PISTES SUR LE TRAITEMENT PHYSIOLOGIQUE ET ACUPUNCTURAL

PISTES SUR LE TRAITEMENT PHYSIOLOGIQUE ET ACUPUNCTURAL

 Accompagner le traitement nutritionnel

 Les enjeux du traitement nutritionnel 

Une prescription diététique est incontournable dans le traitement de l’obésité d’un animal. Le but et d’identifier les mauvaises habitudes ou comportements alimentaires et de les modifier. La prévention reste une priorité, en expliquant au propriétaire comment évaluer correctement le score corporel de l’animal, en donnant des conseils d’alimentation et en prévenant sur les risques liés à l’obésité.

Etablir un rythme de perte de poids

L’apport calorique journalier doit être minoré par rapport aux besoins de l’animal pour son poids actuel. Le rythme de perte doit être de 1 à 2 % du poids initial par semaine. Une perte plus rapide a montré chez l’homme une perte musculaire trop importante. Une courbe d’évolution du poids au cours du temps est conseillée. Il est possible de calculer la durée d’amaigrissement en fonction de la vitesse de perte de poids. Par exemple sur un chien de 25kg, une perte hebdomadaire de 2% du poids initial équivaut à 25 x 2% = 500g par semaine. Une perte de 1% équivaut à 250g. Ainsi une perte de poids de 5kg nécessite à ce rythme 10 à 20 semaine. L’enjeu est ici de réduire l’apport calorique sans créer de carences alimentaires. Il faut maintenir, voire développer la masse musculaire, tout en réduisant la masse graisseuse. Il faut stimuler l’utilisation des réserves graisseuses de l’animal en diminuant l’apport énergétique recommandé pour son poids. Si la restriction est trop importante, cela entraine une sensation de faim chez l’animal qui peut perturber le propriétaire. Cela peut aussi provoquer une perte musculaire si l’apport protéique est insuffisant ou une baisse de l’activité physique.Lors d’obésité morbide, l’animal ne peut supporter une restriction calorique trop sévère, Il faut agir par palier avec par exemple un objectif de perte de 20% sur 2 à 4 mois pour le premier palier puis un second objectif de 20% peut être mis en place par la suite. Par exemple sur un chien de 15 kg de score corporel de 9/9 (obésité morbide) et donc avec un surpoids de 50%, le premier palier peut être fixé à 12 kg (-20%). Le deuxième palier lui permettra d’arriver à 10 kg, son poids idéal en perdant de nouveau 20%. 2.1.2. Suivre la perte de poids Lors d’un processus d’amaigrissement, la pesée doit être réalisée tous les 15 jours. En effet une fréquence plus élevée ne semble pas nécessaire et une fréquence plus basse peut diminuer l’observance du régime. Chez les chiens de petite taille le progrès est moins facilement mesurable et on préfèrera un suivi toutes les 3 semaines. Un carnet de suivi peut être intéressant à mettre en place, en y inscrivant le suivi du poids, du score corporel, du périmètre de la ceinture pelvienne ou thoracique sous forme de graphique par exemple. On peut également y inscrire la ration alimentaire et la consommation réelle du chien.

Le choix de la ration alimentaire

Le but est de diminuer l’apport calorique en comblant cependant les besoins protéiques. Il n’est donc pas recommandé de diminuer l’aliment habituel. Un aliment spécifique à la perte de poids avec un rapport protido-calorique adapté doit être mis en place (159). En effet ce rapport doit être élevé, les matières grasses réduites et les fibres élevées.

Les différents nutriments à prendre en compte

– Les protéines : elles possèdent un effet satiétogène important et augmentent la dépense énergétique car le catabolisme réclame de l’énergie. On a donc un rendement énergétique plus faible pour les protéines que pour les glucides avec une énergie métabolisable sensiblement égale. Elles doivent être de bonne qualité et très digestibles mais ne doivent surtout pas être diminuées. Au contraire l’apport peut être augmenté et doit être au minimum de 55 g/Mcal pour un petit chien, de 60 pour un moyen chien et de 65 pour un
grand chien. En fonction de la restriction énergétique cette limite doit être augmentée. Les protéines et leurs acides aminés essentiels sont des nutriments totalement incontournables.

