L’indépendance relationnelle

L’indépendance relationnelle

L’étude des relations d’objet (RO) est importante pour les tenants des approches psychanalytiques et psychodynamiques (Bergeret, 2004). En effet, le développement des théories des RO a permis de répondre à certaines des grandes critiques adressées aux théories psychanalytiques classiques (Fonagy & Target, 2003), particulièrement à celle qui porte sur la difficulté à opérationnaliser les concepts et donc à pouvoir produire des études empiriques. L’étude des RO permet également une ouverture sur les autres écoles de pensée en psychologie, notamment par le souci d’intégration de concepts tels l’acquisition de la constance de l’objet décrit par Piaget (Masling &t Bornstein, 1994). En psychologie clinique, les théories des RO sont utilisées afin d’orienter le diagnostic, le choix ainsi que les objectifs de traitement (Gomez, 1997). Kernberg a élaboré une théorie des RO qui est considérée comme la plus influente en Amérique (Glickauf-Hugues & Wells, 1997). Cette théorie comporte quatre organisations de personnalité (OP) (psychotique, borderline, névrotique et normale), évaluées à l’aide de quatre dimensions (identité, utilisation des mécanismes de défense, épreuve de réalité et qualité des relations objectales) (Lenzenweger & Clarkin, 2005). Les travaux de Kernberg ont notamment permis le développement de traitements psychologiques pour les individus d’organisation borderline (Clarkin, Yeomans & Kernberg, 1999) et névrotique (Caligor, Kernberg & Clarkin, 2007). La contribution au niveau clinique des travaux de Kernberg a favorisé le développement d’instruments visant à opérationnaliser son modèle d’OP. Parmi ces instruments, le Personality Organization Diagnostic Form (PODF; Diguer et al., 2001) présente de grands avantages. Cet instrument est flexible et présente de bonnes propriétés psychométriques (Gamache et al, 2009; Hébert et al., 2003; Laverdière et al., 2007). Il permet de procéder au diagnostic d’OP en étudiant les quatre dimensions du modèle de Kernberg (identité, mécanismes de défense, épreuve de réalité et relations objectales). Comme la dimension de la qualité des relations objectales n’est évaluée qu’à l’aide d’un seul item, il est nécessaire d’évaluer ses liens avec une autre mesure des RO. Pour ce faire, le Relationship Patterns Questionnaire (RPQ; Kurth & Pokorny, 1999) semble tout indiqué. Cet instrument permet d’estimer la qualité des relations objectales et est construit sur deux modèles basés sur les théories des RO, le Structural Analysis of Social Behavior (SASB; Benjamin, 1974) et le Core Conflictual Relationship Themes (CCRT; Luborsky, 1977). Par contre, cet instrument n’est actuellement disponible qu’en version allemande et portugaise. Ainsi, cette étude de type exploratoire, vise d’abord à traduire le RPQ, à étudier ses propriétés psychométriques et finalement à évaluer ses liens avec le PODF.

Définition de la RO

Brenner (1973) définit la RO comme les comportements et attitudes d’une personne envers un objet de son environnement. L’objet dont il est question est défini comme une personne ou une chose, qui peut être animé ou non, et qui doit être psychologiquemen significatif à la vie psychique de l’individu (Brenner, 1973). La RO est définie par Bergeret (2004) comme la manière dont un individu internalise les objets et comment ceux-ci influencent la vie de cet individu. Les internalisations se retrouvent dans les interactions du sujet avec l’environnement et dans la représentation qu’il se fait de ces interactions, qu’elle incarne un fantasme ou un souvenir (Kernberg, 1975). Plus simplement, la RO peut être décrite comme une représentation de soi reliée à une représentation de l’objet par un affect particulier (Yeomans, Clarkin & Kernberg, 2002).

