Observatoire dynamique comme outil d’aide à la décision appliqué au système éducatif

Organes chargés des examens officiels

   Pour évaluer les apprentissages et les acquis dans le système éducatif camerounais, deux pratiques sont appliquées :
– Les évaluations séquentielles ;
– Les examens et concours officiels
Une séquence couvre une période de 5 à 6 semaines d’enseignement et d’apprentissage et l’année scolaire est découpée en 6 séquences. Les évaluations séquentielles ont lieu selon le calendrier d’activités arrêté conjointement en début de chaque année scolaire par les ministres des Enseignements Secondaire et de l’Éducation de Base. Leur organisation relève de la responsabilité de chaque établissement public ou privé qui organise à sa guise tout le processus de la conception des épreuves à la distribution des carnets de notes. Quant aux examens et concours officiels, ils sont organisés chaque année soit par les ministères en Charge de l’éducation soit par des organes distincts. On distingue ainsi :
– Le CEP (Certificat d’Études Primaires) et le FSLC (First School Leaving Certificate) qui sont les examens officiels de fin de cycle primaire respectivement du sous-système francophone et anglophone sont organisés par les ministères en charge de l’éducation de base et des enseignements secondaires qui organisent aussi le concours d’entrée en 6ème et le Common entrance ;
– La DECC (Direction des Examens, des Concours et de la Certification) qui est une Direction des MINEDUB et MINESEC qui organisent les examens du 1er cycle secondaire du sous-système francophone notamment les examens BEPC (Brevet d’Études du Premier Cycle) de l’enseignement général, Le CAP (Certificat d’Aptitude Professionnelle) pour l’enseignement technique et professionnel ;
– Pour les examens relevant du second cycle francophone et anglophone, ils sont organisésrespectivement par l’OBC (Office du Baccalauréat du Cameroun) et le CGCEB (Cameroon General Certificate of Education Board) :
o OBC, a été créé par Décret N°93/255 du 28/09/93 modifié par Décret n°97/044 du 05/03/97, c’est un établissement public à caractère administratif (EPA), chargé de l’organisation des examens en langue française et conduisant au Baccalauréat de l’Enseignement Secondaire Général, au Baccalauréat de l’Enseignement Secondaire Technique, au Brevet de Technicien, au Brevet Professionnel et au Brevet d’Études Professionnelles (OBC, Présentation, 2015). Les missions qui lui sont assignées sont régies par l’arrêté N°047/CAB/PM du 17 mai 1994. Il est chargé de :
 De la préparation et de l’organisation des examens du second cycle de l’enseignement secondaire ;
 De la collation des diplômes avec la Tutelle Technique ;
 Des études visant à l’évaluation et à l’amélioration du système éducatif ;
 De la perception des droits d’inscription auxdits examens ;
 Des travaux de recherche et des études sur les examens dont il assure l’organisation ;
 De la collaboration avec des organismes similaires au Cameroun et à l’étranger ;
 De la facturation des prestations de l’OBC.
o CGCEB comme son homologue francophone est un EPA chargé de l’organisation des examens en langue anglaise conduisant au :
 The General Certificate of Education, (General Subjects) Ordinary Level;
 The General Certificate of Education, (General Subjects) Advance Level;
 The General Certificate of Education, (Technical Subjects) Ordinary Level;
 The General Certificate of Education, (Technical Subjects) Advanced Level.
Le bilinguisme est un atout du système éducatif camerounais pourtant, le système doit faire face à d’énormes problèmes comme le soulignent d’ailleurs certains résultats d’études menées par l’UNICEF ou le CIA Word Factbook. On peut citer entre autres :
 Infrastructures défaillantes ;
 Effectifs pléthoriques dans les salles de classe ;
 Hygiène et salubrité (toilettes quasi inexistantes, pas d’eau potable)
 Bas niveau des salaires des enseignants, source de démotivation et de corruption ;
 Inadéquation entre les formations et l’entreprise (manque de qualification, d’où chômage).
Malgré le fait que le Cameroun affiche l’un des taux  d’alphabétisation les plus élevé en Afrique selon UNICEF qui l’estime autour de 80%, certains rapports (UNESCO, 2014) sont unanimes sur le fait que le niveau des acquis des apprenants est très bas au niveau du primaire notamment en lecture et en mathématique. Ils relèvent que « les élèves ne savent ni lire ni compter et parfois jusqu’à la 6 ème année d’études ». Dans ces rapports, d’autres problèmes sont mis à jour tels le taux de redoublement élevé, l’abandon et de déperdition scolaire. Selon les mêmes sources, les facteurs à ces problèmes sont à chercher dans :
 La pauvreté des ménages ;
 Le manque des livres pour les apprenants (1 livre pour 12 élèves dans le meilleur des cas) ;
 Le manque et parfois l’absentéisme des enseignants ;
 L’instabilité des enseignants ;
 Etc.
Organes chargés de la recherche et de l’information dans le système éducatif Sur le plan d’évaluation des acquis ou des apprentissages, le système éducatif camerounais ne dispose pas de structure dédiée à la cause mais compte sur certains projets internationaux à l’instar du C2D (Contrat de Désendettement et de Développement) ou encore le PASEC (Programme d’Analyse des Systèmes Éducatifs de la CONFEMEN4). Ces organes publient des rapports réguliers d’études qui intègrent l’évaluation des acquis des apprentissages dans un niveau du système éducatif notamment le primaire (Cameroun, 2014) . Comme source de données, seul le rapport RESEN (Rapport d’état sur le système éducatif national) produit tous les dix années par la Banque mondiale permet de donner la situation sur l’état du système éducatif mais le projet de formation d’experts nationaux initiée par la même Banque Mondiale : le PAEQUE ((Programme d’Amélioration de l’Équité et de la Qualité de l’Éducation au Cameroun), permettra d’avoir sous la main les statistiques à jour, exploitables à tout moment. Officiellement, la création de certains instituts avec pour vocation la recherche pédagogique et le diagnostic du système éducatif avait pour objectif d’aboutir à des résultats pour servir d’outils d’aide à la décision. C’est le cas de l’Institut pédagogique appliquée à vocation rural (IPAR) de Yaoundé et de Buea et le Centre national de l’éducation (CNE) de Yaoundé. Le Centre National d’Appui à l’Action Pédagogique (CAAP) est quant à lui chargé de la définition des programmes de recherche pédagogique ; la promotion et la diffusion des résultats de la recherche ; et la définition des programmes de formation à distance des enseignants (UNESCO, 1996). D’après le rapport national du Cameroun sur les questions de l’éducation, cette recherche met l’accent sur :
 L’expérimentation pédagogique pour une mise au point de nouvelles méthodes d’apprentissage et d’enseignement, et une évaluation des documents pédagogique en usage dans les établissements scolaires ;
 Le développement psychologique de l’enfant et de l’adolescent, sur la confection des tests et autres instruments d’évaluation des connaissances ;
 Les interactions entre les enseignants, les élèves, les écoles et le milieu, et l’efficacité du système de l’éducation ;
 Le développement et l’amélioration des programmes scolaires, des documents pour le recyclage des enseignants et autres moyens didactiques.
Pour l’emploi et la formation professionnelle, un organisme : l’Observatoire National de l’Emploi et de la Formation Professionnelle (ONEFOP) a pour missions de mettre à la disposition des utilisateurs, des informations et des analyses objectives et fiables sur les mesures d’amélioration de la lisibilité de l’impact des programmes et mesures d’emploi au Cameroun. Quant à la situation des enseignants, le même rapport sur le développement de l’éducation au Cameroun révèle la caractéristique majeure de la situation des effectifs aux différents niveaux et types d’éducation est son insuffisance quantitative et qualitative. Cependant les efforts sont faits de la part de l’État à travers la construction et la réouverture des écoles normales pour la formation des formateurs et la nomination des Inspecteurs de pédagogie régionaux afin d’améliorer l’offre en qualité. La baisse successive des salaires au Cameroun (Janvier et Novembre 1993) ainsi que la dévaluation du franc CFA dans les années 1994 a entrainé la baisse du pouvoir d’achat des enseignants ainsi que leurs conditions de travail ce qui a notoirement joué sur la motivation et affecté l’efficacité du système éducatif. Les enseignants sont recrutés sur concours et formés dans les Écoles Normales d’Instituteurs de l’Enseignement Général ou Technique (ENIEG-ENIET) pour l’enseignement primaire ou dans les Écoles Normales Supérieures de l’Enseignement Général ou Technique (ENS-ENSET) pour l’enseignement secondaire. À leur sortie et nantis de leurs diplômes selon le cycle d’enseignement [Certificat d’Aptitude Pédagogique d’Instituteur de l’Enseignement Maternel et Primaire (CAPIEMP)- Certificat d’Aptitude Pédagogique d’Instituteur de l’Enseignement Technique (CAPIET) – Professeurs des Collèges ou Lycées d’Enseignement Général (PCEGPLEG) et professeurs des Collèges ou Lycées d’Enseignement Technique (PCET-PLET)], les jeunes enseignants sont intégrés dans la fonction publique et mis à la disposition des ministères concernés (MINEDUB-MINESEC). Des textes destinés à améliorer le statut socioprofessionnel des enseignants ont été votés à l’instar du décret portant statut particulier des fonctionnaires des corps de l’Éducation nationale (Décret n°96-088, 1996) qui institut entre autres des primes d’enseignement et d’évaluation qui viennent s’ajouter à la traditionnelle prime de technicité ainsi que l’instauration des palmes académiques (UNESCO, Rapport national sur le développement de l’éducation au Cameroun, 2001).

