Physiologie du vieillissement et physiopathologie des affections morbides

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Le système locomoteur

L’apparition de changements fonctionnels à plusieurs niveaux organisationnels est due au fait que le système locomoteur est presque entièrement composé de cellules post-mitotiques. Avec l’âge s’abaisse la masse musculaire absolue (nombre et taille des fibres musculaires).
Chez le sujet âgé, la surface de coupe des disques intervertébraux devient sèche légèrement granuleuse, souvent tentée de jaune. Il y a un appauvrissement progressif en substances calciques tandis que les articulations sont le siège de déformations (8).

Le système respiratoire

Morphologiquement, le poumon âgé est caractérisé par un élargissement progressif des bronchioles et des canaux alvéolaires. Cette modification est historiquement semblable à celle de l’emphysème et semble être secondaire à la fois au simple élargissement et à la fusion des espaces aériens voisins par rupture des parois (112).
Le résultat anatomique est une diminution du nombre des alvéoles et la surface aérienne totale du poumon. Cependant, l’action principale du vieillissement sur la fonction pulmonaire est liée aux altérations de la compliance pulmonaire et de la paroi thoracique. Cette dernière devient plus rigide avec l’âge provoquant une diminution de la compliance thoracique. De plus, la force des muscles respiratoires (diaphragme, muscles intercostaux et muscles respiratoires accessoires) diminue avec l’âge comme celle des autres muscles squelettiques.
Ceci conduit à la fois à une diminution des pressions maximales inspiratoires et des pressions maximales expiratoires (27).
En même temps que la paroi thoracique perd son élasticité et que les muscles respiratoires s’altèrent, un processus affecte les poumons et les voies respiratoires. Il apparaît une diminution progressive de l’élasticité pulmonaire avec l’âge.

Le système gastro-intestinal

Le ralentissement du transit intestinal, la diminution de la force musculaire expliquent la fréquence élevée de la constipation. L’atrophie et la dégénérescence des tissus conjonctifs ainsi que des systèmes nerveux entériques et autonomes sont les principales causes des altérations sénescentes des tissus et fonctions du tube digestif (117).

Le système sensoriel

Chez le sujet âgé, l’atteinte des organes des sens est fréquente et variée.

La vue

Avec l’âge, l’acuité visuelle diminue, le champ visuel progressivement se rétrécit et au-delà de 55 ans la vision périphérique se perd. Les troubles visuels sont dus à une diminution de la taille de la macula, des modifications de forme et de taille du cristallin et une diminution du diamètre pupillaire (117).

L’audition

La plupart des troubles auditifs aboutissent à la presbyacousie :
– Le seuil auditif : dès l’âge de 20 ans, on observe une légère diminution de la sensibilité aux sons purs. La dureté d’oreille est plus fréquente chez l’homme que la femme.
– La localisation du son : plus la fréquence des bruits est élevée et plus difficile est leur localisation.
– Le bourdonnement d’oreille : il est fréquent chez l’adulte.
– La distinction de la hauteur du son : les pertes sont plus importantes dans les zones à haute fréquence.
– La compréhension de la parole : la perte de la capacité de perception des fréquences élevées s’accompagne de la capacité d’identifier les consonnes en particulier : S, Z, T, F et G.
Le sujet âgé ayant vécu longtemps dans un environnement peu bruyant, généralement en milieu rural, a souvent une meilleure audition que le citadin (103).

Le goût et l’odorat

Les sensations gustatives localisées sur certaines zones de la langue s’amenuisent avec l’âge. Cette diminution du goût va progresser de la pointe vers la racine de la langue. Les sensations gustatives, sucrées et salées, sont particulièrement vulnérables. L’intensité de la perception gustative et la distinction entre les différents goûts sont les paramètres les plus touchés.
L’atteinte de la fonction olfactive est plus marquée que la perception gustative. L’atteinte olfactive et gustative peut entraîner des troubles nutritionnels chez le sujet âgé (84).

Le sommeil

Avec l’âge, le sommeil perd en durée et en qualité malgré le fait que le sujet âgé est plus souvent au lit (84).

