MAIS ET SORGHO DANS L’ALIMENTATION DU POULET DE CHAIR

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DIGESTION CHEZ LA VOLAILLE

Dans la digestion, le bec des oiseaux ne joue qu’un rôle de préhension des aliments. Les aliments sont déglutis avec le concours de la salive qui est très riche en mucus. Après un bref passage dans l’œsophage, les aliments ingérés arrivent dans le jabot. Celui-ci assure le rôle de stockage, de ramollissement des aliments sous l’action du liquide salivaire, des sécrétions œsophagiennes et ingluviales. Il assure aussi le rôle de régulation de remplissage de l’estomac (KOLB, 1975). La sécrétion du jabot est riche en mucus et contient très peu d’enzymes.
Après un bref séjour dans le proventricule où ils subissent l’action des sucs gastriques, les aliments arrivent dans le gésier et sont broyés, concassés avant de passer dans l’intestin grêle. L’action mécanique du gésier est une trituration qui permet de fragmenter les grains de céréales. Le gésier cumule donc le rôle de mastication absente chez les oiseaux et de mélange du suc gastrique avec les ingesta. L’intestin grêle transforme les aliments en nutriments sous l’action du suc intestinal. La dégradation est achevée dans les cæca grâce à la microflore intestinale (KOLB, 1975).
Dans le processus de digestion, l’action des enzymes débute dans le jabot et s’achève dans l’intestin grêle (SCHWARZ et al., 1987). Plusieurs enzymes interviennent et agissent sur divers substrats pour donner des produits intermédiaires ou finaux, simples et assimilables. Le tableau I résume la localisation et l’effet des différentes enzymes participant à la digestion des aliments chez les volailles.

BESOINS EN MINERAUX ET EN OLIGO-ELEMENTS

Les minéraux interviennent dans la constitution du squelette (os et cartilages), de certains éléments de soutien (tendons et ligaments) et dans l’équilibre osmotique. Ces minéraux constitués principalement par le calcium, le phosphore, le sodium et le chlore sont faiblement représentés dans les aliments d’origine végétale (tableau VII). Il faut donc généralement faire appel aux coquilles d’huître ou de mollusques pour couvrir les besoins.
La principale fonction du calcium et du phosphore est l’entretien de l’ossature. Le squelette prend à son compte environ 99% du calcium et 80% du phosphore du corps. Les deux minéraux agissent l’un sur l’autre, avant et après leur absorption digestive. Un apport excessif de l’un de ces minéraux risque d’entraver l’utilisation de l’autre. Un déficit modéré en calcium n’affecte que les volailles en bas âge, tandis qu’un apport insuffisant en phosphore va se traduire par une anorexie, une baisse de la croissance, des troubles locomoteurs graves et même de la mortalité (I.S.A, 1985).
Une carence en sel réduit l’assimilation des protéines car le sodium est un cotransporteur des acides aminés au niveau de la bordure en plateau cilié des cellules intestinales, mais un excès entraîne une grande consommation d’eau et est à l’origine de diarrhée. La concentration en sel recommandée est de 0,5% de la ration (SMITH, 1992).
Concernant les olido-éléments (tableau VIII), la carence en magnésium ralentit la croissance des poulets de chair et entrave l’ossification. Le fer, le cobalt, le cuivre sont indispensables pour la formation de l’hémoglobine. Le manganèse intervient dans le métabolisme du phosphore ; une carence en cet oligo-élément entraîne des cas de pérosis chez le poulet de chair. Une alimentation pauvre en zinc entraîne des retards de croissance et des démarches dites d’oies

Sous-produits des céréales

Les sons sont les principaux résidus de céréales dont les plus utilisés sont les sons de maïs, de blé, de riz et de mil. Leur utilisation en aviculture est due à leur coût relativement faible et à leur importance dans la régulation du transit digestif dont ils empêchent les perturbations à l’origine des diarrhées et constipation (PARIGHI-BINI, 1986). Les sons de maïs et de mil sont utilisés en aviculture traditionnelle où ils constituent la base de l’alimentation de la volaille.
La farine basse de blé est riche en énergie et peut être valorisée en aviculture alors que celle de riz a une teneur élevée en lipide qui constitue une limite à son incorporation en alimentation aviaire. Néanmoins, les farines basses de riz présentent l’avantage d’avoir une valeur élevée en minéraux, en oligo-éléments et en énergie (LARBIER et al., 1991).
Les drêches de brasseries sont des résidus issus du brassage du malte, elles sont riches en protéines et peuvent être incorporées dans la ration après séchage.

Matières grasses

Elles sont issues des huileries (huiles végétales) ou des abattoirs (graisses animales). Ce sont des sources importantes d’énergie métabolisable pour l’alimentation des volailles (SCOTT, 1976). Elles augmentent la valeur énergétique de la ration tout en abaissant les indices de consommation. Les lipides facilitent l’utilisation des matières premières riches en protéines (tourteaux) mais présentent des niveaux d’énergie relativement bas (SAKANDE, 1993).
POLIN et HUSSEIN (1982) montrent que les poussins âgés d’une semaine retiennent 25 % des lipides de moins que ceux âgés de 2 à 3 semaines, car les sels biliaires impliqués dans la digestion des lipides ne sont pas produits en quantité suffisante chez le poussin, puisque la sécrétion biliaire augmente avec l’âge. Selon I.S.A (1985), l’utilisation des matières grasses d’origine animale, donc riches en acides gras saturés peut entraîner la formation de savons mal absorbés par les poussins et occasionner une mauvaise utilisation du calcium et par conséquent, une augmentation de l’incidence de la dyschondroplasie tibiale.

SOURCES DE PROTEINES

Tourteaux de soja

Il est le plus utilisé dans la ration des volailles du fait de sa richesse en protéines et de son équilibre en acides aminés. Ses protéines sont très digestibles et conviennent aux besoins de croissance des oiseaux, quoique déficitaires en acides aminés soufrés (KEBE, 1989). Mais on y retrouve les substances antitrypsiques qui constituent le facteur limitant. Une cuisson correcte élimine plus de 90% de l’activité antitrypsique (LARBIER et al., 1991).

Tourteau d’arachide et de coton

Ce sont de véritables sources de protéines d’origine végétale au Sénégal, mais ils sont pauvres en matières grasses. La présence de facteurs antinutritionnels tels que l’aflatoxine dans les tourteaux d’arachide et du gossypol dans le tourteau de coton limitent leur utilisation en alimentation. Alors qu’ITAVI (1980) recommande une incorporation du tourteau d’arachide à un taux de 5% dans la ration, ANGULO-CHACON (1986) propose un taux variant de 5 à 10% dans la ration volaille. De plus, cet auteur trouve que lorsque la teneur en aflatoxine est inférieure à 1,25 p.p.m, l’utilisation au taux de 30% chez le poulet en croissance et de 20% dans la ration du poulet adulte ne pose pas beaucoup de problème. L’incorporation de sulfate ferreux à raison de 1 à 2 parts de fer pour 1 part de gossypol réduit la toxicité de ce pigment.

Levures

Elles sont incorporées dans la ration à un taux de 2 à 4% (FERRANDO, 1969), voire jusqu’à 10% pour les pondeuses (LARBIER et al., 1991). Les levures sont des sources très riches en protéines de très bonne qualité (lysine, tryptophane, thréonine), mais pauvres en acides aminés soufrés et vitamines du groupe B (SCOTT, 1976). Le facteur limitant est de leur utilisation est le coût élevé.

Farine de poisson

La farine de poisson possède un excellent équilibre en acides aminés indispensables. De plus, elle représente des sources importantes de méthionine et de lysine. Elles sont incorporées en faibles quantités (compte tenu de leur prix très élevé) dans les aliments pour corriger les déficits en acides aminés essentiels des autres matières premières. Il faut cependant veiller à son taux d’incorporation en aliment finition car, si sa teneur est importante elle communique son odeur à la viande.

Farine de sang

On l’obtient en déshydratant le sang recueilli aux abattoirs. C’est une source très concentrée de protéines dont la digestibilité est diminuée par la présence de fibrinogène. Toutefois, sa teneur en acides aminés permet de couvrir les besoins des volailles. La farine de sang est incorporée à un taux de 5% (LARBIER et al., 1991). Elle n’est pas utilisée au Sénégal.

SOURCES DE MINERAUX ET VITAMINES

Le calcium et le phosphore constituent les principaux minéraux que doit contenir la ration des volailles. Le carbonate de calcium, les coquillages marins, les phosphates en sont les principales sources. Le chlorure de sodium apporte le sodium et le chlore à la ration. Les oligo-éléments tels que le zinc, l’iode et le magnésium, les vitamines et les additifs alimentaires sont apportés par les prémix ou C.M.V. (Compléments Minéraux Vitaminés).

MAIS ET SORGHO DANS L’ALIMENTATION DU POULET DE CHAIR

VALEURS NUTRITIONNELLES DU MAIS ET DU SORGHO

MAIS LOCAL

Le maïs est une céréale de choix dans l’alimentation des volailles (SMITH, 1992). Sa bonne digestibilité avec un TDN (nutriment digestible total) estimé à 80,75%, fait du maïs la céréale la plus utilisée en alimentation des poulets de chair.

Composition chimique

Plusieurs études ont été menées pour déterminer la composition chimique du maïs, les résultats diffèrent sensiblement selon la zone de culture. Les auteurs reconnaissent que le maïs contient peu de cellulose (2,7%) (FERRANDO, 1969), une proportion relativement élevée de matière grasse (4,8%) (F.A.O., 1993). Par contre le maïs est pauvre en protéines (8% MS) (SMITH, 1992), presque dépourvu, de sodium (0,01%) et de calcium (0,01%) (LARBIER et LECLERCQ, 1992). Le phosphore assimilable dans le maïs récolté au Sénégal est estimé à 0,28% (tableau X). De même, ANSELME (1987) trouve une teneur élevée en amidon du maïs (72,5% MS). De plus, il contient une quantité relativement importante de pigments xanthophylles, d’environ 25 ppm (LARBIER et LECLERCQ, 1992).

Minéraux, vitamines et facteurs antinutritionnels

Comme la plupart des céréales, le sorgho est carencé en éléments minéraux. Il a des teneurs de 3,24 g/kg MS en phosphore et de 0,35 g/kg MS en calcium (SAUVANT et al., 2002). La complémentation en phosphore est nécessaire, mais l’apport pose davantage de problèmes que pour les autres minéraux. L’utilisation de phosphore est raisonnée sur deux plans :
¾ le coût onéreux du phosphore. En effet, l’excès de phosphore dans la ration est néfaste sur le plan économique et écologique, car il est éliminé sous forme de phosphate et le phosphate est un polluant de l’environnement.
¾ le phosphore contenu dans les grains est à 70% phytique, c’est-à-dire inclus dans la structure moléculaire des ions phytates (facteur antinutritionnel) donc peu disponible pour l’animal qui les consomme.
Le sorgho ne contient pas de phytase endogène, ce sont des enzymes qui améliorent beaucoup la disponibilité du phosphore et de nombreux oligo-éléments.
Le sorgho constitue en général de riches sources de vitamines du complexe B. Parmi le groupe des vitamines B, les concentrations de thiamine, de riboflavine et de niacine dans le sorgho sont comparables à celles du maïs. Les autres vitamines du complexe B présentes dans le sorgho en quantités significatives sont la vitamine B6, la folacine, l’acide pantothénique et la biotine (SAUVANT et al., 2002). Des quantités détectables d’autres vitamines solubles dans la matière grasse ont également été trouvées dans la graine de sorgho, à savoir des vitamines D, E et K. Le sorgho tel qu’il est généralement consommé n’est pas une source de vitamine C. A la différence du maïs, le sorgho ne contient pas la vitamine A.
Le sorgho est dévalorisé par sa teneur en tanins. Ces tanins n’ont rien de spécifique au sorgho, mais le sont plus largement au règne végétal. Il existe deux types de tanins : les premiers sont dits hydrolysables, portant peu à conséquence sur le plan nutritionnel; les autres, dits condensés sont défavorables. Les variétés de sorgho riches en tanins, le sont généralement, en tanins de type condensé. La particularité de ce facteur antinutritionnel est de se lier aux protéines et de les faire précipiter au sein même de la graine, surtout dans la lumière du tube digestif, formant ainsi des complexes résistants aux attaques enzymatiques. Cette propriété confère à l’aliment un caractère astringent et diminue ainsi fortement son appétence.
Chez le poulet de chair, ils réduisent la consommation alimentaire (ROSTANGO et al., 1973), la digestibilité et la rétention azotée. Les tanins entraînent chez les volailles :
-le retard de croissance chez les poussins alimentés avec du sorgho à forte teneur en tanins (LOUL, 1998) ;
-le changement de goût de la viande (PETERSON, 1969);
-des anomalies des pattes caractérisées par une courbure avec élargissement des jarrets (GUALTIERI et RAPACCINI, 1990);
-la réduction de la production, du poids et de la qualité des œufs (ARMANIOUS et al., 1973).
Ces effets antinutritionnels influencent plus significativement la digestibilité de l’énergie et des protéines chez les volailles, si leur concentration est inférieure à 2,6 g/kg soit 0,26 % (MCNAB et BOORMAN, 2002). Le sorgho pauvre en tanins qu’on rencontre en Afrique ne présente pas ces inconvénients (ANSELME, 1987).

Digestibilité

La digestibilité du sorgho dépend de sa teneur en tanins. La digestibilité apparente des acides aminés du sorgho riche en tanins est de 22%, alors que cette valeur est de 71 % chez les sorghos ayant une faible teneur en tanins. D’une manière générale, le sorgho africain est pauvre en tanins (<1%) et présente une meilleure digestibilité protéique que le sorgho français ou américain (ANSELME, 1987).

SORGHO DANS LE REGIME ALIMENTAIRE DES VOLAILLES

Le sorgho a été longtemps peu utilisé en alimentation des monogastriques (volailles et porcs) en raison de sa concentration très variable en tanins. Les variétés actuelles les plus cultivées en contiennent 0,2% au lieu de 1% à 2% pour les variétés anciennes, ce qui les rend plus intéressantes en alimentation animale. Selon ARVALIS (2006), cette céréale est très proche du maïs par ses caractéristiques chimique et nutritionnelle (EM coq adulte de 3800 kcal/kg/MS) ; (MAT de 11,2% MS et MG de 4,3% MS). Elle présente surtout l’avantage d’être moins exigeante en eau et plus résistante au stress hydrique ce qui la rend compétitive en condition limitante (ARVALIS, 2006).
Des essais de substitution du maïs par le sorgho ont été réalisés à différents taux de substitution avec des résultats contradictoires dans le tableau XV.

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Table des matières

PREMIERE PARTIE : SYNTHESE BIBLIOGRAPHIQUE
CHAPITRE I : PARTICULARITES SUR L’ALIMENTATION DU POULET DE CHAIR AU SENEGAL
I.1. ANATOMIE DE L’APPAREIL DIGESTIF DU POULET
I.1.1. CAVITE BUCCALE
I.1.2. OESOPHAGE
I.1.3. ESTOMAC
I.1.4. INTESTIN
I.1.5 GLANDES ANNEXES DU TUBE DIGESTIF
I.1.5.1. Foie
I.1.5.2. Pancréas
I.1.5.3. Rate
I.2. DIGESTION CHEZ LA VOLAILLE
I.3. BESOINS ALIMENTAIRES DU POULET DE CHAIR
I.3.1. BESOINS EN EAU
I.3.2. BESOINS EN ENERGIE
I.3.3. BESOINS EN PROTEINES
I.3.4. BESOINS EN MINERAUX ET EN OLIGO-ELEMENTS
I.3.5. BESOINS EN VITAMINES
I.3.6. BESOINS EN CELLULOSE
I.4. MATIERES PREMIERES GENERALEMMENT UTILISEES ET LEURS APPORTS
I.4.1. SOURCES D’ENERGIE
I.4.1.1. Céréales
I.4.1.2. Sous-produits des céréales
I.4.1.3. Matières grasses
I.4.2. SOURCES DE PROTEINES
I.4.2.1. Tourteaux de soja
I.4.2.2. Tourteau d’arachide et de coton
I.4.2.3. Levures
I.4.2.4. Farine de poisson
I.4.2.5. Farine de sang
I.4.3. SOURCES DE MINERAUX ET VITAMINES
CHAPITRE II : MAIS ET SORGHO DANS L’ALIMENTATION DU POULET DE CHAIR
II.1. VALEURS NUTRITIONNELLES DU MAIS ET DU SORGHO
II.1.1. MAIS LOCAL
II.1.1.1. Composition chimique
II.1.1.2. Valeur énergétique
II.1.1.3. Valeur protéique
II.1.1.4. Digestibilité du maïs
II.1.2. SORGHO LOCAL
II.1.2.1. Composition chimique
II.1.2.2. Valeur énergétique
II.1.2.3. Valeur protéique
II.1.2.4. Minéraux, vitamines et facteurs antinutritionnels
II.1.2.5. Digestibilité
II.2. SORGHO DANS LE REGIME ALIMENTAIRE DES VOLAILLES
II.2.1. CONSOMMATION ALIMENTAIRE ET INDICE DE CONSOMMATION
II.2.2. PERFORMANCE DE CROISSANCE ET D’ENGRAISSEMENT
II.2.3. RENDEMENT CARCASSE
II.2.4. VITALITE ET MORTALITE
CHAPITRE III : GRANULOMETRIE DE L’ALIMENT
III.1. PRINCIPE, MESURE ET OBTENTION
III.1.1. PRINCIPE
III.1.2. MESURE GRANULOMETRIQUE
III.1.2.1. Signification de la mesure granulométrique
III.1.2.2. Expression des résultats de la mesure granulométrique
III.1.3. TECHNIQUE D’ANALYSE DE LA GRANULOMETRIE
III.1.3.1. Tamisage
III.1.3.2. Compteur à variation de résistance
III.1.3.3. Diffraction de la lumière
III.1.3.4. Analyse par image
III.1.3.5. Mesure en ligne
III.1.4. OBTENTION D’UNE GRANULOMETRIE
III.1.4.1. Fragmentation et broyage
III.1.4.2. Séparation
III.2. EFFETS SUR LE PROCESSUS DIGESTIF DES OISEAUX
III.3. EFFETS SUR LES PERFORMANCES DES POULETS DE CHAIR
III.3.1. CONSOMMATION ALIMENTAIRE ET L’INDICE DE CONSOMMATION 42
III.3.2. CROISSANCE ET ENGRAISSEMENT
III.3.3. RENDEMENT CARCASSE
III.3.4. VITALITE ET LA MORTALITE
PARTIE EXPERIMENTALE : EFFETS DE LA NATURE DES CEREALES ET DE LA TAILLE PARTICULAIRE SUR LES PERFORMANCES ZOOTECHNIQUES DES POULETS DE CHAIR
CHAPITRE I : MATERIEL ET METHODES
I.1. SITE ET PERIODE DE TRAVAIL
I.2. MATERIELS
I.2.1. CHEPTEL EXPERIMENTAL
I.2.2. MATERIEL D’ELEVAGE ET DE CONTROLE DES PERFORMANCES
I.2.4. ALIMENTS UTILISES
I.3. METHODES
I.3.1. CONDUITE D’ELEVAGE
I.3.1.1. Préparation de la salle d’élevage
I.3.1.2. Arrivée des poussins
I.3.1.3. Alimentation des animaux
I.3.1.4. Eclairage des animaux
I.3.2. COLLECTE DES DONNEES
I.3.2.1. Consommation alimentaire et paramètres d’ambiance
I.3.2.2. Poids des animaux
I.3.2.3. Mortalités
I.3.2.4. Poids des carcasses
I.3.2.5. Consommation alimentaire individuelle
I.3.3. CALCUL DES VARIABLES ZOOTECHNIQUES
I.3.3.1. Gain Moyen Quotidien
I.3.3.2. Indice de consommation
I.3.3.3. Rendement carcasse
I.3.3.4. Taux de mortalité
I.3.5. ANALYSE STATISTIQUE DES DONNEES
CHAPITRES II : RESULTATS ET DISCUSSION
II.1. RESULTATS
II.1.1. EFFETS DE LA NATURE DES CEREALES ET DE LA TAILLE DES PARTICULES SUR LA CROISSANCE
II.1.1.1. Poids vif des oiseaux
II.1.1.2. Vitesse de croissance des oiseaux
II.1.2. EFFETS DE LA NATURE DES CEREALES ET DE LA TAILLE DES PARTICULES SUR L’EFFICACITE ALIMENTAIRE
II.1.3. EFFETS DE LA NATURE DES CEREALES ET DE LA TAILLE DES PARTICULES SUR LES CARACTERISTIQUES DE CARCASSE
II.1.4. EFFETS DE LA NATURE DES CEREALES ET DE LA TAILLE DES PARTICULES SUR LA MORTALITE
II.1.5. ANALYSE ECONOMIQUE
II.2. DISCUSSION
II.2.1. EFFETS DE LA NATURE DES CEREALES SUR LES PERFORMANCES ZOOTECHNIQUES
II.2.1.1. Poids vifs
II.2.1.2. Consommation et indice de consommation alimentaire
II.2.1.3. Carcasse
II.2.2. EFFETS DE LA GRANULOMETRIE DE L’ALIMENT SUR LES PERFORMANCES DES POULETS DE CHAIR
II.2.2.1. Poids vifs
II.2.2.2. Consommation et indice de consommation alimentaire
II.2.2.3. Carcasse
II.2.3. EFFETS DE LA NATURE DES CEREALES CROISES AVEC LA TAILLE DES PARTICULES SUR LES PERFORMANCES ZOOTECHNIQUES
II.2.3.1. Poids vif
II.2.3.2. Consommation et indice de consommation alimentaire
II.2.3.3. Carcasse
II.2.4. EFFETS DE LA NATURE DES CEREALES ET DE LA TAILLE DES PARTICULES SUR LA MORTALITE
CHAPITRE III : RECOMMANDATIONS
III.1. RECOMMANDATIONS EN DIRECTION DES AGRICULTEURS
III.2. RECOMMANDATIONS EN DIRECTION DES FABRIQUES D’ALIMENTS
III.3. RECOMMANDATIONS EN DIRECTION DE L’ETAT
CONCLUSION GENERALE
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES

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