L’innovation, facteur déterminant de la compétitivité et de la rentabilité pour l’entreprise

Télécharger le fichier pdf d’un mémoire de fin d’études

MEMOIRE DE MAITRISE EN GESTION
OPTION : FINANCES ET COMPTABILITE

Entreprise aujourd’hui

Aujourd’hui, la Caisse d’Epargne de Madagascar est une société anonyme à capital social de 5 460 000 000 MGA. La Caisse d’Epargne de Madagascar est un des plus importants établissements de crédits à Madagascar. Elle a pour mission de : Promouvoir l’épargne individuelle et l’éducation à l’épargne, faire fructifier les fonds collectés, mettre à disposition du public, en particulier les petites et moyennes entreprises une gamme de services financiers.
Actuellement, les activités commerciales de la Caisse d’Epargne de Madagascar (CEM) se limitent à deux types de services : Collecte d’épargne à titre gratuit ; placement de la majeure partie de ses ressources en Bons du Trésor par Adjudication (BTA) et auprès de la Recette Générale du Trésor au titre de dépôts et consignations (CDC). Sur ce marché, la Caisse d’Epargne de Madagascar fait face à deux problèmes majeurs : Contraction de la marge sur intérêt, mettant ainsi à risque la capacité bénéficiaire suite à la baisse des taux ; fuite des clients vers les institutions concurrentes qui offrent une gamme élargie et plus attrayante de produits et services bancaires. Ainsi, pour assurer sa pérennité, la CEM se trouve dans l’obligation : dans l’immédiat, de voir les possibilités de maximisation des revenus de placement et à court terme, d’étendre ses activités pour gérer de nouveaux revenus tout en répondant aux besoins de sa clientèle, notamment à travers la diversification des produits passifs, la mise en place de ces actifs ainsi que l’offre de services à commission.
La CEM pratique la collecte de l’épargne à travers trois produits passifs : Le Livret d’Epargne (LE) :
Le livret est un compte accessible à tous et il constitue le principal produit de la CEM. Son support permet aux clients en compte épargne de verser et de se faire rembourser auprès des caisses dans les agences. Toutes les présentations sont gratuites. La rémunération des dépôts offerte à la clientèle se fait par un taux d’intérêt annuel variable. Ainsi, nous distinguons deux sortes de compte:
– Le compte ordinaire : est appelé compte ordinaire, tout dépôt minimum de 20 Ariary. Les épargnants perçoivent des intérêts capitalisés annuellement et le taux suit l’évolution du taux de la Banque Centrale. Ce compte est rémunéré à un taux moyen de 4,25%. Les retraits de ce compte excèdent 4 fois par an.
– Le compte stable : tout dépôt minimum de 100 000 Ariary est dénommé compte stable. Le nombre de retraite ne doit pas dépasser 4 fois dans l’année. Ce compte est rémunéré à un taux moyen de 4,75%. Le Compte Spécial Epargne (CSE) :
Le CSE a été commercialisé depuis 1999 et dont les caractéristiques sont les suivantes : C’est un compte destiné aux particuliers haut de gamme et les associations. C’est un compte d’épargne à terme (de maturité 12, 24 et 52 semaines) matérialisé par un titre de placement. Le dépôt minimum est de 20 millions d’Ariary et tous les services sont gratuits. Le taux d’intérêt est négociable et varie en fonction du taux du marché monétaire et de la durée du placement. Le Compte Spécial Retraite (CSR)
C’est une caisse de retraite supplémentaire à la CNAPS, dédiée spécialement aux salariés d’entreprise publique et privée. Le compte peut être alimenté par prélèvement mensuel sur le salaire de l’employé selon l’accord conclu entre la CEM et l’employeur. Le salarié peut verser lui-même et à tout moment une partie de son salaire. Le CSR comporte les quelques caractéristiques suivantes :
– Le CSRE :
C’est un compte qui fonctionne par un prélèvement mensuel effectué sur le salaire de l’employé, et ce selon le protocole d’accord entre la CEM et l’employeur. Le protocole d’accord définit tous les termes et les spécificités du compte pour chaque entreprise contractante (ex : montant des prélèvements qui toutefois doit dépasser les 3 000 Ariary mensuel, les taux d’intérêts, les modalités de versement mensuel, etc.).
Le taux d’intérêt est fonction des cotisations et du BTA. Et la capitalisation des intérêts se fait annuellement.
Le capital et tous les intérêts constitués durant la période de souscription au compte sont exigibles à l’échéance (date de départ à la retraite sauf cas particuliers définis dans les caractéristiques du produit ou dans le protocole d’accord).
– Le CSRP :
Comme c’est un compte destiné aux particuliers non salariés d’entreprise, le versement régulier mensuel n’est pas exigé. Toutefois, une cotisation minimale annuelle de 36 000 Ariary est exigée aux détenteurs du compte.
Les autres conditionnalités sont les mêmes que celle exigées pour le CSRE.

