Mode d’élevage et importance de la cysticercose porcine

INTRODUCTION

  La cysticercose ou ladrerie est due aux larves de Tænia solium ou Cysticercus cellulosae ; c’est une maladie parasitaire touchant à la fois l’homme et l’animal. Cette zoonose constitue un problème important d’ordre économique et de santé publique(1) mais trop souvent sous-estimé par les acteurs de la filière. Pour la santé publique, la neurocysticercose est la maladie parasitaire la plus prévalente dans le monde (2). Economiquement il y a les pertes colossales engendrées par la saisie et la destruction des viandes comme en Chine par exemple, elles sont évaluées à 120millions de Dollar par an (3), dans 10 pays d’Afrique elles s’élèvent à 25millions d’Euro par an et à Madagascar elles atteignaient une valeur de 35 254 292 034Ar au cours de l’année 2010 (4).C’est une maladie fortement endémique en Amérique Latine, en Asie et en Afrique(5) ; de préférence dans les pays où les conditions de développement et de persistance de la maladie sont réunies. A Madagascar, après l’épidémie de la Peste Porcine Africaine qui a décimé jusqu’à 85% de l’effectif dans certaines zones (6), un autre fléau s’abat sur la filière porcine; il s’agit de la cysticercose porcine(2). Les conditions d’hygiènedéfectueusecombinées avec les pratiques d’élevages traditionnelles font de Madagascar un excellent milieu de développement du parasite. La situation de Madagascar par rapport à la Taeniasis, où elle figure parmi les pays les plus touchés (2), facilite le bouclage de son cycle. Antananarive, avecun pourcentage de 12,7% sur la population nationaledont 37,7% sur la population de la région Analamanga (7), a besoin d’un apport protéique satisfaisant. Cet apport protéique passe par un ravitaillement régulier d’animaux dans les tueriesqui constituela principale porte d’entrée de la zoonose dans la capitale à travers l’ingestion de viande infestée. Il faut donc une descente dans ce milieu pour avoir un aperçu de la situation de ces viandes de porc qui suscitent de nombreuses controverses par rapport à la persistance de cette parasitose.D’autre part, les rares études se rapportant à la cysticercose concernent surtout les prévalences dans certaines zones de la grande île. Le fait qu’Antananarivo soit un carrefour de premier choix pour écouler les produits d’élevage à travers l’île, aidera à voir un aperçu global de la parasitose et de l’élevage porcin à travers toute l’île en se cantonnant sur les animaux destinés à l’abattage. Une étude sur la prévalence de la cysticercose à travers l’inspection de viande a été faite dans les 4 grandes tueries d’Antananarivo.Cette étude a comme objectif principal la quantification de la prévalence1de la cysticercose porcine dans les tueries d’Antananarivo. Les objectifs spécifiques consistent : (i) à déterminer les principales zones fournissant la viande de porc à Antananarivo et à localiser les zones infestées, (ii)à déterminerl’importance de l’élevage et de la cysticercose et (iii) à mettre en évidence l’importance de la maladie.

Cysticercose porcine

Définition La cysticercose porcine ou ladrerie communément appelée « Voavary » ou littéralement grain de riz est une maladie parasitaire causée par la larve de Tenia solium ou Cysticercus cellulosae. Il s’agit d’un stade de développement intermédiaire du Ténia. La coprophagie du porc le classe parmi les hôtes intermédiaires les plus infestés (8).
Etiologie Les différents stades d’évolution du parasite sont : œuf, métacestode2 et adultes. Le Taenia (forme adulte) est un vers plat. L’œuf est localisé à l’extérieur et il est immédiatement infestant. Le métacestode est constitué par une vésicule à l’intérieur du kyste au niveau de la paroi vésiculaire (2). Les métacestodes se développent dans les muscles, dans le système  nerveux central ainsi que dans les tissus sous cutanées. La forme adulte est aplatie dorso ventralement atteignant plusieurs mètres chez l’homme, elle est caractérisée par un scolex3à quatre ventouses au niveau de la tête avec un rostre4 muni de crochet. Le corps ou strobile est formé par l’ensemble des proglottis5. Ces derniers sont émis passivement dans le milieu extérieur avec les selles de l’homme. La forme adulte se développe strictement dans l’intestin grêle de l’homme (10).
Importance de la maladie La cysticercose porcine entraine des pertes économiques importantes pour les éleveurs, les collecteurs dans les abattoirs à cause des saisies totales ou partielles. Il y a aussi les divers traitements que doivent subir la viande infestée entrainant des dépenses supplémentaires. En effet la ladrerie constitue 10% des motifs de saisie dans les abattoirs (4) et 82% des saisies totales dans les tueries étaient dues à la cysticercose en 1979 à Madagascar.Chez l’homme, les pertes sont évaluées à partir des traitements et soins que nécessitent les malades. En Amérique Latine sur 400 000 cas, les dépenses sont évaluées à 15 millions de Dollars. La cysticercose provoque aussi une invalidité chronique de la population affectant à la longue sa productivité (11). Dans le monde, 50 millions de personnes sont infestés par le Taeniasis et 50 000 sont morts à cause de la cysticercose(12).
Cycle épidémiologique et mode de transmission Pour les trois espèces de Taenia : T. solium, T. saginata, T. asiatica ; l’hôte définitif (HD) unique est l’homme (13). Les hôtes intermédiaires (HI) ou organismes par lesquels le parasite se développe et la maladie se propage, sont :
• le porc domestique, le sanglier et le phacochère pour le T. solium ;
• les bovidés pour le T.saginata;
• les porcs également pour le T. asiatica.
Le cycle comprend une forme larvaire et une forme adulte. Par ingestion d’une larve de Cysticercus cellulosae, celui-ci se développe dans l’intestin grêle de l’HD, le scolex du parasite s’attache à la muqueuse pour former petit à petit les segments ou proglottis. Le vers avec son long strobile de 2 à 4 m est constitué de plusieurs proglottis. Après deux mois d’infestation, les proglottis deviennent matures et ils sont appelés gravides qui seront excrétés dans les fèces(13). Les œufs contenus dans ces anneaux résistent  longtemps à l’eau mais non à la sècheresse.L’HI ingère les œufs qui vont écloredans son estomac ou son intestin grêle, libérant l’embryon hexacanthe. Celui-ci va se propager par voie sanguine dans tout le corps de l’hôte en choisissant de préférence les tissus musculaires fortement vascularisés.L’homme sera donc atteint de Taeniasisqui est une infestation causée par les vers adultes. Cette maladie est contractée par l’ingestion de viande de porc ladre. L’homme peut aussi être l’hôte intermédiaire et par conséquent développer la maladie de la cysticercose. Une contamination qui peut provenir d’une ingestion accidentelle de fèces contenant des œufs de T.soliumou par auto-infestation par le T. solium hébergé par le sujet luimême .
Epidémiologie de la cysticercose T. solium est un parasite cosmopolite, dont la transmission est surtout liée aux conditions hygiéniques.…Synthèse bibliographique
Chez le porc
Cas de la cysticercose porcine dans le monde Au niveau mondial, les victimes de la cysticercose sont surtout les porcins. Cette maladie est surtout rencontrée dans les pays sous-développés et tend à disparaitre en Europe (14). Dans d’autres pays, cette maladie n’existe même pas à cause des traditions religieuses (communauté islamique et juive).C’est la zoonose6 parasitaire cestodique la plus répandue partout à travers le monde et même dans les pays qui consomment moins de viande de porc ou qui ne pratique pas l’élevage(15). Dans beaucoup de pays développés, la cysticercose est une maladie réelle et sérieuse mais parfois mal reconnue par le public. Elle entraine des pertes économiques assez importantes à cause des saisies des carcasses infestées (16).La maladie a été éradiquée en Europe au XXème siècle sauf dans quelques pays de l’Europe de l’Est (2). Taenia solium est retrouvé surtout en Amérique Latine, en Asie, en Afrique noire, et dans l’Océan Indien notamment à Madagascar et sur l’île de la Réunion (13). Le porteur du Taenia est un vecteur important dans la dissémination du parasite dans l’environnement. L’accès à des fèces humaines par le porc entraine son infestation, une situation qui est surtout visible dans les milieuxruraux. La consommation de viande mal cuite favorise aussi la dissémination du Taeniasis. En Amérique Latine, le taux de prévalence de la cysticercose porcine varie de moins de 2% à plus de 75% dans certaines régions. Les régions qui ont données les prévalences les plus élevées sont : Guatemala, Honduras, Mexique, Pérou (13). Dans les pays Asiatiques, la cysticercose est une menace sur la productivitétant au niveau économique que sanitaire. En Indonésie dans la province de Kayawijaya la prévalence par la méthode sérologique est de 70,4% (3). Pour la prévalence sur l’inspection post mortem, au Cambodge elle est de 3 à 4%, au Viet Nam 3 à 25% et en Chine 0,84 à 15% (4). En Afrique, la maladie se développe facilement car toutes les conditionsy sont réunies tant en milieu rural qu’en milieu urbain. En Afrique du Sud avec un effectif de plus d’un million, le taux d’infestation est de 1,5%. Au Nigéria la prévalence est de 20% dans la région d’Enugu. Dans les pays du Sud Est de l’Afrique en Tanzanie la prévalence est de 17,4%, au 6 Maladie des animaux transmissible à l’homme (45)… Kenya le langueyage7 donne une prévalence de 10 – 14%, en Ouganda 0,12 à 1,2% en milieu urbain et 34 à 45% en milieu rural(17). Ces prévalences dans le Sud Est de l’Afrique sontclassées parmi les plus élevées au monde.
Cas de la cysticercose porcine à Madagascar Vu qu’il y a très peu d’études concernant les porcs, les prévalences observées dans la grande îlene sont appréciées qu’au niveau de quelques districts commeà Tsiroanomandidy, 8,5%, Arivonimamo 7,25% et Ambalavao 5,5% (3). La cysticercose porcine se rencontre de préférence sur les Hauts plateaux où l’élevage de porc est la plus importante. Les provinces d’Antananarivo, Fianarantsoa et Toliara possèdent une forte proportion. Sur les données d’abattage de la DSV en 2010 nous constatons que la prévalence à partir des rapports d’inspections à travers toute l’île est de 0,51%9 avec un taux de saisie totale de 31%10(4). Et en 2012 la DSV annonce 369 saisies totales sur 142 657 porcs inspectés. (cf. annexe XI). La séroprévalence est de 7 à 21% et inférieur à 10% sur les côtes comme Mahajanga et Toamasina.
Chez l’homme
Taeniasis Cette maladie est strictement humaine, elle est diagnostiquée par la coproscopie. Cette maladie résulte de l’infestation par la larve adulte dans l’intestin de l’homme. C’est une maladie caractéristique des pays sous-développés avec des problèmes d’hygiènes et d’alimentations. A Madagascar, la forte utilisation de ténifuge montre l’importance de l’infestation (18).
Cysticercose humaine C’est une maladie cosmopolite touchant aussi les payssous-développés(19). Il peut aussi y avoir une contamination larvaire pour l’homme, dans ce cas, la larve selocalise dans les muscles, dans les yeux et dans le système nerveux, (neurocysticercose). C’est la principale cause de l’épilepsie. Le Tæniasisainsi que la cysticercose sont considérés comme un danger pour la santé publique.
Pathogénie
Chez l’homme Là où la cysticercose porcine existe, il y a toujours la cysticercose humaine (8). Les larves se localisent dans les sites oùles tissus musculaires sontcaractérisés par un flux sanguin élevé. Les sites de prédilection des cysticerques sont : le système nerveux central (60 à 90% des malades), les muscles striés, les tissus sous-cutanés, les yeux (20). De nombreuses formes de cysticercose chez l’homme sont asymptomatiques.
Chez le porc La manifestation sur l’animal est parfois asymptomatique car la durée de vie du porc est trop courte pour observer les signes cliniques (21). Dans le cas d’une  atteinte cérébrale, une salivation excessive est remarquée, de même un changement fréquent de la vision suivi de larmes, une hypersensibilité du groin et une paralysie de la langue(22). La réponse clinique du porc dépend en effet du nombre, de la taille, de la localisation et de la réponse immunitaire de l’hôte (23).Il existe deux périodes détectables chez le porc :
Invasion : traversée de la paroi de l’intestin grêle par l’embryon entrainant une entérite suivie de diarrhée ainsi que d’une douleur à la palpation
Dissémination : les symptômes sont en rapport avec la dispersion de l’embryon comme la toux sèche et quinteuse à l’atteinte des muscles.
Lésions Les lésions se caractérisent selon les deux périodes et sont représentées sur ce tableau ci- après : 

