OFFRE ET RECOURS AUX SOINS POUR LES INFECTIONS SEXUELLEMENT TRANSMISSIBLES DANS LE DISTRICT SANITAIRE DE POPENGUINE

Généralités sur les IST

   Anciennement appelées maladies vénériennes, du nom de Vénus, la déesse romaine de l’Amour, ou maladies honteuses, les IST regroupent des maladies très variées, contractées le plus souvent, lors d’un rapport sexuel non protégé (vaginal, anal ou même oral). Elles regroupent des infections variées aussi bien dans leur manifestation clinique et les complications qu’elles peuvent entrainer, que dans leur prise en charge. Elles restent mal connues du public, à l’exception du sida (Larousse). Cela ne signifie pas qu’elles n’ont que la voie sexuelle pour être transmises, mais que c’est leur mode de transmission principal, étant donné que certaines IST peuvent se transmettre par voie sanguine ou de la mère à l’enfant. Il existe plus d’une trentaine de bactéries, virus et parasites qui se transmettent par voie sexuelle. Pour la plus grande part, l’incidence des maladies sexuellement transmissibles est liée à huit de ces agents pathogènes. Sur ces huit infections, quatre peuvent être guéries la syphilis, la gonorrhée, la chlamydia et le trichomonas. Les quatre autres sont des infections virales incurables : l’hépatite B, le virus de l’herpès (herpes virus simplex ou HSV), le VIH, et le papillomavirus humain (VPH) (OMS 2016). Depuis les années 90 l’expression « infections sexuellement transmissibles » (IST) est préférée à la place de « maladies sexuellement transmissibles » (MST), car certaines de ces affections sont asymptomatiques pendant une partie de leur évolution (sans symptôme apparent, elles peuvent passer inaperçues, ne répondant pas à l’acception du mot maladie dans le langage courant). Une infection sexuellement transmissible est donc une maladie infectieuse qui se transmet entre partenaires aux cours de différentes formes de rapports sexuels : contacts génitaux, rapports oraux, vaginaux, ou anaux mais aussi par contacts sanguins, comme dans le cas de l’hépatite B, de l’hépatite C et du VIH (OMS, 2008). Les plus fréquentes sont : la blennorragie, la gonococcie, la chlamydia, les papillomavirus (HPV), l’hépatite B, l’herpès génital, les mycoplasmes, la Syphilis, le chancre mou, le virus de l’immunodéficience humaine (VIH) (OMS, 1993). Chacune d’elle présente un danger et un degré de gravité diffèrent. Elles comprennent au moins 30 agents pathogènes bactériens, viraux et parasitaires qui sont transmis par voie sexuelle. Si beaucoup sont curables (la chlamydiae, la gonorrhée, la syphilis, l’herpès génital, le condylome, le chancre mou, l’hépatite C, la cystite…), les IST incurables, comme l’Herpès virus 2 et le SIDA, ajoutent à la lourde charge de morbidité et de mortalité pour les femmes, les hommes et les enfants. Le recours au dépistage permet une connaissance de son statut et facilite la prise en charge. Il permet aussi d’éviter de transmettre le virus à d’autres personnes.

Définition des indicateurs utilisés

-Desserte médicale : Elle permet de mesurer l’offre de soins. Ceux qui privilégient les usagers mettent l’accent sur le ratio population desservie par un service ou par un praticien (desserte médicale). Ceux qui mettent l’accent sur les prestataires de soins ou les équipements, utilisent le ratio effectif de médecins ou de services pour une population donnée (densité médicale). L’offre de soins d’une zone est évaluée par rapport aux normes définies par les planificateurs nationaux et internationaux.
-Aire de recrutement : c’est l’espace polarisé par une structure de soins. (Picheral, 1984), le définie comme l’aire effective d’exercice d’une structure de soins.
-Morbidité diagnostiquée : c’est le nombre (absolu ou relatif) des malades dans un groupe donné et pendant un temps déterminé dont leurs noms sont mentionnés dans les registres de consultation au niveau des structures de soins.
-Morbidité déclarée : La morbidité déclarée est celle perçue par l’individu et correspond à sa propre représentation (sociale, psychologique, culturelle…) elle est mesurable seulement par le biais d’une enquête directe (Picheral, 2001).
-Le taux de fréquentation : c’est le rapport entre le nombre de consultants déclarés d’un lieu sur la population totale de ce lieu pour une période bien déterminée. Selon les normes de l’OMS ce taux est jugé acceptable lorsqu’il atteint 70 %. Toutefois force est de constater que ce taux n’exprime que la demande réelle, celle qui est enregistrée au niveau des services de santé.
-Le taux d’utilisation : le rapport du nombre de consultants sur la population cible. Il sert à mesurer l’activité et l’attractivité des différents postes de santé.
-La qualité de l’accueil et du soin : c’est un indicateur qui renseigne sur des déterminants sociaux comme la sociabilité, l’ouverture des soignants envers les patients et sur la qualité de la prestation de soins des praticiens.
-Les comportements thérapeutiques : pratiques spatiaux et sociaux de recours aux soins pour satisfaire les besoins de santé, il permet d’identifier le choix de soins des patients, les itinéraires thérapeutiques suivis et les facteurs de l’accès aux soins.