Théories des RO

Les théories des RO s’appuient sur l’idée que les pulsions (par exemple l’agression et la libido) sont toujours expérimentées en relation avec un objet (Jacobson, 1964;Kernberg, 1980; Klein, 1957; Mahler, 1971). Ces théories s’intéressent aux mécanismes qui créent le processus d’internalisation des expériences relationnelles et proposent un modèle psychologique du monde interpersonnel (Westen, 1991). De plus, elles permettent d’étudier les impacts de la qualité des RO sur le comportement des individus (Glickauf-Hugues & Wells, 1997).

Les RO internalisées lors de l’enfance se développent et deviennent plus articulées au fil des expériences (Glickauf-Hugues & Wells, 1997). Les individus portent ainsi en eux une multitude de représentations mentales et affectives des aspects de soi et des autres (les objets) (Gabbard, 2005). Selon Gabbard, ces RO internalisées évoluent en structures psychiques (ça, moi et surmoi) qui peuvent être inférées par les comportements, les pensées et les sentiments des individus. La formation des structures psychiques témoigne donc de la manière dont l’individu organise le monde relationnel d’une manière compréhensible pour lui-même. Les relations interpersonnelles des individus découlent ainsi des RO internalisées (Glickauf-Hugues & Wells, 1997).

Les patrons ou schémas qui proviennent de cette organisation du monde relationnel sont la base de la configuration mentale. Lors du développement normal (sain), les structures se modifient au gré des expériences, tandis que le développement pathologique est caractérisé par des schémas rigides et non cohérents avec la réalité, desquels résultent des fixations de certains aspects du comportement, des pensées et des émotions dans le cours du développement (Glickauf-Hugues & Wells, 1997). Le monde interne des individus est ainsi représenté par un processus dynamique qui comporte des patterns fixes et d’autres plus souples, conscients ou non (Gomez, 1997). Ce processus influence la manière dont se fait l’expérience de la réalité extérieure. Ainsi, plus spécifiquement, les théories des RO peuvent être caractérisées par le fait qu’elles placent les relations des individus au centre de leurs formulations (Kernberg, 1995) .

Importance en psychologie et dans la recherche

Au niveau clinique, l’importance des RO a été largement démontrée par les théories psychodynamiques et psychanalytiques (Bergeret, 2004). L’intérêt pour les RO s’est notamment développé en réponse aux difficultés de compréhension et d’intervention que posaient les patients souffrant de troubles de la personnalité. En effet, ceux-ci s’avéraient incapables de maintenir des relations interpersonnelles satisfaisantes, semblaient habités de peurs et de fantasmes à propos des relations intimes et paraissaient entretenir des représentations non-réalistes des objets relationnels significatifs (Fairbairn, 1952; Guntrip, 1971; Klein, 1948). À ce propos, Bergeret (2004) considère le concept de RO intéressant puisqu’il permet d’étudier l’individu en interaction avec son environnement et non de manière isolée.

Outre cet aspect, les théories des RO ont également eu un apport important sur les sociétés occidentales puisqu’elles ont permis de considérer davantage l’importance cruciale des relations interpersonnelles dans la restructuration des politiques sociales (Gomez, 1997). C’est notamment grâce au développement des théories des RO que des efforts sont maintenant effectués afin d’éviter la séparation de jeunes enfants et de leurs parents (Gomez, 1997).

Au plan de la recherche, deux grands avantages peuvent être tirés du développement des théories des RO. D’abord, comme le mentionnent Masling et Bornstein (1994), les concepts utilisés dans les théories des RO sont plus faciles à opérationnaliser et à quantifier que ceux utilisés par la psychanalyse classique, ce qui encourage la création d’études empiriques. Ensuite, les théories des RO permettent de faire le pont entre la psychanalyse et les autres écoles de pensée en psychologie. Par exemple, l’étude des RO traduit un souci d’intégration de concepts comme le développement cognitif et l’acquisition de la constance de l’objet, tels que décrits par Piaget (Masling & Bornstein, 1994).

La capacité à utiliser les concepts relatifs aux théories des RO afin de produire des études empiriques, les contributions sociales ainsi que les avancements en psychologie clinique (particulièrement en ce qui concerne la compréhension des troubles de la personnalité limite) qui en découlent font donc des théories des RO un domaine d’étude intéressant.

Le modèle de Kernberg: Un modèle théorique des RO influent

Présentation du modèle

Parmi les théoriciens nord-américains des RO, deux auteurs, Heinz Kohut et Otto Kernberg, ont été particulièrement influents (Fonagy & Target, 2003). Toutefois, selon Glickauf-Hugues et Wells (1997), c’est sous l’influence des travaux de Kernberg que les théories des RO se sont clairement appropriées une place en Amérique et ont peu à peu exercées une influence sur la psychiatrie et la psychologie. De plus, Kernberg est un pilier des études empiriques en psychodynamique (Kernberg, 1974; 1989; Clarkin, Yeomans & Kernberg 1999). Ces études ont d’ailleurs permis d’élaborer un traitement psychologique destiné aux troubles faisant partie de l’organisation de personnalité (OP) borderline, troubles pour lesquels peu de traitements sont disponibles à ce jour (Fonagy & Target, 2003). En effet, l’efficacité de la thérapie centrée sur le transfert a été vérifiée pour le traitement des troubles de la personnalité limite, qui eux-mêmes font partie de l’OP borderline (Levy et al., 2006; Shedler, 2010). Finalement, un modèle de traitement pour les individus présentant une OP névrotique (Caligor, Kernberg & Clarkin, 2007) a récemment été élaboré, ce qui ajoute à la contribution clinique des travaux de Kernberg.

Le modèle des OP de Kernberg propose une organisation de structures psychologiques élaborées en fonction de l’interaction de facteurs constitutionnels et environnementaux en jeu de l’enfance jusqu’au début de l’âge adulte (Kernberg & Caligor, 2005). Ainsi, Kernberg a développé une théorie des RO dans laquelle on retrouve quatre OP (psychotique, borderline, névrotique et normale). Ce modèle est inspiré à la fois des travaux de Mélanie Klein, W.R.D Fairbairn, Margareth Mahler et Edith Jacobson (Fonagy & Target, 2003).

Pour Kernberg (1989), la RO permet de considérer le fonctionnement mental en termes d’activation intrapsychique d’un rapport affectif entre le sujet et l’objet. Dans son modèle, chaque pulsion provient de cette liaison entre la représentation de soi et la représentation de l’objet associé, liés à un état affectif particulier (voir figurel) (Summers, 1994). Par ailleurs, la théorie des RO de Kernberg est différente de celles de ses prédécesseurs puisqu’elle est moins portée sur l’origine des conflits pathologiques dominants et l’organisation structurelle de la personnalité, mais plus sur le mode actuel de pensée de l’individu (Fonagy & Target, 2003). Cette caractéristique du modèle de Kernberg répond également à la critique selon laquelle les théories psychanalytiques et psychodynamiques sont des méthodes d’exploration verbale et intellectuelle du passé de l’individu, et pas suffisamment du présent (Diguer, Laverdière & Gamache, 2008).

Perspective développementale

Le modèle de Kernberg propose ainsi quatre OP chez les adolescents et les adultes en fonction du développement normal et pathologique (Pervin, 1990). Il décrit de quelle manière les structures psychiques du ça, du moi et du surmoi se développent à partir du processus d’internalisation des représentations d’objets et de soi, sous l’influence d’états émotionnels divers (Fonagy & Target, 2003). Dans ce modèle, le soi est intégré à la structure psychique du moi et il est défini comme la résultante des diverses représentations qu’a l’individu de lui-même (Kernberg, 1982). Le processus d’internalisation consiste, dans la théorie des OP de Kernberg, en la combinaison d’un affect particulier dans l’interaction spécifique entre le soi et l’objet (Kernberg & Caligor, 2005). Lorsque le même affect est lié à des interactions semblables et survient à plusieurs reprises, des représentations affectives sont développées et une RO a été internalisée. Ces RO internalisées représentent les unités premières de construction des structures psychologiques et forment un ensemble complexe de désirs, d’émotions, pensées et perceptions qui s’activent automatiquement afin d’interpréter les comportements et attitudes relationnelles (Clarkins et al., 2006). Les unités de RO sont ainsi formées d’attributs cognitifs et affectifs. Elles sont la base de tout le développement de l’individu (Christopher, Bickhard & Lambeth, 2001).

La théorie des OP de Kernberg considère que le système motivationnel primaire est constitué de dispositions affectives innées, nommément le plaisir (composante agréable, gratifiante et satisfaisante) et le déplaisir (composante négative et douloureuse) (Summers, 1994). Les dispositions affectives sont considérées comme instinctives, mais l’organisation pulsionnelle en elle-même est le résultat des expériences vécues dans l’enfance (Summers, 1994). En effet, au fil des expériences, les affects primaires deviennent plus complexes et nuancés, ce qui laisse place à l’organisation pulsionnelle, un système motivationnel plus stable (Gagnon & Daelman, 2011). Le développement de l’organisation pulsionnelle et celle des RO se fait donc de manière parallèle, où les deux s’influencent mutuellement.

Dans la théorie de Kernberg, la structure psychique du moi est potentiellement présente à la naissance, mais se développe en fonction des internalisations d’objets. Ces internalisations sont ainsi empreintes des deux affects primaires et, au début de sa vie, l’enfant intègre séparément les aspects bons (positifs) et mauvais (négatifs) de l’objet et de soi (Summers, 1994). Pour Kernberg (1989), la nécessité de distinguer les images bonnes et mauvaises au début de la vie provient de la haine destructrice éprouvée pour le « mauvais objet ». En ce sens, la distinction des deux représentations permet de protéger le « bon objet » de la contamination du « mauvais objet » (Clarkin et al., 2006). Le développement des capacités cognitives ainsi que les divers apprentissages relationnels de l’enfant permettront éventuellement une intégration des aspects bons et mauvais, permettant l’acquisition d’un regard plus réaliste de soi et des autres, signe d’une OP évoluée (Kernberg & Caligor, 2005). Ce processus menant à la personnalité normale est donc permis par l’équilibre entre des internalisations d’objets bons et mauvais. Lors du développement pathologique, la quantité d’internalisations de mauvais objets dépasse celle des bons objets, conduisant à la nécessité d’utiliser le clivage de façon soutenue (Clarkin et al., 2006).

Les quatre dimensions

Identité. Abend (1974) définit l’identité comme l’agencement des représentations préconscientes et conscientes de soi, qui définissent la personne dans une multitude de contextes sociaux. L’identité fait donc référence au concept de soi (Yeomans et al., 2002). Plus précisément encore, il s’agit de l’expérience continue d’un soi unique et cohérent à travers le temps (Moore & Fine, 1990). Pour Kernberg (2003), l’identité intégrée, que l’on retrouve dans la personnalité dite normale, est reflétée par la cohérence du soi, ressentie par l’individu et perceptible par les autres (congruence entre les perceptions de soi et les expériences). On y retrouve une stabilité des attitudes, comportements, croyances et valeurs. L’identité intégrée sous-tend une capacité d’investissement à long terme dans différentes activités, la compréhension des attitudes et comportements d’autrui en égard à des croyances et valeurs différentes des siennes ainsi que le développement d’une bonne estime de soi (Caligor et al., 2007).

À l’inverse, la diffusion de l’identité est décrite par Yeomans et al. (2002) comme faisant référence à une structure psychologique caractérisée par la fragmentation et l’instabilité plutôt qu’à l’intégration des représentations de soi et des autres. La diffusion de l’identité peut être identifiée par des descriptions contradictoires de soi et des autres et par l’incapacité à percevoir ces contradictions. Le manque d’intégration des concepts de soi et des autres a un impact important sur l’expérience de l’individu. Effectivement, le manque d’intégration du passé et du présent, de soi et des autres, rend difficile l’appréhension du futur, ce qui diminue l’efficience au travail, dans les loisirs et les relations interpersonnelles (Kernberg & Caligor, 2005). Finalement, la diffusion de l’identité est souvent associée à un sentiment de vide intérieur (Diguer et al., 2006).

Conclusion

La présente étude visait tout d’abord la traduction et la validation initiale du Relationship Patterns Questionnaire (RPQ). À ce titre, la structure de la version canadienne-française du RPQ a été comparée à celle de la version originale (Korner et al., 2004). L’analyse en composantes principales utilisée à cette fin a permis d’identifier un nouveau facteur, comparativement à la version originale (Korner et al., 2004). En effet, les trois facteurs de la version originale correspondent sensiblement à trois des quatre facteurs de la version canadienne-française. Quatre items se sont ainsi clairement regroupés afin de former un facteur appelé « Indépendance relationnelle ». D’une part, l’apparition d’un nouveau facteur dans la version canadienne-française permet une meilleure ressemblance avec la structure factorielle de l’Intrex, le questionnaire associé au modèle SASB, qui représente une base du RPQ. D’autre part, toujours dans la démarche de validation, la distribution des items par facteurs dans la version canadienne-française semble plus appropriée que celle retrouvée dans la version originale. Le RPQ traduit en français regroupe donc quatre facteurs, soit « Interactions amicales », « Interactions hostiles », « Indépendance relationnelle » et « Formation réactionnelle ». Ces quatre facteurs présentent des consistances internes intéressantes (a=0.59 à 0.89). L’étude des items a toutefois indiqué des problèmes au niveau de la formulation de certains items. Ces items ont été exclus dans l’analyse en composantes principales et dans les tests statistiques de la deuxième partie de l’étude, à savoir les liens entre le PODF et le RPQ.

 

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Table des matières

Introduction
Contexte théorique
LesRO
Définition de la RO
Théories des RO
Importance en psychologie et dans la recherche
Le modèle de Kernberg: Un modèle théorique des RO influent
Présentation du modèle
Perspective développementale
Les quatre dimensions
Identité
Mécanismes de défense
Épreuve de réalité
Qualité des RO
OP : Psychotique, Borderline, Névrotique et Normale
OP psychotique
OP borderline
OP névrotique
OP normale
Diagnostic d’OP
Instruments
Personality Organization Diagnostic Form (PODF)
Mesure de la qualité des relations objectales
Relationship Patterns Questionnaire (RPQ)
SASB
CCRT
Description du RPQ
Liens entre le PODF et le RPQ
Objectifs de l’étude
Hypothèses
Méthode
Partie 1. Traduction et validation du RPQ
Participants
Instruments
Relationship Patterns Questionnaire (RPQ)
Déroulement
Analyses statistiques
Analyse en composantes principales
Partie 2. Étude des liens PODF-RPQ
Participants
Instruments
Évaluation des quatre dimensions
Diagnostic global d’OP
Déroulement
Analyses statistiques
Résultats
Propriétés psychométriques du RPQ
Résultats pour la première dimension (RO)
Respect des postulats
Extraction
Rotation
Résultats pour la deuxième dimension (RS)
Respect des postulats
Extraction
Rotation
Exclusion d’items pour les deux premières dimensions (RO et RS)
Résultats pour la troisième dimension (Introject)
Respect des postulats
Extraction
Rotation
Exclusion d’item pour la troisième dimension
Comparaison des structures factorielles entre la version canadienne-française et originale
du RPQ
Comparaison de moyennes sur les facteurs
Étude des liens PODF-RPQ
Discussion
Hypothèses de recherche
Résultats obtenus
Propriétés psychométriques du RPQ
Comparaison du nombre de facteurs extraits
Items problématiques
Différence dans les structures factorielles entre les versions originale et canadiennefrançaise
L’indépendance relationnelle
Comparaison de moyennes sur les facteurs
Étude des liens PODF-RPQ
Forces et limites de l’étude
Conclusion

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