L’entreprise et son personnel

Actuellement, la Caisse d’Epargne de Madagascar compte 427 salariés dont dix (10) cadres dirigeants, trente huit (38) cadres supérieurs, vingt-quatre (24) cadres, soixante dix huit (78) cadres de maîtrise et deux cent soixante dit sept (277) cadres d’exécution.
L’horaire de travail commence à huit heures du matin jusqu’à seize heures, heures continue. Sauf pour les Agences, tous les samedis de neuf heures à treize heures de l’après midi.

Liste des matériels utilisés

Dans cette sous-section, nous allons présenter les matériels qui nous permettent de mieux réaliser ce travail de recherche.

Type de documents

La recherche de documentaire est l’une des procédés importants qui nous a aidés à collecter des données concernant le thème. Nombreux sont les types de document que nous avons choisi comme référence pour focaliser nos recherches. Il a fallu consulter des différents articles et revue scientifiques, des cours théoriques, des mémoires, la navigation sur Internet et les enquêtes menées sur terrain.
Les données recueillies peuvent être classées en deux grandes catégories, à savoir : les données primaires et les données secondaires. Les données primaires sont les données correspondant aux informations obtenues d’après la recherche documentaire, les observations sur terrain. Ce sont des informations obtenues sans modification ni comporter des commentaires quelconques. Elles nous permettent de collecter les données jugées nécessaires dans notre étude. Quant aux données secondaires, ce sont des données qui ont subit des modifications et de transformations, et même commentés pour apprécier leur nécessité dans la résolution de notre thème.\

Les scénarios de la compétitivité

Pour chaque facteur de compétitivité trois scénarios qui permettent de définir les contours des bonnes pratiques qui ont conduit les entreprises au succès : le premier scénario, qualifié de « scénario idéal » indique pour un facteur de compétitivité la meilleure pratique à suivre, celle qui conduit l’entreprise à être plus compétitive que les autres. Ainsi, par touches successives, au fil des scénarios apparaît l’image de l’entreprise « modèle » qui sera en mesure de s’adjuger un avantage sur ses concurrents. Le second scénario, qualifié de « scénario médian » est une version dégradée du premier scénario : certains éléments de la compétitivité existent mais tous les ingrédients de la réussite ne sont pas réunis. Et le troisième scénario, qualifié de « scénario faible », est l’expression d’une compétitivité à retrouver.

Rentabilité

La rentabilité est une notion qui fait référence à un seuil (prix ou niveau de production) en dessous duquel le producteur (micro ou macroéconomique) risque des pertes financières. Par définition, « La rentabilité, renvoie à la notion de rente. Elle traduirait ainsi l’aptitude à créer de la rente pour les apporteurs de capitaux et tout particulièrement les actionnaires, détenteurs de droits résiduels. On distingue ainsi la rentabilité des capitaux propres (ou rentabilité financière) qui, portant sur la valeur des fonds propres, conduit à apprécier la valeur créée pour les actionnaires et la rentabilité économique, qui constitue davantage un critère de création de valeur globale intégrant l’ensemble des capitaux apportés. La rentabilité s’appréciera dès lors en rapportant un élément de résultat à un élément d’actif ou de capitaux. La rentabilité est la création de valeur pour l’actionnaire tel que le taux de rendement d’un portefeuille,… »18. La rentabilité financière, donc, constitue un indicateur de compétitivité qui mesure le rendement du capital investi. D’autres indicateurs comme la rentabilité économique, ou taux de profit, la productivité apparente du travail, le taux d’autofinancement, les parts de marché, etc. pourraient être calculés. Ces indicateurs permettront de classer les entreprises les unes par rapport aux autres ou de comparer la compétitivité de deux ou plusieurs groupes homogènes entre eux. En bref, la rentabilité représente l’évaluation de la performance de ressources investies par des apporteurs de capitaux et la formule suivante peut être utilisée pour l’évaluer : Rentabilité = Bénéfice net x 100 Chiffre d’affaires.

Collecte d’information

Pour avoir le maximum d’informations sur notre thème, nous avons associé toutes les techniques possibles de recherche et de collecte des données, à savoir : l’observation, la documentation, l’entrevue.

L’observation

Durant notre visite dans l’entreprise, Caisse d’Epargne de Madagascar, nous avons pu observer les méthodes de travail au sein de ce dernier : les conditions de travail, la sécurité et surtout l’accueil.

