Pathologie De L’utilisation Du Coton tige Du Coton tige

Pathologie De L’utilisation Du Coton tige Du Coton tige

PREMIERE PARTIE

INTRODUCTION
L’oreille est un organe de l’ouie, plus facile que la vue, toujours en éveil ; demeurant sensible la nuit toujours en éveil malgré les obstacles, directement ou indirectement par écho, l’ouie est là perfectionnée chez l’homme, sans lui le langage n’aurait pas inventé. (1) A notre connaissance, il était « indispensable » de nettoyer l’oreille, et tout le monde le fait selon ses moyens et ses habitudes. De grand nombre de gens utilisent maintenant le coton tige entre les autres moyens à savoir : l’embout de stylo bic, manche d’une lunette, épingle à cheveux, épingle à nourrice, coin de la serviette, plume d’oiseau, épingle, et même les cure-dents Actuellement, l’utilisation du coton tige ça fait partie d’une mode vie ; le nettoyage de l’oreille fait partie aussi des maladies de la propreté Notre étude est basée seulement sur l’utilisation du coton tige. Le coton tige ou bâtonnet ouaté est un petit bâton garni à chaque extrémité d’une petite boule de coton utiliser le plus souvent pour nettoyer l’oreille , derrière l’utilisation de ce coton tige se cache plusieurs pathologie ce qui accroissent le nombre de consultation dans le service O.R.L. Cette étude à pour objectif : – de faire connaître à tout le monde les incidents et les accidents de l’utilisation du coton tige – de faire connaître que le coton tige n’est pas fait pour l’oreille – le coton tige est loin d’être hygiénique Ce travail comporte trois grandes parties : la première partie dégage la revue de la littérature et les rappels anatomophysiologiques de l’oreille la deuxième partie comporte les matériels et les méthodes d’étude ainsi que les résultats la troisième partie comporte la discussion et commentaire, la suggestion et enfin la conclusion qui terminerons cette étude.
Revue de la littérature 
Entendre est une fonction essentielle pour l’homme comme pour l’animal, au stade de l’évolution de l’espèce humaine, l’ouie est une des conditions de survie. L’ouie est plus fidèle que la vue : elle sert l’individu même pendant le sommeil, elle demeure aux aguets même quand l’ombre et la nuit sont tombées, elle peut saisir les manifestations de la vie extérieure les bruits du monde et ses dangers. D’après certains anthropologues, ce serait le développement de la faculté de parler qui aurait transformé les anthropoïdes en hominidés, puis en hommes ; il est exacte que l’usage de la parole a permis de mettre en commun les connaissances et l’expérience d’une tribu, puis de les transmettre aux générations suivantes, qui y ont ajouté leur apport. L’ouie : plus fidèle que la vue, toujours en éveil. Demeurant sensible dans le sommeil dans la nuit toujours en éveil malgré les obstacles directement ou indirectement par écho. L’oreille est perfectionnée chez l’homme, l’informant, le préservant, lui signalant la bête, le vent, tout ce qui détermine les manifestations sonores. L’ouie a donné à l’homme la faculté de communiquer. Sans l’audition le langage n’aurait pas été inventé. En 1860, VON Troeltsch fabriquait un otoscope au miroir concave. Ceci permet d’examiner la membrane tympanique avec un bon éclairage.

L’OREILLE

ANATOMIE 
L’oreille comporte trois parties : – l’oreille externe, – l’oreille moyenne, – et l’oreille interne
SITUATION ANATOMIQUE 
L’oreille se situe latéralement de chaque côté du crâne enchâssée dans l’os temporal, l’os qui donne le temps et le rythme de la vie ou rocher (os pétreux : Pétra en grec = pierre) et plus précisément dans la pyramide pétreuse. Cet os très solide (un roc) va protéger l’organe sensoriel double de l’audition de l’équilibration. L’oreille atteint sa taille adulte à l’age de 7 ans.

 ORELLE EXTERNE 
Elle est composée principalement du pavillon et du conduit auditif externe. Le pavillon Est la partie externe de l’oreille, située en arrière de l’articulation temporomandibulaire. C’est une pièce fibro-cartilagineuse formée de reliefs et de creux sculptant cette oreille de façon harmonieuse. Cette forme en cornet va permettre d’amplifier les sons – En périphérie : l’hélix formant un bourrelet s’élargissant en bas pour former le lobule. Ensuite un relief concentrique, l’anthélix.Au centre, la conque ou coquillage qui recueille les sons comme un entonnoir pour les transmettre au conduit qui lui succède. – En bas, le lobule normalement appendu au pavillon (morceau de chair sans cartilage) lieu d’élection des boucles d’oreilles.