La peau et les annexes

L’apparition des rides sur une peau généralement sèche, s’accentue avec l’âge. Ce phénomène des rides ainsi que l’apparition des cheveux gris sont liés à des facteurs génétiques.
La verrue séborrhéique et la kératose actinique sont les principales altérations de la peau.
La diminution de la vascularisation des doigts ralentit la croissance des ongles qui deviennent secs et cassants avec l’âge (84).

Reproduction et sexualité

La ménopause et l’andropause sont des événements marquants dans la vie de la femme et de l’homme âgés. Ces deux processus s’accompagnent autant de phénomènes hormonaux que psychiques. L’arrêt de la procréation survient précocement chez la femme (en moyenne 45 ans) et tardivement chez l’homme.
L’activité sexuelle dépend de plusieurs facteurs : physiques, psychiques et socioculturels (117).

Physiopathologie des affections morbides

Bien que ne constituant pas une maladie, le vieillissement favorise certaines affections morbides. Les différentes modifications immunologiques et biologiques liées à la sénescence sont des facteurs de risque dans la survenue des affections atteignant les différents organes de façon variable.

Les maladies cardiovasculaires

La distinction entre les modifications attribuables à la sénescence et celles induites par la maladie est rendue difficile par la fréquence des affections cardiovasculaires (HTA, insuffisance cardiaque, coronaropathies, AVC, insuffisance veineuse).

L’Hypertension artérielle (HTA)

L’hypertension artérielle se définit par une pression systolique supérieure ou égale à 140-159 mmHg ou une pression diastolique supérieure ou égale à 90-99 mmHg (30).
L’hypertension artérielle est, chez le sujet âgé, le plus fréquent des facteurs de risque et celui qui contribue le plus à l’augmentation des atteintes rénales, cardiques, neurologiques et oculaires.
La pression artérielle diastolique (PAD) augmente avec l’âge mais se stabilise au-delà de 60 ans. Aux USA, 15% de la population de race blanche et 30 à 40% de la population de race noire de plus de 65 ans ont une PAD>95mmHg. Une hypertension systolique isolée (PAS>160mmHg ; PAD<95mmHg) est tout aussi courante et son incidence augmente brusquement après 55 ans dans les deux sexes mais à un niveau plus élevé chez les femmes. Spécifiquement, la PAS moyenne des femmes passe de 133mmHg à 50 ans à 165mmHg à l’âge de 85 ans. Pour les hommes, la PAS moyenne passe de 128mmHg à 154mmHg au cours de la même période (121). De façon plus spécifique, l’HTA favorise l’athérosclérose et demeure le principal facteur de risque de l’infarctus du myocarde et de la thrombose cérébrale aiguë.

Les coronaropathies

Elles sont fréquentes et traduisent le retentissement sur le cœur de l’artériosclérose obstructive des coronaires, l’angine de poitrine et l’infarctus du myocarde.
La morbidité peut être liée à la fréquence de la coronaropathie ce qui est confirmé par les accidents vasculaires cérébraux (A.V.C.).

Les Accidents Vasculaires Cérébraux (AVC)

Aux USA, le tiers des victimes d’AVC meurent dans le mois qui suit et les survivants sont atteints dans une forte proportion d’incapacité physique ou mentale (72).
Parmi les affections fréquentes chez les personnes âgées, les AVC occupent une place importante. Ils sont le plus souvent secondaires à l’HTA, à l’athérosclérose, à d’autres facteurs de risque comme l’insuffisance coronarienne ou les troubles métaboliques (diabète, goutte, obésité) (13). De façon schématique, l’ischémie cérébrale représente ¾ des affections vasculaires de l’encéphale et les hémorragies le ¼ (85).
Les AVC posent surtout des problèmes de prise en charge malgré la chimiothérapie disponible mais pas totalement efficace. Ainsi les séquelles autant physiques que psychiques sont fréquentes et ont des conséquences socio-économiques négatives.

L’insuffisance cardiaque

Elle représente l’affection cardiaque la plus fréquente du 3e âge, car elle est l’aboutissement de presque toutes les cardiopathies qui ne tuent pas rapidement. L’insuffisance cardiaque d’origine ischémique est fréquente chez le sujet âgé. L’artériosclérose coronarienne par ses poussées successives a pour conséquence une hypoxie chronique du myocarde avec l’apparition de plages fibreuses augmentant la compliance et diminuant la force du muscle cardiaque.
Après un infarctus, une cicatrice étendue avec ou sans anévrysme peut aboutir au même résultat (72).

