Position systématique des quatre espèces de Lépidoptères

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Hydrographie

Le fleuve de Manandona constitue le principal réservoir d’eau qui ravitaille la région.

Type de sol

En général, le sol est du type ferralitique dont latexture est argilolimoneuse (Besaire, 1964) mais on peut trouver du sol rendzine (Razafindramanitra & Rafalison, 2006).
Selon Koechlin et al (1974), la forêt de « Tapia » est localisée dans esd endroits d’éboulis granitiques, gneissiques ou quartziques ou sur sol brute d’érosion.

Flore

C’est une forêt classée constituée essentiellementpar les bois de pentes occidentales. Elle appartient à la formation de transition qui oc cupait le versant ouest des Hauts plateaux de Madagascar, entre 1000 m et 1880 m d’altitude. Cette formation à basse sclérophylle est à dominance d’ Uapaca bojeri (Tapia) endémique de Madagascar (Kull, 2002). Toutefois, on note la présence significative de Sarcolaena grandiflora (Vondrozana) et de Leptolaena pauciflora (Fotona). La strate arbustive est composée de Schefflera halleana, Aphloia theaformis. La strate herbacée est présente et souvent composée deChrysopogon serrulatus et Arundianella stipoïdes (Kofafa bozaka) et de la litière. La forêt renferm aussi des variétés d’épiphytes, d’aloès, de lichens, d’orchidées et dechampignons (Kull, 2002). Elle a subi des modifications suite aux diverses actions anthropiques : feux de brousse, fabrication de charbon, etc. La densité est assez faible, ce qui donne une forêt avec une consistance ouverte (Razafindramanitra & Rafalison, 2006).

Faune

La faune de la forêt de Tapia d’Ambohimanjaka comporte beaucoup d’insectes comme les vers à soie sauvages qui produisent des cocons récoltés par la population locale, les abeilles, etc. La présence des animaux gibiers telsque les pintades, perdrix et d’autres faunes comme les caméléons et les lézards ont été aussi tésno (Razafindramanitra & Rafalison, 2006).

Population humaine et types d’activité socio-économique

La population est constituée essentiellement de Betsileo, quelques immigrants Merina et Vakinankaratra. La majorité des villageois sont des cultivateurs. Les ménagers pauvres, durant la période de soudure, dépendent beaucoup des produits forestiers (Landy, champignons comestibles, fruits de Tapia, plantes médicinales, bois de chauffage, etc.). Le taux de cette dépendance varie de 0 à 40 %. La forêt de Tapia fournit 6,5 % de sources de revenu familiales à Ambohimanjaka (Randriamboavonjy , 2000).

MATERIELS ET METHODES

MATERIELS BIOLOGIQUES

Les Lépidoptères prennent vie sous la forme d’un œu f protégé par une coquille épaisse. Les œufs éclos vont donner naissance à des larves qui doivent subir la métamorphose pour passer au stade nymphal et ensuite au stade adulte.
Comme tous les arthropodes, les lépidoptères possèdent un squelette externe qui est inextensible et ne peut donc grandir en même tempsque le corps qu’il renferme, il devra alors être changé périodiquement. La croissance s’effectu par étapes successives et chaque changement de la peau est appelé mue ou ecdysie. A chaque mue, la larve grandit en taille mais garde son apparence. La dernière transformation de la chenille ou métamorphose la prépare au changement de son régime alimentaire etdonne naissance à un stade très différent, immobile : la chrysalide. A l’intérieur se produisent d’énormes changements, le corps de la larve est presque entièrement remanié pour former celui de l’adulte. Beaucoup de chenilles se transforment en chrysalide dans des cocons de soie qu’elles ont tissé auparavant. Les chrysalides engendreront des papillons appelés imagos ou adultes.
Les Papillons nocturnes et diurnes sont des Endoptérygotes c’est-à-dire que les ébauches alaires sont internes et ce sont des insectes à métamorphose complète.

