Les réponses des consommateurs à la qualité sociale des marques dedistributeurs

Historique de la question de la qualité sociale

     « C’est une question pas vraiment nouvelle » avance Michel Capron (2005). L’auteur explique que la question sociale, notamment dans le commerce international a été portée dans le passé par des organismes comme la CNUCED10 (Conférence des Nations Unies sur le Commerce Et le Développement) ; ensuite elle a intéressé les organisations syndicales du Nord avant de devenir l’apanage des organisations de consommateurs. Les organisations syndicales du Nord craignaient le dumping social des pays du Sud, ce qui a donné naissance à l’idée des clauses sociales visant à assortir les accords commerciaux internationaux d’une garantie de droits humains et sociaux au travail. Capron (2005) retrace l’évolution de la question de la qualité sociale en résumant les débats dominant les années 70-80 comme suit. Deux types de raisonnements s’opposaient :
• L’un consistait à dire : « pour faire le lien entre l’acte d’achat et la défense de l’emploi, il faut produire, vendre ou acheter national. Des slogans tels que « produisons et achetons français » exprimaient bien ce mouvement. Il s’agissait de mobiliser les salariés, les consommateurs, en leur faisant faire le lien entre l’acte d’achat et la défense de l’emploi.
• La deuxième position opposée à la première, consistait à dire : « à partir du moment où on reconnaît aux pays du Sud le droit de se développer comme ont pu le faire les pays du Nord, cela implique le rejet de toute forme de protectionnisme ». Il s’agit d’aider les pays du Sud à tirer vers le haut les niveaux de salaire et de protection sociale afin de permettre de réduire les disparités de coûts entre produits du Sud et produits du Nord et de faire disparaître les écarts et la concurrence entre pays du Nord et pays du Sud. Face au renforcement de l’économie de marché basée sur l’internationalisation des échanges et notamment de la production, l’idée d’une différenciation des produits par un marquage approprié en fonction de leurs qualités de respect des droits humains et des travailleurs réapparaît dans les pays anglo-saxons. En effet, l’idée des labels n’est pas nouvelle, elle remonte au XIX éme siècle aux États-unis. Elle trouve ses origines dans le principe de « free and fair trade » qui vise à substituer à une réglementation étatique une démarche volontaire de la part des producteurs garantissant un certain niveau de qualité sociale de leurs produits. Dans le secteur de la grande distribution, la démarche volontaire pour garantir la qualité sociale de l’offre s’est matérialisée par un engagement de la part d’un certain nombre d’acteurs du commerce et de la distribution (Auchan, Camif, Carrefour, Casino, Cora, E. Leclerc, Système U, 3 suisses…) autour de l’Initiative Clause Sociale. Il s’agit dune démarche « pragmatique et progressive destinée à inciter leurs fournisseurs à respecter les principales conventions et recommandations de l’Organisation Internationale du Travail (OIT) et les réglementations sociales locales dans les pays émergents ». De façon plus spécifique, nous nous retrouvons au cœur de l’augmentation éthique du produit fondée par Crane (2001) sur la théorie du produit augmenté de Levitt (1980). Cette théorie stipule qu’il existe différents niveaux d’analyse d’un produit : le produit attendu par le consommateur correspondant à un panier d’attributs tangibles et le produit augmenté incluant l’ensemble des services et bénéfices proposés aux consommateurs (Canel-Depitre, 2003). L’augmentation éthique de Crane (2001) peut se réaliser sur quatre niveaux : Le produit, le marketing, l’organisation et le pays d’origine :
• L’augmentation éthique au niveau du produit renvoie au potentiel du produit à affecter positivement ou négativement le consommateur et son environnement social ou environnemental. Les produits issus du commerce éthique et équitable se retrouvent dans cette catégorie d’augmentation.
• L’augmentation au niveau marketing concerne le mode de commercialisation du produit et les aspects éthiques inhérents à cette commercialisation. Les pratiques de produit partage consistant à reverser une partie du prix payé par le consommateur à une cause illustre bien cette forme d’augmentation éthique.
• L’augmentation au niveau de l’organisation consiste à appréhender les réponses des consommateurs à différentes pratiques jugées socialement responsables ou irresponsables par les consommateurs. Un courant de recherche entier est dédié à étudier la consommation socialement responsable du point de vue de la réponse aux actions des organisations.
• Au niveau du pays d’origine, les travaux sur le « made in » ainsi que sur la consommation citoyenne soutiennent la thèse de l’importance du pays d’origine dans le processus de prise de décision d’achat ou de consommation par les consommateurs. Dans le cadre de ce travail de recherche nous nous intéressons à une forme d’augmentation éthique qui se situe au niveau du produit. Différentes formes d’augmentation éthique au niveau du produit sont présentées dans ce qui suit.

Rôle de la Marque De Distributeur dans la relation du  consommateur à l’enseigne

     « L’identité d’une MDD n’est pas dissociable de l’identité de l’enseigne. Elle porte souvent le même nom et possède le même patrimoine génétique à la naissance. Par contre, les moyens d’expression de la MDD sont complémentaires et différents de ceux du magasin et de l’enseigne » (Breton, 2004, p 127). La plus grande difficulté des enseignes de distribution était souvent de trouver des leviers de différenciation de la concurrence. Ce besoin de différenciation est d’autant plus important que les axes possibles pour y parvenir se rétrécissent notamment avec la force croissante qu’acquièrent les hard- discounters sur le marché. Les MDD présentent souvent des caractéristiques physiques distinctives de l’enseigne. Ces caractéristiques sont résumées par Breton (2004) comme suit :
• La formule du magasin : spécialiste ou généraliste ;
• Le format : grande ou moyenne surface ;
• L’emplacement : centre ville ou périphérie ;
• La largeur de l’offre : étendue ou limitée ;
• Le positionnement de l’enseigne : haut ou milieu de gamme.
La popularité des MDD est expliquée par une multitude de facteurs intereliés (Harkar et al. 2006) tels que la concentration des acteurs de la grande distribution en chaînes organisées, donnant plus de moyens au développement des marques de distributeurs, les modifications du comportement des consommateurs notamment en termes de fidélité aux marques nationales accompagnées par une attitude plus favorable vis-à-vis des marques de distributeurs en raison d’une meilleure qualité perçue de ces dernières. Les budgets promotionnels conséquents alloués par les distributeurs pour mettre en avant leurs propres marques permettent une meilleure communication avec leurs clients (Steenkamp et Dekimpe, 1997). L’accès au média télévision pour promouvoir les MDD est considéré comme une étape décisive dans l’acquisition d’un statut de marque pour la MDD et pour l’enseigne (Breton, 2004). En effet, c’est une réelle opportunité pour améliorer la connaissance et la compréhension des MDD ainsi que leur valorisation auprès des consommateurs. Au-delà des caractéristiques physiques de l’enseigne, la MDD, pour remplir son rôle d’ambassadrice des valeurs de l’enseigne, doit tenir compte de sa culture, de sa philosophie et de la typologie des clients qu’elle vise. En effet, la MDD sert dans l’idéal à concrétiser les prises de position de l’enseigne à l’instar de Leclerc au sujet de la diminution de la pollution par les sacs en plastique, ou le penchement de Cora et de Système U sur les valeurs régionales. L’adoption de l’approche « développement durable » par les enseignes s’est manifestée par plusieurs pratiques dont la plus saillante est la suppression des sacs en plastiques pour certaines enseignes et leur remplacement par des sacs biodégradables ou réutilisables. Cependant, les pratiques les plus perçues par les consommateurs semblent être l’offre des produits bio et équitables dans les rayons des grandes enseignes de distribution. En outre, les enseignes de distribution ont manifesté leur engagement environnemental et social par l’introduction des labels « bio » et équitables dans l’offre des MDD. En effet, la conscience de l’importance du créneau du « bio » porté par les MDD s’est manifestée depuis 2004 par Monoprix sur les produits textiles de ses marques propres (Bout’chou, CFK, Derby…) bien avant les autres marques. Dans le secteur alimentaire, les MDD « bio » étaient depuis longtemps sur les linéaires des grandes enseignes (Monoprix, 1993, Carrefour, 1997, Casino, Leclerc et Système U en 1999) alors que Danone s’est lancé dans les yaourts « bios » en 2006 (LSA, Mars 2007). Quant à l’offre de produits issus du commerce équitable17, leur introduction dans le circuit de la grande distribution est venue répondre au besoin de démocratiser une forme de consommation engagée et de toucher un grand nombre de consommateurs. L’appropriation du concept du commerce équitable répond également du côté des enseignes au besoin de mettre en exergue leur engagement sociétal et de le communiquer en vue d’acquérir de nouveaux clients et de consolider leur relation avec leurs clients actuels. Les enseignes de grande distribution ne se sont pas contentées d’offrir des produits labellisés du commerce équitable, mais conscientes du potentiel relationnel des MDD, elles ont développé des produits labellisés du commerce équitable sous leur propre marque. Cette démarche entraîne, certes, des coûts supplémentaires pour nouer des relations commerciales avec des coopératives des pays du Sud, mais permet au distributeur de bénéficier du label reconnu (Poret, 2006).

Lien entre qualité sociale et qualité perçue de la Marque De Distributeur

    Des recherches antérieures (Brown et Dacin, 1997 ; Creyer et Ross, 1997 ; Ellen, Mohr et Webb, 2000 ; Murry et Vogel, 1997, Sen et Battacharya, 2001) ont démontré l’existence de liens significatifs entre des initiatives sociales des entreprises et des réponses affectives, cognitives et comportementales positives de la part des consommateurs. En France, des chercheurs en marketing (Parguel et Benoit-Moreau, 2007) ont analysé l’influence de la communication sociétale sur le capital marque d’une enseigne fictive : leurs résultats confirment l’influence positive d’une telle communication sur la réaction du consommateur en termes d’appréciation globale. Plus précisément, des liens significatifs et positifs ont été rapportés entre les pratiques sociales des entreprises et la qualité perçue de leurs produits (Folkes et Kamins, 1997 ; Maignan et Ferrel, 2001 ; Swaen, 2004). Des liens significatifs ont également été démontrés entre les pratiques sociales des entreprises et les intentions d’achat vis-à-vis de leurs produits (Brown et Dacin, 1997 ; Maignan et al.1999). D’un autre côté, des recherches sur les compétences relationnelles de la MMD stipulent qu’en améliorant sa qualité réelle et perçue, la marque de distributeur développe sa capacité fidélisante pour elle-même et pour l’enseigne (Corstjens et al. 2000 ; Steenkamp et Dekimpte, 1997).

Le niveau d’étude et la profession du consommateur

     Avant de commencer notre développement, notons que par niveau d’étude, nous entendons niveau de formation scolaire et diplômes. Des recherches antérieures ont montré des liens significatifs et positifs entre le niveau d’éducation et le comportement éthique des consommateurs (Carrigan et Attala, 2001 ; De Pelsmacker et al. 2005 ; 2006 ; Dickson et Littrell, 1997 ; Roberts, 1995 ; Roberts, 1996). Des liens significatifs ont été rapportés entre le niveau d’éducation du consommateur et sa sensibilité aux problèmes sociaux (Anderson et alii, 1974). Les études du comportement du consommateur vert lui attribuent un niveau d’éducation plus élevé que la moyenne (Kinnear, Taylor et Ahmed, 1974 ; Van Liere et Dunlap, 1980 ; Dolich, Tucker et Wislon, 1981). Les mêmes études montrent un effet significatif de la profession sur la consommation socialement responsable. Nous pensons que le niveau d’éducation détermine en grande partie la profession occupée par l’individu qui définit à son tour son appartenance à une classe socioprofessionnelle bien définie. Roozen (1997) a montré que l’appartenance à une classe socioéconomique élevée augmente la probabilité d’acheter des détergents respectueux de l’environnement. L’appartenance à une classe socioéconomique élevée soulève également la question de la désirabilité sociale chez les individus. En effet, si nous admettons que la consommation socialement responsable reste l’apanage des classes socioéconomiques élevées, la concentration de certaines formes de consommation alternatives (produits bios, équitables ou issus du commerce éthique) peut être expliquée par un comportement d’imitation suivi par les membres de cette classe afin de montrer leur appartenance et de gagner l’estime de leurs semblables.

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Table des matières

INTRODUCTION GÉNÉRALE
PARTIE I : LES FONDEMENTS THEORIQUES DE L’ÉTUDE DES REPONSES DES CONSOMMATEURS A LA QUALITE SOCIALE DE LA MARQUE DU DISTRIBUTEUR
INTRODUCTION DE LA PREMIERE PARTIE
CHAPITRE I. LA QUALITE SOCIALE DE LA MARQUE DE DISTRIBUTEUR : UNE STRATEGIE D’ENSEIGNE
I. LES ENJEUX DE LA RESPONSABILITE SOCIALE DE L’ENTREPRISE DANS LA GRANDE DISTRIBUTION
I.1 Définitions de la notion de Responsabilités Sociales d’Entreprise
I.2 Enjeux de la Responsabilité Sociale des Entreprises de la grande distribution
I.2.1 La grande distribution en quête de légitimité
I.2 .2 La grande distribution en quête de sécurité
I.2.3 La grande distribution en quête de différenciation (compétitivité)
I.3 Le volet social : pierre angulaire dans une démarche socialement responsable des enseignes
II. DEFINITION, HISTORIQUE ET REFERENTIELS RELATIFS A LA QUALITE SOCIALE
II.1 Définition de la notion de qualité sociale
II.2 Historique de la question de la qualité sociale
II.3 Les référentiels liés à la qualité sociale
II.3.1 Les systèmes de certification des produits et des entreprises
III. LA MARQUE DU DISTRIBUTEUR : AU CŒUR DU POSITIONNEMENT SOCIALEMENT RESPONSABLE DES ENSEIGNES
III.1 Définition et avènement de la Marque De Distributeur
III.2. Rôle de la Marque De Distributeur dans la relation du consommateur à l’enseigne
III.3 Les compétences relationnelles de la Marque De Distributeur socialement responsable
III.3.1 La qualité perçue de la Marque De Distributeur socialement responsable
III.3.1.1 La notion de qualité perçue
III.3.1.2 La qualité perçue de la Marque De Distributeur
III.3.2 Lien entre qualité sociale et qualité perçue de la Marque De Distributeur
III.3.3 La fidélité à la Marque De Distributeur socialement responsable
III.3.3.1 La fidélité du consommateur
III.3.3.2 Fidéliser par la Marque De Distributeur
III.3.3.3 Lien entre qualité perçue et fidélité à la marque
CHAPITRE II : LE RÔLE DES VARIABLES INDIVIDUELLES DANS LA RÉPONSE DES CONSOMMATEURS A LA QUALITÉ SOCIALE DE LA MARQUE DE DISTRIBUTEUR
I. CARACTÉRISTIQUES SOCIODÉMOGRAPHIQUES DES CONSOMMATEURS ET QUALITÉ SOCIALE DE LA MARQUE DE DISTRIBUTEUR
I.1 Le sexe du consommateur
I.2. L’âge du consommateur
I.3 Le revenu du consommateur
I.4 Le niveau d’étude et la profession du consommateur
I.5 La composition du ménage
II. VALEURS PERSONNELLES ET QUALITÉ SOCIALE DE LA MARQUE DE DISTRIBUTEUR
II.1 Les valeurs personnelles : définitions et utilisation en marketing
II.2. L’utilité des valeurs personnelles dans la détermination des attitudes et des comportements des consommateurs
II.3. L’utilité des valeurs personnelles dans la segmentation du marché
II.4. Des concepts proches des valeurs
II.5. Évolution des valeurs personnelles depuis 1960
II.6. Valeurs personnelles et consommation socialement responsable
II.7. Différentes typologies de valeurs personnelles
III. ENGAGEMENT SOCIAL DU CONSOMMATEUR ET QUALITÉ SOCIALE DE LA MARQUE DE DISTRIBUTEUR
III.1. De la citoyenneté active au bénévolat associatif
III.1.1 Le concept de citoyenneté et son évolution
III.1.2. De l’engagement à la participation associative
III.2. Les caractéristiques de l’engagement social
III.2.1 Les raisons d’agir
III.2.2 Le profil type du bénévole
III.3. L’engagement social dans les études marketing
IV. EFFICACITÉ PERÇUE ET QUALITÉ SOCIALE DE LA MARQUE DE DISTRIBUTEUR
IV.1 La théorie sociale cognitive de Bandura
IV.2 Sources de l’efficacité perçue
IV.3 Utilisations du concept de l’efficacité perçue en marketing
V. L’ATTITUDE A L’ÉGARD DES MARQUES DE DISTRIBUTEUR ET LA QUALITÉ SOCIALE DES PRODUITS
V.1 Les déterminants psychologiques de l’attitude à l’égard des Marques De Distributeur
V.2 Les facettes de l’attitude à l’égard des Marques De Distributeur
V.3 L’attitude à l’égard des Marques De Distributeur et la relation du consommateur à la Marque De Distributeur
PARTIE II. : MÉTHODOLOGIE DE LA RECHERCHE
INTRODUCTION DE LA DEUXIEME PARTIE
CHAPITRE III : ÉTUDE EXPLORATOIRE ET CONCEPTUALISATION DE LA RECHERCHE
I. QUEL PARADIGME ÉPISTÉMOLOGIQUE POUR L’ÉTUDE DES PRODUITS SOCIALEMENT RESPONSABLES ?
II. UNE ÉTUDE EXPLORATOIRE : OBJECTIFS, MÉTHODOLOGIE ET RÉSULTATS
II.1 Construction du guide d’entretien
II.2 Description de l’échantillon
II.3 L’analyse des données
II.4 Résultats de l’étude exploratoire
II.4.1 Les problèmes sociaux évoqués par les consommateurs
II.4.2 L’image de la grande distribution : une image négative à cause des rapports sociaux
II.4.3 Les responsabilités sociales des enseignes de distribution
II .4.4 Une perception négative des motivations et des pratiques de la grande distribution
II.4.4 Un lien faible entre les enseignes de distribution et le respect des conditions de fabrication des produits
II.4.5 Le rôle attribué aux consommateurs dans la résolution des problèmes sociaux
II.4.6 La simplicité volontaire : une forme de consommation responsable
II.4.7 Le phénomène de cohorte
II.4.8 Le besoin d’information crédible
II.4.9 Lien évoqué entre consommation et citoyenneté
III. PROBLÉMATIQUE ET AXES DE LA RECHERCHE
IV. CONCEPTUALISATION ET HYPOTHÈSES DE LA RECHERCHE
IV.1 Hypothèses relatives à l’influence de la qualité sociale de la Marque De Distributeur sur les réponses du consommateur
IV.1.1 Hypothèses relatives à l’influence de la qualité sociale sur la qualité perçue de la MDD
IV.3 Hypothèses relatives à l’effet des variables individuelles sur les réponses des consommateurs à la qualité sociale de la MDD
IV.3.1 Hypothèses relatives à l’effet du sexe sur les réponses du consommateur à la qualité sociale de la MDD
IV.3.2 Hypothèses relatives à l’effet de l’âge sur les réponses du consommateur à la qualité sociale de la MDD
IV.3.3 Hypothèses relatives à l’effet du revenu sur les réponses du consommateur à la qualité sociale de la MDD
IV.3.4 Hypothèses relatives à l’effet du niveau d’étude et de la profession sur les réponses du consommateur à la qualité sociale de la MDD
IV.3.5 Hypothèses relatives à l’effet de la composition du ménage sur les réponses du consommateur à la qualité sociale de la MDD
IV.3.6 Hypothèses relatives à l’effet des valeurs personnelles sur les réponses du consommateur à la qualité sociale de la MDD
IV.3.7 Hypothèses relatives à l’effet de l’engagement social du consommateur sur ses réponses à la qualité sociale de la MDD
IV.3.8 Hypothèses relatives à l’effet de l’efficacité perçue du consommateur sur ses réponses à la qualité sociale de la MDD
IV.3.9 Hypothèses relatives à l’effet de l’attitude du consommateur à l’égard des MDD sur ses réponses à la qualité sociale de la MDD
CHAPITRE IV : LA METHODOLOGIE DE LA RECHERCHE
I. DESIGN DE LA RECHERCHE
I.1 L’expérimentation
I.1.1. Définition de l’expérimentation
I.1.2. Utilisation de l’expérimentation en marketing
I.1.3. Les biais de l’utilisation de l’expérimentation dans les études marketing
I.2. Choix méthodologiques et justifications
I.2.1. Justification du choix du protocole d’expérimentation
I.2.2. L’échantillonnage
I.2.3. La collecte des données : expérimentation par Internet
II. OPÉRATIONNALISATION DES VARIABLES
II.1 Mesure de la qualité perçue de la Marque De Distributeur
II.2 Mesure de la fidélité à la Marque De Distributeur
II.3 Mesure de la fidélité à l’enseigne
II.4 Mesure des valeurs personnelles
II.5 Mesure de l’engagement social
II.6 Mesure de l’efficacité perçue
II.7 Mesure de l’attitude à l’égard des Marques De Distributeur
III. MÉTHODOLOGIE RELATIVE A LA VALIDATION DES INSTRUMENTS DE MESURE
III.1 Les valeurs aberrantes
III.2. La nature des variables
III.3. Fiabilité et validité des instruments de mesure
IV. MÉTHODOLOGIE RELATIVE AU TEST DES HYPOTHÈSES
IV.1. Test des hypothèses relatives à l’impact de la qualité sociale sur la qualité perçue de la MDD, la fidélité à la MDD et la fidélité à l’enseigne
IV.2 Test des hypothèses relatives à l’impact des variables individuelles sur les réponses des consommateurs à la qualité sociale de la Marque Du Distributeur
IV .2.1 Test des hypothèses relatives à l’effet des variables sociodémographiques sur les réponses des consommateurs à la qualité sociale de la Marque Du Distributeur
IV.2.2 Test des hypothèses relatives à l’effet du profil d’engagement social du consommateur sur les réponses du consommateur à la qualité sociale de la Marque Du Distributeur
IV.2.3 Test des hypothèses relatives au lien de causalité entre les variables dépendantes et entre les variables de valeurs personnelles, d’efficacité perçue et d’attitude à l’égard des MDD et les variables dépendantes
PARTIE III. : PRÉSENTATION ET ANALYSE DES RÉSULTATS DE LA RECHERCHE
INTRODUCTION DE LA TROISIEME PARTIE
CHAPITRE V : VALIDATION DES INSTRUMENTS DE MESURE DE LA RECHERCHE
I. DESCRIPTION DE L’ÉCHANTILLON GLOBAL, DU GROUPE TEMOIN ET DU GROUPE EXPÉRIMENTAL
II. LA VALIDATION DES INSTRUMENTS DE MESURE DES VARIABLES DEPENDANTES
II.1 La validation des instruments de mesure des variables dépendantes pour l’échantillon global
II.1.1 La validation de l’échelle de mesure de la qualité perçue de la MDD pour l’échantillon global
II.1.2 La validation de l’échelle de mesure de la fidélité à la Marque De Distributeur pour l’échantillon global
II.1.3 La validation de l’échelle de mesure de la fidélité à l’enseigne pour l’échantillon global
II.2 La validation des instruments de mesure des variables dépendantes pour le groupe expérimental
II.2.1 La validation de l’échelle de mesure de la qualité perçue de la MDD pour le groupe expérimental
II.2.2 La validation de l’échelle de mesure de la fidélité à la MDD pour le groupe expérimental
II.2.3 La validation de l’échelle de mesure de la fidélité à l’enseigne pour le groupe expérimental
II.2.4. Analyses factorielles exploratoires des échelles de mesure de la fidélité à la MDD et de la fidélité à l’enseigne pour le groupe expérimental
II.3 La validation des instruments de mesure des variables dépendantes pour le groupe témoin
II.3.1 La validation de l’échelle de mesure de la qualité perçue pour le groupe témoin
II.3.2 La validation de l’échelle de mesure de la fidélité à la MDD pour le groupe témoin
II.3.3 La validation de l’échelle de mesure de la fidélité à l’enseigne pour le groupe témoin
II.3.4 Analyses factorielles exploratoires des échelles de mesure de la fidélité à la MDD et de la fidélité à l’enseigne pour le groupe témoin
III. LA VALIDATION DES INSTRUMENTS DE MESURE DES VARIABLES INDIVIDUELLES
III.1 La validation des mesures des dimensions retenues des valeurs personnelles
III.2. La validation de l’échelle de mesure de l’engagement social
III.2.1 Résultats de la factorisation de l’engagement social pour les données du groupe expérimental
III.3. La validation de l’échelle de mesure de l’efficacité perçue
III.4. La validation de l’échelle de mesure de l’attitude à l’égard des Marques De Distributeurs
III.5 Validation de l’ensemble des construits multi items de la recherche
CHAPITRE VI : TEST DES HYPOTHÈSES DE LA RECHERCHE
I. L’IMPACT DE LA QUALITÉ SOCIALE SUR LA QUALITÉ PERÇUE DE LA MARQUE DU DISTRIBUTEUR ET SUR LA FIDÉLITÉ DU CONSOMMATEUR
I.1 L’impact de la qualité sociale sur la qualité perçue de la MDD
I.2 L’impact de la qualité sociale sur la fidélité du consommateur
II. LE ROLE DES VARIABLES INDIVIDUELLES DANS LA REPONSE DES CONSOMMATEURS A LA QUALITE SOCIALE DE LA MARQUE DE DISTRIBUTEUR
II.1. Le rôle des variables sociodémographiques dans la réponse des consommateurs à la qualité sociale de la Marque De Distributeur
II.1.1. Test des hypothèses relatives au rôle du sexe du consommateur dans sa réponse à la qualité sociale de la Marque De Distributeur
II.1.2. Test des hypothèses relatives au rôle de l’âge du consommateur dans sa réponse à la qualité sociale de la Marque De Distributeur
II.1.3. Test des hypothèses relatives au rôle du revenu du consommateur dans sa réponse à la qualité sociale de la MDD
II.1.4.Test des hypothèses relatives au rôle du niveau d’études dans la réponse du consommateur à la qualité sociale de la Marque De Distributeur
II.1.5.Test des hypothèses relatives au rôle de la profession dans la réponse du consommateur à la qualité sociale de la Marque De Distributeur
II.1.6.Test des hypothèses relatives au rôle de la composition du ménage dans la réponse du consommateur à la qualité sociale de la Marque De Distributeur
II.1.7 Synthèse des résultats relatifs à l’influence des variables sociodémographiques sur la réponse des consommateurs à la qualité sociale de la MDD avec qualité sociale
II.2. Test des hypothèses relatives aux liens directs du modèle global
II.2.1 Validation du modèle global de la recherche
II.2.2 Test du rôle de l’engagement social du consommateur dans sa réponse à la qualité sociale de la Marque De Distributeur
II.2.3 Test du rôle modérateur de l’engagement social
II.2.3.1 Démarche de l’analyse multi-groupes
II.2.3.2 Analyse multi-groupes pour l’effet modérateur de l’engagement social
CONCLUSION DE LA TROISIÈME PARTIE
CONCLUSION GÉNÉRALE
I. Les contributions
I.1. Les contributions théoriques
I.2. Les contributions méthodologiques
I.3. Les contributions managériales
II.1. Les limites de la recherche
II.2. Les voies de recherche future
BIBLIOGRAPHIE
ANNEXES .

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