Les relations franco-allemandes culturelles et éducatives après la seconde guerre mondiale 

Le bureau un

Situé principalement à Paris mais ayant tout de même du personnel à Berlin, le premier bureau est celui des finances, des ressources humaines et de l’administration. Il se consacre aux affaires internes de l’OFAJ. Le secteur « finances » gère le budget de l’OFAJ, qui était de 24,2 millions d’euros pour 2014 (OFAJ, 2014b), et de sa répartition dans tous les bureaux. Le secteur « ressources humaines » se charge des contrats, des conventions de stages et de tout ce qui concerne le temps de travail du personnel. Le secteur « administration » s’occupe du système informatique de l’OFAJ, il crée les sessions informatiques des nouveaux membres du personnel et les aide les en cas de problème. Il veille aussi à la sécurité des deux sites, par exemple en gardant la trace des personnes qui ont les clefs pour rentrer dans les bâtiments.

Le bureau deux

Le deuxième bureau (le plus important en termes de budget et du nombre de membres de personnel qui le composent) est celui des échanges scolaires et extra-scolaires.
Il est situé à Berlin. Environ trois cent mille programmes (OFAJ, 2014b) ont eu lieu depuis la création de l’OFAJ mais plusieurs sortes d’échanges existent. Tout d’abord, pour les groupes : les échanges en tiers-lieu, les participants se retrouvent dans un lieu où personne n’habite ; les échanges en école primaire, pour aider les élèves à choisir prendre la langue du pays partenaire une fois au collège ; les échanges IN (INterculturels, INnovants, INterdisciplinaires) pour les établissements du secondaires (OFAJ, 2012f) qui assurent un enseignement intensif de la langue du partenaire (par exemple : les filières Abibac ou les sections européennes).
Puis, pour les individus seuls ou jusqu’à quatre personnes (OFAJ, 2012g), il est possible de recevoir des bourses s’ils veulent réaliser des projets sur un thème particulier concernant le pays partenaire (par exemple : sur l’histoire ou la culture). Il existe aussi des programmes comme les programmes Voltaire ou Brigitte Sauzay. Ils offrent la possibilité à des lycéens de partir respectivement six et trois mois chez une famille d’accueil dans le pays partenaire pour ensuite accueillir leurs correspondants pour la même durée. Une nouvelle sorte d’échanges qui est de plus en plus fréquente est la collaboration entre un établissement scolaire et un extra-scolaire, par exemple une école allemande et un centre de loisirs français.

Le bureau trois

Le bureau trois « Formation professionnelle et échanges universitaires », situé à Paris, (ainsi qu’à Sarrebruck) donne des bourses individuelles de groupe aux étudiants de master ou de doctorat qui souhaitent aller dans le pays partenaire pour étudier ou faire un stage. Il subventionne aussi les échanges entre les établissements d’enseignement professionnel, technologique et agricole. Un autre axe de travail très important de ce bureau est le volontariat franco-allemand dans les domaines social, écologique, sportif et artistique. L’OFAJ donne une bourse aux volontaires (parfois choisis sur dossier par l’OFAJ) et organise trois séminaires (au début, au milieu et à la fin du volontariat) pour former les volontaires, faire le point sur l’évolution de leurs acquis linguistiques et interculturels et les aider en cas de problèmes.

Le bureau quatre

Le bureau quatre « Formation interculturelle » (où nous faisons notre stage) a un rôle transversal. Il soutient les autres bureaux dans leurs missions.
Premièrement, une des missions du secteur « Recherche » est de comprendre comment fonctionnent les échanges interculturels. Pour cela, ce secteur organise des rencontres franco-allemandes pour mettre en place des discussions interculturelles car c’est le regard croisé des personnes françaises et allemandes qui permettent l’amélioration des échanges précédemment cités. Il s’occupe aussi de l’évaluation de tous les programmes de l’OFAJ grâce aux retours des participants et des «multiplicateurs » (les formateurs, les animateurs, les professeurs et les encadrants qui organisent des rencontres binationales).
Deuxièmement, le secteur « linguistique » cherche à faciliter l’apprentissage de la langue ou la communication, par exemple, grâce à l’utilisation des nouveaux médias. Il a, par exemple, géré la création de la plateforme Tele-Tandem ou celle du glossaire en ligne Mobidico  . Il organise aussi des formations, notamment pour les animateurs linguistiques ou pour les enseignants Tandem et publie du matériel pour les soutenir, par exemple, l’ouvrage Tête à tête (OFAJ, 2014c).

