Mettre en scène l’histoire de l’art

LES ÉDITIONS SKIRA : UNE AVENTURE HUMAINE

Dans cette partie, il s’agit d’étudier les acteurs des Éditions Skira. En effet, les livres ne peuvent être compris qu’à partir du projet qu’en ont formé leurs concepteurs. Un ouvrage naît bien d’un dialogue entre plusieurs protagonistes. On en distingue trois à des échelles différentes.
Nous nous intéressons d’abord au personnage d’Albert Skira, ce qui permet de revenir sur sa jeunesse et les vingt premières années des Éditions entre 1928 et 1948. Ce premier chapitre permet à la fois de présenter l’homme qui porte l’entreprise, ses ambitions et sa passion, mais également de savoir où en sont les Éditions en 1948, date à laquelle commence réellement notre étude.
La suite concerne les collaborateurs de Skira aux Éditions, sans lesquels les ouvrages n’existeraient pas. Ce sont les véritables réalisateurs des livres d’art. On peut ainsi tenter de comprendre le mode de fonctionnement et l’atmosphère des bureaux de l’entreprise. Une partie de ces informations, notamment concernant les imprimeries et les libraires, est bien documentée dans le travail de Constance Didier , qui a eu accès aux archives des imprimeries Kundig et a eu la chance de s’entretenir avec Marcel Weber, fils d’Achille, le distributeur français des livres d’Albert Skira. Il faut mettre en évidence les réseaux et les rôles polyvalents de plusieurs personnes au sein des Éditions.
Dans cette même idée, le chapitre suivant propose d’étudier plus particulièrement les auteurs auxquels fait appel Albert Skira. Collaborant également à la réalisation des ouvrages, ils se distinguent des acteurs précédemment évoqués en étant eux-mêmes créateurs, sous la direction de l’éditeur. Plus généralement, il s’agit de faire une étude prosopographique des auteurs qui ont pris part aux ouvrages. Ces écrivains nous permettent également de plonger dans le milieu des historiens de l’art et, ainsi, de tenter de comprendre les réseaux qui se forment par le biais d’une maison d’édition.
Au travers de cette étude de la contribution des différents collaborateurs, on tente d’approcher le moment créateur des ouvrages À LA TÊTE DES ÉDITIONS, ALBERT SKIRA

PORTRAIT D’UN HOMME

Les débuts d’Albert Skira

Albert Skira est né à Genève le 10 août 1904 et mort à Dully le 14 septembre 1973. Il est originaire de Loco dans le Tessin, d’une famille venue d’Espagne qui a immigré en Suisse au XVIIe siècle. Né Schira, il change l’orthographe de son nom lorsqu’il ouvre sa maison d’édition en 1928 pour en faciliter la prononciation dans toutes les langues . Fils de Pietro Alberto Schira, entrepreneur fumiste, et d’Adélaïde Fanny Degiorgi, institutrice , il passe son enfance à Genève. C’est au travers de rencontres fortuites qu’il commence à se forger une culture artistique, comme le montre l’anecdote relatée dans le catalogue publié à l’occasion des quarante ans des Éditions Skira : « In the normal course of education, Skira went to succession of genteel ladies who taught piano, unsuccessfully. When he was twelve, by amazing luck, his mother sent him to a new teacher, a hunchbacked man who put the boy at a grand piano, listened to his miserable scales, and asked : “Do you really want to play the piano ?” In the next three years with the teacher Skira learned to read Nietzsche, he heard Baudelaire read aloud, saw photographs of Picasso, and learned to concentrate on the discipline of chess, all this until his teacher, the greatest influence of his life, died. »
Albert Skira fait ses études à l’Ecole des Arts et Métiers de Genève, une école d’art décoratif qui suit l’école primaire et complète un apprentissage pratique des différents corps de métier de l’artisanat. Comme il se passionne pour les sciences, il commence à suivre les cours du collège au Technicum. A la mort de son père lorsqu’il a seize ans , il arrête ses études et entre comme clerc dans une banque. Il fait trois ans d’apprentissage au Crédit Suisse. Mais le secteur de la banque l’ennuie et il se tourne vers des métiers plus artistiques : il devient professeur de danse et organisateur d’événements, dans les hôtels de luxe sur la Côte d’Azur et pour des fêtes d’enfants. Il poursuit ces activités à Saint-Moritz et au Palace Hotel de Lucerne, où il rencontre de nombreuses personnes liées au monde de l’art, collectionneurs, bibliophiles .

