Méthodes d’évaluation de la réactivité comportementale du taureau dans l’arène

LA SELECTION ET L’ELEVAGE DU TAUREAU BRAVE

DOMESTICATION ET SELECTION POUR DES COMPORTEMENTS

Histoire et objectif de la domestication

Depuis des milliers d’années, les hommes tentent d’exercer un contrôle sur les animaux vivant dans leur environnement et ayant un intérêt pour leur société. On appelle domestication, le processus permettant de passer d’une espèce sauvage à une espèce domestique. Il existe plusieurs définitions de la domestication. Nous gardons pour l’instant, la définition zoologique d’un animal domestique (Denis, 2004). Il doit répondre à plusieurs critères : il doit avoir un certain degré d’apprivoisement avec l’homme (le terme « domestique » étant d’ailleurs souvent confondu avec le terme « familier »). L’homme contrôle la reproduction de l’espèce et opère une sélection. L’animal doit être utilisé par l’homme. Enfin, il faut un nombre important de sujets concernés pour parler d’espèce domestique.L’adaptation des animaux à vivre au contact des hommes apparaît comme un préambule essentiel à la méthode avec laquelle ces animaux seront produits. Cette réponse comportementale de l’animal à la manipulation par l’homme peut être définie par le terme de tempérament (Lansade, 2005). Nous nous contenterons pour l’instant de cette définition restrictive.
Afin d’obtenir une population qui répond aux attentes de leurs éleveurs, il faut donc opérer une sélection sur deux éléments fondamentaux : d’une part il faut que les animaux soient manipulables par l’homme afin qu’il puisse opérer en toute liberté. Le second objectif de la domestication est d’obtenir ou d’améliorer des races domestiquées concernant les éléments de production, comme la quantité et la qualité du lait, de la viande, du cuir….. Ce deuxième objectif peut être atteint plus aisément si la familiarisation avec l’homme est effective. Si l’on prend comme exemple l’espèce bovine (Bos taurus), la domestication remonte à 8000 ans av. J.-C. mais le potentiel de ces animaux n’a pu être amélioré que durant le 20ème siècle
avec les progrès réalisés dans le domaine de la génétique. Cependant cela fait des milliers d’années que les hommes font de la génétique des comportements, de façon empirique, en éliminant des cheptels les individus ayant les conduites agressives les plus prononcées.

Cas particulier de sélection : sélection pour des comportements

Le premier élément qu’il est essentiel de maîtriser est le tempérament (définition restrictive). L’objectif étant de faire en sorte que les animaux soient apprivoisés, adaptés à la vie en captivité et à l’homme. Il s’agit donc de faire une sélection sur le comportement des animaux.
Or selon Plomin (1990), le comportement est le plus complexe des phénotypes qu’il nous est donné d’étudier. D’une part car l’individu qui l’exprime est une unique combinaison de gènes qu’il ne peut transmettre intégralement à sa descendance. D’autre part, le comportement résulte de l’environnement dans lequel l’animal vit et des situations auxquelles il a été confronté. L’analyse génétique des comportements en vue de la sélection rencontre plusieurs problèmes : – il existe une grande palette de comportements dont peuvent faire preuve les animaux, ce n’est pas un modèle manichéen. – les traits de comportements ne dépendent pas d’un unique gène – il existe de nombreux facteurs ne relevant pas de la génétique et qui influencent le comportement : il s’agit de la part « expérientielle » de l’expression des traits de caractères.
Malgré ces difficultés, des aptitudes peuvent être le fruit d’une sélection : on choisit les reproducteurs en fonction du critère recherché. Puis on réalise des croisements afin que la descendance ait le plus de chances possible d’hériter des qualités de ses parents. Grâce à l’application de ces principes, la domestication a eu pour principal effet l’altération héréditaire des réactions défensives de peur vis-à-vis de l’homme (Lankin, 1997). D’autres effets sur les relations intraspécifiques ont permis l’établissement d’une structure sociale malgré la surpopulation, les changements de groupe ou d’environnement.Cependant, même si des sélections sur la docilité ont été réalisées avec succès, toutes les races ne présentent pas les mêmes qualités pour ce trait de caractère.