L’insuffisance veineuse

Le phénomène des jambes lourdes est fréquent chez le sujet âgé dont les vaisseaux perdent de leur élasticité tandis que leur lumière est rétrécie. L’insuffisance veineuse est favorisée par les remaniements vasculaires liés à la sénescence mais également par la sédentarité et l’obésité (31).

Les affections ostéo-articulaires

Les rhumatismes

Dans une population âgée, il n’est pratiquement personne qui un jour ou l’autre ne se soit plaint d’une douleur, c’est-à-dire d’un rhumatisme puisque cette dénomination concerne des affections disparates quant à leurs symptômes, d’étiologie souvent inconnue mais dont le caractère commun est de faire mal. Le grand groupe de personnes de plus de 65 ans souffrant de rhumatismes est atteint d’arthrose (100).

L’arthrose

Il s’agit d’une lésion chronique, dégénérative et non inflammatoire d’une articulation. L’arthrose est caractérisée par trois (3) lésions :
– L’atteinte du cartilage articulaire qui se fissure et se creuse d’ulcérations laissant parfois à nu l’os ;
– L’ostéosclérose sous-chondrale : l’os est d’une part condensé dans sa partie juxta-articulaire et d’autre part ostéoporotique ;
– Les ostéophytes se forment sur la marge de l’articulation : fragments de cartilage ossifié formant des becs (dits becs de perroquet) de chaque côté de l’articulation (118).

L’ostéoporose

Les fractures sont une cause de morbidité courante chez les personnes âgées. Il existe une corrélation entre l’ostéoporose définie d’après la mesure de la densité osseuse et la résistance du squelette aussi bien que pour certaines fractures, en particulier les fractures spontanées des vertèbres par tassement (113).
Il existe toutefois d’autres déterminants de la résistance des os qui ne sont pas reflétés par la teneur de ces derniers en minéraux, notamment la qualité du collagène, la taille des cristaux et peut-être le taux de renouvellement et d’élimination des fractures dues à une fatigue microtrabéculaire. La résistance du squelette n’est en soi qu’un facteur parmi d’autres affectant l’incidence des fractures ; l’incidence des chutes et les réflexes de protection de la personne qui tombe sont aussi des éléments importants (102).
Si l’ostéoporose est généralement considérée comme une maladie féminine, il ne faut pas oublier que 25 à 30% des fractures du col du fémur chez l’homme sont directement liées à cette affection (81).

Les maladies infectieuses

Les infections du sujet âgé doivent leur particularité non aux micro-organismes mais aux altérations produites par l’âge dans les différentes parties du corps ainsi qu’aux modifications immunologiques.
Au cours du vieillissement, une fraction de plus en plus importante de la population âgée présente des modifications anatomiques et fonctionnelles du tissu lymphoïde susceptibles d’aboutir à des situations pathologiques. Les moyens de défense spécifiques, supportés par les lymphocytes et par les cellules qui en dérivent se modifient considérablement en fonction de l’âge :
– Les lymphocytes B : thymo-indépendants précurseurs des plasmocytes et impliqués dans la sécrétion des immunoglobulines et les défenses humorales telles que la protection contre les germes pyogènes ou les toxines bactériennes.
– Les lymphocytes T : thymo-dépendants effecteurs principaux des réactions immunitaires à médiation cellulaire, ils contribuent également à la régulation de la réponse humorale. Ils assurent la protection de l’organisme contre les germes à parasitisme intracellulaire, les virus, les infections mycosiques, les greffes de cellules allogéniques et le développement des cellules néoplasiques (34).
La réponse immunitaire humorale est globalement préservée chez les personnes âgées. En revanche, les réponses immunitaires à médiation cellulaire sont diminuées, notamment celles impliquant les lymphocytes T.

Le Paludisme

C’est une maladie fébrile due à un protozoaire (hématozoaire du genre plasmodium : vivax ovalae, malarae, falciparum) et transmise par la piqûre de l’anophèle femelle (4) (54).
C’est une parasitose endémique représentant un problème de santé publique en Afrique (111).
La persistance du parasite dans le foie provoque les manifestations tardives du paludisme. Le paludisme chronique est la conséquence des ré-infestations fréquentes des malades avec atteinte du foie (hépatomégalie) et de la rate (splénomégalie).
Le paludisme constitue un fardeau et un problème de santé publique en Afrique. En plus des pertes en vies humaines, le paludisme affecte le développement économique des pays africains avec une perte de 1,7% du PIB (Produit intérieur brut).
Par conséquent, la pauvreté reste une cause majeure de paludisme en Afrique.
Le paludisme en Afrique c’est aussi :
– 40% du budget de la santé publique
– 30% des consultations enregistrées au niveau des structures de santé
– 50% des consultations dans les zones endémiques
– 90% des décès enregistrés au Sud du Sahara (111).

Les infections respiratoires

La tuberculose du sujet âgé est en grande majorité due au réveil d’une infection ancienne même si elle n’a pas fait parler d’elle. Preuve en est la fréquence chez les personnes âgées de foyers apicaux dits minimes (55).
De plus, on note chez le sujet âgé une baisse du pouvoir immunitaire. La pratique actuelle possible de différents tests nous le montre (réaction lymphocytaire aux antigènes, tests cutanés, migration leucocytaire, taux des anticorps, etc.) ; la réactivation d’anciens foyers s’en trouvera facilitée. Actuellement, il y a un regain du nombre de cas liés à la tuberculose (84).
Les infections des voies aériennes inférieures sont une cause essentielle de morbidité chez les personnes âgées. Les pneumonies et le syndrome grippal sont à l’origine du ¼ des décès des personnes âgées de plus de 65 ans dans les maisons de retraite (67).

Les infections gastro-intestinales

Les infections les plus sérieuses de la sphère digestive sont liées aux atteintes des voies biliaires et à l’ischémie ou à l’infarctus intestinal. Alors que la cholécystite chez les sujets jeunes est en rapport avec une lithiase ; 50% des sujets âgés présentent une pathologie néoplasique (16).
La pathologie diarrhéique aiguë est également observée chez les personnes âgées plus particulièrement chez les sujets hospitalisés (108).

Les maladies endocriniennes

Le diabète

Le diabète sucré est une maladie caractérisée par une hyperglycémie, un déficit en insuline et par  le développement précoce de maladies dégénératives des nerfs et des vaisseaux. Il existe de plus en plus de preuves confirmant que le diabète sucré peut être considéré comme un modèle de vieillissement (123).
La similitude clinique la plus évidente entre le diabète et le vieillissement est le développement de l’athérosclérose, processus qui est pathologiquement identique au cours du diabète et au cours du vieillissement (131).
Avec le vieillissement apparaît une augmentation progressive de l’épaisseur de la membrane basale des capillaires (73).
Il est plus qu’évident que le vieillissement est associé à une diminution de la tolérance au glucose. Cependant en l’absence de marqueur du diabète chez l’homme, la relation entre cette modification du vieillissement et le diabète n’est pas encore connue (105).
Puisque le métabolisme du glucose lors d’une stimulation par glucose seul ou en association à d’autres éléments du régime, implique à la fois une réponse des cellules bêta des îlots de Langerhans (secrétant l’insuline) et l’action périphérique de l’insuline, cette diminution de la tolérance au glucose peut affecter chacun de ces niveaux.

Les maladies de la glande thyroïde

Le vieillissement provoque des modifications anatomiques de la glande thyroïde : diminution de la masse glandulaire, infiltration lymphoïde, fibrose et augmentation d’îlots micro et macro nodulaires. Une augmentation de la fréquence des maladies thyroïdiennes auto-immunes peut être notée chez les sujets âgés et ceci a été mis en évidence par l’augmentation d’anticorps, antithyroglobulines et antimicrosomes notamment chez les femmes (37).
Avec l’âge, la clearance rénale de l’iode diminue progressivement et ceci entraîne une augmentation des concentrations plasmatiques de l’iode inorganique (96).