LES SYSTEMES D’AIDE A LA DECISION (SIAD)

     Dans un système d’aide à la décision, Robert (2007 : 65-68) indique dans son travail qu’un utilisateur doit composer une requête, celle-ci est transformée dans un format qui est en conformité avec les règles et les attributs dans le système informatisé. La requête est renvoyée à une base de données de connaissances qui est créée et la base d’’informations disponibles dans un domaine requis. Cette requête est mise en correspondance avec la base de données pour produire les sélections qui s’accordent avec la requête. Cet aspect compare le contenu de la requête aux attributs et aux valeurs dans une base de données. Le schéma suivant (fig. 14) résume les étapes de cette procédure de recherche d’information. Toujours d’après les travaux de Robert, quatre méthodes sont généralement utilisées pour développer les systèmes interactifs informatisés d’aide à la décision et les systèmes d’experts. Ce sont :
– Les raisonnements à base de cas ;
– Les raisonnements à base de règle ;
– Les réseaux neuronaux ;
– Les réseaux probabilistes.
La requête étant reformulée en fonction du résultat. Robert pense toutefois que le principal inconvénient des systèmes interactifs informatisés est que la plupart d’entre eux n’ont pas de place pour les commentaires personnels qui peuvent être ajoutés à l’interface de présentation. Ces commentaires souligne-t-il ainsi que la requête utilisée peuvent être un outil très important pour améliorer la base de données de source. Les systèmes interactifs d’aide à la décision (SIAD en anglais Decision support system (DSS)) d’après McNurlin & Sprague (1989 : 105) sont des « systèmes informatisés qui aident des décideurs à confronter des problèmes mal structurés, par l’interaction directe avec des modèles de données et des modèles d’analyse ». Ces systèmes sont habituellement fortement quantitatifs et permettent à des utilisateurs d’explorer les conséquences de différentes décisions basées sur des données différentes. Il peut être présentés entre autres systèmes :
– Le Système d’Information Exécutif (SIE) spécialisé dans la satisfaction des besoins d’information des décideurs dont les avantages ont été relevés par Leidner & Elam (1993). En effet, pour Leidner, le SIE permet d’augmenter la vitesse d’identification des problèmes dans le processus décisionnel ;
– Les systèmes d’aide à la décision de groupe (en anglais Group decision support systems -GDSS) aident la prise de décision collective de groupe qui vise à améliorer le processus de la prise de décision de groupe en enlevant les barrières communes de communication, fournissant des techniques pour structurer l’analyse de décision, et diriger systématiquement le modèle, la synchronisation, ou le contenu de la discussion dans un groupe (Davison, 1995 : 10-38). Les avantages présentés comprennent un degré élevé d’engagement pour l’exécution d’un projet et une meilleure gestion des conflits. En effet, les utilisateurs étudiés auraient amélioré leurs capacités dans le domaine de résolution des problèmes de planification et observé une grande amélioration dans la productivité, bien plus que dans le fonctionnement ordinaire d’une équipe (Lewis & Keleman, 1989 : 195-205).