Description des espèces étudiées

Les Lépidoptères sont facilement reconnaissables par la diversité de la couleur et de la taille selon les espèces (Chinery, 1988). L’ordre des Lépidoptères est subdivisé en 78 familles (Triplehorn & Johnson, 2005) dont la définition repose entre autres sur la nervation des ailes (Chinery, 1988). Il se divise en Rhopalocères et en Hétérocères. Le premier regroupe les papillons de jour et le deuxième les papillons de nuit avec 4530 d’espèces décrites à Madagascar (Lees & Minet, 2003).
Cette étude se focalise sur les Hétérocères. Lesspèces représentatives revêtent des couleurs plutôt ternes, disposant leurs ailes à pla t ou en forme de toit en position de repos. Leurs antennes sont filiformes ou pectinées (Chinery, 1988). Cet infra ordre est subdivisé en quelques familles. Néanmoins, la présente étude s’est intéressée à l’étude de deux familles (Lasiocampidae et Saturniidae) dont les espèces représentatives tissent des cocons soyeux.

Lasiocampidae

Souvent de grande taille, les papillons de cette famille ont un corps robuste et des ailes relativement larges. Ce sont des Hétérocères parfois diurnes. Les femelles sont plus grandes que les mâles (Chinery, 1988). La couleur est généralement brune ou grise et les antennes sont bipectinées. Les chenilles sont robustes et recouvertes de soies très denses sur la tête ou la capsule céphalique. Le stade chrysalide a lieu dans un sac de soie fixé à la végétation (Triplehorn & Johnson, 2005).
Cette famille, dans presque sa totalité, est composée de genres endémiques à Madagascar y compris le genre Borocera. Deux genres africains seulement, Lechriolepis et Odontocheilopteryx, sont représentés dans la grande île et un troisième genre Napta qui a peut être un représentant en Afrique (Lajonquière, 1972).A noter que les trois espèces de Lasiocampidae étudiées sont endémiques de Madagascar.

Borocera cajani

L’espèce possède une taille assez grande au stade adulte. Les ailes sont de couleur brune rousse chez les mâles et gris perle uniforme chez les femelles. Les mâles sont beaucoup plus petits que les femelles et ont des ailes plus anguleuses et étroites (Paulian, 1950, Razafindraleva, 2001). Les chenilles peuvent atteindre 8 à 9 cm de long avec une variation de couleur grise terne à rousse tachée de blanc et de noir. La variation peut être rencontrée sur les chenilles d’une même ponte. Les chenilles sont entièrement velues et portent sur l’anneau antérieur du corps 4 bouquets de piquants entremêlés de poils fauves (Grangeon, 1907).

Borocera marginepunctata

Les chenilles chez cette espèce ne dépassent pas de6 à 7 cm de long. Elles sont veloutées dans leur jeunesse, noires et portent deux taches blanches au milieu du corps. Plus tard, elles deviennent noires mâtes, nues et porten t seulement 4 bouquets d’épines noires entremêlées de poils roux. Les adultes femelles possèdent des ailes uniformément rousses avec une ligne de points bruns aux ailes supérieure tandis que celles des mâles sont de couleur rouge brique (Grangeon, 1907).

Napta serratilinea

C’est la seule espèce représentant le genre à Madagascar. Selon Lajonquière (1972), la femelle est plus grande avec une envergure près de 45 mm tandis que le mâle mesure 32 mm environ. Elle a un corps robuste, court, très velu et de couleur jaune rougeâtre comme les ailes. Les antennes sont fortement pectinées sur deux rangs en dessous. L’espèce est dépourvue de trompe (Paulian, 1950). Les cheniles vivent en colonies assez nombreuses sur divers arbres (Lajonquière, 1972).

Saturniidae

Environ 1200 espèces reparties sur tout le globe sont connues (Danesch, 1971). Beaucoup d’espèces représentatives de la famille sont visiblement ou brillamment colorées, et nombreuses possèdent des ocelles translucides au niveau des ailes. Les antennes sont pennées (bipectinées ou quadripectinées) et ayant une longueur parfois dépassant celle du corps. Elles sont plus larges chez le mâle que la femelle. La tr ompe est réduite et les imagos (adultes) ne se nourrissent pas. Les femelles sécrètent des phéromones sexuelles qui pourraient être détectées à distance par les mâles. De nombreuses espèces volent durant le jour ou parfois crépusculaires. Les larves des Saturniidae sont deschenilles larges et beaucoup d’entre elles portent des tubercules ou épines. La transformationdu stade larvaire en stade nymphal chez les sous-familles des Saturniinae et Hemileucinae se déroule dans un cocon soyeux (Triplehorn & Johnson, 2005).

Antherina suraka

C’est l’un des plus fréquents des Saturniidae malgaches, apparaissant sur les plateaux, avec les premières ondées d’automne (Paulian, 1951). L’espèce présente deux générations par an, une entre le mois d’octobre et le mois de décembre et l’autre entre le mois de mars et le mois d’avril (Paulian, 1950). Le mâle diffère de la femelle par une teinte plus jaune et plus vive du fond de ses ailes et par des antennes pectinées. Les chenilles passent par toute une série de phases de coloration. Comme la plupart desSaturniidae, elle possède des tubercules armés d’épines sur les segments dorsaux (Paulian, 951 ; Griveaud, 1961).

METHODOLOGIE

Les méthodes adoptées à Ranomafana et à Ambohimanjaka ont été les mêmes sauf l’attribution de récompense aux villageois appliquée uniquement à Ranomafana. L’élevage dans la cage a été faite seulement à Ambohimanjaka.
Il est noté que, l’élevage en captivité constituea lteneur de la présente étude. Cette expérimentation donne l’occasion d’avoir des données sur la biologie des espèces étudiées. Quelques étapes sont à suivre avant d’atteindre le but :

Collecte des différents stades

Collecte des chenilles

La collecte a été effectuée pendant le jour entree lmois de février et le mois de mars 2005 dans le PN de Ranomafana et ses alentours ainsi que dans la forêt d’Uapaca bojeri (Tapia) d’Ambohimanjaka à la fin du mois de décembre 2005. La procédure de collecte des chenilles a été faite à partir des observations directes sur la végétation et des ramassages manuels. Les larves ont été saisies à l’aide des pinces molles sans les presser ni les meurtrir en évitant tout contact avec elles.
Les chenilles collectées, sans tenir compte de leur âge, ont été élevées avec leurs plantes nourricières. La détection des chenilles est parfois connue par la présence de leurs excréments au niveau du sol et la récente trace deblessure au niveau des feuilles qu’elles provoquent (Griveaud, 1965).

Collecte des cocons

La collecte des cocons a été faite en parallèle avec celle des chenilles et a été réalisée avec la même méthode que celle appliquée pour le massagera des chenilles. Une fois collectée, les cocons ont été mesurés ; puis mis nsda des boîtes et enfin observés régulièrement 4 fois par jour : à 6 h et à 10 h pour le matin et à 14 h et à 18 h pour l’après-midi, jusqu’à leurs éclosions dans les maisons d’élevage à Ranomafana et à Ambohi manjaka. Mais ils ont été placés sur un filet de fer de dimension 50 cm x 50 cm cloué aux troncs des Tapia à l’intérieur de la cage dans la forêt d’Uapaca bojeri (Tapia) d’Ambohimanjaka (Photo 1, page 18).