Thyrotoxicose

15% des sujets hyper thyroïdiens ont plus de 60 ans. Dans ce sous-groupe, environ 75% des patients présentent des manifestations classiques d’hyperthyroïdie (36).
Une augmentation de la T3 est observée plus souvent chez le sujet âgé en raison de la fréquence plus importante de goitre multinodulaire et de nodule toxique auto-immun (58).

Hypothyroïdie

Les hypothyroïdies se divisent en deux catégories selon que la lésion se situe dans la glande thyroïde elle-même (primaire) ou dans l’hypophyse – hypothalamus (secondaire).
La fréquence de l’hypothyroïdie primaire augmente avec l’âge. Les examens de laboratoire sont d’une grande valeur pour le diagnostic d’hypothyroïdie puisque les valeurs des tests thyroïdiens sont identiques chez les sujets euthyroïdiens jeunes et âgés et que leurs modifications existent dans ces deux sous-groupes en cas d’hypothyroïdie.

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Table des matières

LISTE DU PERSONNEL ENSEIGNANT PAR GRADE IN MEMORIAM
REMERCIEMENTS
LISTE DES ABREVIATIONS
I. Introduction
II. Revue de la Littérature
1. Biologie du vieillissement (la sénescence)
1.1- La sénescence cellulaire : les faits
1.2- La sénescence cellulaire : les théories
2. Physiologie du vieillissement et physiopathologie des affections morbides
2.1- Physiologie du vieillissement
2.1-1- L’appareil cardiovasculaire
2.1-2- Le système nerveux
2.1-3- Le système locomoteur
2.1-4- Le système respiratoire
2.1-5- Le système gastro-intestinal
2.1-6- Le système sensoriel
2.1-6-1- La vue
2.1-6-2- L’audition
2.1-6-3- Le goût et l’odorat
2.1-7- Le sommeil
2.1-8- La peau et les annexes
2.1-9- Reproduction et sexualité
2.2- Physiopathologie des affections morbides
2.2-1- Les maladies cardiovasculaires
2.2-1-1- L’Hypertension artérielle (HTA)
2.2-1-2- Les coronaropathies
2.2-1-3- Les Accidents Vasculaires Cérébraux (AVC)
2.2-1-4- L’insuffisance cardiaque
2.2-1-5- L’insuffisance veineuse
2.2-2- Les affections ostéo-articulaires
2.2-2-1- Les rhumatismes
2.2-2-2- L’arthrose
2.2-2-3- L’ostéoporose
2.2-3- Les maladies infectieuses
2.2-3-1- Le Paludisme
2.2-3-2- Les infections respiratoires
2.2-3-3- Les infections gastro-intestinales
2.2-4- Les maladies endocriniennes
2.2-4-1- Le diabète
2.2-4-2- Les maladies de la glande thyroïde
2.2-4-2-1- Thyrotoxicose
2.2-4-2-2- Hypothyroïdie
2.2-5- Les maladies urogénitales
2.2-5-1- Les maladies rénales
2.2-5-2- La prostate
2.2-5-3- L’incontinence urinaire
2.2-6- Les affections neuro-psychiatriques
2.2-7- Les pathologies digestives
2.2-7-1- Les ulcères gastro-duodénaux
2.2-7-2- L’anorexie
2.2-7-3- La constipation
2.2-8- Les affections ophtalmologiques et auditives
2.2-8-1- Les affections oculaires
2.2-8-2- Les pathologies auditives
2.2-9- Autres affections : Anémies – Affections buccodentaires – Cancers
2.2-9-1- Les anémies
2.2-9-2- Les affections buccodentaires
2.2-9-3- Les cancers
2.2-10- Le médicament chez le sujet âgé
3. Epidémiologie des affections morbides
3.1- Données démographiques
3.1-1- Le vieillissement de la population
3.1-2- Le vieillissement différentiel
3.1-2-1- La surmortalité masculine
3.1-2-2- La surmortalité selon la catégorie socioprofessionnelle
3.1-3- Les perspectives démographiques
3.2- Le poids social de la pathologie de la personne âgée
3.2-1- La consommation médicale
3.2-2- Prévalence des affections les plus courantes