Invasion Dissémination
lésion entérite aigue et ponctuation
hémorragique sur les muqueuses intestinales
Centre nerveux : encéphalite traumatique avec
cysticerque bien développé
lésions péritonite et hépatiques Ganglion lymphatique
Muscle strié : réaction inflammatoire avec des
nodules granulomateux
Caséification et calcification : ladrerie sèche
(1
ère année suivant l’infestation)

 

Diagnostic Le diagnostic de cette maladie fait appel à diverses méthodes principalement : le  langueyage, l’inspection de viande et les tests sérologiques (2).
Inspection ante mortem La méthode consiste à repérer et à toucher les vésicules ladriques sous les muqueuses explorables comme la langue, sur la face inférieure. C’est le langueyage. Les kystes sont visibles à partir de la 6ème semaine après infestation. La sensibilité de cette pratique est de 70% et la spécificité de 100%. L’inconvénient c’est que les vésicules ne sont visibles qu’en cas de surinfestation (7-18%) .
Inspection post mortem Il s’agit de l’inspection de viande dans les abattoirs pour rechercher les kystes dans les carcasses et les organes. C’est l’outil principal de diagnostic dans les pays à haute endémicité (3). La détection se fait par des incisions à travers les sites susceptibles d’héberger les kystes c’est-à-dire : les muscles masséters (extérieur et intérieur), la langue, le larynx, le cœur, les muscles des membres, les muscles de la paroi abdominale et le psoas.
Tests sérologiques : ELISA Il s’agit d’une détection des antigènes circulant (Ag-ELISA) de cysticerques de Taenia solium valide seulement si le cysticerque est encore vivant. Les échantillons de sang sont analysés dans les laboratoires. Le test ELISA permet de diagnostiquer les infections légères…Synthèse bibliographique que massives, sa spécificité est de 99,1% et sa sensibilité de 84,6% (2). Les échantillons de sang sont recueillis sur une microplaque sensibilisée aux anticorps monoclonaux antigène des cysticerques et si le test est positif il y a la formation du complexe antigène-anticorps dont la visibilité sera déterminée par la coloration. Celle-ci va être lue sur une machine appelée Lecteur ELISA(4). Le test EITB est utilisé en combinaison avec l’Ag-ELISA pour la confirmation ; sa sensibilité et sa spécificité sont de 100%(24).
Traitement Chez le porc : Oxyfendazole à 30mg/kg à dose unique élimine tous les kystes et protège aussi contre les nouvelles infections pendant trois mois (25). Il faut noter que les lésions seront toujours visibles même après traitement, ils ont besoin de 3 à 6 mois pour disparaitre définitivement (10).Chez l’homme : généralement on utilise l’Albendazole à 15mg/kg/jr pendant 8 jours et Prasiquantel à 50mg/kg en deux prises pendant 15 jours avec une corticothérapie. Dans le cas d’une cysticercose oculaire il est nécessaire de recourir à la chirurgie en association avec le traitement (18).
Prophylaxies La prophylaxie se base sur la rupture du cycle biologique de l’animal et elle peut êtreclassée en mesures préventives et en mesures offensives. Chez l’homme les préventions à faire sont :
-Traitement du téniasis : déparasitage périodique(18)
-Lutter contre le péril fécal : éviter l’accès des porcs aux matières fécales par la divagation(2).
-Veiller à l’hygiène alimentaire, modification des mauvaises habitudes alimentaires(26)
-Information du publique sur l’état de cette maladie tant chez le porc que chez l’homme Pour l’animal les prophylaxies sont :
-Contrôle des abattages avec l’inspection de viande,
-Vaccination de l’animal si les moyens le permettent(10),
-Traitement de la ladrerie pour éviter la transmission à l’homme.

