L’IMPORTANCE DE LA MICROFINANCE DANS LE DEVELOPPEMENT 

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Les acteurs et les intervenants de la microfinance

Le secteur de la microfinance a connu un développement considérable grâce à l’intervention des principaux groupes d’acteurs sui vants : Le gouvernement, Les bailleurs de fonds, Les institutions financières, Les institutions bancaires.

Le gouvernement

Il joue un rôle régulateur et garantie institutionnelle qui vise à installer des équilibres macroéconomiques, la sécurisation des dépôts, les ecours juridiques et l’extension de la microfinance. Quatre interventions étatiques sont en vogue actuellement :
– Le Ministère des Finances et des Budgets (MFB) : c’est le ministère de tutelle ayant la responsabilité globale et exclusive de la gestion des projets et programmes en microfinance. Il est chargé de la régulation, de lasurveillance et de la promotion du secteur en utilisant la stratégie nationale comme seul cadre de référence et de pilotage du secteur de la microfinance, tant lors de la conclusion des partenariats bilatéraux et multilatéraux que lors de l’appréciation qui est fait de l’accès des populations démunies aux services financiers de base.
– Le Ministère de l’Agriculture, de l’Elevage et de la Pêche (MAEP) : a un rôle d’appui technique dans les domaines suivants : réflexion sur la mise en place des produits et services adaptés aux besoins de la population rurale, rechercher et mettre à disposition du secteur des financements appropriés pour l’extension des institutions, l’expérimentation et la mise en œuvre de mécanismes innovant de la maîtrise des risques notamment des produits financiers liés à l’agriculture, mettre en lien les IMFs et des grands projets et programmes, mise en place concertée de fonds de garantie pour les institutions .
Cependant, pour un alignement et dans le respect des mandats du MFB, il doit faire valider les notes et documents de projets sur la microfinance et associer la Coordination Nationale de la MicroFinance à la conc lusion des ententes avec les IMFs, leur évaluation et pilotage.
– La Coordination Nationale de la MicroFinance (CNMF) : assure la coordination de la politique générale du gouvernement en matière de microfinance et de promotion du secteur, le suivi des activités et des opérations esd intervenants et évaluations des performances des programmes tout en apportant une attention particulière à la réflexion générale sur le secteur.
– La Commission de Supervision Bancaire et Financière (CSBF) : est un organe de régulation et de surveillance générale du secteur hargéec de la rédaction des textes règlementaires, supervision et surveillance incluant les contrôle sur place et à distance des IMFs. Elle assure le bon fonctionnement des institutions de microfinance et de crédit ; délivre les autorisations d’exercer ; centralise les données. Elle s’assure de l’intégrité des données du secteur. Elle prend les anctions si nécessaires en cas de disfonctionnement

Les bailleurs de fonds 

Les bailleurs de fonds représentent la première source de financement des activités de microfinance dans la mesure où la plupart des institutions ne collectent pas l’épargne et ne sont pas suffisamment viables sur le plan financier pour avoir accès aux ressources commerciales. De ce fait, leur approche de la microfinance et les obligations qu’elles imposent aux IMFs souhaitant obtenir leur soutien, peuvent considérablement affecter le développement de la microfinance.
Elles interviennent intensivement à Madagascar pou r le développement des Institutions de la MicroFinance. Plusieurs réseaux bénéficient de leurs appuis et aideront à créer d’autres réseaux dans des zones non encore couvertes.
Les principaux Bailleurs de Fonds de la MicroFinance sont :
La Banque Mondiale.
Le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD).
La contribution de la microfinance à la réduction de la pauvreté.
Le Fonds d’Equipement des Nations Unies (FENU), L’Union Européenne (UE).
L’Agence Française de Développement (AFD).
L’United States Agency for International Development (USAID).
Le Millennium challenge Account Madagascar (MCA).
Ces bailleurs de fonds ont chacun leurs modes et domaines d’intervention.
A Madagascar, la Banque Mondiale soutient le Programmes de Microfinance (PMF) entretenu par le gouvernement malgache. En outre, le PNUD et le FENU s’intérèsse à la politique gouvernementale de la microfinance et à l a Stratégie Nationale de la Microfinance (SNMF). Ils y accordent un appui conseil et un renforcement de capacité de mise en œuvre d’activités. Ces actions d’appui et d’encadrement sont également concrétisées par l’AFD et l’UE. De plus, l’USAID a fixé comme but d’aider la Caisse d’Epargne de Madagascar à élargir son éventail de microfinance. Son appui vise à approfondir le rôle de la Caisse d’Epargne de Madagascar en tant qu’intermédiaire financière pour les épargnants à faible revenu, et pour le secteur informel. Les cibles du programme de l’USAID sont principalement les pauvres en favorisant leurs accès aux services financiers de la microfinance, tel que l’octroi de crédit. Toujours dans ce cadre mais n’ayant comme principal objectif que le développement du monde rural en général, le « MCA Madagascar » se tient avec son programme d’amélioration du système de financement du monde rural, ainsi que celle de l’efficacité du système de financement, de gestion et de contrôle dans le secteur de la microfinance. Il a également pour programme la réforme du cadre légal et réglementaire.