Le conduit auditif externe
Est un tuyau de 7à 10 mm faisant suite au pavillon qui s’étant de la conque du pavillon à la membrane tympanique, va diriger les sons en flux laminaire vers le tympan venant obturer le fond. De direction oblique d’arrière en avant et de dehors en dedans, il mesure environ 3 cm de long et est constitué d’un tissu fibro-cartilagineux dans sa partie externe et osseux dans sa partie interne.

Le tympan

Le tympan est une fine membrane de 0.1 mm d’épaisseur, convexe en dedans et constitué de trois couches : cutanée externe, fibreuse moyenne et muqueuse interne. Il sépare l’Oreille Externe de l’Oreille Moyenne avec une interface air/air. Le tympan a une forme en ellipse et est incliné d’environ 45° à l’intérieur et en bas. Il est en forme de cône, dont le sommet, correspondant à l’ombilic du marteau, est déprimé vers l’intérieur. Cette  organisation permet au tympan d’avoir ses caractéristiques de solidité et d’élasticité qui permettent aux sons de le faire entrer en vibration. Différents reliefs sont mis en évidence sur cette membrane avec l’ombilic central et le triangle lumineux provoqué par la réflexion d’un rayon lumineux lors d’une otoscopie. AVANT ARRIERE
 OREILLE MOYENNE 
L’oreille moyenne est constituée du tympan et de la caisse contenant les trois Osselets Les osselets au nombre de trois s’articulent mécaniquement pour transmettre le son depuis le tympan jusqu’à l’oreille interne. Le marteau est enchâssé dans la membrane tympanique en faisant corps avec elle au niveau de la longue apophyse ; sa tête est articulée avec l’enclume qui lui fait suite (osselet intermédiaire). La branche descendante de l’enclume est reliée à la tête de l’étrier qui va séparer la vibration sonore en deux parties au niveau de la platine fixée au pourtour de la fenêtre ovale par un ligament annulaire qui assure l’étanchéité avec les liquides endolymphatiques en réalisant une interface air/eau. Le marteau et l’étrier, osselets liés (marteau avec tympan et étrier avec fenêtre ovale) sont conditionnés par deux muscles antagonistes lors de la propagation des sons : le muscle du marteau est tenseur du tympan en augmentant la pression de l’oreille interne et le muscle de l’étrier agit à l’inverse en diminuant la pression intra cochléaire (réflexe stapédien : rôle des protections de l’oreille interne lors de la perception de sons forts). Cette forge auriculaire où la vibration sonore aérienne conditionnée va venir stimuler la cochlée liquidienne permet en outre une amplification de l’amplitude de l’ordre de 40 dB par le jeu du montage columellaire.                                                                                 

OREILLE INTERNE 

L’oreille interne ou labyrinthe osseux est constituée d’os compact autour du labyrinthe membraneux et séparé de lui par le liquide péri lymphatique. Elle est séparée en deux parties : le labyrinthe postérieur constitué du vestibule et des trois canaux semicirculaires et le labyrinthe antérieur ou cochlée (limaçon) s’entourant sur deux tours et demi de spires et d’une hauteur de 35 mm qui contient la lame des contours qui s’enroule dans le sens anti-horaire pour une oreille droite. Cette coque osseuse est reliée à la caisse tympanique par l’intermédiaire de la fenêtre ovale fermée par la platine de l’étrier et la fenêtre ronde qui permet l’expansion de ces mêmes liquides à l’opposé de la fenêtre ovale. La lame des contours ou axe osseux de la spirale qui en coupe, détermine trois compartiments : la rampe tympanique, la rampe vestibulaire et le canal cochléaire entre les deux contenants l’organe de corti. L’organe de corti est celui de la perception auditive est constitué de cellules sensorielles (cellules ciliées internes ou CCI sur une rangée) et de cellules de soutien (cellules ciliées externes ou CCE disposées sur trois rangées en forme de V). L’utricule sur lequel viennent s’implanter les 3 canaux semi-circulaires présentant un renflement terminal où se situe la zone sensorielle (crête ampullaire de même structure que les macules).  Le saccule relié à l’utricule. Dans ces formations vestibulaires, on retrouve une unité sensorielle : la macule. Cette région spécifique des parois de ces organes est constituée d’une couche cellulaire engluée au sommet par une couche gélatineuse où repose les otolithes (CACO3). La macule utriculaire fait 30° avec l’horizontale ; la macule sacculaire est perpendiculaire (plan vertical).