Le bureau cinq

Le bureau cinq « Communication et événements » s’occupe de la communications grâce au site internet et aux réseaux sociaux mais aussi dans la presse. Il permet aux personnes extérieures à l’OFAJ de voir ce sur quoi travaillent l’OFAJ et ses partenaires. Ainsi, lorsqu’un événement important en relation avec l’OFAJ vient de se dérouler, il publie un point info sur ce qui s’est passé sur le site de l’OFAJ. Il s’occupe aussi de la publication des textes de travails, des ouvrages spécialisés et des brochures de présentation des activités de l’OFAJ. Il gère les grands événements qu’organise l’OFAJ, par exemple l’anniversaire des cinquante ans de l’OFAJ en 2013.
Un autre organe du bureau cinq est « l’infocafé Berlin Paris» à Berlin. Ce café est ouvert au public du lundi au vendredi. Il organise des expositions ainsi que d’autres événements en rapport avec les relations franco-allemandes, par exemple une pièce de théâtre sur le génocide Arménien pendant la première Guerre Mondiale.

Le programme Praxes

Présentation du programme

Le programme Praxes (OFAJ, 2014a) est un des programmes les plus récents de l’OFAJ. Il a seulement été lancé en 2013 pour fêter les cinquante ans du traité de l’Elysée.
Il a pour but de permettre aux jeunes ayant moins d’opportunités (JAMO) d’accéder à la mobilité dans l’optique de faciliter leur insertion professionnelle. « Le soutien à l’orientation professionnelle, la formation professionnelle et l’accès à l’emploi » (OFAJ, 2012c) sont des champs d’intervention privilégiés de l’OFAJ. Ces champs d’intervention privilégiés ont été définis par le Conseil d’orientation car ils s’inscrivent dans la politique de jeunesse allemande, française et européenne.
Avec le programme Praxes (OFAJ, 2014a), l’OFAJ offre la possibilité à des jeunes de dix-huit à trente ans qui ont fini leurs études (ou bien qui veulent les reprendre plus tard) d’aller faire un stage volontaire dans le pays partenaire. Il s’adresse aux bacheliers qui ne veulent ou ne peuvent pas reprendre leurs études tout de suite, aux demandeurs d’emploi qui n’arrivent pas à trouver du travail, aux étudiants qui veulent faire une pause dans leurs études, aux lycéens qui ont interrompu leur formation professionnelle car ils veulent se réorienter ou bien à ceux qui veulent gagner de l’expérience professionnelle dans leur domaine d’expertise ou bien à ceux qui veulent découvrir de nouveaux emploi etc. Les participants aux programmes doivent obligatoirement avoir la nationalité d’un des deux pays partenaires ou bien avoir résidé au moins cinq années consécutives dans le pays partenaire du pays dans lequel ils veulent aller faire leur stage.
Ces jeunes, qui ne dépendent plus d’un établissement scolaire ou d’enseignement supérieur, ne peuvent pas faire de stage car une convention de stage est forcément tripartite (le stagiaire, l’organisme d’accueil et l’établissement d’enseignement ou de formation) (Service Public, 2015). L’OFAJ prend donc le rôle de la troisième partie, l’organisme de formation et procure un cadre juridique, une assurance au stagiaire pour toute la durée du stage ainsi qu’un certificat de stage.
Néanmoins, bien que l’OFAJ soit partenaire avec des entreprises proposant des stages aux jeunes et qu’il permet à toutes les entreprises de déposer leurs offres de stage sur une bourse aux stages en ligne, les jeunes doivent rechercher eux-mêmes leur stage. De plus, l’OFAJ ne prend pas en charge ni la rémunération des stagiaires ni leur frais de transports. Cependant, les stagiaires sont payés selon la législation du pays d’accueil et ne doivent rien payer d’autre que des frais de dossier de cinquante euros (OFAJ, 2014a).
La durée du stage doit être comprise entre un et six moins et les stagiaires doivent malgré tout avoir des connaissances de base dans la langue du pays partenaire. Même s’il est évidemment possible que l’entreprise soit d’accord pour accueillir un jeune ne sachant pas parler la langue du pays partenaire ou au contraire, elle peut demander à ce que le stagiaire ait un certain niveau dans la langue du pays partenaire.