– Les lipides : ils sont deux fois plus caloriques à poids égal. L’apport en lipides doit être réduit mais doit être au minimum de 15 g/kcal d’énergie métabolisable pour satisfaire les besoins en acides gras essentiels et l’appétence et assurer le transport des protéines liposolubles. Il faut favoriser les omégas 3 qui ont des propriétés anti-inflammatoires, réduisent l’insulinémie et améliorent la tolérance au glucose. Ils favoriseraient même le développement harmonieux des adipocytes contrairement aux omégas 6 qui favoriseraient la lipogenèse. – Les glucides : Ils améliorent la qualité gustative d’un aliment. Selon la nature de la source glucidique l’utilisation énergétique est différente. C’est plus leur nature que la quantité qu’il faut changer. Il faut favoriser ceux avec un indice glycémique faible, ce qui permettrait d’abaisser l’insulinémie et une mobilisation des graisses. La réduction des apports en glucides ne pose par de problème chez le chien, car théoriquement il n’existe pas de glucide indispensable. – Les fibres : Elles peuvent être augmentées. Elle permettent de réduire la densité calorique et favorisent la satiété. Elles augmentent la quantité de chyme et diminuent ainsi la solubilisation des aliments, leur digestion et leur absorption. Cela peut poser problème car l’absorption des protéines et des minéraux est aussi diminuée. Cependant il a été montré qu’une ration riche en fibre abaissait la cholestérolémie et la quantité de tissus adipeux. Le taux de cellulose brute doit être de 5 à 20% dans les aliments hypocaloriques pour chiens.Il est également possible de travailler sur les rapports entre acides aminés lysine, Lcarnitine, arginine, leucine, isoleucine, valine, méthionine et cystine, pour favoriser le maintien de la masse maigre, en réduisant par ailleurs la masse grasse.

– Les minéraux, vitamines et oligoéléments : En médecine humaine, des études ont montré qu’une carence en calcium majorait le risque d’obésité. On observe en effet chez des individus carencés en calcium, une augmentation du taux de calcium intracellulaire dans l’adipocyte, ce qui augmenterait la lipogenèse. Un régime riche en calcium quant à lui favoriserait la lipolyse et inhiberait la lipogenèse (17). Chez le chien ces éléments ne sont pas explorés. Le magnésium est indispensable au métabolisme lipidique et à la sensibilité à l’insuline. L’intérêt d’une supplémentation en magnésium est intéressante chez les humains obèses mais n’est pas documentée en médecine vétérinaire. Une eau minérale riche en calcium et en magnésium est donc recommandée en période d’amaigrissement. Le chrome est un cofacteur de l’insuline. Il augmente en effet le nombre de récepteur à l’insuline et améliore sa liaison. Il agirait dans la régulation de la glycémie, sur le métabolisme lipidique et pourrait ainsi avoir un impact dans la prise en charge de l’obésité. La vitamine A permettrait de réduire la masse graisseuse sans modifier l’alimentation. Elle baisserait la leptinémie et améliorerait ainsi la sensibilité à l’insuline. Un apport renforcé en vitamine A pourrait donc être intéressant dans les régimes pour chien obèses. Les vitamines du groupe B interviennent aussi dans le métabolisme des graisses. Elles ont des rôles très nombreux et il n’existe pas de recommandation nutritionnelle précise si ce n’est d’en éviter les carences. La choline est protectrice vis à vis de l’accumulation graisseuse hépatique. Elle n’a pas d’action directe sur la perte de poids mais elle peut être ajoutée à un régime hypocalorique pour protéger le métabolisme hépatique qui est très sollicité par la mobilisation graisseuse. Elle peut être associé à la lécithine pour améliorer le métabolisme des acides gras (jaune d’oeuf, levure, foie, viandes, poisson, soja) .