VOIE CENTRALE 

Depuis le nerf auditif à partir du conduit auditif interne, l’influx nerveux sensoriel acoustique se propage vers les relais sous corticaux en faisant relais à différents niveaux du tronc cérébral (corps genouillé interne, tubercule quadrijumeau, complexe olivaire supérieur.) Puis au niveau du thalamus pour se projeter au final au niveau du cortex du gyrus temporal transverse. Il existe une tonotopie à tous les niveaux des relais et aussi du cortex auditif : séparation des sons de fréquences graves et aiguës avec amélioration du message auditif selon le relais (effet stéréophonique, latéralisation de la source sonore, discrimination des différents sons, détection des sons complexes.).

INNERVATION ET VASCULARISATION
La vascularisation de l’oreille externe dépend du système carotidien externe. L’oreille est vascularisée par deux artères branches de la carotide externe : artère auriculaire  antérieur et postérieur. Et en avant, la veine temporale superficielle et en arrière la veine auriculaire postérieure et occipitale superficielle L’innervation sensitive est assurée par quatre nerfs : le nerf facial, le trijumeau, le nerf pneumogastrique et le plexus cervical superficiel. L’innervation motrice se fait avec le nerf facial par le biais d’un rameau auriculaire postérieur et supérieur. Le rameau temporal de la branche temporo-faciale innerve le muscle auriculaire antérieur.

HISTOLOGIE DE L’OREILLE EXTERNE 

Le pavillon : Il est formé de cartilage élastique de couleur jaune de 0,5 à 1 millimètre d’épaisseur. Ce cartilage est recouvert d’un périchondre contenant de nombreuses fibres élastiques, la surface est recouverte de peau fine avec un hypoderme très fin sur sa face antérolatérale, on y trouve des poils, des glandes sébacées et des glandes sudoripares.          Le conduit auditif externe :
Il est constitué d’un cylindre dont le tiers externe est fibro-cartilagineux, et les deux tiers internes osseux. De nombreux poils associés à des glandes sébacées se trouvent dans la partie externe, et des glandes cérumineuses. Le conduit auditif externe contient du cérumen. La membrane tympanique : Elle est constituée de trois couches différentes. La plus externe est une couche épithéliale, qui est la continuité de l’épithélium pavimenteux stratifié recouvrant l’oreille xterne. La couche de cellules la plus interne est une muqueuse respiratoire de type épithélium cubique, qui recouvre toute l’oreille moyenne, cette couche muqueuse interne varie de 20 à30 µ d’épaisseur. Entre ces deux couches existe une troisième couche, la lamina propria, contenant en grande partie des fibres de collagène, très organisées, dans une grande quantité de substance fondamentale, cette couche intermédiaire fibreuse comprenant les fibres élastiques et les fibres de collagène assure la rigidité du tympan. La couche fibreuse est absente au niveau de la « pars flaccida ».

PHYSIOLOGIE DE L’OREILLE

L’oreille est l’organe qui sert à capter le son et est responsable pour le sens de l’ouïe. Le mot peut se référer au système entier qui effectue la collection et la compréhension des sons, ou bien à la partie extérieure seulement. L’oreille externe L’oreille externe est le point de départ du mécanisme physiologique de l’audition. Elle sert à la réception et la localisation des sons Les sons perceptibles de 10 à 15 dB sur les fréquences 155/7000 Hz avec une résonance à 2000 Hz. La grande partie de l’oreille externe sert à capter et à concentrer les ondes sonores. Le pavillon humain amplifie de quelques décibels les fréquences autour de 2 000 Hz et les fréquences plus aiguës autour de 3 000 Hz seront également amplifiées par le conduit auditif externe. Du pavillon, le son suit le conduit auditif externe, un tube qui conduit à l’oreille moyenne. Cette partie qui a un rôle de conduction de l’oreille sécrète le cérumen pour se protéger. LE TYMPAN Il joue le rôle de l’amplification, c’est lui qui va réagir aux modifications de pression entre l’air atmosphérique extérieur et l’air intérieur clos mais renouvelé par la trompe d’Eustache reliant cette caisse au cavum. (Arrière des fosses nasales où se trouvent les reliquats adénoïdiens du système immunitaire de l’enfant). L’oreille moyenne Elle joue un rôle de transmission, les vibrations de l’air (sons) dans le conduit auditif font vibrer le tympan, qui transmet ces vibrations aux osselets ; ceux-ci les transmettent jusqu’à la fenêtre ovale qui conduit à l’oreille interne. La conception qui domine actuellement sur la propagation des vibrations dans l’oreille moyenne est celle de Khana et Tonndorf, élaborée en 1972 schématiquement, les lignes  des zones concentriques d’iso-amplitude de certaines fréquences sont parallèles au manche du marteau, avec, pour la membrane du tympan, des zones de vibration plus amples que pour ce manche. Puisque l’oreille moyenne est creuse, un environnement de haute pression (comme l’eau) poserait le risque de crever le tympan. Pallier ce risque est la fonction des trompes d’Eustache Descendants évolutionnaires des ouïes respiratoires des poissons, ces trompes relient l’oreille moyenne aux fosses nasales afin de décomprimer les oreilles moyennes.