Collecte des adultes ou papillons

La capture des adultes a été faite à partir de l’utilisation du piège lumineux (Photo 2, page 19). L’attraction par la lumière (Phénomène apelé phototropisme) est le moyen le plus facile de collecter quantitativement les papillons de nuit (Pinhey, 1975). Une lampe à néon de 12 Watt, entourée d’un plastique bleu émaillé donnant une lumière riche en rayons ultra-violet, a été suspendue devant un drap de chasse decouleur blanche. La source lumineuse a été alimentée en électricité par une batterie de tocyclettemo pour l’échantillonnage des espèces étudiées. Le piège a été installé dans unndroite ouvert à l’intérieur et à l’extérieur du Parc National de Ranomafana et dans la forêt d’Uapaca bojeri (Tapia) à Ambohimanjaka, entre 8 h du soir jusqu’à 3 h du matin. Cette tâche a été effectuée en quatre séries comprenant chacune deux nuits successives. Les jours du mois pendant lesquels la lune a été pleine ont été évités car le phototropisme n’est bon que par nuittrès noire (Griveaud, 1965). Les résultats obtenus à partir de ce piège permettent d’avoir une idée sur l’abondance des papillons de chaque espèce cible et le début de leurs activitésdans un milieu donné. Cette méthode a été appliquée huit nuits pendant le mois de janvier et dans différents types d’habitats tels que la forêt secondaire de Talatakely, la forêt primaire edVatoharanana, le long de la piste entre Vohiparara et Ifanadiana et dans la forêt de Tapiad’Ambohimanjaka.
Deux équipes ont travaillé au même moment et danseuxd sites différents pour la réalisation de ce piège.

Système d’attribution de récompense

Les difficultés de collecter les chenilles et les cocons à Ranomafana conviennent à adopter une autre méthode. Il s’agit de l’attribution de récompense aux villageois. Pourtant, une série de sensibilisation précède cette techniquavant d’entamer l’action. Tous les cocons ou chenilles livrés sont payés en nature (riz) ou ne espèce : un « kapoaka » de riz ou un billet de 1000 ariary en échange d’une chenille de cinquième âge ou d’un cocon . Aussi, le but est de développer la connaissance de la population localesur l’importance des vers à soie à travers la sensibilisation au moment de la livraison. L’application de ce système n’a duré qu’une quinzaine de jour seulement mais les résultats sontprolifiques.

Détermination des plantes nourricières

Les arbres ou arbustes, où les cocons et les chenilles se localisent, sont automatiquement considérés comme plantes nourricières. Les noms vernaculaires sont tout de suite enregistrés. La prise d’échantillon pour herbier a été faite en cas de difficulté sur l’identification. Ensuite, le nom scientifique a été demandé auprès des spécialistes ou obtenu à l’aide d’un livre (Generic Tree Flora of Madagascar ). Parfois, l’identification des plantes nourricières est basée au repérage de feuilles soupçonnées d’être consommées par les chenilles. Les plantes environnantes sont aussi déterminées et enregistrées pour avoir des choix au cas où les larves ne se nourrissent pas des feuilles des arbres ou arbustes suspectés d’être des plantes hôtes.

Elevage en captivité

Au centre Valbio Ranomafana et dans la salle d’expérimentation à Ambohimanjaka

L’élevage a été faite dans des salles bien aérés,nsoleillées et à l’abri de la pluie à Ranomafana et à Ambohimanjaka. Cette méthode permet de bien surveiller les individus à étudier et d’avoir des informations sur leur cycle biologique.

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Table des matières

INTRODUCTION
I- DESCRIPTION DES MILIEUX D’ETUDE
I.1- LE PARC NATIONAL DE RANOMAFANA
I.1.1- Localisation et situation géographique
I.1.2- Historique
I.1.3- Climat
I.1.4- Hydrographie
I.1.5- Flore
I.1.6- Faune
I.1.7- Sites de collecte
I.1.7.1- Vatoharanana
I.1.7.2- Talatakely
I.1.7.3-Vohiparara à Ifanadiana Ranomafana
I.2- AMBOHIMANJAKA
I.2.1- Localisation
I.2.2- Climat
I.2.3- Hydrographie..
I.2.4- Type de sol
I.2.5- Flore
I.2.6- Faune
I.2.7- Population humaine et types d’activité socio-économique
II-MATERIELS ET METHODES
II.1- MATERIELS BIOLOGIQUES
II.1.1- Position systématique des quatre espèces de Lépidoptères
II.1.2- Description des espèces étudiées
I.1.2.1- Lasiocampidae
II.1.2.1.1- Borocera cajani
II.1.2.1.2-Borocera marginepunctata
II.1.2.1.3- Napta serratilinea
II.1.2.2- Saturniidae
II.1.2.2.1- Antherina suraka
II.2-METHODOLOGIE
II.2.1- Collecte des différents stades
II.2.2.1- Collecte des chenilles
II.2.2.2- Collecte des cocons
II.2.1.3- Collecte des adultes ou papillons
II.2.2- Système d’attribution de récompense
II.2.3- Détermination des plantes nourricières
II.2.4- Elevage en captivité
II.2.4.1- Au centre Valbio Ranomafana et dans la salle d’expérimentation à Ambohimanjaka
II.2.4.1.1- Stade œuf
II.2.4.1.2- Stade larvaire
II.2.4.1.3- Stade chrysalide
II.2.4.1.4- Stade adulte
II.2.4.1.5- Nombre de génération
II.2.4.1.6- Parasites et prédateurs
II.2.4.1.7- Maladies larvaires
II.2.4.2- Cage d’élevage à Ambohimanjaka
II.2.2- Analyse statistique des données
II.2.2.1- Test d’Anova à un seul facteur
II.2.2.2- Test de Mann-Whitney
II.2.2.3- Test de Chi-deux
III- RESULATS ET INTERPRETATIONS
III.1- Collecte des différents stades
III.1.1- Collecte des chenilles
III.1.2- Collecte des cocons
III.1.3- Collecte des adultes
III.2- Système d’attribution de récompense
III.3- Plantes nourricières des quatre espèces étudiées
III.4- Elevage en captivité
III.4.1- Stade œufs
III.4.1.1- La ponte
III.4.1.2- Texture, forme, taille et couleur
III.4.2.3- Développement embryonnaire
III.4.2.4- Eclosion
III.4.2- Stade larvaire
III.4.2.1- Développement larvaire
III.4.2.1.1- Borocera marginepunctata et Napta serratilinea
III.4.2.1.2- Antherina suraka
III.4.2.1.3- Borocera cajani
III.4.2.2- Mensuration des larves
III.4.3- Stade chrysalide
III.4.3.1- Caractéristiques des cocons
III.4.3.2- Etude morphométrique des cocons
III.4.3.3- Développement des chrysalides
III.4.4- Stade adulte ou imago
III.4.4.1- Emergence des adultes
III.4.4.2- Description des adultes
III.4.4.2.1- Borocera cajani
III.4.4.2.2- Borocera marginepunctata
III.4.4.2.3- Napta serratilinea.
III.4.4.2.4- Antherina suraka
III.4.4.3- Accouplement
III.4.4.4- Durée de vie des adultes
III.4.5- Nombre de génération
III.4.6- Cycle biologique
III.4.7- Parasites et prédateurs
III.4.8- Maladies larvaires
III.4.9- Types de menace
IV- DISCUSSION
IV.1- Collecte des différents stades
IV.1.1- Collecte chenilles et des cocons
IV.1.2- Collecte des adultes
IV.2- Plantes nourricières
IV.3- Elevage en captivité
IV.3.1- Stade œufs
IV.3.1.1- Ponte
IV.3.1.2- Développement embryonnaire
IV.3.1.3- Eclosion
IV.3.2- Stade larvaire
IV.3.3- Stade chrysalide
IV.3.3.1- Etude morphométrique des cocons
IV.3.3.2- Développement des chrysalides
IV.3.4- Stade adulte ou imago
IV.3.4.1- Emergence des adultes
IV.3.4.2- Accouplement
IV.3.4.3- Durée de vie des adultes
IV.3.5- Nombre de génération
IV.3.6- Parasitisme et prédation
IV.3.7- Types de menace
CONCLUSION ET RECOMMANDATIONS
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES

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