DYNAMIQUES ECONOMIQUES

   Le district sanitaire de Popenguine se singularise par une diversité des activités économiques. Au cours de ces deux dernières décennies l’économie qui était jadis dominée par le secteur primaire à travers l’agriculture sous-pluie devient de plus en plus marquée par le secteur secondaire en raison de l’implantation progressive des entreprises dans le district. Ces mutations concernent non seulement le mode de fonctionnement de l’espace mais aussi le statut même du milieu en question. On assiste ainsi à une reconversion économique de la population vers d’autres activités économiques nouvelles. Il est important de rappeler qu’avant les années 2000 l’agriculture et l’élevage furent les activités économiques principales au sein du district sanitaire de Popenguine. Concernant l’agriculture elle existait sous trois formes : l’agriculture sous-pluie, l’arboriculture et le maraichage (Thiandoum, 2007). L’agriculture sous-pluie concernait exclusivement les spéculations telles que l’arachide, le mil, le maïs, le sorgho et le niébé. L’arachide constituait la culture dominante dans la quasi-totalité des villages du district. L’essor de l’agriculture souspluie a été favorisé par la disponibilité et la fertilité des terres notamment avec le Deck et le Deck-Dior qui sont des sols connus pour leur potentiel agronomique (Thiandoum, 2007). Cette agriculture qui se fait généralement de juillet à septembre était essentiellement destinée à la consommation. Le maraichage concerne particulièrement les spéculations telles que le chou, l’aubergine, l’oignon etc. Pour ce qui est de l’arboriculture, elle tourne essentiellement autour des arbres fruitiers comme le manguier, l’oranger, le mandarinier, etc. Contrairement à l’agriculture sous-pluie, le maraichage et l’arboriculture sont des cultures de rente, c’est-à-dire exclusivement tournées vers la commercialisation. Cependant, l’ensemble de ces types d’agricultures connaissent actuellement une nette régression au niveau du district sanitaire de Popenguine (Seck, 2011). Cette transition résulte d’une baisse des précipitations, de la dégradation des sols et la réduction de plus en plus prononcée des terres cultivables (Thiandoum, 2007). L’abondance des ressources minières justifie l’implantation des industries extractives particulièrement dans la commune de Diass. L’étude géologique nous montre une zone riche en ressources minières. On y trouve une variété de matière première : le grès rouge à Packy, le calcaire à Bandia et Kiréne, l’argile et la latérite à Tchicky et des nappes souterraines riches en eau. La richesse de ces nappes est un des facteurs qui justifie l’implantation de l’usine d’eau minérale dans la zone de Diass (Pouye, 2003). Autrement dit le district abrite plusieurs infrastructures et industries de grand ampleur à l’égard de l’aéroport international Blaise Diagne et les ciments du sahel qui ont favorisés le basculement de l’économie vers le secteur secondaire. L’AIBD constitue le facteur principal des mutations récentes du district sanitaire de Popenguine. Inauguré en décembre 2017, elle est née de la volonté de l’Etat de désengorger Dakar et de créer un certain équilibre entre la capitale et le reste du pays (ANAT, 2015). Elle constitue désormais le centre de gravité du triangle Dakar-ThièsMbour et fait de Diass une commune fortement convoitée. Il en résulte un manque d’importance accordé à l’agriculture au profit de nouvelles activités salariales (Seck, 2011). En fonctionnement depuis 2002, la société Les Ciments du Sahel constitue la plus grande cimenterie au Sénégal. Elle est basée au niveau de la commune de Diass où elle exploite plusieurs carrières. Au même titre que l’AIBD, la société Les Ciments du Sahel (LCS) constitue un facteur incontournable des mutations de la commune de Diass. En effet, elle participe à la reconversion économique des populations grâce aux emplois directs et indirects qu’elle génère (Seck, 2011). Les entreprises minières et agro-industrielles sont localisées principalement à Bandia (SODEVIT, INCA sarl, ROYAL MINE, SODEFCO, GAZAL, BOSFOR sarl, 2SBCI sarl…), à Toglou (SENECARRIERE) et à Kiréne (SIAGRO). Elles offrent une diversité des produits finis disponibles dans la zone à l’égard du béton, du sable, du calcaire, du ciment, de l’eau minérale et de jus de fruit. Ces derniers impactent directement sur l’expansion du secteur du commercial. Il faut noter que ces unités de production ont des marchés nationaux voire même internationaux. Elles ont l’avantage d’avoir des marchés non loin de la zone de production car le district se situe à proximité de grands centres urbains (Dakar, Mbour, Thiès) qui sont de grands demandeurs des produits tirés des activités extractives. Ces villes du fait de leur poids économique et démographique ont d’importants besoins en matériau de construction comme le ciment et le béton, et en eau minérale. Cette dernière est surtout demandée à Mbour qui regroupe une bonne partie des hôtels du Sénégal. Comme nous pouvons l’observer au niveau du tableau 6 la dynamique économique dans le district sanitaire de Popenguine a eu des répercussions surtout positives sur la population autochtone c’est-à-dire la population théorique du district et sur la zone. Il s’agit principalement de la création d’emplois qui a réduit considérablement le taux de chômage des jeunes de la localité. Le tableau 6 prend en compte les trois dernières carrières implantées et donne plus de visibilité aux emplois générés par ces entreprises. On y constate que dans chacune de ces nouvelles carrières plus de la moitié du personnel est constituée par les populations de la localité. Les carrières et usines s’investissent aussi beaucoup dans le développement des communes de Diass et Sindia en aidant les populations. Cette aide est surtout visible dans les domaines de la santé, de l’éducation, des équipements sociaux et de l’action sociale. Elles ont aussi permis le désenclavement de certains villages tout en mettant en place des routes et le développement des activités économiques connexes comme le transport, et le commerce.