L’oreille interne

Elle est responsable de la perception et l’équilibration, elle contient non seulement l’organe de l’ouïe, la cochlée ou limaçon (cochlea), mais aussi le vestibule, organe de l’équilibration, responsable de la perception de la position angulaire de la tête et de son accélération. Les mouvements de l’étrier sont transmis à la cochlée via la fenêtre ovale et le vestibule La cochlée est un organe creux rempli d’un liquide appelé endolymphe (endolympha). Elle est tapissée de cellules ciliées – des cellules sensorielles coiffées de structures filamenteuses, les stéréocils (stereocilia), groupés en une touffe ciliaire libre de vibrer. Ces cellules sont disposées le long d’une membrane (la membrane basilaire) qui vient partitionner la cochlée en deux chambres. L’ensemble des cellules ciliées et des membranes qui leur sont adjointes constituent l’organe de Corti. La membrane basilaire et les cellules ciliées qu’elle porte sont mises en mouvement par les vibrations transmises au travers de l’oreille médiane. Le long de la cochlée, chaque cellule répond préférentiellement à une certaine fréquence, pour permettre au cerveau de différencier la hauteur des sons. Ainsi, les cellules ciliées les plus proches de la base de la cochlée (fenêtre ovale, au plus près de l’oreille médiane) répondent préférentiellement aux aigus. Celles situées en son apex (dernier tour de la cochlée) répondent aux basses fréquences. Ce sont les cellules ciliées qui font la transduction mécano électrique : elles transforment un mouvement de leur touffe ciliaire en signal nerveux par le nerf auditif, qui va être interprété par le cerveau comme un son de la hauteur tonale correspondant à la cellule excitée Des sons trop intenses peuvent endommager les cellules ciliées. Ceci est une cause répandue de perte d’audition. Les personnes en contact avec un niveau de bruit important (causé, par exemple, par des machines en milieu industriel) doivent disposer d’une  protection auditive adéquate ; ces cellules ne se régénèrent pas : la perte d’audition dans les fréquences des cellules perdues est définitive. L’appareil vestibulaire se constitue de trois canaux semi-circulaires, disposés orthogonalement dans les trois plans. Ils sont remplis de la même endolymphe que la cochlée. Lorsque l’oreille est soumise à un mouvement, l’inertie de ce liquide rend ce mouvement détectable par des cellules ciliées, tout à fait similaires à celles de la cochlée. La disposition des trois canaux en trois plans orthogonaux permet de détecter la position angulaire de la tête dans toutes les directions possibles. On trouve également au sein du vestibule des organes chargés de la détection de l’accélération linéaire.

LE CERUMEN
Dans le conduit auditif, il existe des glandes qui secrètent le cérumen. Le cérumen est une substance produite par des glandes cérumineuses du canal auriculaire ; c’est une substance séreuse et molle, de coloration brune ou jaunâtre, et de goût amer. Mode de sécrétion : Le cérumen se forme à partir de la desquamation de l’épiderme du conduit et du tympan lors de leur renouvellement. La nature en effet a prévu que la desquamation des couches épidermiques de l’oreille se déplace depuis la moitié de la membrane du tympan vers l’extérieur. Pendant ce parcours, il entre en contacte avec des graisses particulières produites dans les glandes et quittent ensuite l’oreille sous forme de cérumen lors des mouvement de l’articulation temporomandibulaire. Rôle du cérumen : Il est tout à fait normal d’avoir un peu de cérumen dans le conduit auditif externe. Le cérumen protéger l’oreille de la poussière, des corps étrangers et des infections, le pH acide cutané prévient l’implantation des bactéries et des champignons en cet endroit.

Mode d’évacuation
Il se déplace vers l’extérieur du conduit avec les mouvements de mastication de la mâchoire. Certaines personnes réagissent à une otite moyenne chronique ou à la présence de poussières par une abondante production de cérumen. Beaucoup plus rarement, du cérumen s’accumule et sèche dans le conduit auditif, qui se bouche. Il n’y a pas gravité, mais un bouchon de cérumen peut cependant parfois empêcher une personne d’entendre normalement ou percevoir des acouphènes tant qu’il n’aura pas été enlevé. Dans le conduit auditif, il existe un « système d’auto nettoyage » qui est le mode de fonctionnement de l’oreille pour défendre contre les agents pathogènes venant de l’extérieur Lorsque ce système ne fonctionne plus normalement il se forme le « bouchon de cérumen » qui obstruait l’oreille.

PHYSIOPATHOLOGIE DE L’OTOMYCOSE
DU CONDUIT EXTERNE

L’otomycose du conduit auditif externe est une infection dermo-épidermique d’origine fongique du conduit auditif externe L’otomycose ne se développe pas spontanément sur la peau saine du CAE, elle requière : – des lésion au niveau de l’épiderme du conduit par : Des microtraumatismes due à l’utilisation intempestive du coton tige L’extraction journalière de cérumen Le port d’embout prothétique Ces lésions de la peau sont dues à l’utilisation de coton tige de façon exagère ou quotidiennement pour le nettoyage de l’oreille, fragilise la peau sous jacente. L’élimination journalière de cérumen enlève au conduit sa couche protectrice qui est « le cérumen » doué d’une fonction anti-fongique d’ou l’implantation facile des mycose à cet endroit.
– des modifications physico- chimique comme : lavage à l’eau savonneuse du conduit, un baignade à la piscine, l’utilisation des détergents pour le nettoyage du conduit Ces modifications physico-chimiques du milieu favorisent l’implantation des mycoses par la perturbation du pH cutané, diminue aussi le pouvoir du cérumen en tant qu’antifongique de ce milieu Par ses irritations, le conduit devient un milieu favorable pour les germes pathogènes : qui sont : l’aspergillus Niger et candida albicans et entraîne l’otomycose du CAE .

COTON TIGE
Le Coton Tige est un petit bâtonnet garni à chaque extrémité d’une petite boule de coton. C’est une marque déposée par Unilever NV. On peut utiliser le nom commun bâtonnet ouaté. Ces bâtonnets servent à nettoyer l’oreille du cérumen qu’elle secrète. Le coton tige est vendu sous différente présentation, et il y a des présentations pour l’enfant et l’adulte. Le plus souvent on y trouve que dans les grandes villes et ils sont vendus à des prix abordables.

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Table des matières

SUJET : PATHOLOGIE DE L’UTILISATION DE COTON TIGE
LISTE DE TABLEAUX
LISTE DES GRAPHIQUES
LISTE DES FIGURES
LISTE DES ABREVIATIONS
PREMIERE PARTIE : RAPPELS THEORIQUES
INTRODUCTION 
REVUE DE LA LITTERATURE                                                                                                        L’OREILLE
ANATOMIE
INNERVATION ET VASCULARISATION
HISTOLOGIE DE L’OREILLE EXTERNE
PHYSIOLOGIE DE L’OREILLE
LE CERUMEN
PHYSIOPATHOLOGIE DE L’OTOMYCOSE DU CAE
COTON TIGE
DEUXIEME PARTIE : MATERIELS ET METHODES ET LES RESULTATS
CADRE D’ETUDE
MATERIEL D’ETUDE
METHODE D’ETUDE
RECRUTEMENT DES PATIENTS
CRITERE D’INCLUSION
CRITERE D’EXCLUSION
RESULTATS
RESULTAT DU RECRUTEMENT
SELON LE SEXE
SELON LES PATHOLOGIES
SELON LES ASSOCIATIONS DES PATHOLOGIES
SELON L’AGE
SELON LES TRANCHES D’AGE
SELON LES MOTIFS DE CONSULTATION
SELON LES MOTIFS D’UTILISATION
SELON LES FREQUENCES D’UTILISATION
SELON LES FREQUENCES D’UTILISATION ET PATHOLOGIE
SELON LES SYMPTOMATOLOGIES CLINIQUES
TROISIEME PARTIE : DISCUSSIONS ET COMMENTAIRES
DONNEE EPIDEMIOLOGIQUE                                                                                                        SELON LE SEXE                                                                                                                              SELON LA PATHOLOGIE
SELON LES ASSOCIATIONS DES PATHOLOGIES
SELON L’AGE
SELON LEURS MOTIFS DE CONSULTATION
SELON LEUR MOTIF D’UTILISATION
SELON LA FREQUENCE D’UTILISATION
SELON LA FREQUENCE D’UTILISATION ET LES PATHOLOGIES
SELON LEURS SYMPTOMATOLOGIES CLINIQUES
SELON LEURS TRAITEMENTS                                                                                                      SUGGESTION
CONCLUSION
BIBLIOGRAHIE

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