Les techniques de production vulgarisées dans le cadre du PACR / CNCC

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Aspect démographique

L a population de Manakara est à majorité jeune et sa dispersion dans les deux sexes est équilibré ( recensement des Fivondronana, 2002 ) .
Quelques 34920 habitants soit 11% de la population totale de la sous préfecture résident dans la ville de Manakara en 2000, avec un taux d’urbanisation de 13% ( Monographie de la région de Manakara, 2003) Nous pouvons en déduire que la population actuelles de la sous préfecture demeure essentiellement rurale.
Dans certaine communes de Manakara s’aggravent les conflits domaniaux, du fait de l’explosion démographique ( avec un taux de croissance annuel de 2,6% ) et de la saturation des secteurs qui intéressent la population ( infrastructures, emplois, assainissement..) La densité de population peut atteindre 200 habitants par Km2) Source : Direction régionale de développement rural à Manakara

Aspect général de la société

Les groupes ethniques les plus dominants dans la sous préfecture de Manakara sont constitués par les Antemoro, viennent en suite les Tanala et d’autres ethnies environnantes de la région, le statut de « Tranobe » signifiant les grandes maisons, est très respecté dans les communautés autochtones où les « Ampanjaka » représentent les autorités traditionnelles.
Du point de vue éducation, 3 adultes sur 8 ont été à l’école et le taux de scolarisation des enfants est de 45% à Manakara (d’après l’INSTAT, 2003 ) . Beaucoup de ménages sont dirigés par des femmes chefs de foyer, avec un pourcentage d’analphabètes atteignant les 27% selon la même source.
A ce faible niveau de scolarisation dans la sous préfecture s’ajoute l’inefficacité des services ( sociaux, médicaux, communications, assainissement, eau potable ) situation critique, dans les milieux ruraux.

Milieu économique

Agriculture

L ’agriculture est une activité motrice assez conséquente de l’économie dans la région .
Les tableaux N° 2 et 3 ci-après nous montre les principales productions par spéculation dans la sous préfecture.

Présentation du CNCC

Le CNCC ou Comité National de Commercialisation du café est l’unique L organisation professionnelle structurée rassemblant les exportations de café Malgache.
Il bénéficie de l’appui des ressources STABEX de l’Union Européenne depuis qu’il a été choisi par le gouvernement malgache et la commission européenne comme l’opérateur de l’ensemble des actions de soutien à la filière café en 1998.
Parmi les actions du CNCC visant à redynamiser et soutenir la filière café touché par la crise mondiale affectant ce produit, le « programme d’appui à la filière café Robusta et à l’amélioration des revenus en milieu paysan par la diversification des cultures de rente de la région Sud Est » ou PACR a été lancé pour cette année 2005.