Facteur influençant le tempérament

L’un des facteurs influençant le plus le tempérament est la race (Burrow, 1997). Les vaches de races Hereford sont par exemple considérées comme plus dociles que les vaches de race Angus selon un mode de notation subjectif. Les vaches de races laitières sont plus dociles que les vaches allaitantes. Chez les vaches de races allaitantes, l’auteur semble sceptique sur la possibilité d’opérer une amélioration du tempérament par la sélection génétique et rejette cette idée pour les races laitières. Pour lui la différence de docilité entre les vaches laitières et allaitantes est due à la plus grande relation homme/animal. C’est cette contrainte de manipulation quotidienne qui a constitué une pression de sélection sur l’espèce bovine.
Dans cette étude le critère de sélection est la docilité. Mais il existe des productions où les caractères à sélectionner sont les aptitudes au combat. Pour ce critère aussi la race est un facteur essentiel.

Cas particulier de sélection : sélection pour des conduites agressives

Contrairement au modèle classique de sélection, ici ce sont les aptitudes au combat qui ont été retenues pour sélectionner les reproducteurs. Nous détaillerons 3 exemples : les coqs de combat, les vaches d’Hérens et les taureaux de corrida. Les 2 derniers exemples illustrent les 2 types de comportements agonistiques rencontrés dans l’espèce bovine : la lutte intra-spécifique (vache d’Hérens) et la lutte interspécifique (taureau Brave).

Les coqs de combat (Vosny, 1975)

Le combat de coqs consiste à faire s’affronter 2 coqs préparés au combat dans un espace prévu à cet effet, appelé gallodrome. En France, les combats de coqs sont autorisés dans les localités possédant un gallodrome et où cette tradition a été ininterrompue. Il existe une vingtaine de gallodromes dans les départements du Nord, du Pas-de-Calais et dans les Dom-Tom (Martinique et Réunion). La Polynésie française perpétue également cette tradition. A partir de l’âge de 10 mois, les coqs commencent à chanter et à gratter le sol. Ils sont alors mis en présence d’un partenaire pour un test de combativité. Leurs ergots sont camouflés afin d’éviter des blessures trop violentes et chaque coq est apprécié pour son goût du combat, son intelligence dans les attaques. Si l’animal passe ce test avec succès il est mené à son premier combat. Suivant les régions et leurs traditions, les ergots sont soient équipés d’une pointe ou d’une lame de métal (combat rapide pour des coqs de vitesse souvent pratiqué dans le Nord de la France), soient enveloppés dans des capuchons (combat long et âpre pour des coqs d’endurance, souvent pratiqué dans les Antilles ou en Polynésie française). Le combat peut durer jusqu’à 8 minutes et s’il n’y pas de KO ou d’abandon, c’est un juge qui désigne le gagnant. Les critères de sélection des coqs de combat sont la résistance aux blessures, l’adresse au combat, la rapidité, le plumage, la taille et la puissance des ergots. Les poussins sélectionnés sont issus de parents s’étant mis en valeur lors de combats ou ayant donné des coqs performants. Selon une étude (Fennel, 1945) sur le comportement de dominance des coqs de combat, cette sélection empirique a permis d’obtenir des coqs qui, comparés à des coqs hybrides et indépendamment de l’entraînement, toléraient mieux les blessures et étaient plus habiles pour combattre.Les coqs de combat sont un exemple de sélection réussie pour des conduites agonistiques. Il existe également dans l’espèce bovine, des races au sein desquelles, la sélection s’est faite pour des comportements agressifs : la race d’Hérens et la race Brave.

Les vaches d’Hérens (Plusqellec, 2001)

La race d’Hérens est originaire du Val d’Hérens dans le valais suisse. Il s’agit d’une race de montagne qui compte environ 35 000 têtes réparties entre la Suisse, l’Italie et la France (une centaine dans la région de Chamonix). Cette race rustique en constante diminution ne doit son salut qu’aux combats traditionnels qui opposent ses congénères d’élevages différents. Lors de la montée en estive, le premier jour, les élevages sont alors mélangés, et des combats apparaissent. Ces affrontements spontanés entre vaches non familières sont depuis toujours des spectacles familiaux. D’ailleurs depuis la fin de la deuxième guerre mondiale des « matchs de reines » sont organisés. Dans une arène faite de cordes (« Poyo »), des animaux non familiers (issus d’élevages différents) sont amenés par groupe de 10 à 15. Ces animaux ont été au préalable classés en 5 catégories selon leur poids et leur âge. Une fois dans le « Poyo », les luttes s’engagent librement. Des juges font alors un classement des 5 vaches les plus dominantes de chaque catégorie (regroupement des vaches par poids) et la première obtient le titre de « reine » de sa catégorie. Les vaches qui ont été classées pourront ensuite participer au grand concours intercantonal qui élira la vache la plus dominante, la « reine des reines ».