L’OFFRE DE SOINS PREVENTIFS POUR LES INFECTIONS SEXUELLEMENT TRANSMISSIBLES

    Le Sénégal a réaffirmé sa volonté de maîtriser le VIH, à travers l’élaboration du Plan Stratégique national de Lutte contre le Sida (PSLS) 2007-2011 et d’un Cadre de Dépense à Moyen Terme sur le VIH/SIDA (CDMT). D’ailleurs le programme de lutte contre les MST mis en œuvre depuis 1978 a été réactualisé et intégré au programme de lutte contre le sida dès 1986. Mieux encore le Programme National de Lutte contre le Sida (PNLS) devient CNLS en 2002 dans le but de produire à l’échelle nationale des résultats défavorables à la progression des IST. L’offre de soins préventifs occupe donc une place centrale dans la politique sanitaire sénégalaise et donne des résultats satisfaisants par le biais des visites à domicile et des causeries. Il s’agit en réalité de la sensibilisation, du dépistage et la planification familiale qui favorise l’atteinte des OMD d’une maniérée générale (ANSD, 2010). Selon Ndoye et al (1995), l’éducation tout comme les conseils sont partie intégrante de l’offre de soins des patients souffrant d’IST. L’éducation a trait aux informations que le patient doit revoir pour comprendre la maladie qui l’affecte, et ainsi prendre les mesures pour interrompre la dissémination des IST et du VIH. De même les conseils constituent une communication interpersonnelle entre deux personnes, dont l’une à un problème, que l’autre essaie de l’aider à le résoudre. Les conseils visent à changer les comportements qui peuvent mettre le patient et son/sa partenaire dans une situation à risque de contracter une IST. Mieux encore le CNLS est un cadre qui offre une large gamme de prévention à travers les dépistages, les conseils et le don de préservatifs (CNLS, 2008). Dans le contexte du dépistage l’OMS dans sa déclaration sur le conseil et le dépistage du VIH du 28 novembre 2012 soutient que : « La connaissance précoce de leur séropositivité optimise pour les personnes vivant avec le VIH les possibilités d’accéder au traitement et, ainsi, de réduire beaucoup la morbidité et la mortalité liées à l’infection et/ou de prévenir la transmission de la mère à l’enfant ». Ensuite elle définit les cinq éléments (5 C) à respecter par tous les services de conseil et dépistage : Consentement, Confidentialité, Conseil, résultats Corrects du dépistage et Connexion/lien avec la prévention, les soins et le traitement. L’offre de soins préventifs pour les IST chez les jeunes est toujours associée à l’abstinence, au préservatif, et à la fidélité (Joinet, Mugolola, 1995).

