Les traits néfastes de la démocratie dans les pays sous-développés

Télécharger le fichier pdf d’un mémoire de fin d’études

La vertu politique

En fait, en démocratie, la vertu politique est constituée par l’amour de la patrie. La patrie peut avoir une double signification, à savoir : « patres » en latin qui veut dire terre. C’est la terre qui donne la vie, et sans terre, il n’y a pas de vie. D’où, la nécessité d’aimer sa patrie, vu que c’est par elle que la vie existe et que tout homme a le pouvoir de survivre. Et « pater » toujours du latin qui signifie père. Or, le père est une source de vie et d’identité. Dans ce sens, nier sa patrie c’est aussi nier son identité. Ainsi, il est important d’aimer sa patrie afin de garder son identité. Nous pouvons se référer au problème entre les Palestiniens et sleIsraéliens à propos de leurs patries. En fait, avant que Moïse ramène les Israéliens vers le pays que Dieu leur ont promis, ses ancêtres ont déjà habités dans ce territoire. Mais ce qui pose de problème c’est le fait que le territoire après le départ des Israéliens en Egypte, les Palestiniens, son peuple voisin, s’installaient dans leur territoire, et l’ont considéré comme étanleur patrie. Or, lorsque les Israéliens ont voulu revenir sur ce territoirequ’eux aussi le considéraient comme leur patrie, le conflit commençait et ne se t ermine pas jusqu’à maintenant. Mais en tant que principe, l’amour de la patrie nécessite à son tour des choses qui le fait agir, à savoir : l’amou r de l’égalité, l’amour de la frugalité et l’amour des lois. Dans un Etat démocratique, ce qui le fait mouvoir c’est l’amour de la patrie. Ce qui veut dire qu’aimer sa patrie c’est contribuer à la mise en valeur du bien commun, à la mise en place d u bien-être de tous ainsi que de l’harmonie sociale et de la sérénité ud peuple. Or, tout cela n’est pensable que si les citoyens arrivent à aimer les lois. Ici, l’amour des lois est une expression de l’amour de la patrie, en ce sens que toute loi vise à établir la paix, la sérénité et l’harmonie sociale ; la respecter est essentielle pour l’épanouissement de chaque citoyen, du peuple. Le terme amour englobe à la fois le respect, la confiance et la sécurité. Ainsi, la première attente de ceux qui aiment vraiment leur patrie c’est l’amour des lois. Cette dernière est marquée par l’attitude descitoyens à respecter, à suivre, à appliquer, à valoriser les lois. Il ne s’ agit pas alors d’être un citoyen riche ou pauvre, ni dirigeant ou dirigé pour aimer les lois puisque le peuple tout entier bénéficiera de ses atouts.
Nous pouvons constater, par exemple, que dans la vie quotidienne des gens se plaignent du non respect du code de la route. Or, les codes de la route sont des lois établies pour amoindrir, voire éviter les dégâts ainsi que les accidents que la circulation peut engendrer ou produire.
De même, face aux lois qui interdisent aux hommes de ne pas voler par exemple le mari ou la femme des autres. Celui ou celle qui enfreigne ces lois ne devrait pas se plaindre si le conjoint ou la conjointe de cette personne apporte l’affaire devant la justice. Il est évident alors que ces personnes qui débauchent soient reconnues coupables et reçoivent des peines ou des condamnations, puisqu’elles n’ont pas su tenir en compte de la valeur de l’amour des lois. A ce propos, Montesquieu affirme que : La vertu politique est un renoncement à soi-même, qui est toujours une chose très pénible. On peut définir ttece vertu, amour des lois et de la patrie.1