Les produits et services fournis par les IMFs

Les IMFs peuvent offrir à leurs clients toutes une variété de produits et de services, et en premier lieu, les services financiers. Toutefois, en raison de la spécificité des clients ciblés (hommes et femmes pauvres, dépourvu de biens matériels, parfois illettrés, vivant dans des régions reculées), les IMFs ne peuvent fonctionnersur le même modèle que la plupart des institutions financières formelles. Ces derniers ne s’intéressent pas aux très petites entreprises informelles, gérées par des pauvres. Les hommes etles femmes à faible revenu se heurtent donc à des barrières redoutables, leur bloquant l’a ccès aux services délivrés par les institutions financières courants.
L’intermédiation financière ordinaire étant habituellement insuffisante pour toucher ces clients, les IMFs doivent instaurer des mécanismes particuliers afin de combler les fossés que génèrent la pauvreté, l’analphabétisme, ou l’éloignement géographique. L’offre de services financiers aux personnes à faible revenu n écessite ainsi souvent une intermédiation sociale, c’est-à-dire « la création d’un capital social en appui à une intermédiation financière pérenne au service de groupes ou d’individus pauvres et défavorisés ». Ces services contribuent à améliorer l’aptitude des hommes et femmes aux revenus faibles à exploiter directement ou indirectement des micro-entreprises.Les services proposés sont définies en fonction des objectifs de l’IMF, de la demande du marché cible, de la présence ou non des organismes offrant d’autres types de services, et de l’estimation précise du coût et de faisabilité de l’offre de ces services supplémentaires.

Impact économique

L’impact économique peut se situer au niveau de l’économie même du pays. Une IMF importante touchant quelques certaines de milliers clients peut espérer ou rechercher comme impact la croissance économique de toute une régionou d’un secteur tout entier. Une IMF peut rechercher :
– Des résultats au niveau de l’entreprise : l’impact direct visé consistera dans ce cas en la croissance ou la mutation de l’entreprise.
– Une hausse nette de revenu dans le secteur particulier de l’économie informelle (les conducteurs et propriétaires de pousse-pousse par exemple).
– Une augmentation de l’ensemble de richesses de la communauté et du ménage.
– Un impact positif en termes de revenus ou de « protection » des ressources économique (en réduisant la dépendance des pauvresgrâce à ce que l’on désigne par le nivellement de la consommation).

Impact socio-politique et culturel

Une institution de microfinance peut chercher à mod ifier le statut politico-économique d’un secteur donné.
– Un projet de crédit destiné aux tireurs de pousse-oussep peut espérer que l’essor de ce secteur d’activité permettra à des bénéficiaires deprogresser vers un statut collectif formel, et qu’ils pourront s’ériger en association ou se donner les moyens de susciter des changements politique en leur faveur.
– Une IMF située dans une zone rurale enclavé peut espérer contribuer à monétariser une économie rurale de troc.
– Une autre peut espérer modifier les rapports de force (et les statuts) en place. Ainsi, l’impact recherché par une IMF ciblant un groupe ethnique minoritaire peut consister en la modification des rapports de force entre ce groupe et le groupe majoritaire local.
– Une autre encore peut chercher comme impact direct le transfert des avoirs (mais aussi de l’autorité et du pouvoir de décision) au sein duménage (par exemple, transfert partiel du pouvoir de décision économique de l’homme à la femme).
– Une autre enfin peut chercher à améliorer l’alimentation ou l’éducation des enfants par l’intermédiaire d’un programme de microfinance ciblant les mères.

Impact personnel ou psychologique

La microfinance a un impact sur l’estime que l’emp runteur a de lui-même. Cet impact vient en complément aux effets de renforcement de la position sociale de la population cible. Ces premiers effets étaient de nature politique : du fait des services financiers, des individus renforcent leur pouvoir au sein du ménage ou de la communauté. Se situant sur le plan psychologique, ce second type d’impact concerne la modification de la vision que l’individu peut avoir sur lui-même. Lorsqu’elle est positive, cette modification peut ouvrir la voie à d’autres changements. Ainsi, une personne qui a davantage confiance en elle sera prête à prendre les risques nouveaux que supposent, par exemple, la création ou le développement d’une entreprise.
Ces trois catégories générales d’impacts peuvent naturellement variées selon qu’il s’agisse d’effets primaires ou d’effets secondaires . Enfin, un impact relevant de l’une de ces catégories peut entraîner lui-même un impact d’un uo plusieurs autres types.En microfinance, l’analyse d’impacts peut être destinée aux praticiens, Bailleurs de fonds, décideurs, théoriciens.

UNE RELATION FEED-BACK ENTRE LA FINANCE ET LA CROISSANCE PAR GOLDSMITH (1969)

L’auteur a proposé que le développement de la finance a des effets sur la croissance économique. D’une part, le développement de la finance domestique (à l’intérieur du pays) peut accroitre l’efficience d’accumulation du capit al c’est-à-dire coût unitaire le plus bas possible, quand sa productivité marginal du capital est élevée. D’autre part, l’intermédiaire financier peut contribuer à l’accumulation du capit al en faisant augmenter le taux d’épargne de l’économie. Donc quand le taux d’épargne augmente, le taux d’intérêt augmente. Pour mesurer le développement de la finance, GOLDSMITH a utilisé le « passif liquide » du système financier. Cet indicateur mesure la taille du secteur financier, il a estimé un modèle reliant ce variable passif liquide au revenu par tête.
GROWTH(t) = α + β LLY(t) + µ(t).
GROWTH : croissance, LLY : LiquidLiability (passif liquide).
Les résultats de l’estimation de α et β ont trouvé que la finance affecte positivement la croissance par le biais de l’efficience des investissements. Ensuite, le processus de croissance qui en résulte induit à son tour un effet de feed-back positif sur la finance c’est à dire que la croissance crée des nouvelles incitations pour plusde développement financier.

FINANCE ET CROISSANCE ENDOGENE DE GREENWOOD ET JOANOVIC (1990)

Une hypothèse importante caractérise le travail deces auteurs, ils ont supposé à la fois la finance et la croissance endogène c’est-à-dire expliquées par le modèle lui-même.Le rôle de l’intermédiaire financière réside dans la collecteet l’analyse des informations pour les canaliser aux investissements productifs. En effet, il y a 2 types de risques qui influent les investisseurs dans sa décision : les chocs agrégésaffectant l’économie et les chocs affectant le projet d’investissement. En collectant et en analysant les informations, l’intermédiaire financière fait diminuer le degré des chocs agrégés et des chocs spécifiquesl. diversifieI les risques en connaissant les bons projets. Par conséquent, il assure un meilleurrendement pour l’investisseur. Le résultat est quasi-similaire à celui de GOLDSMITH. Ils ont t rouvé 2 relations causales entre la finance et la croissance économique : dans le premier temps, le processus de croissance produit un développement de l’institution financière c’est-à-dire sa capacité à analyser les informations. A son tour, cette institution financière développée fait augmenter l’efficience de l’investissement, stimulant la croissance et ainsi de suite

Microfinance : facteur de croissance

Un secteur financier dynamique peut stimuler l’épargne en lui permettant de trouver des débouchés plus rentables, et peut également, eninstituant un dialogue avec les entrepreneurs, amener ceux-ci à investir davantage et à être plus disposer à prendre des risques pour développer la production, les exportations et l’emploi. La microfinance contribue au développement du secteur financier, et ce dernie contribue au développement du secteur économique du pays. C’est ainsi que le développement passe par la microfinance. Dans de nombreux pays en développement, les petites entreprises et les micro-entrepreneurs font face à de sérieuses difficultés de financement. Mais enaccédant à des ressources financières, ils peuvent participer pleinement à la vie économique de leur société, créer des emplois pour eux et pour les autres et atteindre leur plein potentiel. Les pays dans lesquels les entreprises ont des opportunités pour se développer auront plus dechances de prospérer.
Il existe par contre d’autres courants de pensée qui reprennent la formule d’un célèbre économiste britannique : « là où l’entreprise mène, la finance suit ». En d’autres termes, le secteur financier répondrait plus au moins passivement à la demande de facilités et systèmes financiers, tel qu’il se manifeste à mesure que le secteur réel de l’économie se développe.Le développement financier et le développement économique sont étroitement liés. Dans un développement économique (facteur de croissance) setrouve un développement du secteur financier. Le secteur financier d’un pays peut ou non être un facteur favorable pour le développement de son économie, il peut être aussin ufacteur de blocage du développement économique.
Les carences en matière de politique financière peuvent perturber le secteur réel de façon à réduire notablement le taux de croissance économique, voire à faire passer ce taux au-dessous de zéro. On signalera que les travaux récents sur les nouvelles théories de la croissance endogène concluent qu’en fait la sphère financière et réel agissent l’une sur l’autre de façon continue, le développement de l’un favorise celui de l’autre et réciproquement. La question du sens de la causalité devient alors inopportune.
Le recours au service financier dans les pays en voie de développement est alors devenu une préoccupation majeure en matière de politique internationale car c’est un moyen pour accéder au développement économique ainsi quesocial de ces pays : d’où l’intervention de la microfinance dans le secteur financier dans la plupart des pays pauvres. Lorsqu’on parle du secteur financier, on parle principalement du système bancaire. Ce sont alors les services bancaires qu’il faut améliorer ou harmoniser, et rendre accessible à tout le monde, d’où l’importance de la microfinance.

L’interruption de ces cercles vicieux du sous-développement par la microfinance

En plus des services financiers : crédits, épargneet assurances, les IMF proposent de plus en plus des services non financiers adaptés aux besoins de leurs clients les plus pauvres. Ainsi, selon les cas, les IMF peuvent proposer des formations à la gestion, à la comptabilité ou à la création d’entreprise. Elles peuvent également proposer des sessions de sensibilisations liées à la santé (VIH, Paludisme, Hygiène…), à l’éducation (travail des enfants, alphabétisation…), ou autres thèmes (droit s de l’homme, écologie, démocratie, liberté
individuelle etc…).D’autres IMF proposent aussi des programmes de formations professionnelles orientées vers l’apprentissage d’un métier. Ces formations sont souvent assurées par des ONG ou associations locales partenaires et cofinancées par les IMFs afin d’offrir ces services à leurs bénéficiaires. Certaines IMFs s’impliquent aux côtés de leurs bénéficiaires jusqu’à accompagner la création de marchés locaux, finançant et mettant en lien des producteurs, transformateurs et distributeurs qui pourront chacun tirer parti de ces nouvelles activités (ex : fabrication et distribution de réchauds améliorés, production, transformation et distribution de biscuits, café, vêtements…). Ces services ne sont pas directement liés à l’activité de microfinance mais participent à l’objectif global de la microfinance : participer à la lutte contre la pauvreté. Par ailleurs, même si ces formes d’accompagnement coûtent chères, elles permettent une plus grande pérennité des impacts sociaux de la microfinance. La microfinance contribue au développement de l’épargne privé des ménages, des consommateurs, desmicros et petites entreprises, ainsi que l’octroi des crédits pour faire des investissements productifs.En octroyant un crédit au sein d’une IMF, une personne peut soit financier son activité, d’où amélioration de sa productivité, son revenu ; soit créer une activité,d’où création d’emploi. Principalement, l’interruption des cercles se fait par l’intermédiaire de l’épargne et de crédit au sein des IMFs.

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Table des matières

PARTIE I : LES GENERALITES SUR LA MICROFINANCE
CHAPITRE I : LA MICROFINANCE
Section I : Les concepts de la microfinance
Paragraphe 1 : Définitions de la Microfinance
Paragraphe 2 : Historique de la Microfinance
A- A l’échelle internationale
B- A l’échelle nationale
Section II : Les théories de base de la Microfinance
Paragraphe 1 : les objectifs de la microfinance
Paragraphe 2 : Les principes clés de la microfinance
Paragraphe 3 : Les acteurs et les intervenants de la microfinance
A – Le gouvernement
B – Les bailleurs de fonds :
C – Les institutions bancaires
D – Les institutions financières
Paragraphe 4 : Les IMFs
A – Classification et formes des IMFs
1 – Disposition générale de la législation des IMFs
2 – Spécificité des IMFs et leurs champs d’interventions
B – Les produits et services fournis par les IMFs
1 – Les IMFs : approche minimaliste ou approche intégré ?
2 – L’intermédiation financière
a – Le crédit
b – L’épargne
c – L’assurance
d – Cartes de crédit et cartes à puce
Paragraphe 5 : Les stratégies Nationales de la Microfinance à Madagascar
A – Historique
CHAPITRE II : MARCHE CIBLE ET ANALYSE D’IMPACT
Section I : Ciblage direct et indirect
Paragraphe 1 : Ciblage direct
Paragraphe 2 : Le ciblage indirect
Section II : Identification du marché cible
Paragraphe 1 : Selon les caractéristiques de la clientèle
Paragraphe 2 : selon les caractéristiques de micro-entreprises
Section 3 : Analyse d’impacts de la microfinance
Paragraphe 1 : Impact économique
Paragraphe 2 : Impact socio-politique et culturel
Paragraphe 3: Impact personnel ou psychologique
CHAPITRE III : L’IMPORTANCE DE LA MICROFINANCE DANS LE DEVELOPPEMENT 
Section I : Lien entre développement financier et développement économique
Paragraphe 1 : Théories de base
A – UNE RELATION FEED-BACK ENTRE LA FINANCE ET LA CROISSANCE PAR GOLDSMITH (1969)
B – FINANCE ET CROISSANCE ENDOGENE DE GREENWOOD ET JOANOVIC (1990)
Paragraphe 2 : Microfinance : facteur de croissance
Section II : Briser les cercles vicieux de la pauvreté
Paragraphe 1 : Enoncé des cercles vicieux du sous-développement
Paragraphe 2 : L’interruption de ces cercles vicieux du sous-développement par la microfinance
PARTIE II : LA CONTRIBUTION DE LA MICROFINANCE A LA REDUCTION DE LA PAUVRETE
CHAPITRE I : L’EXEMPLE DE LA SOCIETE D’INVESTISSEMENT POUR LA PROMOTION DE L’ENTREPRISE A MADAGASCAR (SIPEM)
Section I : Etude sur la portée, le client et le crédit
Section II : La structure et performance de la SIPEM
CHAPITRE II : L’EXEMPLE DE L’OMBONA TAHIRY IFAMPISAMBORANA VOLA ANTANANARIVO (OTIV Tana)
Section I : Les produits et services offerts par l’OTIV
Section II : Etude sur la portée, et le client
Section III : Le crédit et l’épargne
CHAPITRE III : LES RESULTATS ESCOMPTES
Section I : Au niveau de la population concernée
Paragraphe 1 : Client de la SIPEM : Ecole : le couple velomalala Ralaiarisoa Solofomandimby et Iharimanga Nirina Monique, une réussite sur plusieurs tableaux pour les promoteurs.
Paragraphe 2 : Client de l’OTIV : Artisanat : Alexandrine Rasoanantenaina se positionne sur le marché de l’export
Section II : Les indicateurs de développement : amélioration du bien être
PARTIE III : CONTRAINTES DU SECTEUR DE LA MICROFINANCE, PROPOSITIONS DE SOLUTIONS
CHAPITRE I : LES CONTRAINTES DU SECTEUR DE LA MICROFINANCE
Section I : Les difficultés internes
Paragraphe 1 : L’endettement
Paragraphe 2 : Economie de transition ou troubles politiques
Section II : Les facteurs exogènes : Le quasi inexistence de concurrence
CHAPITRE II : PROPOSITION DE SOLUTIONS
CONCLUSION
LISTE DES ABREVIATIONS
LISTE DES TABLEAUX
LISTE DES SCHEMAS
BIBLIOGRAPHIE

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