Un personnage aux multiples facettes

Dès sa prime jeunesse, Albert Skira semble attiré par l’avant-garde. Dans les années 1920, alors qu’il a une vingtaine d’années , il acquiert pour vingt-cinq dollars sa première  gouache de Pablo Picasso, une nature-morte, qu’il paie par mensualités . Cet intérêt pour l’avant-garde est manifeste tout au long de la vie de Skira. Ainsi, l’éditeur va participer en 1955 à la campagne de souscription à Lausanne de la compagnie théâtrale des Faux-Nez , qui a ouvert son petit théâtre de poche en 1953 dans cette même ville, et dont le répertoire est axé sur les auteurs de l’avant-garde des années 1950 comme Jean Tardieu. Elle est alors fortement soumise à diverses critiques, notamment politiques, de la part du milieu conservateur suisse : « Les « Faux-Nez », qui se veulent anticonformistes dans notre régime actuel, voudraient-ils travailler à l’avènement du grand conformisme rouge? » .

LA FONDATION DES ÉDITIONS

Les débuts avec les livres d’artiste

L’entreprise débute par l’édition d’un ouvrage illustré par Picasso, Les Métamorphoses d’Ovide. Albert Skira se lance ainsi dans l’édition d’art par le biais des livres d’artiste illustrés par des peintres. Picasso a déjà illustré plusieurs ouvrages de Max Jacob, publiés chez DanielHenry Kahnweiler : Saint Matorelen 1911 et Le Siège de Jérusalem, Grande tentation céleste de saint Matorel en 1914, mais aussi Cravates de chanvre de Pierre Reverdy aux Éditions Nord-Sud en 1922. D’autre part, en 1928, l’éditeur barcelonais, Gustavo Gili, lui demande d’illustrer Tauromaquia o el arte de torear a caballo y a pie de Pepe Illo (cet ouvrage ne paraîtra finalement qu’en 1957 sur l’insistance de Gustavo Gili fils) . Pourquoi son choix s’est-il porté sur l’artiste espagnol dès le début ? Albert Skira s’en explique dans les années 1960 :
« Et j’ai pensé à Picasso, que j’aimais… enfin que je connaissais depuis l’âge de seize ans par des reproductions. Je m’dis : y’a pas de doute, c’est Picasso, je commence avec Picasso. »
Quelles que soient ses raisons, Skira est déterminé : il essaie de l’atteindre, mais en vain. En définitive, c’est par le biais de Jacqueline Apollinaire, la veuve du poète, rencontrée chez des amis, qu’il fait enfin la connaissance du peintre en 1928 et lui expose son projet d’éditer un livre avec lui. C’est Pierre, le fils d’Henri Matisse, qui leur donne l’idée d’illustrer Les Métamorphosesd’Ovide . Ce choix d’un classique se situe plus dans la lignée d’Ambroise Vollard que dans celle de Kahnweiler qui, quand à lui, a choisi de n’éditer que des écrivains qui n’avaient été jamais publiés .

Diffuser les Arts : la revue Minotaure et Les Trésors de la Peinture française

Les années 1930 sont le fondement de l’entreprise d’Albert Skira et de son sa renommée. Il s’installe, on l’a dit, à Paris, la capitale culturelle, afin d’occuper une place de premier plan dans le monde artistique. Parallèlement aux livres d’artiste, il se lance en 1933 dans l’édition de publications avec un tirage plus important, en créant Minotaure, une revue luxueuse, « la plus belle revue du monde » , qui « se veut constamment actuelle » .
L’objectif premier d’Albert Skira est de gagner un peu d’argent, après la publication de ses deux livres d’artiste .
Dans ce refuge de l’édition européenne, les publications des Éditions se diversifient.
Albert Skira a toujours des projets pour des livres d’artiste qui se concrétisent après-guerre : Florilège des Amours de Ronsard illustré par Henri Matisse en 1948 (le projet date de 1942), Pantagruelde Rabelais par André Derain en 1945 et Les Conquérants d’André Malraux par André Masson en 1948. Parallèlement, les publications des Trésors de la Peinture française continuent, et Albert Skira élargit sa collection auxTrésors de la Peinture suissequi comptent trois titres.
Hormis ces secteurs de publications caractéristiques de la maison d’édition, la période de la Seconde guerre mondiale ouvre les publications au domaine de la littérature, sans doute sous l’impulsion de Pierre Cailler. Il s’agit de publier des classiques dans la collection Les Trésors de la Littérature française qui comptent seize ouvrages, mais également des manuscrits originaux, et en particulier la Psychologie de l’artd’André Malraux. Cette période du retour à Genève permet donc aux Éditions de rayonner, dans une ville qui regagne une place importante dans le secteur de l’édition francophone en ces temps de guerre.
En octobre 1944, dans le désir de persévérer dans l’édition d’un périodique qui soit une tribune pour les artistes et intellectuels qui sont soumis à la censure en France, il lance Labyrinthe – vingt-trois numéros parus jusqu’en décembre 1946 -, qui par son nom se place dans la continuité de la première revue, Minotaure. Alberto Giacometti, Balthus, Paul Eluard, André Breton, Brassaï, André Malraux, Aragon, Paul Valéry, Simone de Beauvoir, Tristan Tzara, Paul Claudel, Vercors… participent à la publication. Sous forme de journal, Labyrinthe est, cependant, beaucoup plus modeste que Minotaure. Même s’il ne peut pas être considéré comme un objet de luxe – compte tenu de l’inflation, il coûte environ cinq fois moins cher Grâce à cette revue, Albert Skira s’affirme également dans la programmation d’événements culturels. Il organise ainsi plusieurs conférences, notamment avec Jean-Paul Sartre, André Malraux, Paul Eluard, Simone de Beauvoir… Grâce à lui, Albert Camus présente en première mondiale sa pièce Caligula, mise en scène par l’italien Giorgio Strehler
à la Comédie de Genève en 1945 . On retrouve, ici, le goût de l’éditeur pour l’événement,intérêt qu’il a développé en travaillant sur la côte d’Azur dans les années 1920. Il s’affirme, ainsi, à cette époque, dans son rôle de passeur de la Culture.
Plus précisément, ces événements s’organisent autour de sa maison d’édition. Il participe à plusieurs salons de bibliophilie pour se faire connaître, comme au Salon de la Maison Genevoise en 1943 . Dans sa position de personnage culturel de première importance, Albert Skira organise le soir du jeudi 30 novembre 1944 dans le hall de ses Éditions, 4 place du Molard à Genève, une vente aux enchères au profit de la Croix-Rouge suisse-Secours aux enfants. Celle-ci est dirigée par William Kundig, son imprimeur. Parmi les lots phares de la vente, un don d’Henri Matisse : six exemplaires, illustrés par l’artiste, de Thèmes et Variations précédé de Matisse en France par Aragon des Éditions Martin Fabiani. Albert Skira joue donc un rôle éminent de mécène, dans ce climat d’effervescence 126 culturelle à Genève pendant la guerre.
Il ouvre également, à quelques rues de ses bureaux, une galerie, 40 rue du Marché. Il s’agit de présenter à tous les nouvelles publications de la maison d’édition, mais également de présenter des œuvres d’artistes contemporains. C’est le poète Georges Haldas qui tient la galerie .

