours depuis des siècles. Bien que la «mondialisation» le terme a émergé comme un mot à la mode dans les années 1990 après l’effondrement de l’Union soviétique, le processus de la mondialisation avait eu lieu longtemps avant. Dans la mondialisation article depuis le XIVème siècle, la mondialisation a été définie comme “L’expansion physique du domaine géographique du mondiale, c’est-à l’augmentation de l’échelle et le volume des flux mondiaux, et l’impact croissant des forces mondiales de toutes sortes sur la vie locale. Les couples et forces de l’expansion marquera le grand Les points de retournement et points de repère dans l’histoire de la mondialisation “. Cet article précise ensuite tous les événements factuels de l’histoire, selon laquelle, la mondialisation a évolué quand depuis Alexandre le Grand en 325 avant J-C., quand Chandragupta Maurya devient un bouddhiste et combine les pouvoirs élargis de quelques armées religion du monde, l’économie du commerce, et impérial pour la première fois. Alexandre le Grand poursuit en justice pour la paix avec Chandragupta en 325 avant JC à Gerosia, le marquage le lien vers les voies terrestres entre la Méditerranée, la Perse, l’inde annonce centrale Asie. Suite à cela, dans le premier siècle, l’expansion du bouddhisme en Asie fait sa première apparition en Chine et renforce les liens culturels à travers la steppe eurasienne en lnde, ce qui, établir les fondations de la Route de la Soie. De la période de 650-850, il y avait une vaste expansion de l’islam donc l’Ouest Méditerranée à l’inde; ainsi, ce ne vit pas seulement de l’adoption de la religion de l’islam, mais tous les aspects culturels, sociaux, et donc l’éducation apportés par la civilisation islamique. Un exemple de ce serait l’Empire ottoman en 1300, qui a duré de l’Europe, l’Afrique du Nord, et le Moyen-Orient, ce qui a créé la grande arche impériale de l’intégration qui a engendré une énorme expansion du commerce avec l’Europe.

Enfin, nous arrivons à ce que de nombreux spécialistes considèrent comme la naissance de la mondialisation; la découverte de l’Amériques et les voyages de l’Est et l’Ouest par Christophe Colomb et de Gana. Ce n’est pas seulement inauguré, l’âge des européens empires maritimes, mais il a également révolutionné l’exponentielle l’expansion du christianisme dans ces régions conquises. Avec 1e développement de la traite négrière dans les 1650, marqué comme un facteur dramatique qui a soutenu l’expansion de l’économie de l’Atlantique, donnant naissance à des systèmes intégrés de économiques / industriels â travers l’océan-avec les bénéfices s’accumulent dans L’Europe pendant les jours de mercantilisme et du siècle des Lumières. L’intégration» des religions et de ses cultures a pris environ un discours naturel avec la fusion de civilisations et de leurs routes commerciales en constante évolution, qui a abouti à la colonisation de l’Asie, Afrique, Amérique Centrale et Amérique du Sud. Ainsi, marque ici le point crucial où la religion devient un partie intégrante de la mondialisation et vice-versa.

Mondialisation et interculturalité 

Le mot « interculturel» comprend « inter» et «culturel » qui signifient « entre » et «culture ». La sociologie, la psychologie, l’éducation, le marketing, la résolution des conflits ou encore la philosophie étudient les phénomènes résultant de la rencontre de plusieurs cultures, ou (relations interculturelles) ». Selon C. Clanet , le terme interculturel introduit les notions de réciprocité dans les échanges et de complexité dans les relations entre cultures. Dans le domaine de la psychologie et de la sociologie, l’étude des relations interculturelles porte sur les contacts de culture. Lorsque des personnes de cultures différentes interagissent, elles vont mettre en commun pour communiquer, des éléments culturels qui leur sont propres tout comme certains qui leur sont communs, mais vont également faire appel à des apports culturels extérieurs à eux. Une sorte de «bricolage culturel » va se mettre en place leur permettant de dépasser les différences, sources d’obstacles à la communication, voire de les exploiter pour créer un nouvel espace culture d’interaction, avec un nouveau code culturel. Il ne s’agit plus d’un pont entre les cultures, mais bien d’un mélange de différents rapports culturels. L’interculturel ne se borne pas au domaine de la communication comme le font la plupart des approches nées aux États-Unis. Il produit des effets au niveau des valeurs morales et des structures sociales, ce qui autorise de parler de société interculturelle.

L’interculturel, en tant que principe d’ouverture, est aussi une tentative de renoncement à l’ethnocentrisme que le Trésor de la langue française informatisé définit comme un «comportement social et attitude inconsciemment motivée qui conduisent à privilégier et à surestimer le groupe racial, géographique ou national auquel on appartient, aboutissant parfois à des préjugés en ce qui concerne les autres peuples ».

D’autre part, les communications et les relations interculturelles vont faire émerger des phénomènes d’acculturation. L’acculturation s’entend comme « l’ensemble de phénomènes qui résultent de ce que des groupes d’individus de cultures différentes entrent en contact continu et direct et les changements qui surviennent dans les modèles culturels originaux de l’un ou l’autre des deux groupes » selon le Mémorandum pour l’étude de l’acculturation des anthropologues américains Melville Herskovits, Robert Redfield et Ralph Linton de 1936. L’acculturation est focalisée sur le changement par les phénomènes de contacts et non par le privatif. La déculturation est par contre la perte de sa propre culture que ce soit volontairement ou involontairement. Ethnocide est par ailleurs le fait d’effacer ou de supprimer une communauté en détruisant sciemment sa culture. La déculturation définit l’absence de culture, alors que l’acculturation est un processus lent effectué par des populations qui s’adaptent à de nouvelles situations culturelles.

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Table des matières

Remerciements
Introduction générale
Partie I : Environnement théorique des pratiques identitaires des betsimisaraka sud
Chapitre I : Dimensions théoriques
Chapitre lI: Miroir du social
Parte II: Dynamique des pratiques rituelles
Chapitre III : Différentes pratique identitaires existentielles
Chapitre IV : Fagnanaovandraha
Chapitre V : Traditionnaliste et religions modernes
Partie III : Prospectives de conservation identitaire
Chapitre VI Champs socioculturels de la pratique identitaire
Chapitre VII: les suggestions
Conclusion générale
Bibliographie
Table des mati ères
Liste des tableaux
Liste des figures
Liste des abréviations
Annexes
Curriculum vitae
Résumé

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