L’annotation

    Après la classification des informations (documents) trouvées, l’utilisateur peut procéder à leur annotation. Plusieurs définitions sont données au sujet de ce terme donc voici quelque unes :
– Une annotation est « une information graphique ou textuelle attachée à un document et souvent placée dans ce document » (Desmontls, Jacquin, & Simon, 2003)14 ;
– Pour le grand dictionnaire en ligne une annotation est « un bref commentaire, une explication d’un document ou de son contenu, ou même une très brève description, habituellement ajouté(e) en note après la référence bibliographique du document» .
– « Les annotations sont les commentaires, les remarques, les suppressions, les signets externes etc.… qui peuvent être attachés à distance à n’importe quel document du Web ou à une section de document du Web » Il est vrai que la dernière définition est réductrice aux documents web mais le plus important est de retenir le fait que ce sont des « commentaires » ou « informations graphiques » qui accompagnent un texte, un document pour une meilleure compréhension ou renvoyer à une autre référence ou une critique. Elles sont généralement portées avec une encre de couleur différente pour attirer l’attention. Abiodun Robert quant à lui considère l’annotation non seulement comme une action mais aussi comme un objet. Comme une action car c’est « l’expression d’une connaissance ou compréhension spécifique d’un document ; et comme objet par ce qu’elle permet « influencer la perception de ses publics potentiels sur un sujet particulier » (Robert, 2007. P.34). Il identifie deux types d’annotations : les annotations volontaires et requises.
(a). Les annotations volontaires que l’auteur nomme les annotations « d’origine intérieure » sont celles produites par une initiative personnelle. Quelqu’un qui lit un document y porte instinctivement des commentaires, remarques, suggestions ou corrections ;
(b). Les annotations requises ou « d’origine extérieure ». Contrairement aux annotations volontaires, celles-ci sont motivées, demandées. Ceci peut-être une réponse à une question posée et l’annotateur est prié de s’engager dans le processus d’annotation. Ils sont alors des témoins légaux comme c’est le cas dans des organisations. L’annotateur étant une personne chargée d’accompagner un texte de notes.

SYNTHESE DES FONCTIONNALITES ET DES RESULTATS

     L’ODSE permet de s’assurer de l’efficience et de l’efficacité générales du système, de l’exécution et de la réalisation des buts et objectifs des programmes. Trois (3) types d’utilisateurs bénéficieront des fonctionnalités suivantes :
Utilisateur Lambda
 Afficher les objectifs d’un ministère ;
 Choisir et afficher les indicateurs selon les objectifs choisis.
Utilisateur authentifié. Ce sont les décideurs.
 Afficher et voir le parcours d’un enseignant ou d’un apprenant de son département ;
 Afficher tous les enseignants, les apprenants et les institutions de son département avec détention automatique par le système ;
 Faire des simulations dans le temps et dans l’espace ;
 Afficher le tableau de bord avec affichage des indicateurs multiples.
Opérateur de saisie de données avec accès par authentification
 Ajouter un enseignant, un apprenant ou une institution ;
 Ajouter des statistiques selon les données reçues.
Cet outil permet de faciliter l’interprétation des données par le biais de la synthétisation des informations sous la forme de données visuelles. Il devient alors un observatoire à travers lequel, le décideur observe, analyse et oriente sa décision en fonction du comportement d’un ou de plusieurs indicateurs. Les indicateurs retenus sont présentés dans un tableau de bord lequel d’après Fernandez (2008) est un instrument de mesure de la performance facilitant le pilotage proactif d’une ou plusieurs activités. Le tableau de bord est donc un outil d’aide à la décision qui est destiné à orienter les actions et à assurer une bonne gestion d’un programme de travail. Ils sont formés d’un assemblage d’indicateurs qui du diagnostic à l’interprétation des résultats, doivent permettre de décrire l’état du système et d’analyser les actions par rapport aux objectifs visés tout en prenant en compte les aspects socioéconomiques (Maurizi & Verrel, 2002).