CONCLUSION GENERALE

    L’objet de la géographie de la santé réside dans l’analyse spatiale des inégalités de santé des populations, de leurs comportements et des facteurs de leur environnement qui peuvent être favorables ou défavorables pour leur santé (Picheral, 2001). Cela passe nécessairement par l’identification et l’examen des déterminants liés à l’offre et à la demande de soins. Dès lors la situation sanitaire d’une population qui découle de ces facteurs varie de façon remarquable d’une localité à l’autre mais aussi de la pathologie pris en compte. Dans le district sanitaire de Popenguine l’analyse de l’offre de soins montre à la fois une bonne couverture en infrastructures sanitaires et les efforts à entreprendre pour compenser le déficit en personnel médical notamment en infirmiers et en sages-femmes dans les postes de santé de Sindia, Toglou et Guéréo. Cette analyse montre non seulement un déficit du personnel médical mais aussi une disparité dans sa répartition dans l’espace du district. Quant au recours aux soins l’analyse dévoile un écart considérable entre la morbidité diagnostiquée dans les postes de santé et celle déclarée par les enquêtés. En effets des points essentiels ont été dégagés après le passage au crible des résultats issus de l’offre et de la demande de soins pour les IST. Ainsi nous retenons en amont une accessibilité géographique et financière des soins. A cela s’ajoute un personnel qualifié et un matériel médical permettant les tests de base et la prise en charge complète des IST classiques partout au niveau des postes de santé du district. Le recours aux soins reste essentiellement conditionné par le niveau d’instruction et les considérations socioculturelles et religieuses. Concernant la population enquêtée, 83 % ont au moins entendu parler des IST et 74 % sont en mesure de donner un mode de leur transmission. Mieux encore 96,5 % connaissent au moins un moyen de prévention. Au total 450 individus ont été dépistés de la syphilis au cours des 12 derniers mois et 918 individus ont bénéficié du test du VIH. Les comportements à risque demeurent encore un problème au sein du district sanitaire de Popenguine car 58 % des rapports sexuels effectués par les enquêtés n’ont pas été protégés or que 63 % de ces derniers sont l’œuvre de la classe des 15-24 ans largement dominée par les célibataires. L’enjeu est donc de taille vu le nombre élevé de cas enregistrés par le district au cours des 12 derniers mois (1012 cas) et la part importante de la population enquêtée qui n’est pas en mesure de donner un symptôme quelconque d’une IST (70 %). En fin l’objectif principal de notre recherche était d’identifier les déterminants de l’offre et du recours aux soins pour IST dans le district sanitaire de Popenguine. Il a suscité un certain nombre d’hypothèses vérifiées et confirmées par les résultats susmentionnés.