Il est mieux de souligner que l’amour des lois consiste à dire que les citoyens doivent les respecter car dans un régime démocratique, ce sont eux-mêmes qui les ont faites. Ainsi, face à l’inégalité de rapports de forces au sein de la nation, de la société, chaquecitoyen est invité à aimer les lois et à les prendre comme garde-fou devant le s passions et les ambitions multiples de l’homme. En un mot, l’amour des lois pousse les citoyens à établir la justice et la paix dans son pays.
Concernant l’amour de l’égalité, nous pouvons direqu’elle fait partie intégrante du principe de la démocratie. En fait, l’échec des régimes politiques antérieurs à la démocratie est ûd en général à la non considération de la valeur du bien commun. C’est ainsi que le peuple revendique un régime qui garantit le respect de la dignité humaine. Celle-ci implique l’égalité de tous les citoyens. Nous pouvons citer les exemples ci-dessous pour montrer à quel point les classes infer ieures étaient méprisées par ces régimes antérieurs. Tout d’abord, dans un égimer monarchique, seuls l’intérêt et l’honneur du monarque priment, out le reste, y est subordonné. Le peuple, dans ce régime, est un objetde pouvoir qui favorise et renforce la puissance du monarque. De plus, dans ce régime toujours, le peuple est divisé en plusieurs classes, à savoir : la classe royale, la classe bourgeoise, la classe du prolétariat, la classe desesclaves ; et la majorité des citoyens se trouve dans les deux dernières classes. Et ceux qui font partie de ces deux dernières classes ne jouissent pas des mêmes droits que ceux des deux autres. Dans un régime despotique, le peuple ne vit que dans la dictature, la violence et la crainte. Ainsi, le bien-être du peuple est le dernier des soucis des dirigeants. Avec ces deux exemples, nous pouvons constater que le peuple n’a aucune valeur aux yeux des dirigeants, il est pour eux, un moyen de les rendre plus puissants et plus craints. C’est ainsi que les luttes contre l’exploitation du peuple contre l’inégalité et contre la non estimation de la dignité humaine surgissaient et répandaient dans presque tous les recoins du monde. Nous pouvons citer l’exemple anglais sur la lutte entre le roi et la chambre des communes pour l’égalité de tous sur l’impôt. En effet, cette lutte consiste à établ ir l’égalité de tous, qu’il soit dans la chambre des Lords (famille royale et noble) ou dans la chambre commune (paysanne et bourgeoise). En effets, pour ce régime, seuls ceux qui constituent la chambre des Lords ne sont pas taxés d’impôt. Sur ce, tous les besoins financiers de l’Etat sont supportés par les paysans et les bourgeois. Ainsi, elle se terminait par la révolution de 1648 suivie de la décapitation du roi d’Angleterre en 1649. Nous pouvons voir à l’aide de ces exemples que la d ignité humaine était la dernière préoccupation de ces régimes politiques. Or, la notion d’égalité repose sur cette dignité humaine.C’est la raison pour laquelle, il y a des luttes pour les droits de l’homme et pour le respect de la dignité humaine. Ici, l’égalité concerne uniquementl’égalité de tout citoyen devant la loi et non l’égalité des biens matérielsAux. yeux de la loi, les citoyens se trouvent sur le même pied d’égalité, u’ilq soit pauvre ou riche, handicapé ou non, noir ou blanc, dirigeant ou dirigé. De ce fait, l’égalité de tous les citoyens au sein d’un Etat démocratique c’est d’éliminer toutes sortes de discriminations. Alors, ils jouiront des mêmes droits, auront les mêmes devoirs, assureront les mêmes responsabilitésafin d’aimer sa patrie et de le développer.

Le suffrage universel

La liberté d’opinion n’était pas donnée au peuple ansd les régimes antérieurs à la démocratie. Seuls les rois,les empereurs, les dictateurs décidaient de la situation ou des affaires de l’Etat. De là, le peuple ne pouvait pas donner son opinion, ni choisir son roi ou son empereur puisque ces postes sont réservés uniquement aux familles royales. Ce qui nous permet de dire que du temps de la royauté, être roi ou être prince est un destin. Un esclave ou un bourgeois ne peut pas occuper ces places.
Par contre, ce qui fait mouvoir un régime démocratique c’est le fait que le citoyen a le droit de participer au pouvoir par suffrage universel. Ce droit peut avoir une double signification, à savoir : le droit de vote et l’alternance du pouvoir.
Pour ce qui est du droit de vote, tout citoyen a le droit d’élire les dirigeants. Ce qui nous permet de dire que le pouvoir des dirigeants vient du peuple. En ce sens, par le vote, le peuple peut donner le pouvoir à un homme, mais aussi a le pouvoir de le lui enlever. C’est ainsi que J. Y. OLLIVER dit à propos du droit de vote et d’alternan ce que : La volonté du peuple est le fondement de l’autoritédes pouvoirs publics. Cette volonté doit s’exprimer par des élections honnêtes qui doivent avoir lieu périodiquement, au suffrage universel égal et au vote secret, assurant la liberté de choix. Ce qui signifie que, le régime démocratique donne neu grande importance à la valeur des choix effectués par le peuple lors d’un vote. Et c’est en ce sens que la démocratie est le gouvernement par le peuple.
Concernant l’alternance du pouvoir en démocratie, nous pouvons dire que si par définition ce régime politique se définit comme étant le gouvernement du peuple, tout peuple (ici peuple signifie l’ensemble des citoyens) a le droit d’être élu. Dans ce cas, out citoyen a le droit de participer au gouvernement et cela par le suffrage universel. De ce fait, il doit y avoir une alternance du pouvoir au sein d’un régime démocratique. En d’autres termes, puisque tout citoyen a le droit de diriger et d’apporter son point de vue pour le développement de l’Etat, il ne faut pas que la vie de l’Etat reste figer aux mains d’un seul homme. Le développement de l’Etat nécessite des idées toujours nouvelles. En ec sens, la manière de résoudre les problèmes permanents de l’Etat les exige. Bref, avec l’alternance du pouvoir, chaque citoyen a la possibilité d’être élu au sein du gouvernement et de contribuer au développement de ’Etatl en apportant des solutions aux problèmes que l’Etat rencontre. C’est en ce sens que Montesquieu affirme que : Le suffrage par le sort est de la nature de la démocratie (…) Le sort est une façon d’élire qui n’applique personne, il laisse à chaque citoyen une espérance raisonnable de servirsa patrie.1
La démocratie donne donc à chaque citoyen le pouvoir de choisir librement celui ou celle qu’il pense pouvoir bien servir sa patrie, d’une part ; mais aussi une certaine croyance raisonnable et non figée. Dans les élections démocratiques, les critères qui leségissentr sont prescrits par des lois. Ce qui veut dire que pour être élu, celuiou celle qui veut être candidat aux élections doit remplir les critères decandidature.
Par ailleurs, le suffrage universel est aussi régi par une loi fondamentale au sein d’un régime démocratique. De à,l même en démocratie, il y a aussi ceux ou celles qui n’ont pas ce droit de voter ni d’être votés, à savoir : les personnes moins de dixhuit ans, les fous et celles qui accomplissent leur peine. Cette loi fondamentale consiste à mettre en relief la grande part de responsabilité des électeurs vis-à-vis des élections. En d’autres termes, la loi se montre plutôt raisonnable pour que seuls les citoyens conscients, raisonnables et responsables soient dotés de ces droits. Ce qui signifie qu’un prisonnier, en principe, n’est prisonnier que s’il n’a pas su prendre sa responsabilité, celle d’aimer la loi et la patrie.
Bref, étant un des principes de la démocratie, lesuffrage universel fonde l’autorité des pouvoirs publics.

Les problèmes au niveau des dirigeants.

Nous pouvons énumérer trois problèmes au niveau des dirigeants caractérisant les obstacles à la mise en place de la vrai démocratie dans les pays sous-développés, à savoir: le non respect de l’Etat de droit qui implique l’abus de pouvoir, la corruption et enfin le recours au machiavélisme. Voyons d’abord le non respect de l’Etat de droit. Mais pour le connaître, il est mieux de définir ce qu’est le droit. Le droit c’est la faculté d’accomplir ou non quelque chose, d’exiger quelque chose d’autrui en vertu de règles reconnues, individuelles ou collectives. Ainsi, c’est un pouvoir, une autorisation de faire ou non quelque chose. Dans ce sens, le droit désigne la sphère dans laquelle un homme puisse agir librement sans que son activité puisse être entravée par les autres.
Mais les droits sont régis par des lois. Et le respect des lois qui régissent ces droits sont nécessaires pour qualifier que c’est vraiment un Etat démocratique pratiquant l’Etat de droit. L’Etat de droit c’est le fait de respecter les droits que l’Etat a donné à ses citoyens. Ainsi, démocratie et Etat de droit sont des expressions qui s’interpellent.
Nous pouvons dire que ces droits n’étaient pas donnés gratuitement à l’homme, mais c’est l’homme qui l’av ait revendiqué. Ce qui veut dire que les droits ont leur histoire. Nous pouvons nous référer aux trois Déclarations de droits de l’homme et des citoyens, à savoir : celles du 26 Août 1789 et du 1793 par la France et celle du 10 Décembre 1948 par les Nations-Unies. La notion de droit est inséparable de celle de la liberté, de l’égalité de tous les hommes ainsi que de leur dignité en tant que sujet doué de raison et de conscience. Exemple : le droità la joie, à la liberté, à la justice, le droit au travail, à la propriété, à la liberté de penser, à la liberté de la conscience, à la liberté de la religion, à la li berté d’association, à la liberté de famille, etc…
La manifestation des droits sont multiples. Parmi ces manifestations, on peut citer la Constitution, la multiplicité des codes qui régissent les rapports des individus entre eux, avec le monde et avec les objets. C’est en ce sens qu’on parle du droit au tr avail, du droit commercial, des codes de la route, de code pénal, de code civil, de droit privé, de droit public ou de droit international…Vivre dans une soc iété démocratique c’est vivre selon les exigences de cette multiplicité de codes. Ainsi, le rapport de soi à l’autre est un rapport juridique, c’est-à-dir e, un rapport qui est régi par une règle déterminée. Cela signifie que dans un Etadémocratique, les droits ne se réalisent que dans et par l’Etat de droit. Tout homme a le droit de circuler librement, mais pour pouvoir circuler librement, il faut suivre les codes de la route. Il peut aussi parler librement mais pour pouvoir parler librement, il faut suivre les déontologies qui déterminent le droit d’expression. C’est la raison pour laquelle Montesq uieu et Rousseau pensent que loi et liberté sont inséparables. Puisqu’il n’y a pas de liberté sans loi, et il n’y a pas de loi sans liberté. Ainsi Montesquieu dit : Il est vrai que, dans la démocratie, le peuple paraît faire ce qu’il veut : mais la liberté politique ne consiste pointà faire ce que l’on veut. Dans un Etat, c’est-à-dire dans une société où il y a des lois, la liberté ne peut consister qu’à pouvoir faire ce que l’on doit vouloir, et à n’être point contraint de faire ce que l’on ne doit pas vouloir. Il faut se mettre dans l’esprit ce que sait que l’indépendance, et ce que sait la liberté. La liberté est le droit de faire tous ce que les lois permettent ; et si un citoyen pouvait faire ce qu’elle défende ; il airait plus de liberté, parce que les autres auraient tout de même se même pouvoir.
Cela a été réaffirmé par Rousseau qui dit : Il n’y a donc point de liberté sans lois, ni où quelqu’un est au-dessus des lois: dans l’état même de nature l’hommen’est libre qu’à la faveur de la loi naturelle qui commande à t ous. Un peuple libre obéit, mais il ne sert pas; il a des chefs et non pas des maîtres; il obéit aux lois, mais il n’obéit qu’auxlois et c’est par la force des lois qu’il n’obéit pas aux hommes.
On peut dire alors qu’il y a trois types de lois. Le premier type est la loi de la nature, c’est-à-dire l’ensemble de s règles traduites en forme mathématique, règles qui régissent les phénomènes dla nature. La loi de la nature est la loi qui échappe à l’emprise de l’homme. Le deuxième type de loi est la loi morale. C’est une loi qui permet à c haque individu de se gouverner lui-même en fonction de l’exigence du bien ou du mal. C’est une loi qui détermine le rapport de chaque individu avec lui-même et avec autrui. Pour Rousseau, la loi morale est inscrite dans la conscience de chaque individu. La conscience est le juge infaillible du bien et du mal. Le troisième est la loi positive. Cette dernière constitue la totalité des règles écrites dans une société donnée. Cette loi prend formela de droit positif.

Nécessité d’éduquer tous les citoyens

La finalité de toute éducation c’est d’avoir des citoyens responsables et épanouis. Pour cela, il est nécessaire pour eux d’avoir une éducation suffisante pour qu’ils ne soient pas étrangers à leur nation. Ainsi, l’éducation civique de tous citoyens est nécessairesi un Etat voulait établir la vraie démocratie et avoir de bons citoyens. De plus, l’éducation civique ne se limite pas aux discours des professeurs en classe, ni seulement des affaires des masses medias, ni celles des curés et des pasteurs, mais avant tout elle dépend de ceux qui nous dirigent. Parce que c’est à eux de se montrer exemplaire.
Il est nécessaire d’éduquer les citoyens pour qu’ils connaissent les véritables situations de son pays,et pour qu’ils identifient ce qu’est la vraie démocratie. La bonne marche de la démocratie dépend de l’éducation des citoyens, puisque : des citoyens éduqués et compétents qui ont été autorisés à gouverner et qui respectent la nécessité de la délibération savante, éviter les périls de la politique de masse1.
De ce fait, il faut que les citoyens soient éduquéssi nous voulions une vie harmonieuse. C’est dans une vie stable que l’on se sent heureux. Pourtant, la vie heureuse n’est acquise que dans un Etat où le respect de l’égalité et de la liberté règne. Ainsi, il est important d’éduquer les citoyens pour qu’ils ne tombent pas dans l’anar chie puisque souvent le peuple ignorant confond la démocratie avec l’anarchie, car cette dernière permet aussi au peuple de faire ce qu’il veut mais sans respect des lois. Par contre, la démocratie n’est démocratie que si les itoyensc sont libres et se sentent libre tout en respectant les lois. En fait, la finalité de toutes éducations est celle d’avoir des citoyens qui respectent les règles, qui contribuent au développement de son pays et qui sont cultivés. Ainsi, quand le peuple est cultivé c’est-à-dire avoir assez de connaissances et de cultures, il est beaucoup plus facile de les sensibiliser sur ce que c’est la vraie démocratie. Ainsi, la démocratie ne signifiepas la capacité de faire ce que l’on veut à tout moment, mais de suivre ce que les lois nous dictent de faire. C’est-à-dire, faire ce que l’on veut tout en respectant les lois et les autres. C’est pourquoi, éduquer les citoyens est une condition nécessaire afin d’établir la véritable démocratie. Plus les toyensci sont éduqués, plus ils comprennent facilement leurs devoirs envers leur pays. Toutefois, nous pouvons dire qu’à force d’instruire les citoyens, l’Etat peut s’attendre à leur évolution intellectuelle. Etant instruits les citoyens peuvent lancer diverses critiques, mais les dirigeants devaient les prendre comme des critiques constructives afin de vivre ce qu’est la véritable démocratie. C’est pour cela que l’Etat doit mettre en priorité l’éducation de ses citoyens sans discrimination de sexe ni de groupe social. Dans ce cas, un pays dit démocratique doit éduquerses citoyens par tous les moyens possibles car sans la connaissance, il est absolument impossible qu’un Etat se développe. Or, la liberté est donnéeà tous citoyens pour qu’il s’épanouisse afin de développer son pays. Et cetteéducation se fait non seulement pour les enfants et les jeunes mais également pour les adultes d’où l’alphabétisation.

Le rapport de stage ou le pfe est un document d’analyse, de synthèse et d’évaluation de votre apprentissage, c’est pour cela rapport-gratuit.com propose le téléchargement des modèles complet de projet de fin d’étude, rapport de stage, mémoire, pfe, thèse, pour connaître la méthodologie à avoir et savoir comment construire les parties d’un projet de fin d’étude.

Table des matières

Première partie : NOTION DE DEMOCRATIE
I-1- Ce qu’est la démocratie
I-1-1- Origine de la démocratie
I-1-2- Définition
I-2- Les principes fondamentaux de la démocratie
I-2-1- La vertu politique
I-2-2- La liberté
I-2-3- Le suffrage universel
Deuxième partie : DEMOCRATIE ET PAYS SOUS-DEVELOPPES
II-1- Les traits néfastes de la démocratie dans les pays sous-développés
II-1-1- Les problèmes au niveau des dirigeants
II-1-2- Autres sources de problèmes
II-2- Comment résoudre ces problèmes ?
II-2-1- Nécessité d’éduquer tous les citoyens
II-2-2- Nécessité de distinguer le politique et le social
II-2-3- Nécessité de séparer les pouvoirs.
Conclusion
Bibliographie

Télécharger le rapport complet

Télécharger aussi :

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *