Methodologie pour la creation et l’analyse des cartes de couverture des risques

Les Etablissements Recevant des Travailleurs ERT

Pour les Etablissements Recevant des Travailleurs ERT le type de risque dépend :
– Du type d’activité principale : Stockage ou non ;
– De la surface du plancher ;
– De la localisation : isolée ou non ;
– De l’isolation du bâtiment : la distance qui sépare le bâtiment d’habitation et tout ouvrage, bâtiment, zone boisée ou végétation combustible ;
– Du type de construction ;
– De la hauteur de stockage en cas d’activité principale concernant le stockage ;
– De l’existence ou non d’installation d’Extinction Automatique d’Eau EAE ;
– De la plus grande surface non recoupée délimitée par des Coupe-Feu CF de 2h.

Bâtiments d’habitations

La détermination du degré de risque d’un bâtiment destiné à l’habitation est en fonction de son type de famille. Il existe 4 familles d’habitation (Cf Tableau 4). Le tableau suivant présente un récapitulatif de la classification des habitations à la suite de l’arrêté du 31 janvier 1986 modifié par l’arrêté 7 août 2019 – art 2 [7] :

Synthèse et éléments pour la ville de Puteaux

Le degré de risque le plus élevé qu’un bâtiment d’habitation et qu’un parking de stationnement peuvent atteindre est le Risque Courant Important RCI. Cependant les ERT, ERP, IGH et les immeubles de bureaux peuvent atteindre le Risque Particulier RP.
Les futurs projets d’urbanisme doivent être aussi pris en considération.
Les IGH de la ville de Puteaux sont en grande densité dans le quartier d’affaires de la Défense.
Les informations sur tous les bâtiments sont indisponibles. Toutes les caractéristiques des bâtiments à défendre seront récupérées à travers :

Calcul direct des besoins en eau

En sachant les caractéristiques du bâtiment (famille d’habitation, nombre d’étages, hauteur, surface non recoupée …), les besoins en eau pour les habitations, bureaux, IGH et le parc de stationnement peuvent être directement obtenus depuis le tableau en Annexe 3.
Le dimensionnement des besoins en eau pour les ERP dépend de leur type de risque. En effet, les besoins en eau des ERP de Risque Courant Ordinaire RCO ou Risque Courant Important RCI peuvent être calculés directement depuis l’Annexe 3, tandis que les besoins en eau des ERP avec un risque particulier RP, sont divisés en deux catégories :
– Les ERP à risque particulier et ne disposant pas d’Extincteur Automatique d’Eau EAE (voir Annexe 6 pour les besoins en eau) ;
– Les ERP à risque particulier disposant d’un Extincteur Automatique d’Eau EAE (voir Annexe 7 pour les besoins en eau). Les ERP dont la surface développée non recoupée avec un coupe-feu de 1h dépasse 10 000 m² sans EAE ou dépasse 30 000 m² avec EAE doivent être traités au cas par cas car ils présentent un risque très élevé.

Calcul des besoins en eau avec la méthode de D9

Le dimensionnement des besoins en eau pour les ERT dépend de leur type de risque. Les ERT de Risque Courant Ordinaire RCO ou Risque Courant Important RCI peuvent être obtenus directement depuis l’Annexe 3, tandis que le calcul des besoins en eau des ERT de type de risque particulier RP nécessite un calcul prenant en considération des caractéristiques supplémentaires du bâtiment (voir Annexe 8).
La méthode D9 dimensionne les besoins en eau minimum dont les services de secours ont besoin pour intervenir. Le dimensionnement est fait pour assurer une extinction d’un feu limité à la surface maximale non recoupée et non à l’embrasement généralisé du site [8].

ACCESSIBILITE

L’accessibilité des Point d’Eau d’Incendie PEI garantit l’accès des engins de lutte contre l’incendie et leur stationnement au droit du PEI. Ce stationnement est obligatoire pour assurer une alimentation conforme de l’engin. Les PI et BI doivent être implantés à une distance de 1 m à 5 m du bord de la chaussée, accessible au pompier (Cf Figure 19).
Pour qu’une chaussée soit accessible par un engin de lutte contre incendie, il est obligatoire que celle-ci vérifie les caractéristiques suivantes [4] :
– Une largeur minimale de 3 m en dehors des bandes réservées aux stationnement ;
– Une force portante calculée pour un véhicule de 160 kN ;
– Une contrainte de hauteur supérieure à 3,50 m ;
– Une pente inférieure à 15 %.
La position des PEI doit permettre de limiter l’exposition des services de secours au rayonnement thermique.
Pour chacun des niveaux de la ville de Puteaux (voies en surélévation et niveau de la dalle de Paris la Défense, niveau de la ville et niveau souterrain), l’accessibilité des PEI sera vérifiée.
Les PEI qui seront utilisés pour la DECI des bâtiments de la ville de Puteaux sont les PEI qui se trouvent dans les voies en surélévation, sur la dalle et les PEI du niveau de la ville. En effet, les PEI au niveau souterrain permettent la DECI des autoroutes et des tunnels.

CHEMIN PRATICABLE PAR LES POMPIERS

Pour ramener l’eau depuis les PEI jusqu’aux bâtiments, les pompiers utilisent le réseau routier. Il s’agit de chemins praticables qui doivent remplir certaines conditions. Selon la nouvelle réglementation, ces chemins doivent être des voies routières ou a minima de simples « passages dévidoirs ». Pour ces derniers les caractéristiques minimales à respecter sont les suivantes [4] :
– Une largeur ≥ à 1,80 m dont 1,40 m stabilisé ;
– Le plus rectiligne possible ;
– Une pente ≤ à 10 % sans obstacle et sans marche.
De plus chaque chemin ne doit pas couper de [4] :
– Voies à grande circulation ;
– Voies de transit de la commune ;
– Voies tramway ;
– Voies ferroviaires ;
– Voies de circulations avec voies réservées aux bus ;
– Grands carrefours.

METHODOLOGIE POUR LA CREATION ET L’ANALYSE DES CARTES DE COUVERTURE DES RISQUES

La section suivante a pour objectif de détailler l’approche suivie pour la vérification de la couverture des risques.
Cette section détaille les points suivants :
– La définition des distances entre les PEI et les risques à défendre ;
– Un mode de réalisation simplifié des cartes pour expliquer le principe de couverture des risques ;
– La méthode suivie pour le calcul des iso-distances ;
– Un exemple réel de réalisation des cartes extrait du « Guide méthodologique de réalisation SCDEC ».

Acheminement entre le PEI et le risque

La nouvelle réglementation exige le respect de distances minimales entre le risque à défendre (le bâtiment) et les PEI. Les valeurs de ces distances varient selon le degré du risque et le nombre de PEI nécessaire pour défendre le risque. La vérification de ces distances exige un calcul d’iso-distance autour de chaque PEI. En effet, cette iso-distance permet de visualiser le chemin praticable associé aux différentes valeurs d’iso-distance, le long des rues dans toutes les directions possibles.

ETUDE DE CAS

Hypothèses de travail

La réglementation liée à la DECI étant relativement récente et sa mise en application nouvelle pour la commune de Puteaux, celle-ci ne dispose pas de la totalité des données d’entrée qui seraient nécessaires à la mise en place du schéma directeur de DECI. Afin de palier à ce manque d’informations, le cas d’étude sera traité en prenant en considération les hypothèses suivantes :
– Les colonnes sèches et humides, et les poteaux relais ne seront pas pris en compte. La ville ne dispose pas de leurs coordonnées. Des visites sur terrain sont à prévoir pour les localiser.
– Le débit en simultanéité est considéré vérifié pour tous les PEI. Jusqu’à présent la ville ne dispose pas des informations sur les débits en simultané. La ville inclura cet essai dans ses futurs contrôles techniques. De ce fait, le RCO et RCI seront traités de la même manière car ils exigent les mêmes iso-distances. La validation de cette hypothèse est fort probable à cause de la nature du réseau d’Alimentation en Eau Potable AEP du Syndicat des Eaux d’Île-de-France SEDIF largement dimensionné et fortement maillé.
– Tous les bâtiments d’habitation dans cette zone seront considérés en Risque Courant Faible RCF s’ils sont isolés et en Risque Courant Important RCI sinon. En effet, la classification des risques de bâtiments d’habitation nécessite une reconnaissance de terrain pour chaque bâtiment. Le RCI représente le risque le plus contraignant qu’un bâtiment peut atteindre. Cette hypothèse est sécuritaire.
– La surface non recoupée avec un CP de 1h ou 2h est considérée égale à la surface du plancher du bâtiment. Cette hypothèse prend en considération le cas le plus défavorable où le bâtiment ne dispose pas de CF à l’intérieur de son bâtiment.
– Les ERP et les ERT seront traités au cas par cas pour vérifier s’ils sont en RP ou non.
– Les adresses fournies par la BAN sont complètes. Jusqu’à présent, l’ensemble des informations nécessaires permettant de faire tourner les calculs et créer des cartes complètes ne sont pas disponibles. De ce fait, seule la carte du Risque Courant Faible RCF sera établie.

Périmètre d’étude

L’étude sera menée en détails pour une partie de la ville de Puteaux. Il s’agit du côté sud de la ville, qui inclut les quartiers : Ile de Puteaux, Pressensé Rives de Seine, Vieux Puteaux, Front de Seine Bellini et une partie du quartier République. (Cf Figure 28) Le périmètre étudié comporte 69 PEI, ce qui représente 20% des PEI de la commune. La figure ci-dessous montre la localisation des PEI étudiés :

Classification des risques

Le périmètre d’étude est composé principalement de bâtiments d’habitation. Comme mentionné au niveau des hypothèses, l’absence de données sur les bâtiments amène à considérer sur ce périmètre d’étude que tous les grands bâtiments d’habitation engendrent un Risque Courant Important RCI et que les petits bâtiments d’habitation isolés engendrent un Risque Courant Faible RCF.
Les ERP, ERT, Parkings et immeubles de bureaux sont traités au cas par cas par des visites virtuelles, afin de décider si le risque mis en jeu, atteint le Risque Particulier RP ou non. La carte des bâtiments en fonction de leur type de risque obtenu est la suivante (Cf Figure 29) :

CALCUL DES ISO-DISTANCES

Dans cet ouvrage seule l’étape 1 sera traitée pour vérifier la couverture du RCF.
Le calcul de l’iso-distance 150 m permet de déduire si le Risque Courant Faible est couvert ou non. Ce risque est le degré le plus petit. Ainsi, si un bâtiment n’est pas couvert du point de vue RCF, il ne le sera pas pour les autres types de risque.
De ce fait, le calcul de l’iso-distance 150 m permet d’identifier les bâtiments dont le RCF est couvert et les bâtiments non couverts et qui nécessitent un renforcement.
La première phase est le calcul de l’iso-distance 150 m. L’iso-distance est composée de deux parties : 100 m en tant qu’acheminement praticable par les pompiers avec comme point de départ les PEI normalisés et 50 m en tant que zone tampon (Cf Figure 31).

Limites communales

La ville de Puteaux est entourée par quatre villes : Courbevoie, Nanterre, Suresnes, Neuillysur Seine. Dans les cas où la voie en limite communale peut être traversée par les moyens de lutte contre l’incendie, les PEI situés sur les communes voisines seront utilisés pour le DECI de la ville de Puteaux.
En revanche, les PEI pris en considération pour la DECI sont les PEI qui se trouve sur le territoire de Puteaux. Ainsi, les PEI limitrophes ne sont pas pris en considération. Cependant l’adresse non couverte au niveau de la zone 3 peut être défendue par le PEI 166 de la ville de Suresnes (Cf Figure 36). En effet, l’avenue George Pompidou est traversable par les pompiers.

PRECONISATIONS D’AMENAGEMENTS

Les préconisations d’aménagements concernent les PEI indisponibles et les bâtiments non couverts. L’objectif est de proposé des aménagements afin de rendre tous les PEI du territoire de la ville de Puteaux opérationnels, ainsi qu’assurer la couverture de tous les risques non-couverts.

Préconisations d’aménagement relatives aux PEI indisponibles

L’indisponibilité d’un PEI peut être temporaire ou permanente. L’indisponibilité temporaire des PEI doit être signalée par la ville à la BSPP. Durant la non-disponibilité du PEI il faut rester vigilant en cas d’incendie et prévoir une stratégie d’intervention en tenant compte des PEI indisponibles temporairement.
En revanche les PEI indisponibles d’une manière permanente, notamment à cause de l’accessibilité, nécessitent une intervention de la part du service de la DECI. Des aménagements peuvent être engagés afin de rendre les PEI disponibles.
D’après la reconnaissance de terrain, un PEI sur la ville de Puteaux est jugé inaccessible. En effet, ce PEI est implanté sur une voie de pente supérieure à 15 % : la rue Fernand Pelloutier.
Afin de rendre ce PEI accessible, une des solutions possibles serait le déplacement du PEI vers la rue accessible la plus proche.

SOLUTION 1 : RENFORCEMENT DES MOYENS DE DECI

Ajout de nouveau PEI

Augmenter la densité des PEI sur un réseau d’alimentation en eau potable est la solution la plus évidente à faire. Une implantation de nouveaux PEI dans les zones où les risques sont non-couverts permet d’assurer les besoins en eau dont le bâtiment a besoin.
Le nombre de PEI à ajouter sera calculé en fonction des iso-distances manquantes pour couvrir le type de risque. Pour le cas du RCF, un seul PEI à moins de 150 m de l’adresse du bâtiment permettra d’assurer sa DECI.
La mise en place de cette solution nécessitera la présence d’une conduite principale à proximité du risque à défendre et la capacité du réseau à alimenter correctement le PEI. En cas d’insuffisance, le réseau doit être renforcé : réalisation d’un maillage, augmentation desdiamètres de conduites, mise en place d’une pompe de refoulement, …
La vérification hydraulique de la possibilité d’implantation d’un PEI reste à la charge du gestionnaire du réseau sous la demande de la ville de Puteaux. Le gestionnaire du réseau dispose des outils de modélisation hydraulique. Ces dernières vont lui permettre de simuler la mise en place des PEI complémentaires sur le réseau. Ainsi la vérification de la capacité du réseau à fournir le débit et la pression nécessaire sera faite.
Ces actions augmentent la capacité du réseau mais engendrent un sur dimensionnement coûteux pour la commune. Cette solution est donc envisageable exclusivement quand les besoins en eau manquants ne sont pas importants.

Utilisation des Points d’Eau Naturel ou Artificiels (PENA)

La ville de Puteaux dispose d’un Point d’Eau Naturel PEN important, la Seine. L’eau de la Seine peut être utilisée pour défendre les risques qui se trouvent dans le quartier « île de Puteaux » et aussi les bâtiments à proximité de la rive. Cette solution est envisageable car la BSPP est équipée de matériel qui lui permet d’utiliser les PEN pour des finalités de DECI.
Ce moyen de DECI permet d’épargner les travaux sur le réseau. Cependant ce moyen est soumis aux aléas climatiques qui peuvent causer des baisses de niveau de l’eau, aux contraintes de qualité exigées et à des autorisations administratives.
Le risque non-couvert au niveau de la zone 4 peut être défendu en utilisant l’eau de la Seine qui se trouve à proximité (Cf Figure 38).

SOLUTION 2 : REDUCTION DU RISQUE A LA SOURCE

Comme citée dans le paragraphe 3.2.3, la quantité d’eau nécessaire pour couvrir les risques dépend des caractéristiques des bâtiments : la plus grande surface non-recoupée, le type de construction, le type de l’intervention interne… Ainsi agir sur ces caractéristiques permet de réduire ou augmenter les besoins en eau du bâtiment.
Au sein d’un bâtiment, il existe des dispositifs actifs et passifs qui limitent ou participent à la défense en cas d’incendie. Les dispositifs actifs jouent un rôle curatif, ils englobent tous les systèmes de détection et extinction (le détecteur de fumée, l’extincteur automatique d’eau, les sprinklers). Tandis que les dispositifs passifs jouent un rôle préventif. Ils représentent les composants qui entrent dans la construction du bâtiment afin d’augmenter sa résistance à l’incendie. Par exemple : les systèmes coupe-feu (porte, clapet, mousse, et mastic coupe-feu) et les peintures intumescentes (Cf Figure 39).

CONCLUSION

Les principaux enseignements qui pouvant être tirés de cette étude sont les suivants :
▪ La ville de Puteaux dispose d’un réseau de PEI assez dense, dont les capacités hydrauliques sont conformes,
▪ Une base de données assez complète a été construite d’après les reconnaissances de terrain. Néanmoins les informations concernant le débit en simultanéité des PEI ne sont pas disponibles,
▪ Le manque d’informations concernant les caractéristiques des bâtiments reste un élément bloquant pour la construction des cartes de couverture notamment pour le risque particulier,
▪ Pour l’étude de cas, le risque courant faible est majoritairement couvert. Pour les zones non couvertes un renforcement des moyens de DECI est à envisager par la ville de Puteaux.
La mise en place de la méthodologie créée se poursuit afin d’obtenir les cartes de couverture pour chacun des risques.
Un panel de solutions peut être mis en place afin d’assurer la couverture des bâtiments :
▪ Renforcement des moyens de défense incendie qui regroupe l’ajout de nouveau PEI sur le réseau et l’utilisation des PENA,
▪ Réduction du risque depuis la source en agissant sur les caractéristiques des bâtiments, Au regard de ces éléments des pistes d’amélioration peuvent être évoquées :
▪ Renforcement de la communication entre la BSPP, Paris la Défense et le service de DECI de Puteaux,
▪ Intégration des cartes de risques sur la plateforme interne RemoCra pour une bonne mutualisation d’informations,
▪ Réalisation des tournées de contrôles pour compléter la base de données des PEI,
▪ Construire une base de données des bâtiments solide à l’aide du service d’urbanisme de la ville.

Le mécanisme du limiteur de débit

Le limiteur de débit est installé sur le branchement, conduite qui relie la canalisation de distribution principale et le PEI. Une longueur minimale de 45 cm est obligatoire pour pouvoir mettre le limiteur en place. (Cf Figure 41 )
Deux marques de limiteur sont mises en place : Berfelt et Bayard. Pour une conduite de diamètre 100 mm (qui correspond au diamètre du branchement), les limiteurs laissent passés un débit maximum de 80 m3/h pour Berfelt et 100 m3/h pour Bayad, avec une précision de ± 20 %. (Cf Figure 42).

Etape 4 : Test d’étanchéité

Vu les faibles linéaires de conduites impactés, seul un contrôle visuel est réalisé, à savoir repérer d’éventuelles fuites. D’abord il faut tout d’abord ouvrir la vanne d’alimentation du PEI afin de mettre la conduite de branchement sous pression. Par la suite, il faut attendre 10 min avant de vérifier la présence ou non d’eau autour du PEI.
Il faut s’assurer d’enlever l’eau résiduelle sous le limiteur avant de commencer le test. Après la validation de ce test, une bande de protection est enroulé autour du limiteur afin de limiter la dégradation de la boulonnerie.

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Table des matières
RESUME 
LISTE DES TABLEAUX 
LISTE DES FIGURES 
ABREVIATIONS 
1 INTRODUCTION 
2 CONTEXTE GENERAL ET OBJECTIFS DE L’ETUDE 
2.1 Ville de Puteaux
2.2 Le contexte administratif
2.2.1 La BSPP
2.2.2 Le nouveau rôle du Maire
2.3 Le contexte réglementaire
2.3.1 La réglementation en vigueur
2.3.2 Les textes de référence
2.4 Les objectifs de l’étude
3 COLLECTE ET ANALYSE DE DONNEES 
3.1 Moyens de DECI
3.1.1 Poteaux et bouches d’incendie normalisés
3.1.2 Poteau d’Incendie PI
3.1.3 Bouche d’Incendie BI
3.1.4 Les PEI de la ville de Puteaux
3.1.5 Cartographie des PEI
3.2 Bâtiments
3.2.1 La classification des risques
3.2.2 Cartographie des risques
3.2.3 Dimensionnement des besoins en eau
3.3 Réseau routier
3.3.1 Caractéristiques
3.3.2 Accessibilité
3.3.3 Chemin praticable par les pompiers
4 METHODOLOGIE POUR LA CREATION ET L’ANALYSE DES CARTES DE COUVERTURE DES RISQUES
4.1 Acheminement entre le PEI et le risque
4.1.1 Distance séparant le PEI et le risque à défendre
4.1.2 Voies praticables pour le calcul des iso-distances
4.1.3 Point de calcul
4.2 Mode de réalisation simplifié des cartes de risques
4.2.1 Risque courant faible RCF
4.2.2 Risque Courant Ordinaire RCO et Important RCI
4.2.3 Risque particulier RP
4.3 Le calcul des iso-distances
4.3.1 1 ère etape : calcul du linéaire
4.3.2 2ème étape : Zone tampon
4.4 La carte de couverture des risques
5 ETUDE DE CAS 
5.1 Hypothèses de travail
5.2 Périmètre d’étude
5.3 Classification des risques
5.4 Calcul et analyse des iso-distances pour le RCF
5.4.1 Les voies et les surfaces à ne pas couper
5.4.2 Calcul des iso-distances
5.4.3 La couverture du RCF
5.4.4 Limites du modèle de calcul
6 PRECONISATIONS D’AMENAGEMENTS 
6.1 Préconisations d’aménagement relatives aux PEI indisponibles
6.2 Préconisations d’aménagement relatives aux risques non-couverts
6.2.1 Solution 1 : Renforcement des moyens de DECI
6.2.2 Solution 2 : Réduction du risque à la source
7 CONCLUSION
8 AUTRE MISSION : INSTALLATION DES LIMITEURS DE DEBIT 
8.1 Contexte et problématique
8.1.1 Syndicat des Eaux-d’Ile-de-France SEDIF
8.1.2 Problématique
8.2 Le mécanisme du limiteur de débit
8.3 Etapes de mise en place du limiteur de débit
8.4 Missions réalisées dans le cadre de suivi des travaux
9 BIBLIOGRAPHIE
ANNEXES

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