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Table des matières

Introduction
Première partie : PHYSIOLOGIE ET CONSEQUENCES DE L’OBESITE CHEZ LE CHIEN
1. Définition et mise en place de l’obésité
1.1 La mesure de l’obésité
1.1.1 Le poids
1.1.2 L’indice de masse corporel
1.1.3 Le « Body condition score »
1.1.4 Calcul du poids idéal
1.1.5 L’évaluation de l’obésité grâce à des examens complémentaires
1.1.5.1 La radiographie
1.1.5.2 L’absorptiométrie biphotonique aux rayons X à double énergie
1.1.5.3 La dilution à l’oxyde de deutérium
1.1.5.4 Les marqueurs biochimiques de l’obésité
1.2 Le développement de l’obésité
1.2.1 Les prédispositions
1.2.1.1 La race
1.2.1.2 L’âge
1.2.1.3 Le sexe
1.2.1.4 La stérilisation
1.2.1.5 Les variations interindividuelles
1.2.2 La régulation de l’équilibre énergétique : faim et satiété
1.2.2.1 Le déclenchement de la faim
1.2.2.2 La régulation à court terme
1.2.2.3 La régulation à long terme
1.2.3 La physiologie de la masse adipeuse
1.2.3.1 La lipogénèse
1.2.3.2 La lipolyse
1.2.4 Les phases de développement de l’obésité
1.2.4.1 Les phases de développement du tissu adipeux
1.2.4.2 Les phases de la prise de poids
1.3 Les mécanismes de la perte de poids
2. Les conséquences de l’obésité : les variations hormonales, métaboliques et mécaniques
2.1 Les désordres musculo-squelettiques
2.1.1 Les cytokines inflammatoires du tissu adipeux, un état inflammatoire chronique
2.1.2 Les conséquences sur la fonction locomotrice
2.1.3 Le cas particulier de l’arthrose
2.1.3.1 Définition de l’arthrose
2.1.3.2 Processus de développement de l’arthrose
2.2 Les troubles métaboliques
2.2.1 Le diabète sucré
2.2.1.1 Les adipokines du tissus adipeux et variation de l’insulinémie
2.2.1.2 Les conséquences sur l’insulinorésistance
2.2.2 L’hyperadénocorticisme
2.2.3 L’hypothyroïdie
2.3 Les troubles cardiovasculaires
2.4 Les troubles digestifs
2.4.1 L’insuffisance hépatique
2.4.2 La pancréatite aiguë
2.5 Les troubles respiratoires
2.6 L’atteinte de l’appareil reproducteur
2.6.1 Altération des hormones de la fonction de reproduction
2.6.2 Augmentation du risque de dystocies
2.7 L’atteinte de l’appareil urinaire
2.7.1 Maladie du bas appareil urinaire
2.7.2 Maladie rénale chronique
2.8 Une sensibilité générale accrue
2.9 Les néoplasies
2.10 L’espérance de vie
2.11 Les troubles comportementaux
2.12 Les troubles cutanés
3. Etiopathogénie de l’obésité
3.1 La surconsommation
3.2 La diminution des besoins
3.3 Les dysendocrinies
3.3.1 La maladie de cushing
3.3.2 L’hypothyroïdie
3.3.3 L’hyperinsulinisme
3.3.4 L’acromégalie
3.4 Le propriétaire
3.5 L’environnement
3.6 La qualité de l’aliment
Deuxième partie : PISTES SUR LE TRAITEMENT PHYSIOLOGIQUE ET ACUPUNCTURAL
1. La communication avec le propriétaire
2. Le traitement nutritionnel, environnemental et médical
2.1. Les enjeux du traitement nutritionnel
2.1.1. Etablir un rythme de perte de poids
2.1.2. Suivre la perte de poids
2.2. Le choix de la ration alimentaire
2.2.1. Les différents nutriments à prendre en compte
2.2.2. La mise en place du régime
2.2.3. Le calcul de la ration
2.2.3.1. Calcul de la densité énergétique d’un aliment
2.2.3.2. Calcul du besoin énergétique
2.2.3.3. Calcul d’une ration adaptée au processus d’amaigrissement
2.2.3.4. L’adaptation individuelle de la ration
2.2.3.4.1. Chez le chiot en croissance
2.2.3.4.2. Chez le chien âgé
2.2.3.4.3. Chez le chien diabétique
2.2.3.4.4. Lors d’hyperadrénocorticisme
2.2.3.4.5. Chez l’hypothyroïdien
2.3. Stimuler la dépense physique
2.4. Le traitement médical
2.4.1. Les anorexigènes
2.4.2. Les inhibiteurs de la digestion intestinale des lipides
2.4.3. Les inhibiteurs de l’absorption des lipides
2.5. Les difficultés liées aux échecs thérapeutiques
3. Rétablir l ‘équilibre par acupuncture
3.1. L’obésité en médecine traditionnelle chinoise
3.2. Les mécanismes d’action possible de l’acupuncture sur l’obésité
3.3. L’efficacité de l’acupuncture dans le traitement de l’obésité
3.4. Traitement étiopathogénique de l’obésité par acupuncture
3.4.1. L’inactivité et le vide de Qi de la Rate
3.4.2. L’excès d’alimentation et l’excès de chaleur de l’Estomac
3.4.3. Mauvaise hygiène alimentaire : l’excès de mucosités-humidité
3.4.4. La dépression, un excès de yang du Foie
3.4.5. Le vieillissement : un vide de Yang de la Rate et des Reins
3.4.6. La stase de Sang et la stagnation du Qi
3.4.7. Proposition d’un protocole de traitement des obésités graves
Troisième partie : LA PLACE DE L’ACUPUNCTURE DANS LE TRAITEMENT DES PRINCIPALES CONSEQUENCES DE L’OBESITE

1. Les troubles de la locomotion
1.1. Le lien entre acupuncture et douleur
1.2. La fonction locomotrice en médecine traditionnelle chinoise
1.3. Le traitement des affections locomotrices liées à l’obésité : le cas de l’arthrose et des rhumatismes.
1.3.1. Le traitement de l’arthrose
1.3.1.1. Le traitement occidental de l’arthrose
1.3.1.1.1. Le traitement allopathique de l’arthrose
1.3.1.1.2. L’utilisation de protecteurs articulaires
1.3.1.1.3. L’utilisation de nutraceutiques
1.3.1.1.4. La physiothérapie
1.3.1.1.5. L’homéopathie
1.3.1.1.6. L’ostéopathie
1.3.1.1.7. La perte de poids
1.3.1.2. Le traitement de l’arthrose par acupuncture
1.3.1.2.1. L’arthrose en médecine traditionnelle chinoise
1.3.1.2.2. Les points d’acupuncture conseillés
1.3.1.2.3. Les techniques de puncture
1.3.1.2.4. Le protocole acupunctural
1.3.1.2.5. Exemple du traitement de l’arthrose vertébrale
1.3.1.2.6. Interactions possibles entre acupuncture et traitement allopathique
1.3.2. Le traitement des rhumatismes articulaires
1.3.2.1. Le traitement occidental des rhumatismee
1.3.2.2. Le traitement des rhumatismes par acupuncture
1.3.2.2.1. Les rhumatismes en médecine traditionnelle chinoise
1.3.2.2.2. Les points d’acupuncture conseillés
1.3.2.2.3. Techniques et protocole acupunctural
2. Les troubles digestifs
2.1. L’insuffisance hépatique
2.1.1. Le traitement occidental de l’insuffisance hépatique
2.1.2. Le traitement de l’insuffisance hépatique par acupuncture
2.1.2.1. L’insuffisance hépatique en médecine traditionnelle chinoise
2.1.2.2. Les points conseillés
2.1.2.3. Techniques et protocole acupunctural
2.2. La pancréatite aiguë
2.2.1. Le traitement occidental de la pancréatite aiguë
2.2.2. Le traitement de la pancréatite aiguë par acupuncture
2.2.2.1. La pancréatite aiguë en médecine traditionnelle chinoise
2.2.2.2. Les points conseillés
2.2.2.3. Techniques et protocole acupunctural
3. Les troubles cardiovasculaires
3.1. L’insuffisance cardiaque
3.1.1. Le traitement occidental de l’insuffisance cardiaque
3.1.2. Le traitement de l’insuffisance cardiaque par acupuncture
3.1.2.1. L’insuffisance cardiaque en médecine traditionnelle chinoise
3.1.2.2. Les points conseillés
3.1.2.3. Techniques et protocole acupunctural
3.2. L’hypertension
3.2.1. Le traitement occidental de l’hypertension
3.2.2. Le traitement de l’hypertension par acupuncture
3.2.2.1. L’hypertension en médecine traditionnelle chinoise
3.2.2.2. Les points conseillés
3.2.2.3. Les techniques et protocole acupunctural
4. Les troubles de l’appareil reproducteur
4.1. Lien entre acupuncture et fonction reproductrice
4.2. Les troubles de la fertilité chez le mâle
4.2.1. Le traitement occidental de la baisse de libido chez le mâle
4.2.2. Le traitement des troubles de la fertilité chez le mâle par acupuncture
4.2.2.1. Les troubles de la fertilité chez le mâle en médecine traditionnelle chinoise
4.2.2.2. Les points conseillés
4.2.2.3. Techniques et protocole acupunctural
4.3. L’hyperoestrogénisme
4.3.1. Le traitement occidental de l’hyperoestrogénisme
4.3.2. Le traitement de l’hyperoestrogénisme par acupuncture : pseudogestation et rétention de corps jaunes
4.3.2.1. Les points conseillés
4.3.2.2. Techniques et protocole acupunctura
4.4. Les dystocies
4.4.1. Le traitement occidental des dystocies
4.4.2. Le traitement des dystocies par acupuncture
4.4.2.1. Les dystocies en médecine traditionnelle chinoise
4.4.2.2. Les points conseillés
4.4.2.3. Techniques et protocole acupunctural
5. Les troubles urinaires
5.1. Les maladies du bas appareil urinaire
5.1.1. Le traitement occidental des maladies du bas appareil urinaire
5.1.2. Les traitements par acupuncture des maladies du bas appareil urinaire
5.1.2.1. Les maladies du bas appareil urinaire en médecine traditionnelle chinoise
5.1.2.2. Les points conseillés
5.1.2.3. Techniques et protocole acupunctural
5.2. La maladie rénale chronique
5.2.1. Traitement occidental de la maladie rénale chronique
5.2.2. Traitement par acupuncture de la maladie rénale chronique
5.2.2.1. La maladie rénale chronique en médecine traditionnelle chinoise
5.2.2.2. Les points utilisés
5.2.2.3. Techniques et protocole acupunctural
6. Le diabète
6.1.1. Le traitement occidental du diabète
6.1.2. Le traitement du diabète par acupuncture
6.1.2.1. Le diabète en médecine traditionnelle chinoise
6.1.2.2. Les points utilisés
6.1.2.3. Techniques et protocole acupunctural
7. L’immunodéficience
7.1. Le traitement occidental de l’immunodéficience
7.2. Le traitement de l’immunodéficience par acupunctur
7.2.1. L’immunodéficience en médecine traditionnelle chinoise
7.2.1.1. Les agents de défense de l’organisme
7.2.1.2. Lien entre acupuncture et immunité
7.2.2. Les points conseillés
7.2.3. Techniques et protocole acupunctural
8. Les néoplasies
8.1. Le traitement occidental des néoplasies
8.2. Le traitement des néoplasies par acupuncture
8.2.1. Le cancer en médecine traditionnelle chinoise
8.2.2. Les points conseillés
8.2.3. Points, techniques et protocole acupunctural en fonction du stade d’évolution
8.2.3.1. La prévention
8.2.3.2. L’apparition des toxines cancéreuses
8.2.3.3. L’apparition de lésions cancéreuses
8.2.3.4. Thérapie de soutien face à l’affaiblissement de l’organisme
Conclusion
Bibliographie

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