3.2-3- La dépendance et son évolution
3.3- La réponse du système socio-sanitaire au vieillissement
4. Réseau social, mode de vie et santé des personnes âgées
4.1- Réseau social et soins familiaux
4.2- Mode de vie
4.2-1- Nutrition du sujet âgé
4.2-2- Les activités physiques
4.2-3- Les substances addictives
4.2-4- Le cadre de vie
4.2-5- Travail, retraite et revenu
4.2-6- La pension de retraite
4.3- Santé des personnes âgées
III. TRAVAIL PERSONNEL
1. Objectifs
2. Méthodologie
2.1- Population à l’étude
2.1-1- Population cible
2.1-2- Echantillonnage
2.1-3- Calcul de la taille de l’échantillon
2.1-4- La collecte des données
2.1-4-1- Le site de l’étude : le Centre Médico-Social et Universitaire de l’IPRES
2.1-4-1-1- Historique
2.1-4-1-2- Description du Centre Médico-social et état des lieux
2.1-4-2- L’instrument de collecte de données : le Questionnaire “Vieillir au Sénégal″
2.1-4-2-1- Collecte des données
2.1-4-2-2- Définition opérationnelle des variables
2.1-4-2-3- Saisie et analyses des données
2.1-4-2-4- Contraintes
3. Résultats
3.1- Caractéristiques de la population couverte par l’étude
3.1-1- Age
3.1-2- Le sexe
3.1-3- Situation matrimoniale
3.1-4- Education
3.1-5- Niveau d’instruction
3.1-6- Langue d’instruction
3.2- Perception de la santé
3.3- Les problèmes de santé
3.3-1- Hypertension artérielle (HTA)
3.3-2- Cardiopathies
3.3-3- Insuffisance veineuse
3.3-4- Accident vasculaire cérébral (AVC)
3.3-5- Diabète
3.3-6- Affections respiratoires
3.3-7- Affections rhumatismales
3.3-8- Cancer ou tumeur bénigne
3.3-9- Dépression – Anxiété
3.3-10- Maladie de Parkinson
3.3-11- Epilepsie
3.3-12- Affections génito-urinaires (prostate, vessie, reins)
3.3-13- Cataracte
3.3-14- Glaucome
3.3-15- Troubles auditifs
3.3-16- Troubles digestifs (ulcère, hernie hiatale, gastrite)
3.3-17- Anémie
3.3-18- Affections thyroïdiennes
3.3-19- Fractures
3.3-20- Chute – Traumatisme crânien
3.3-21- Troubles de la mémoire dans la famille
3.3-22- Infection à VIH/SIDA
3.3-23- Maladie psychiatrique dans la famille
3.3-24- Médications
3.4- Mode de vie / Style de vie
3.4-1- Tabagisme
3.4-2- Alcoolisme
3.4-3- Activités physiques
3.4-3-1- La marche
3.4-3-2- Le vélo
3.4-3-3- La danse
3.4-3-4- Le jardinage
3.4-3-5- Les travaux champêtres
3.4-3-6- La pêche
3.5- Réseau social
3.5-1- La vie en famille
3.5-2- Les enfants
3.5-4- Les amis
3.5-5- Fréquence des visites
3.5-5-1- Des enfants
3.5-5-2- Des frères et sœurs
3.5-5-3- Des amis
3.5-6- Les activités socioéducatives
3.5-6-1- Vie associative/communautaire
3.5-6-2- Vie associative religieuse
3.6- Autonomie fonctionnelle
3.7- Troubles cognitifs
4. Commentaires – Discussions
4.1- Caractéristiques socio-démographiques
4.1-1- Age
4.1-2- Sexe
4.1-3- Statut matrimonial
4.1-3- Niveau d’éducation
4.1-4- Santé perçue
4.2- Les maladies les plus fréquentes
4.2-1- L’hypertension artérielle (HTA)
4.2-2- Les affections rhumatismales
4.2-3- Dépression – Anxiété
4.2-4- Les troubles digestifs
4.2-5- Les affections respiratoires
4.2-6- Le diabète
4.2-7- Les autres affections
4.3- Mode de vie : tabagisme, alcoolisme, activités physiques
4.3-1- Tabagisme
4.3-2- Alcoolisme
4.3-3- Activités physiques
4.4- Le réseau social
4.5- Autonomie fonctionnelle
4.6- Les troubles cognitifs
IV. Conclusion – Recommandations
V. Bibliographie

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