La documentation

En plus des informations, nous avons également effectué des recherches documentaires, c’est-à-dire les besoins de consulter divers articles concernant les innovations, la stratégie, la compétitivité et la rentabilité. Cette documentation nous a permis de compléter nos connaissances sur le thème et les concepts clés dans le but d’avoir les informations nécessaires à la réalisation de cet ouvrage.

L’enquête par le questionnaire

L’entrevue réalisée au cours de notre étude va servir à compléter les données déjà acquises au cours des recherches exploratoires effectuées. C’est-à-dire la phase qui consiste à élaborer le plan de recherche, en commençant par les questions de départ pour la formulation de la problématique, de la définition des objectifs (objectif global et objectifs spécifiques), les indicateurs pour la vérification des hypothèses et les résultats attendus de cette recherche. Cette entrevue constitue le recueil d’information effectué au niveau de l’entreprise, plus précisément, par l’intermédiaire du personnel. En effet, la connaissance de la réalité au sein de l’entreprise est nécessaire pour la descente sur terrain. Grâce aux informations obtenues de cette enquête, nous pouvons présenter des résultats obtenus des questions posées par les enquêtes. Plus important, nous pouvons également vérifier la confirmation ou l’infirmation des hypothèses et de répondre dans la conclusion à la problématique posée dans l’introduction de cet ouvrage. Elaboration de questionnaire
La plupart de nos questions sont des questions fermées et des questions ouvertes. De plus, nous avons employé aussi des questions aux choix multiples durant notre recherche. Les questions fermées sont là pour obtenir des réponses pertinentes auprès des enquêtés (le personnel). La réponse à ce type de question est de type « OUI » ou « NON ». Ce type de question permet d’obtenir des renseignements factuels, de connaître la position d’une entreprise concernant l’innovation, la stratégie, et les facteurs déterminants de la compétitivité et de la rentabilité de l’entreprise dans l’ensemble. Les questions ouvertes proposent au répondant la liberté de répondre comme il veut. Ces types de question permettent d’obtenir beaucoup d’éléments exploitables. En dehors de tout cela, elles permettent de recueillir réellement les opinions des enquêtés en leur donnant la possibilité de s’exprimer en leur façon. Nous avons utilisé également des questions à choix multiples destinées à proposer aux enquêtés une liste des réponses d’une forme précise sur laquelle ils doivent choisir. Le choix des réponses est limité au nombre de quatre au maximum. Pour assurer la fiabilité des réponses obtenues, nous avons donné les questionnaires au personnel de la Caisse d’Epargne de Madagascar en accord avec le DRH pendant une semaine. Après le recueil des réponses aux questionnaires, nous pouvons appréhender d’une certaine précision la situation de l’entreprise vis-à-vis du thème étudié.

Méthode d’analyse et traitement des données

Nous envisageons une approche par la statistique descriptive pour traiter les informations recueillies de l’enquête. Pour caractériser le phénomène étudié, nous avons besoins de calculer les indicateurs statistiques suivants : l’effectif, la fréquence et le coefficient de corrélation linéaire entre les variables de l’étude. L’un des indicateurs de synthèse le plus important dans notre étude est le coefficient de corrélation linéaire, qui consiste à chercher la relation qui existe entre les variables explicatives et la variable à expliquer (cf. modélisation théorique). Par convention, la formule de coefficient de corrélation est présentée par : r = cov (x ; y) / σ (x). σ (y).
Dans notre cas d’espèce, nous allons traiter automatiquement les données recueillies en utilisant le logiciel Sphinx pour le calcul de l’effectif, de la fréquence des réponses à chaque intervalle et le coefficient de corrélation linéaire. Théoriquement, il existe une corrélation entre deux variables s’il y a un lien entre elles. Grâce à cette relation, si r est positif, les deux variables évoluent dans le même sens et si r est négatif, les deux variables évoluent en sens inverse19. De plus, le coefficient de corrélation linéaire est : -1 < r < 1.
Par conséquent, plus r est proche de -1 ou +1, plus le lien entre les deux variables est fort. Alors, nous pouvons affirmer la relation entre les deux variables étudiées.
Dans notre cas d’espèce, ce paramètre permet de retenir les facteurs déterminants de la compétitivité et de la rentabilité de l’entreprise. Pour déterminer quelles hypothèses influent la compétitivité et la rentabilité de l’entreprise, il est important de comparer les coefficients de corrélation linéaire obtenus : si r ≥ 0,8, nous avons une forte corrélation et si r ≤ 0,8, nous avons une faible corrélation ou une mauvaise corrélation.