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Table des matières

INTRODUCTION GENERALE
I-PROBLEMATIQUE
I-1- Contexte et justification
II-2-Hypothèse générale
III-ANALYSE CONCEPTUELLE
III-METHODOLOGIE
III-1-La revue documentaire
IV-1-1-Généralités sur les IST
IV-1-2-Relation entre IST et VIH
IV-1-3-Manifestation des IST
IV-2-Revue des études antérieures
IV-3-Collecte des données sur l’offre et le recours aux soins pour les Infections Sexuellement Transmissibles
IV-3-3-Les entretiens auprès des prestataires de soins
IV-4-Traitement et analyse des données
IV-5-Calendrier de la recherche
IV-6-Les limites de l’étude
PREMIERE PARTIE : DYNAMIQUES SPATIALES ET SOCIALES DANS LE DISTRICT SANITAIRE DE POPENGUINE
CHAPITRE I : DYNAMIQUES SOCIO-SPATIALES ET ENVIRONNEMENTALES DANS LE DISTRICT SANITAIRE DE POPENGUINE AU COURS DES DEUX DERNIERES DECENNIES (DE 1998 A 2018)
I-DYNAMIQUES SOCIO-SPATIALES
II-DYNAMIQUES ENVIRONNEMENTALES
CHAPITRE II : DYNAMIQUES DEMOGRAPHIQUES ET ECONOMIQUES
I-DYNAMIQUES DEMOGRAPHIQUES
II- DYNAMIQUES ECONOMIQUES
DEUXIEME PARTIE : L’OFFRE DE SOINS POUR LES INFECTIONS SEXUELLEMENT TRANSMISSIBLES
CHAPITRE I : L’OFFRE DE SOINS DANS LE DISTRICT SANITAIRE DE POPENGUINE
I-LA DESSERTE MEDICALE DANS LE DISTRICT SANITAIRE DE POPENGUINE
I-1-La desserte en infrastructures de soins
I-2-La desserte en personnel de santé
I-3-La desserte en équipements sanitaires
I-3-1- Equipements des postes de santé
I-3-2- Equipements du centre de santé
CHAPITRE II : L’OFFRE DE SOINS POUR LES INFECTIONS SEXUELLEMENT TRANSMISSIBLES
I-L’OFFRE DE SOINS PREVENTIFS POUR LES INFECTIONS SEXUELLEMENT TRANSMISSIBLES
I-1-Les soins préventifs dans le district sanitaire de Popenguine
I-1-1-Le dépistage (IST/VIH)
I-1-2-Les activités de sensibilisation
II-L’OFFRE DE SOINS CURATIFS POUR LES INFECTIONS SEXUELLEMENT TRANSMISSIBLES
CONCLUSION
TROISIEME PARTIE : LE PROBLEME EPINEUX DU RECOURS AUX SOINS POUR LES INFECTIONS SEXUELLEMENT TRANSMISSIBLES
CHAPITRE I : LA MORBIDITE DIAGNOSTIQUEE ET DECLAREE
I-LA MORBIDITE DIAGNOSTIQUEE DANS LES POSTES DE SANTE
I-1-Le nombre de Cas selon le type d’IST
I-2-La répartition des cas en fonction des postes de santé
I-3-La répartition des cas en fonction du sexe
I-4-La répartition des cas en fonction de la tranche d’âge
II-LA MORBIDITE DECLAREE
II-1-Repartition de la morbidité déclarée selon le type d’IST
II-2-Répartition de la morbidité déclarée selon l’âge
II-3-Répartition de la morbidité déclarée selon le sexe
II-4-Répartition spatiale de la morbidité déclarée
II-5-Ecart entre la morbidité déclarée et la morbidité diagnostiquée
CHAPITRE II : LES DETERMINANTS DU RECOURS AUX SOINS POUR LES INFECTIONS SEXUELLEMENT TRANSMISSIBLES DANS LE DISTRICT SANITAIRE DE POPENGUINE
I-LE PROFIL SOCIODEMOGRAPHIQUE DE LA POPULATION ENQUETEE
I-1-L ’âge
I-2-Le sexe
I-3-L’ethnie
I-4-Situation matrimoniale
I-5-Le niveau d’instruction
I-6-Le statut professionnel
II-CARACTERISTIQUES SOCIO-SANITAIRES DE L’ECHANTILLON
II-1-Le comportement sexuel a risque
II-1-1-Les rapports sexuels
II-1-2-L’utilisation des préservatifs
II-2-La notification aux partenaires sexuels
II-3-Les itinéraires thérapeutiques des patients en cas d’IST
II-4-Perception des IST
III-NIVEAU DE CONNAISSANCE DES ENQUETES EN MATIERE D’IST
III-1-Connaissance des modes de prévention des IST
III-2-Connaissance des signes des IST
CONCLUSION
CONCLUSION GENERALE

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