Races

– Race locale
La race locale résulte du croisement de la race Hova (Indochinoise) et Mahabo (ibérique). La robe est souvent noire, grise ou pie parfois. Leurs qualités essentielles sont leur rusticité et leur résistance ce qui fait qu’il est possible de les élever partout dans l’île. Il y a aussi leur tolérance vis-à-vis de l’alimentation, leur fécondité et leur prolificité. Ces animaux sont les plus exposés à l’infestation des cysticerques. Leur GMQ, IC et prolificité sont respectivement de 400g, de 4 etde 10 à 12 porcelets par portés (30).
– Race Large white
La race large white est une race blanche en provenance d’Angleterre, elle est de grand gabarit. Les oreilles sont grandes et très dressées. La fécondité des truies est excellente de même que leurs qualités nourricières. On remarque une forte utilisation de cette race dans les pays chauds à cause de l’adaptation remarquable de l’animal. Le problème réside dans l’irrégularité au niveau du poids au sevrage. Leur GMQ, IC et prolificité sont respectivement de 600g, de 2,34 et de 14 porcelets par portés (30).
– Race Landrace
La race landrace est aussi une race blanche d’origine Danoise. Elle est une race longue de grand format à profil rectiligne et doté d’une bonne prolificité et régularité dans le nombre de portée. Par contre elle nécessite une bonne condition d’élevage avec des exigences particulières, des faiblesses qui sont liées à sa capacité thoracique réduite. Leur GMQ, IC et prolificité sont respectivement de 540g, de 3 et de 12 à 16 porcelets par portés (30).
– Race Piétrain
Le Piétrain est originaire de Belgique. Cette race se caractérise par une robe claire tachetée de noir ou de roux. C’est un animal de taille moyenne à musculature développée, bien conformée et des oreilles courtes et tombantes. Le piétrain possède une qualité de la carcasse exceptionnelle dont une faible teneur en gras contre une richesse en morceau noble. Il résiste mieux au stress et à la chaleur. La prolificité est de 8 à 11 porcelets par portées(6).
– Animaux métisses…Synthèse bibliographique
Les animauxmétissont issus des croisements d’amélioration entre la race locale et des races améliorés. La robe est souvent blanc mais il y a aussi la couleur noire et grise. Les animaux sont parfaitement adaptés aux conditions locales. Ce croisement va améliorer les caractères liés à la performance de production et d’élevage par l’effet d’hétérosis(30). Dans l’ensemble du territoire national, parmi 112 667 têtes de truies qui assurent la reproduction, 7 723 têtes sont de races améliorées soit 6,8% avec plus de 5 400 têtes ou 4,7% pour la province d’Antananarivo (2).

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Table des matières

INTRODUCTION
PARTIE I Synthèse bibliographique
I. Cysticercose porcine
I.1. Définition
I.2. Etiologie
I.3. Importance de la maladie
I.4. Cycle épidémiologique et mode de transmission
I.5. Epidémiologie de la cysticercose
I.6. Pathogénie
I.7. Lésions
I.8. Diagnostic
I.9. Traitement
I.10. Prophylaxies
II. L’élevage porcin à Madagascar
II.1. Cheptel porcin
II.2. Répartition de l’effectif porcin
II.3. Races
II.4. Mode d’élevage
II.5. Circuit de Commercialisation
II.6. Abattage de porc à Madagascar
II.7. Contraintes de la filière
PARTIE II Travaux sur terrain
I. Matériels et méthodes
I.1. Présentation de la zone d’étude
I.2. Matériels 

I.3. Méthodes
II. Résultats
II.1. Les animaux inspectés
II.2. Prévalence de la cysticercose porcine
II.3. Infestation des tissus
II.4. Conclusion partielle des résultats
III. Discussions
III.1. Les animaux abattus dans les tueries
III.2. Approvisionnement en viande de porc et les risques dans la capitale
III.3. La prévalence de la cysticercose
III.4. Mode d’élevage et importance de la cysticercose porcine
III.5. Importance et impact sur la santé publique des consommateurs dans la capitale
III.6. Décisions après inspection
III.7. Conclusion partielle de la discussion
PARTIE III Suggestions et amélioration dans la lutte contre la cysticercose porcine
I. Au niveau des éleveurs
II. Au niveau des responsables au sein du ministère de l’élevage 
III. Au niveau des collecteurs et des personnels des tueries
IV. Au niveau des consommateurs 
Conclusion
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
ANNEXES

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