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Table des matières

1 INTRODUCTION GÉNÉRALE
1.1 Contexte
1.2 Problématique et hypothèse
1.3 Organisation du mémoire
PREMIÈRE PARTIE : Aspects théoriques
2 LE CAMEROUN ET SON SYSTÈME ÉDUCATIF
2.1 Le Cameroun
2.1.1 Histoire
2.1.2 Situation géographique
2.1.3 Population
2.1.4 Relief
2.1.5 Climat
2.1.6 Hydrographie
2.1.7 Économie
2.1.8 Emploi
2.2 Le système éducatif camerounais
2.2.1 Organisation
2.2.2 Structure
2.2.3 Organigramme des départements ministériels
2.2.4 Organes chargés des examens officiels
3 L’ÉTAT DE L’ART
3.1 Institut National de la Statistique et des ÉTUDES ÉCONOMIQUES (INSEE)
3.2 Observatoire de l’éducation pour tous
3.3 Observatoire National de l’Emploi et de la formation Professionnelle (ONEFOP)
3.4 Institut National des Statistiques du Cameroun (INS)
3.5 Nigeria Security Tracker (NST)
3.6 Les systèmes d’aide à la décision (SIAD)
3.7 De la recherche d’information à la prise de décision
3.7.1 Le comportement informationnel de l’utilisateur
3.7.2 La prise de décision par l’utilisateur
3.7.3 La classification
3.7.4 L’annotation
3.7.5 L’indexation
3.7.6 Le problème de pertinence de l’information
3.8 Conclusion
4 APPROCHE DE L’INTELLIGENCE ÉCONOMIQUE DE L’OBSERVATOIRE DYNAMIQUE
4.1 ÉMERGENCE
4.2 Performance
4.3 Processus décisionnel
4.4 Intelligence économique
4.5 Tableau de bord/Observatoire
4.6 Conclusion
DEUXIÈME PARTIE : aspects pratiques
5 LA CONCEPTION DE L’OBSERVATOIRE DYNAMIQUE
5.1 Spécification de l’environnement
5.1.1 Technologie
5.1.1.1 Drupal
5.1.1.2 Internet
5.1.2 Accessibilité
5.1.3 Communications
5.2 Fonctionnalités de l’observatoire
5.2.1 Spécification des acteurs du Système éducatif
5.2.2 Spécification des objectifs
5.2.3 Spécification des indicateurs
5.2.3.1 Indicateurs généraux
5.2.3.2 Indicateurs spécifiques
5.3 Modèle Conceptuel de Données (MCD)
5.4 Modèle Logique de Données (MLD)
6 MISE EN ŒUVRE DU PROJET
6.1 Synthèse des fonctionnalités et des résultats
6.1.1 Utilisateur Lambda
6.1.2 Utilisateur authentifié. Ce sont les décideurs
6.1.3 Opérateur de saisie de données avec accès par authentification
6.2 Avantages de l’ODSE
6.2.1 Une meilleure visibilité de la carte scolaire
6.2.2 Une meilleure gestion du personnel
6.2.3 Transparence et crédibilité des statistiques
6.2.4 Discrétion et confidentialité de l’information
6.3 Alimentation du système
6.4 Implémentation et enquête
6.4.1 Contexte
6.4.2 Méthodologie
7 ÉVALUATION DE L’OUTIL
7.1 Résultats de l’enquête
7.1.1 Évaluation des réactions
7.1.2 Évaluation du niveau de transfert
7.1.3 Évaluation des résultats
7.1.4 Évaluation des pratiques comportementales
7.1.5 Appréciation de l’impact
7.2 Éléments de synthèse
7.3 Difficultés rencontrées
7.4 Conclusion
8 OBSERVER POUR MIEUX DÉCIDER
8.1 Contexte
8.2 Place de l’observatoire dans la littérature
8.3 Décisions éclairées par ODSE
8.3.1 Meilleure gestion du personnel
8.3.2 Amélioration des conditions de travail des enseignants et des apprenants
8.3.2.1 Des salles de classe
8.3.2.2 Des commodités
8.4 Observer : Pourquoi ? Comment ?
8.5 Observer pour évaluer
8.6 Observer pour mieux planifier
9 CONCLUSION GÉNÉRALE ET PERSPECTIVES
9.1 La première partie
9.1.1 Du rappel de la problématique
9.1.2 De l’état de l’art
9.1.3 De la définition des concepts
9.2 La deuxième partie
9.3 L’apport de notre projet
9.4 Les limites du travail
9.5 Les perspectives
10 BIBLIOGRAPHIE
11 ANNEXE 1 : GUIDE DE L’UTILISATEUR
11.1 Qu’est-ce que ODSE
11.2 Sommaire
11.3 Page d’accueil
11.4 Contact
11.4.1 Choix du destinataire du message
11.4.2 Le formulaire d’envoi du message
11.5 Liens utiles
11.6 Ministères
11.6.1 Indicateurs
11.6.1.1 Taux de scolarisation
11.6.1.2 Taux d’encadrement
11.6.1.3 Ratio apprenants-commodité
11.6.1.4 Taux de réussite aux examens officiels
11.6.1.5 Taux résultat interne
11.6.1.6 Taux de déperdition
11.6.2 Tableaux de bord
11.7 Login profile
11.7.1 Compte « Chef d’établissement »
11.7.2 Compte « Opérateur »
11.7.2.1 La création
11.7.2.2 La modification
11.7.3 Compte « Décideur »
11.7.3.1 Efficacité interne
11.7.3.2 Liste des apprenants de mon ministère
11.7.3.3 Liste des enseignants de mon ministère
11.7.3.4 Liste des établissements de mon ministère
11.7.3.5 Tableau de bord
12 ANNEXE 2 : QUESTIONNAIRE
13 ANNEXE 3 : Script MySQL 

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