LES COLLABORATEURS D’ALBERT SKIRA

AU CŒUR DES ÉDITIONS

Une entreprise florissante

La maison d’édition fondée par Albert Skira est une société anonyme, depuis le 23 juillet 1941, avec un capital social de 50 000 francs suisses. Elle a pour objet « l’édition, la commission et la représentation de livres, de gravures et de tableaux » . Ses administrateurs sont Albert Skira, Pierre Cailler, qui, comme on l’a vu précédemment, crée sa propre maison d’édition au printemps 1944 , et Henri Chapot . En 1952, on compte de nouveaux actionnaires et Albert Skira devient alors le président du conseil d’administration .
Depuis son retour en Suisse, Albert Skira a installé le siège de son entreprise dans le centre-ville de Genève. Tout d’abord, les bureaux sont installés au 4 bis, rue du Rhône , puis déménagent très rapidement à quelques rues de là, au 4 place du Molard, lieu de passage qui est alors encore ouvert au trafic des voitures . La maison d’édition occupe cette place centrale jusqu’en 1973 : Albert Skira meurt une semaine avant que les bureaux ne déménagent plus en périphérie de la ville.
Les Éditions se divisent en plusieurs départements, entre le secrétariat central, la rédaction,la fabrication, l’expédition et la branche commerciale. Avec la prise d’importance de la maison, l’entreprise s’agrandit : on compte en 1948, onze employés , tandis que quinze ans plus tard, l’effectif est passé à une trentaine de collaborateurs . En 1966, la Radio Télévision Suisse, dans son émission qu’elle réalise sur Skira, compte en tout « 200 personnes disponibles pratiquement jour et nuit » , en ajoutant aux employés des Éditions, ceux de l’imprimerie Kundig à Genève et ceux des Imprimeries Réunies de Lausanne.
La maison s’affirme donc progressivement depuis Genève, atteignant ainsi son plein développement dans les années 1960.

LE TRAVAIL AUX ÉDITIONS

Albert Skira : un moteur

Si l’entreprise fonctionne dans un climat d’émulation et une atmosphère chaleureuse, c’est grâce à la très forte personnalité d’Albert Skira. Il est un moteur pour les Éditions, comme le raconte Catherine Sagnier : « Dès qu’Albert Skira avait une idée, un projet en tête, il fallait de suite que tout le monde soit au courant et il devenait agréablement obsessif. »
En effet, pour l’éditeur, créer des livres représente l’ouvrage de sa vie. C’est une réelle vocation qu’il aime faire partager autour de lui. Dans l’émission de 1966, il revient sur ses premières années dans ses bureaux genevois « (Dans son bureau) Et j’arrivais à dormir par terre, et j’avais comme oreiller un classeur. C’est un peu dur, mais enfin bon… un classeur, hein ! Et puis tout le monde avait des classeurs, on y arrivait. Et là, ma vie… c’est ma vie ici !… (Dans son jardin de sa maison à Dully dans le canton de Vaud)Vous voulez une réponse ? Je préfère mon travail. (Désignant son jardin) Ceci, pour moi, est une chose très belle, mais je crois qu’en fin de compte, je préfère mon travail, car ceci n’est pas une création, vous comprenez : vous n’avez qu’à prendre un jardinier, vous n’avez qu’à acheter du terrain, c’est bien simple ça, tout le monde peut le faire. Mais créer, trouver quelque chose… On me dit : il faut avoir des idées, n’est-ce pas ? on me dit : il faut des idées, mais je dis : les idées, on ne les trouve pas comme ça. » C’est donc le désir de créer quelque chose d’original et d’inédit qui motive Albert Skira. Il suit ses idées et ne se contente pas seulement de les approcher, cherchant toujours à se surpasser. Le peintre Roger Montandon qui travaille aux Éditions pendant quelques temps, relate ses impressions sur le fonctionnement de l’éditeur : « Sur la manière de travailler de Skira, telle qu’elle me fut révélée, il y aurait beaucoup à dire. Il ne procédait pas autrement qu’un artiste. Comme tous les grands bonshommes l’habitait le dessein de son entreprise, ce qui fait qu’il savait toujours clairement ce qu’il voulait et que ne se posait à lui en somme que le problème des moyens de l’obtenir. Ainsi il recherchait, multipliait les essais, mais ne donnait jamais l’impression de s’y perdre. Chaque élaboration, toujours remise en question, était un pas de plus vers la solution définitive. Plus haut le dessin, plus longue la route pour y parvenir, et, comme il y avait tout de même un horaire de programme à tenir, des accords arrêtés avec les imprimeurs, les jours et les nuits n’y suffisaient pas toujours. Et c’est ici que Skira se montrait admirable et se surpassait dans son entêtement de conquérant. A l’heure fatidique de l’impression, s’il n’était pas entièrement convaincu, il faisait tout suspendre et on repartait à zéro. »