Objectifs et modes d’intervention du CNCC dans le Sud Est

L’objectif général du PACR-CNCC est de sauvegarder et relancer la filière café afin de participer à la lutte contre la pauvreté et accélérer le développent rural, pour cela, des objectifs spécifiques sont définis par le programme selon ses différents modes d’interventions et d’applications dans le Sud Est.
Offrir aux producteurs de la région du matériel végétal diversifié nécessaire en qualité et en quantité, par l’installation ou la réhabilitation de 25 pépinières villageoises polyvalentes.
Assurer un encadrement dense des paysans et la diffusion des modèles de diversification culturale améliorée par la mise en place des 9 encadreurs techniques directement affiliés au CNCC et 11 autres affiliés à des ONG comme celui dénommé Ny Ainga, ou à des opérateurs locaux.
Dispenser des formations pour ses agents sur terrain et de ceux de ses partenaires particulièrement en matière de culture de rente (caféier, poivrier, vanillier, giroflier, litchi) auxquelles le Centre Technique Horticole de Tamatave ou CTHT est intervenu.
Appuyer l’auto-production de matériel végétale des planteurs par leur encadrement et suivi techniques, ainsi par des appuis matériels (notamment le financement de l’installation des infrastructures pour pépinières) en faveur d’un réseau de pépinières privés affiliées à des opérateurs locaux ou, aux associations paysannes.
Coordonner la réalisation du planning d’activités du CNCC par des contrôles réguliers de l’efficacité des agents techniques et par le suivis de près du fonctionnement des pépinières.
A travers ces activités, le CNCC contribue à améliorer les revenus des producteurs primaires du Sud Est et envisage de mettre en œuvre une opération pilote sur la commercialisation du café Robusta par :
L’identification des opérateurs partenaires locaux ( SCIM, RAMA EXPORT, PROGEM, TAFA Café….).
L’identification de cinq communes de la zone d’action à intervenir, qui seront probablement Tolongoina et Ambatofotsy dans la sous préfecture d’Ikongo (corridor), Andemaka pour Vohipeno, Vohimasy pour Manakara et la commune de Ifanadina.
Le choix de vingt paysans volontaires pour être encadrés à produire du café Robusta de qualité, et appuyer matériellement afin de conquerir un marché sûr et plus rémunérateur.
Recrutement de cinq étudiants en préparation de DEA à L’ESSA pour être formés d’abord en encadreurs en suivi qualité du café dans les communes déterminées, et pour y assurer la formation des paysans volontaires.

Les sites d’intervention du CNCC à Manakara

Dans la sous préfecture de Manakara, le CNCC a installé 8 pépinières polyvalentes dans 8 communes différentes où, il y a aussi 8 encadreurs.
Deux autres pépinières sont également appuyées par le comité dans les communes de Andemaka et de Lokomby.
Les activités du CNCC se sont répandues dans différentes communes comme elle montre la carte de la sous préfecture ci contre, agrandie ci après.

Physiologie

Germination

Une graine issue d’un fruit mûre, séchée à l’ombre puis mise à la terre germe au bout de 2 à 3 semaine.

Développement de l’épi floral

Lorsque les tiges Orthotropes se sont bien développée, les bourgeons situés à la face supérieur d’une branche plagiotrope et au niveau des nœuds évoluent en jeune pousses.
A l’approche de la floraison, les pousses les plus voisines de l’extrémité distale initient le développement des ébauches florales, cachée sous diverses couches de bractées, l’ébauche florale se découvre progressivement et donne naissance à une inflorescence où apparaissent les fleurs.

Fécondation

Le poivrier présente un phénomène de protygynie ( organes femelles mûrissent avant les mâles ) et l’anthère contenant les grains de pollen ne s’ouvre que 2 jours après sa sortie à la surface de l’épi, alors que le gynécée se développe bien avant.
La fécondation par géiotogamie, c’est-à-dire par gravité entre fleurs d’un même épi est alors fréquente mais le croisement au niveau des épis différents n’est pas impossible non plus.

Durée de développement végétatif et longévité

Une graine germée met 5 ans environs pour entrer en production mais une bouture bien conduite fleurie à partir de la troisième année de culture.
Normalement le poivrier n’entre dans sa phase de déclin qu’après 15 ans de production environ.

Cycle de production

Entre l’apparition des fleurs et la maturation des fruits sur un même épi, il s’écoule 9 environs 9 mois, une baie verte nouvellement formée rougit entre 3 et 4 mois.
Après une récolte, d’autres épis s’apprêtent à développer leurs fleurs et à donner des fruits, deux récoltes de baies à un même niveau de maturité donné peuvent être alors espacées de 4 à 7 mois.

Ecologie

Insolation

Le poivrier est une plante ombrophile facultative, qui exige de l’ombrage de 0 à 50 % selon les conditions de culture :
En cas de conduite sous ombrage, la lumière exigée par le jeune poivrier est de 50% au cours de se phase de croissance, et après chaque récolte, il a besoin un peu plus de lumière (70%) pendant les périodes de fructification et de maturation des fruits.
La conduite des lianes à l’exposition permanente au soleil intensifie la production par des apports importants d’intrants et par des entretiens culturaux particuliers, cette technique quasiment inexistante dans la zone de Manakara, réduit considérablement la longévité du poivrier.

Humidité et température

Les meilleurs conditions de végétation sont une pluviométrie annuelle autour de 2000mm assez bien répartie dans l’année (sans saison sèche relativement marquée) et une ambiance constamment chaude (sous une température moyenne mensuelle de 22° à 31°C.
Une hygrométrie élevée joue un rôle important sur la réceptivité des tubes polliniques du poivrier car l’humidité facilite la dispersion des grains de pollen. Source : Hyac P., 2004.

Le sol

La liane redoute la stagnation d’eau au niveau de ses racines souterraines ainsi que la proximité de la nappe phréatique pouvant atteindre les racines de la plante.
La submersion des racines due à des pluies prolongées peut asphyxier la plante, cependant, le poivrier ne semble pas avoir des exigences édaphiques particulières, seulement un sol léger, meuble, perméable et bien drainé avec un PH légèrement acide ou neutre (entre 5,5 et 7).

Le vanillier à Manakara

Matériel végétale

Le vanillier appartenant à l’espèce Vanilla fragrans et à la famille des Orchidacées, a surtout apporté dans la région par les originaires du Sud Est de Madagascar qui ont temporairement immigré dans les zones de grande production du Nord Est de Madagascar.
Récemment, les nouveaux exploitants de vanillier à Manakara se sont approvisionnés de plan provenant de Mananjary.

Morphologie

Tiges, racines, feuilles

Le vanillier est une liane monopodiale dont la tige est robuste, succulente, grimpante, pouvant atteindre jusqu’à 15 m de long, ne se ramifiant généralement pas, il s’accroît par son bourgeon terminal qui set un bourgeon foliaire convoluté.
Chez le vanillier, on trouve deux sortes de racines, les premières sont des racines terrestres, qui s’enfonce dans l’humus au niveau du sol, les deuxièmes, racines aériennes forment une sorte de vrille en nœud et réparties sur la surface libre de la liane, à l’opposé du limbe ou, sur le coté d’une feuille, le vanillier peut alors s’accrocher à son tuteur à l’aide de ces racines aériennes.
Une feuille de vanillier est oblongue et charnue, son limbe se termine en pointe, en son extrémité et atténué à sa base, sa dimension est compris entre 9 à 22 sur 3 à 7 cm environs.
Chaque feuille accompagnée d’un bouquet de racines aériennes, présente un bourgeon latéral qui évolue occasionnellement, d’où la disposition foliaire alterne et subsessile de cette orchidée.

Inflorescence, fleurs, fruits

Une inflorescence du vanillier prend naissance à l’aisselle d’une feuille, elle est axillaire, simple, très rarement terminale et brièvement pédonculée.
A partir du sommet d’une inflorescence apparaissent des fleurs. Les fleurs sont au nombre de 6 à 30 disposées en épis ( grappe ) et chacune présente 3 sépale pétaloïdes alternés avec 3 pétales dont un constitue « le labelle ». Ce dit pétale enveloppe l’organe femelle ou gymnostème.

Température, humidité, insolation, exigés par le vanilli er

Le vanillier s’accommode à un climat chaud et humide, comme celui de son habitat originel ( Java, Sumatra, en Indonésie).
Il est avide d’eau qui ne peut être procurée, en conditions naturelles, que par des pluies annuelles abondantes et bien réparties.
La liane exige un ombrage permanent de 50%, ses feuilles jaunissent dès que la lumière appliquée excède 50%, aussi, un trop ombrage ( plus de 50%) affaiblit la plante et inhibe la floraison.

Exigences édaphiques du vanillier

Du point de vue texture, les sols légers, limoneux ou sablo-limoneux Sont très appréciés par le vanillier, A contrario une forte proportion d’argile favorise la formation de crevasses en période sèche et risque d’entraîner la coupure des racines.
Le terrain trop sablonneux et non recouvert par une couche humifère suffisamment épaisse pour procurer au sol une bonne capacité de rétention d’eau, menace le vanillier d’une carence en eau. La liane s’épanouit favorablement sur sol abondamment pourvu de matière organiques humide ( proche des terrains à épaisse couches d’humus issues d’une forêt secondaire éclaircie, exempt de brûlis, même aux voisinages de la mer)
Le vanillier craint l’accumulation d’eau stagnante ( cas d’un mauvais drainage du terrain au niveau de ses racines ) qui risque de les pourrir, il se dessèche aussi au contact des matériaux végétaux ( paille ) Sources : Ratovojanahary O., 1995 ; Tang-Po, 1992.

Techniques d’installation des cultures de rente

Préparation du terrain

La période la plus conseillée pour le défrichement est celle de Octobre à Novembre.
Sur les terrains défrichés et préparés pour installer duCaféier, Poivrieret/ou Vanillier les encadreurs ont démontrés sur « Kombohitra » ( une sorte de jardin de case installée à proximité immédiate de la case d’habitation) que le traçage des planches lors du piquetage en ramenant la couche arable riche en matière organique sur la bande ameublie et dépourvue de souches ou grosses pierres, cela étant très bénéfique pour la liane ou le Caféier.
L’écartement proposé aux planteurs entre deux pieds de même espèce, est de 2 m pour le Vanillier ou Poivrier et 3 m pour le caféier, mais cet espace peut varier selon la richesse du sol et le type d’association culturale adoptée.

Installation des arbres d’ombrage et/ou tuteurs

L’installation des arbres pour l’ombrage et le support des cultures sciaphiles ( qui apprécient l’ombre).
1 – Recommandée est aussi le bouturage de façon à prélever des tiges bien aoûtées saines.
2 – A les conserver en fagot ( en position verticale) pendant quelques jours.
3 – Et, mettre en terre la partie sectionnée obliquement.

Instructions communes aux spéculations retenues

Fauchage, paillage, détourage

L a méthode la plus conseillée par le programme pour nettoyer les terrains de plantation et, éliminer les mauvaises herbes est le fauchage périodique (tous les 3 mois) car il permet aussi de se procurer des matériaux végétaux pour servir de paillis.
Force est de constater que couvrir le sol avec de la paille ( débris végétaux secs) est non seulement un moyen de reconstitution de l’humus du sol et de protection contre l’érosion, mais c’est aussi un moyen de limiter la réponse des plantes adventices fauchées ainsi que de limiter l’évaporation pour garder l’humidité nécessaire au niveau du sol.
Les matériaux de paillage peuvent être confectionnés aussi pour ombrager provisoirement si le tuteur ne donnait pas suffisamment d’ombrage.
Les encadreurs du programme conseillent de désherber soigneusement autour de chaque pied de culture et de les laisser propre sur une surface de 1 m de diamètre , ce détourage permet aussi d’éviter le contact des matériaux du paillage avec la culture et, de limiter la concurrence nutritionnelle.
La fréquence conseillée pour effectuer ces opérations est de 4 fois par an, soit après la pleine floraison (janvier) à la veille de la maturité des fruits (Avril), peu de temps avant, puis après chaque récolte des fruits mûrs ( juillet puis Octobre).
En effet, la fructification centrifuge chez le Caféier et le poivrier stimule l’apparition des boutons floraux sur un même rameau fructifère, pendant que des mûrissent à l’extrémité.

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Table des matières

Chapitre 0. Méthodologie de travail
Chapitre 1. Généralités sur Manakara et sur le CNCC
1.1. Situation de Manakara dans Madagascar
1.2. Milieu Physique
1.2.1 Climat
1.2.1.1 Pluviométrie et température
1.2.1.2 Vent
1.2.2 Sol
1.2.3 Hydrographie
1.2. Milieu humain
1.3.1 Aspect démographique
1.3.2. Aspect général de la société
1.3. Milieu économique
1.4.1 Agriculture
1.4.2 Industrie
1.4.3 Commerce
1.5. Présentation du CNCC
1.5.1 Objectifs et modes d’intervention du CNCC dans le Sud Est
1.5.2 Les sites d’intervention du CNCC à Manakara
Chapitre 2. Les spéculations locales étudiées
2.1 Le poivrier à Manakara
2.1.1 Espèce et variétés
2.1.2 Morphologie
2.1.2.1 Les feuilles
2.1.2.2 Le système radiculaire
2.1.2.3 Les tiges
2.1.2.4 Les inflorescences, fleurs et fruits
2.1.3 Physiologie
2.1.3.1 Germination
2.1.3.2 Développement de l’épi floral
2.1.3.3 Fécondation
2.1.3.4 Durée de développement végétatif et longévité
2.1.3.5 Cycle de production
2.1.4 Ecologie
2.1.4.1 Insolation
2.1.4.2 Humidité et température
2.1.4.3 Le sol
2.2 Le vanillier à Manakara
2.2.1 Matériel végétale
2.2.2 Morphologie
2.2.2.1 Tiges, racines, feuilles
2.2.2.2 Inflorescence, fleurs, fruits
2.2.3 Physiologie
2.2.4 Ecologie
2.2.4.1 Température, humidité, insolation, exigés par le vanillier
2.2.4.2 Exigences édaphiques du vanillier
2.3 Le caféier à Manakara
2.3.1 Espèces et variétés
2.3.2 Morphologie
2.3.2.1 Les inflorescences, fleurs et fruits
2.3.2.2 Les feuilles
2.3.2.3 Les tiges et bourgeons
2.3.3 Physiologie
2.3.3.1 Germination
2.3.3.2 Développement végétatif
2.3.3.3 Développement floral
2.3.3.4 Fécondation
2.3.4 Ecologie
2.3.4.1 Climat
2.3.4.2 Sol
Chapitre 3. Les techniques de production vulgarisées dans le cadre du PACR / CNCC
3.1 Modes de reproduction des cultures de rente
3.1.1 Conduite de Pépinière
3.1.2. Bouturage direct
3.2 Techniques d’installation des cultures de rente
3.2.1 Préparation du terrain
3.2.2 Installation des arbres d’ombrage et/ou tuteurs
3.3 Conduite des cultures de rente
3.3.1 Instructions communes aux spéculations retenues
3.3.1.1 Fauchage, paillage, détourage
3.3.1.2 Drainage
3.3.2 Instructions particulières pour la conduite de Vanillier
3.3.2.1 Bouclage
3.3.2.2 Tailles
3.3.2.3 Fécondation artificielle
3.3.3 Instructions particulières pour la conduite de Poivrier
3.3.3.1 Attaches, Arcage
3.3.3.2 Etêtage des lianes
3.3.3.3 Pincement et égourmandage des lianes
3.3.3.4 Effleurage
3.3.4 Instruction particulière pour la conduite du Caféier
3.4 Techniques de récolte et post récolte
3.4.1 Modalités de récolte et traitement du poivre
3.4.1.1 Production de poivre noir
3.4.1.2 Saumurage de poivre vert
3.4.2 Récolte de gousses vertes et préparation de Vanille
3.4.2.1 Récolte des gousses vertes
3.4.2.2 Préparation post récolte de vanille
3.4.3 Récolte des cerises et transformation en café coque
Chapitre 4. Les pratiques paysannes à Manakara
4.1 Le système « Kombohitra » en paysannat de Manakara
4.1.1 Structure et spéculations généralement présentes sur « Kombohitra »
4.1.2 Opportunités sur ‘’ Kombohitra ‘’ pour l’introduction du Vanillier
4.2 Facteurs limitant la promotion des cultures de rente à Manakara
4.2.1. Faible niveau d’entretien cultural
4.2.2 Problèmes économiques et sociaux
Chapitre 5. Des propositions pour l’amélioration durable des cultures de rente à Manakara
5.1 Sur le plan technique
5.2 Sur le plan social
Conclusion
Annexes

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