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Table des matières

INTRODUCTION
PARTIE 1 : SYNTHESE BIBLIOGRAPHIQUE
I. LA SELECTION ET L’ELEVAGE DU TAUREAU BRAVE
I.1. Domestication et sélection pour des comportements
I.1.1. Histoire et objectif de la domestication
I.1.2. Cas particulier de sélection : sélection pour des comportements
I.1.3. Facteur influençant le tempérament
I.1.4. Cas particulier de sélection : sélection pour des conduites agressives
I.1.4.1. Les coqs de combat (Vosny, 1975)
I.1.4.2. Les vaches d’Hérens (Plusqellec, 2001)
I.1.4.3. Les taureaux Braves
I.1.4.3.1 Histoire et évolution de la tauromachie (Page, 1993)
I.1.4.3.2 Avant la corrida (Viard, 2001)
I.1.4.3.3 Déroulement de la lidia (Lestié, 1964)
I.1.5. Notion de réactivité comportementale et émotionnelle
I.2. Sélection et élevage des taureaux Braves
I.2.1. Critères de sélection recherchés par les éleveur
I.2.1.1. Critères morphologiques
I.2.1.2. Critères comportementaux
I.2.1.2.1 La bravoure
I.2.1.2.2 La noblesse et l’allégresse
I.2.2. Moyen de sélection
I.2.2.1. La reproduction (Lachapelle-Brard, 2005)
I.2.2.2. Les tientas
I.2.2.2.1 Les tientas de vaches
I.2.2.2.2 Les tientas de mâles
I.2.3. Moyen pour exacerber ces critères : le mode d’élevage
I.2.4. Le taureau Brave : un animal domestiqué ?
II. LA FAIBLESSE DU TAUREAU BRAVE
II.1. Les deux définitions de la faiblesse
II.1.1. La définition de l’aficionado
II.1.2. La faiblesse musculaire ou fatigue musculaire
II.2. Les manifestations de la faiblesse
II.2.1. Les chutes
II.2.2. Autres manifestations
II.3. Les études sur la faiblesse
II.3.1. Etudes menées en Espagne et par des vétérinaires français
II.3.1.1. Aspect comportemental et effort physique
II.3.1.2. Aspects lésions musculaires
II.3.1.2.1 Carence en oligo-éléments et vitamines : Sélénium et vitamine E
II.3.1.2.2 Lésions occasionnés lors de la pique
II.3.2. Travaux entrepris à l’INRA de Theix
III. EFFORT ET STRESS : DES ELEMENTS RESPONSABLES DE LA FAIBLESSE ?
III.1. Composante métabolique périphérique de la fatigue
III.1.1. Impact de l’effort sur le métabolisme
III.1.1.1. Déplétion de l’ATP
III.1.1.2. Mobilisation des réserves glucidiques
III.1.1.2.1 Rappel : la glycolyse
III.1.1.2.2 Rappel : le métabolisme aérobie ou oxydatif
III.1.1.2.3 Effet de l’acidose sur le métabolisme anaérobie et aérobie
III.1.1.3. Mobilisation des réserves lipidiques et protéiques
III.1.2. Formulation de «l’hypothèse sportive »
III.2. Composante endocrinienne de la fatigue
III.2.1. Impact du stress sur le métabolisme
III.2.1.1. Définition : stress et syndrome d’adaptation aux contraintes
III.2.1.2. Adrénaline et noradrénaline (Braun, 2002)
III.2.1.3. Le cortisol
III.2.1.3.1 Sécrétion et rôles (Braun, 2002)
III.2.1.3.2 Variation de la cortisolémie
III.2.1.3.3 Relation cortisol/psychologie
III.2.2. Formulation de « l’hypothèse psychologique »
IV. METHODES D’EVALUATION DE LA REACTIVITE COMPORTEMENTALE DU TAUREAU DANS L’ARENE
IV.1. Méthode espagnole (Gaudioso et al., 2001)
IV.1.1. Objectif
IV.1.1.1. Pourquoi créer une grille ?
IV.1.1.2. Elaboration de la grille espagnole
IV.1.2. Présentation de la grille
IV.1.2.1. Paramètres évalués lors de la phase de cape
IV.1.2.2. Paramètres évalués lors de la phase de pique
IV.1.2.3. Paramètres évalués lors de la phase des banderilles
IV.1.2.4. Paramètres évalués lors de la phase de muleta
IV.1.2.5. La mise à mort
IV.1.2.6. Paramètres globaux
IV.1.3. Avantages de la méthode et application
IV.1.4. Inconvénients de la méthode
IV.2. Méthode « INRA-COMPAN»
IV.2.1. Objectif
IV.2.2. Pourquoi créer une telle grille ?
IV.2.3. Elaboration de la grille INRA
IV.2.4. Avantages et applications
IV.2.5. Inconvénients
PARTIE 2 : MATERIEL ET METHODE
I. OBJECTIF DE LA NOUVELLE METHODE
II. PRESENTATION DU LOGICIEL « OBSERVER »
III. ETABLISSEMENT DE L’ETHOGRAMME
IV. UTILISATION DE LA METHODE
V. ECHANTILLON
VI. DONNEES OBTENUES
VII. EVALUATION DE LA DEPENSE ENERGETIQUE (DE)
VII.1. Evaluation de la Dépense Energétique des allures
VII.2. Evaluation de la Dépense Energétique (DE) de la poussée
VII.3. Dépense Energétique par phase
VIII. VALIDATION DE L’EVALUATION DE LA DEPENSE ENERGETIQUE
IX. PRESENTATION DES RESULTATS
X. TRAITEMENT DES DONNEES
PARTIE 3 : RESULTATS ET DISCUSSION
I. DESCRIPTION QUANTITATIVE DES COMPORTEMENTS ET INTERPRETATION
I.1. Les déplacements
I.1.1. Résultats
I.1.2. Discussion
I.2. Le port de tête
I.2.1. Résultats
I.2.2. Discussion
I.3. L’ouverture de la bouche
I.3.1. Résultats
I.3.2. Discussion
I.4. Le fractionnement
I.4.1. Résultats
I.4.2. Discussion
I.5. Les chutes
I.5.1. Résultats
I.5.2. Discussion
I.6. Autres événements
I.6.1. Résultats
I.6.2. Discussion
II. ANALYSE DES COMPORTEMENTS DES TAUREAUX PAR RAPPORT A LEUR ELEVAGE D’ORIGINE
II.1. Moyenne pour l’ensemble de la corrida.
II.1.1. Les déplacements
II.1.1.1. Résultats
II.1.1.2. Discussion
II.1.2. L’ouverture de bouche
II.1.2.1. Résultats
II.1.2.2. Discussion
II.1.3. Les chutes
II.1.3.1. Résultats
II.1.3.2. Discussion
II.1.4. Autres événements
II.1.4.1. Résultats
II.1.4.2. Discussion
II.2. Moyenne pour la phase 1
II.2.1. Les déplacements
II.2.2. Autres événements
II.2.3. Discussion
II.3. Moyenne pour la phase 2
II.3.1. Les déplacements
II.3.2. Autres événements
II.4. Moyenne pour la phase 3
II.4.1. Les déplacements
II.4.1.1. Résultats
II.4.1.2. Discussion
II.4.2. Le port de tête
II.4.2.1. Résultats
II.4.2.2. Discussion
II.5. Moyenne pour la phase 4
II.5.1. Les déplacements
II.5.1.1. Résultats
II.5.1.2. Discussion
II.5.2. L’ouverture de la bouche
II.5.2.1. Résultats
II.5.2.2. Discussion
III. ANALYSE DES COMPORTEMENTS EN TENANT COMPTE DE L’EFFET TORERO
III.1. Moyenne pour l’ensemble de la corrida
III.2. Moyenne pour la phase 1
III.3. Moyenne pour la phase 2
III.4. Moyenne pour la phase 3
III.5. Moyenne pour la phase 4
IV. ANALYSE DES CORRELATIONS ENTRE LES DIFFERENTES VARIABLES DU COMPORTEMENT
IV.1. Comparaison de la méthode espagnole avec les notes issues du questionnaire « INRA-Compan »
IV.1.1. Résultats
IV.1.2. Discussion
IV.2. Comparaison de la nouvelle méthode avec les résultats « INRACOMPAN »
IV.2.1. Corrélations sur la phase Totale (12 corrélations)
IV.2.2. Comparaison sur la phase 1 (3 corrélations)
IV.2.3. Corrélations sur la phase 2 (9 corrélations)
IV.2.4. Corrélations sur la phase 3 (11 corrélations)
IV.2.5. Corrélations sur la phase 4 (10 corrélations)
IV.3. Comparaison de la nouvelle méthode avec la méthode espagnole
V. EVALUATION DE LA DEPENSE ENERGETIQUE (DE)
V.1. Description des Dépenses Energétiques calculées
V.2. Dépense Energétique : effet de l’élevage
V.3. Corrélations Dépense Energétique divisée par le Temps de la phase (DEx/Px avec x l’identifiant de la phase)
V.3.1. Résultats
V.3.2. Discussion
V.4. Corrélations Dépense Energétique / Note d’énergie « INRACOMPAN »
V.4.1. Résultats
V.4.2. Discussion
V.5. Impact du stress sur la Dépense Energétique
V.5.1. Résultats : corrélations Dépense Energétique / Paramètres du métabolisme
V.5.2. Discussion
V.6. Impact de la dépense énergétique sur les chutes
V.6.1. Résultats : corrélations Dépense Energétique/Chutes
V.6.2. Discussion
PARTIE 4 : DISCUSSION GENERALE
I. GENERALISATION DES RESULTATS
I.1. Effet lot, effet élevage
I.2. Effet torero
II. LE DEPOUILLEMENT DES FILMS
III. PERTINENCE DES COEFFICIENTS DANS L’EVALUATION DE LA DEPENSE ENERGETIQUE
IV. UTILISATION FUTURE DU LOGICIEL D’ENREGISTREMENT DES DONNEES ET INTERET DE L’EVALUATION QUANTITATIVE DE LA DEPENSE ENERGETIQUE POUR LES TRAVAUX A VENIR
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE
ANNEXE

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