PROSOPOGRAPHIE DES AUTEURS DES ÉDITIONS

LES AUTEURS SKIRA

Profil des auteurs

L’auteur est un des acteurs majeurs du livre d’art : il a un rôle de médiateur, puisqu’il crée le discours sur l’art. Entre 1948 et 1973, on compte 122 écrivains aux Éditions, sur les 213 au total qui ont participé depuis 1928aux publications Skira, c’est-à-dire aux revues d’art, livres d’artiste, livres d’art et de littérature.
Parmi eux, hormis Elsa Triolet qui contribue aux Éditions en tant qu’artiste en publiant La mise en mot en 1969 dans la collection Les Sentiers de la Création , on compte sept femmes rédactrices. Trois d’entre elles publient un ouvrage en collaboration avec leur mari : Suzanne et Georges Ramié

Les Céramiques de Picasso en 1948 , Maria et Godfrey Blunden

Le Journal de l’impressionnisme en 1970 et Suzanne et Pierre Rambach Le Livre secret des jardins japonais en 1973 , tandis que Rosabianca Skira-Venturi travaille sur plusieurs ouvrages, notamment avec son père Lionello . Ce n’est qu’à la fin des années 1960, que deux auteures publient chacune un ouvrage toutes seules : Eugénie de Keyser, qui tient alors la chaire d’esthétique à l’École des sciences philosophiques et religieuses de la Faculté SaintLouis de Bruxelles , publie L’Occident romantique : 1789-1850 en 1965 et Barbara Rose, critique d’art américaine très en vue alors à New-York, spécialisée dans le modernisme , rédige La peinture américaine : de la période coloniale à nos joursen 1969 . Il s’agit donc, pour les livres Skira, d’une écriture principalement masculine de l’histoire de l’art.
Les auteurs Skira de la période que nous étudions, sont nés entre 1881 et 1939, en moyenne en 1911, c’est-à-dire qu’il sont légèrement plus jeunes qu’Albert Skira. L’âge moyen des écrivains lors de la publication de leur premier ouvrage aux Éditions est de 47 ans.
L’équipe est composée d’historiens établis, mais elle sait se renouveler en faisant appel à des auteurs plus jeunes. Par comparaison, les auteurs auxquels fait appel Skira dans les vingt premières années des Éditions, pour les Trésors de la peinture française, sont majoritairement des personnes reconnues, déjà âgées, puisqu’Élie Faure à 61 ans , Paul Jamot 76 ans , et Georges Grappe 62 ans .
Du fait de sa localisation parisienne, puis suisse, et de par les échanges qu’elles entretiennent notamment avec les États-Unis, les Éditions font appel à des auteurs d’origines différentes

 

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Table des matières
INTRODUCTION
PARTIE I : LES ÉDITIONS SKIRA : UNE AVENTURE HUMAINE
Chapitre 1 : À la tête des Éditions, Albert Skira
Chapitre 2 : Les collaborateurs d’Albert Skira
Chapitre 3 : Prosopographie des auteurs des Éditions
PARTIE II : LES LIVRES DES ÉDITIONS SKIRA
Chapitre 4 : Les productions de livres d’art au sein des Éditions
Chapitre 5 : Les reproductions d’œuvres
Chapitre 6 : Mettre en scène l’histoire de l’art
PARTIE III : DIFFUSION ET RÉCEPTION DES LIVRES D’ART
Chapitre 7 : La distribution des livres d’art
Chapitre 8 : L’utilisation des ouvrages
Chapitre 9 : La création du mythe Skira
CONCLUSION

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