PRESENTATION DES RESULTATS OBTENUS DES QUESTIONS POSEES

Cette première section va nous permettre de présenter tous les résultats obtenus des questions posées aux enquêtés par l’usage de questionnaire d’enquête afin de démontrer l’importance de l’innovation et de la stratégie concernant la compétitivité et la rentabilité de l’entreprise.
Notre approche dans la présentation des résultats est la statistique descriptive comme outil de traitement des données recueillies de notre enquête. Les principaux indicateurs que nous trouvons sont l’effectif (Ni), la fréquence (Fi) et le coefficient de corrélation linéaire est noté « r ».
Les résultats présentés ci-dessous sont composés de huit questions. Ces huit questions sont classifiées en trois grands groupes de thème, à savoir : La question générale des facteurs déterminants de la compétitivité et de la rentabilité La question sur l’innovation Et la question sur la stratégie
Dans cette section des résultats, nous trouvons uniquement des tableaux simples pour la présentation des résultats obtenus par l’enquête. Chaque tableau contient généralement trois colonnes. La première colonne permet de présenter les échelles de réponses valable à chaque question posée que les enquêtés peuvent choisir et vont de deux jusqu’à quatre réponses possibles. La deuxième colonne met en exergue les effectifs concernant la question posée et la troisième colonne indique le calcul de la fréquence en fonction des effectifs obtenus à chacune des enquêtés.
Par rapport à la méthode I.M.M.R.E.D., cette première section ne comporte aucunement des commentaires personnels de l’enquêteur. Il s’agit uniquement de la présentation des résultats bruts obtenus de la descente sur terrain. Mais chaque résultat est commenté en fonction du contenu du tableau simple. Les indicateurs qui entrent dans notre commentaire sont les effectifs et/ou la fréquence.
Maintenant, abordons la présentation du premier résultat obtenu de la première question concernant les facteurs déterminants de la compétitivité et de la rentabilité de l’entreprise.

Concernant les facteurs déterminants de la compétitivité et de la rentabilité

Dans cette première sous section, nous allons présenter les opinions des enquêtés à propos des facteurs déterminants de la compétitivité et de la rentabilité. Voici la question à ce propos :
Question 1 : L’innovation et la stratégie constituent les facteurs déterminants de la compétitivité et de la rentabilité de l’entreprise : Est-ce que cette affirmation est aussi valable pour le cas de votre entreprise ?
Il s’agit d’une question de type « fermée ». La question est à réponse unique sur une échelle : les paramètres sont établis sur une notation de 1 (Oui) à 2 (Non). Cette question va être présentée à l’aide d’un tableau : xi désigne les valeurs de l’échelle allant de 1 à 2 Ni indique le nombre de citation ou l’effectif Fi celle de la fréquence.

LES RELATIONS ENTRE LES VARIABLES

Dans cette deuxième section, nous allons présenter l’étude des rapports qui existent entre les variables explicatives, qui sont l’innovation, d’une part et la stratégie, d’autre part ; ainsi que la variable à expliquer, qui n’est autre que la compétitivité et la rentabilité de l’entreprise (les facteurs).
L’étude menée entre les variables de l’étude permet de mieux comprendre à quel point les variables explicatives influencent notre recherche et de déterminer laquelle de ses deux variables explicatives de notre étude peut influencer la variable à expliquer afin de vérifier la véracité des hypothèses émises dans l’introduction de ce mémoire.
Sans attendre, commençons cette étude de relation entre les variables par présenter les études menées entre l’innovation et les facteurs déterminants de la compétitivité et de la rentabilité de l’entreprise qui n’est autre que la sous-section 1.3 ci-dessous.

Rapport entre les innovations et les facteurs déterminants de la compétitivité et de la rentabilité

Afin de comparer les résultats obtenus au cours de notre investigation, nous avons besoin des tableaux n°3 et n°7. Par le traitement automatique via le logiciel Sphinx, nous pourrons faire facilement la comparaison nécessaire.
xi montre les notes données par les enquêtés sur l’innovation, yj celle des facteurs déterminants de la compétitivité et de la rentabilité.
En plus, notons Ni la mention qui indique les totaux des lignes et Nj qui exprime les totaux des colonnes, et Nij qui indique les effectifs se trouvant entre les lignes et les colonnes..

Le rapport de stage ou le pfe est un document d’analyse, de synthèse et d’évaluation de votre apprentissage, c’est pour cela rapport-gratuit.com propose le téléchargement des modèles complet de projet de fin d’étude, rapport de stage, mémoire, pfe, thèse, pour connaître la méthodologie à avoir et savoir comment construire les parties d’un projet de fin d’étude.