Statistiques

Dans Programme Praxes : Mise en valeur des résultats statistiques octobre 2011 – août 2014 (OFAJ, 2014a), le Bureau un de l’OFAJ réalise « une première synthèse et analyse des éléments statistiques sur la base des dossiers des participants et de leurs retours centralisés par le logiciel Silverage » (p. 1). Depuis janvier 2013, cinquante-neuf stagiaires sur deux cent dix-huit ont répondu au questionnaire (voir Annexe 1, p. 71). Dans cette mise en valeur, il y a, tout d’abord, des statistiques sur le profil des participants et sur celui des organismes d’accueil puis sur les caractéristiques et sur le déroulement des stages. Pour finir, on y trouve une analyse des retours des participants.

Profil des participants

Pour commencer, le profil-type du participant au programme Praxes, qui a pu être déduit des statistiques, est une « femme allemande de vingt-quatre ans titulaire du baccalauréat (ou diplômée de l’enseignement supérieur) ; originaire du Bade-Wurtemberg et effectuant un stage en région parisienne » (p. 8).
Ainsi, sur les quatre années depuis lesquelles le programme Praxes existe, 82.04% des participants sont des femmes, 66,94% des participants sont de nationalité allemande et la moyenne d’âge des participants est de 23,75 ans. Seulement trois jeunes originaires d’un pays tiers ont participé au programme. Et, alors que presque 29% des participants viennent juste de passer le baccalauréat et plus de 22% sont diplômés de l’enseignement supérieur, seulement 7.76% sont demandeurs d’emploi et 1.22% ont interrompu leurs études. Concernant l’origine des stagiaires, il est important de signaler qu’ils ne viennent pas « forcément de régions frontalières, mais principalement des grands bassins d’emplois » (p. 8) comme les Länder Bade-Wurtemberg, Bavière et Berlin en Allemagne ou comme la région Ile-de-France en France.

Profil des organismes d’accueil

De même pour les nombreux organismes d’accueil qui sont implantés dans les régions dont partent les participants et où le « marché du travail est relativement développé » (p. 13). Depuis la création du programme Praxes, deux cent huit entreprises ont accueilli un ou plusieurs stagiaires. Les domaines d’activités de ces organismes sont multiples mais les trois qui prédominent sont l’art et la culture, l’enseignement et l’éducation et le tourisme. La plupart des organismes d’accueil sont dans le secteur privé mais il y en a aussi certains provenant du secteur public comme l’Institut Français et l’Institut Goethe . La taille des entreprises est aussi variée, allant du groupe hôtelier Accorhotels qui a 160 000 employés au comparateur de voyages Easyvoyage qui en a 150. L’OFAJ est, lui-même, un organisme d’accueil ainsi que d’autres organisations franco-allemandes comme le Magasine Paris Berlin (environ 50 employés) ou la Chambre franco-allemande de commerce et d’industrie (900 employés).

Caractéristiques et déroulement des stages

A cause du marché de l’emploi, l’OFAJ avait prévu que, dès son lancement, le programme Praxes serait un grand succès et attirerait de nombreux jeunes. Mais, cela ne s’est pas déroulé de cette manière. Seulement deux stages ont eu lieu en 2011 et vingt-cinq en 2012. C’est en 2013 que le programme a vraiment eu son essor car cent vingt-quatre jeunes ont participé et le nombre ne cesse d’augmenter, au 01 août 2014 (quand les statistiques ont été réalisées), quatre-vingt-quatorze stages avaient été fait ou étaient en cours.

Analyse des retours des participants

Le retour des participants est majoritairement positif. Ils « ont pu atteindre les objectifs qu’ils s’étaient fixés, en faisant des progrès relativement important dans la langue du pays partenaire » (p.18). Ils sont aussi contents d’avoir pu continuer à se former et d’être devenus plus sûrs d’eux et plus autonomes. Ils pensent aussi que l’offre de l’OFAJ (le cadre juridique et l’assurance) et l’accompagnement de l’équipe du programme Praxes leur ont été utiles. Néanmoins, certains participants ont regretté que l’OFAJ ne vérifie pas, avant que le stage commence, que l’entreprise propose des conditions de stage correctes et que leur stage se passe bien une fois qu’il est commencé. Ils voudraient aussi recevoir une aide financière de l’OFAJ, ne pas avoir à payer les frais de dossier et pouvoir faire un stage plus long. Concernant les tâches qu’ils avaient à faire, la plupart des stagiaires ont assisté les employés de l’organisme d’accueil, ont fait de la traduction ou de la recherche et de l’analyse.
De plus, les participants ont eu des problèmes à cause des différences entre les cultures des deux pays ou à cause de la langue car ils ne connaissaient pas « le vocabulaire spécifique de l’entreprise ou des collègues de travail » (p. 19). La culture d’entreprise qui diffère aussi d’un pays à l’autre a rendu la réalisation de certaines tâches plus difficile. Ils ont eu, notamment, des difficultés pour répondre au téléphone, envoyer des emails et accueillir un client. Parfois, ils ont aussi eu du mal à se faire respecter ou ont eu l’impression d’être exploités. En dehors du cadre de l’entreprise, ils ont aussi eu des problèmes dans leur vie quotidienne, par exemple pour payer le loyer ou interagir avec les administrations locales.
Ainsi, les stagiaires conseillent aux futurs participants de chercher à faire de nouvelles rencontres, d’être ouverts et de s’adapter aux habitudes du pays où ils travaillent.
En amont du stage, ils leur recommandent « de bien se préparer en s’informant de façon approfondie sur le pays partenaire, ses coutumes et l’entreprise choisie » (p. 19).
Pour finir, les participants reconnaissent que le programme Praxes leur a permis « de s’orienter ou se décider quant au choix de leurs études et du domaine d’activité dans lequel ils souhaiteraient travailler » (p.20). En effet, après leur stage, 32% des jeunes ont commencé des études, 15% un nouvel emploi.

La phase d’introduction et d’orientation

Tout d’abord, la phase d’introduction et d’orientation devrait durer entre une et quatre semaines. Pendant cette phase, les participants doivent découvrir et apprendre à utiliser la plateforme. Ils doivent aussi définir les objectifs qu’ils souhaitent atteindre grâce à leur stage mais aussi ce dont ils ont besoin avant d’aller dans le pays partenaire. Ils doivent avoir à leur disposition des tutoriels techniques mais aussi des documents authentiques, comme des interviews d’anciens participants. Une «grille diagnostique des compétences » (p. 6) peut être mise à leur disposition pour les aider à définir leur niveau et leurs besoins linguistiques mais aussi leurs compétences professionnelles. Cette réflexion les aidera à choisir un parcours d’apprentissage qui répondra à leurs attentes. La fin de cette phase pourra être un entretien individuel ou alors en groupe avec un tuteur pour qu’il réponde à leurs questions ou les conseille dans leur choix pour la phase suivante.

Mise en œuvre du projet

Pour mettre en route la plateforme, il faut tout d’abord recruter et former des tuteurs. Il faut aussi bien qu’ils connaissent la plateforme d’un point de vue technique pour pouvoir aider les utilisateurs en cas de problèmes mais aussi toutes les ressources pédagogiques pour pouvoir conseiller les participants dans leur apprentissage. Mais une question qui se pose (OFAJ, 2015b) est de savoir s’il faut d’abord former les tuteurs avant d’avoir fini de créer la plateforme pour qu’ils nous donnent leur avis sur les fonctionnalités qui devraient être comprises dans la plateforme ou s’il faut mieux d’abord finir de concevoir la plateforme pour ensuite former les tuteurs.
Ensuite, il faut trouver la plateforme qui comprend le plus de fonctionnalités qu’il a été choisi de mettre en œuvre et si besoin, trouver des logiciels ou d’autres plateformes pour réaliser les fonctionnalités qui manquent dans la première plateforme. Il faut ensuite engager un prestataire de services techniques ainsi qu’une agence de graphisme et trouver la société qui hébergera sur ses serveurs la plateforme. Pour finir, il faut tester la plateforme avec un groupe réduit d’utilisateurs qui pourra juger avec un œil nouveau si la plateforme est fonctionnelle et complète.

 

 

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Table des matières
Introduction 
Partie 1 – Contexte de stage 
CHAPITRE 1. L’OFFICE FRANCO-ALLEMAND POUR LA JEUNESSE
1.SA MISSION
2.SA STRUCTURE
3.SON ORGANISATION
CHAPITRE 2. LE PROGRAMME PRAXES
1.PRESENTATION DU PROGRAMME
2.STATISTIQUES
CHAPITRE 3. ETAT DES LIEUX DU PROJET DE LA PLATEFORME E-LEARNING
1.OBJECTIF PRINCIPAL ET PUBLIC CIBLE
2.LES DEFIS
3.QUESTIONS DE COMMUNICATION
4.DESIGN DIDACTIQUE
5.DESIGN VISUEL
6.DESIGN TECHNIQUE
7.MISE EN ŒUVRE DU PROJET
Partie 2 –Partie théorique 
CHAPITRE 4. L’INTERCULTURALITE
1.DEFINITIONS
2.LE BESOIN D’ETRE INTERCULTUREL
3.L’APPRENTISSAGE INTERCULTUREL
CHAPITRE 5. LA TELECOLLABORATION
1.DEFINITIONS
2.CONFLITS
3.AUTONOMIE DE L’APPRENANT
4.ROLE DU TUTEUR /DU PROFESSEUR
CHAPITRE 6. LES RELATIONS FRANCO-ALLEMANDES CULTURELLES ET EDUCATIVES APRES LA SECONDE GUERRE MONDIALE
Partie 3 –La compétence interculturelle 
CHAPITRE 7. QUELLES COMPETENCES SONT UTILES POUR PARTICIPER A UN DIALOGUE INTERCULTUREL
1.COMPETENCES MORALES
2.COMPETENCES LINGUISTIQUES
3.SAVOIR SE DEFAIRE DES STEREOTYPES
CHAPITRE 8. UNE COMPETENCE JAMAIS TOTALEMENT ACQUISE
CHAPITRE 9. DES CONDITIONS PROPICES AUX ECHANGES INTERCULTURELS
1.TANDEM
2.TELE-TANDEM
3.ECHANGES A BUT PROFESSIONNEL
3.ANIMATION LINGUISTIQUE ET INTERCULTURELLE
Partie 4 –Les outils des plateformes collaboratives 
CHAPITRE 10 FONCTIONALITES GENERA.ES DES PLATEFORMES LEARNING MANAGEMENT SYSTEM
1.L’ESPACE PRIVE
2.L’ESPACE COMMUN
3.L’ESPACE DE COMMUNICATION
3.CAS PARTICULIER:L’ESPACE « APPRENDRE A APPRENDRE»
CHAPITRE 11. FONCTIONALITES RECHERCHEES PAR L’OFAJ
Conclusion

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