Table des matières

INTRODUCTION GENERALE
PREMIER CHAPITRE : MATERIELS ET METHODES
SECTION 1 : MATERIELS
1.1- Justification de la zone d’étude
1.1-1. Coordonnées de l’entreprise
1.1-2. Historique de la CEM
1.1-3. Entreprise aujourd’hui
1.1-4. Le fonctionnement de l’entreprise
1.1-5. L’entreprise et son personnel
1.2- Liste des matériels utilisés
1.2-1. Type de documents
1.2-2. Logiciel d’aide
1.3- Cadre théorique
1.3-1. Innovation
1.3-1.1. Définition
1.3-1.2. Les catégories de l’innovation
1.3-1.3. Processus d’innovation
1.3-1.4. Innovation et avantage concurrentiel
1.3-1.5. Le management de l’innovation
1.3-2. Stratégie
1.3-3. Compétitivité
1.3-3.1. Définition
1.3-3.2. Facteurs de compétitivité
1.3-3.3. Les scénarios de la compétitivité
1.3-4. Rentabilité
SECTION 2 : LA METHODOLOGIE DE LA RECHERCHE
2.1- Collecte d’information
2.1-1. L’observation
2.1-2. La documentation
2.1-3. L’enquête par le questionnaire
2.2- Méthode d’analyse et traitement des données
2.3- Limites de la recherche
SECTION 3 : MODELISATION THEORIQUE
3.1- Formulation des hypothèses
3.2- Traduction des hypothèses en variable
3.3- Représentation schématique de la modélisation théorique
DEUXIEME CHAPITRE : RESULTATS
SECTION 1 : PRESENTATION DES RESULTATS OBTENUS DES QUESTIONS POSEES
1.1- Concernant les facteurs déterminants de la compétitivité et de la rentabilité
1.2-1. Le but de la gestion de l’innovation dans l’entreprise
1.2-2. Innovation des produits et innovation des procédés
1.2-2.1. L’innovation des produits
1.2-2.2. L’innovation de processus
1.2-3. L’innovation, facteur déterminant de la compétitivité et de la rentabilité pour l’entreprise
1.2-4. La stratégie de prix
1.2-5. La stratégie de différenciation
1.2-6. La stratégie, facteur déterminant de la compétitivité et de la rentabilité pour l’entreprise
SECTION 2 : LES RELATIONS ENTRE LES VARIABLES
1.3- Rapport entre les innovations et les facteurs déterminants de la compétitivité et de la rentabilité
1.4- Rapport entre les stratégies et les facteurs déterminants de la compétitivité et de la rentabilité
SECTION 3 : CALCULS DES COEFFICIENTS DE CORRELATION LINEAIRE
2.1- Corrélation linéaire entre innovation et les facteurs déterminants de la compétitivité et de la rentabilité
2.2- Corrélation linéaire entre stratégie et les facteurs déterminants de la compétitivité et de la rentabilité
TROISIEME CHAPITRE : DISCUSSIONS ET RECOMMANDATIONS
SECTION 1 : DISCUSSIONS
1.1- Discussion des résultats obtenus des questions posées
1.1-1. Discussions des facteurs déterminants de la compétitivité et de la rentabilité
1.1-2. Discussions sur l’innovation
1.1-2.1. Le but de la gestion de l’innovation dans l’entreprise
1.1-2.2. L’innovation des produits et l’innovation de processus
1.1-2.3. L’innovation, facteur déterminant de la compétitivité et de la rentabilité pour l’entreprise
1.1-3. Discussions sur la stratégie
1.1-3.1. La stratégie de prix
1.1-3.2. La stratégie de différenciation
1.1-3.3. La stratégie, facteur déterminant de la compétitivité et de la rentabilité pour l’entreprise
1.2- Discussion concernant les relations entre les variables
1.3- Discussion des calculs des coefficients de corrélation linéaire
1.3-1. Corrélation linéaire entre innovation et les facteurs déterminants de la compétitivité et de la rentabilité
1.3-2. Corrélation linéaire entre stratégie et les facteurs déterminants de la compétitivité et de la rentabilité
SECTION 2 : RECOMMANDATIONS
2.1- Proposition d’amélioration concernant la stratégie de prix
2.2- Approche de la stratégie des moyens de communication
2.2-1. Les moyens de communication personnelle
2.2-2. Les moyens de communication impersonnelle
2.3- La rentabilité de l’innovation associée à des contraintes et à des risques :
CONCLUSION GENERALE
BIBLIOGRAPHIE

Télécharger le rapport complet

Télécharger aussi :

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *