LES PROBLEMES MAJEURS DE DEVELOPPEMENT RURAL ET LES POLITIQUES A METTRE EN OEUVRE

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Le système de production existant et le marché des produits agricoles à Madagascar

Le mode de production :

Le système de production est très simple avec l’utilisation des outils archaïques et traditionnels. Les terres cultivables sont découpées en plusieurs petites parcelles. Ce qui explique le blocage de l’exploitation agricole de grande taille. Ce système de production favorise la production pour l’autoconsommation des ménages. En conséquence, l’agriculture à Madagascar est encore très loin de servir sur le marché des produits agricoles.

L’état du marché des produits agricoles :

A cause de la faiblesse du système d’information sur le marché, les acteurs de développement agricole ne peuvent pas recevoir ou émettre les informations concernant l’offre et la demande, l’évolution des prix et l’évolution de l’économie au niveau régional, national et même international. Le prix des produits agricoles est soumis à des fluctuations. La conjoncture économique et les saisons interviennent beaucoup sur l’évolution des prix. Pendant la période de soudure (mois de Septembre jusqu’en Avril) par exemple, l’offre sur le marché des produits alimentaires diminue. Selon la loi du marché, cette diminution de l’offre traduit une hausse des prix de ces produits. Rappelons que l’autoconsommation des ménages domine largement. D’où, la production d’une saison n’arrive pas à assurer la demande pendant une année. Les ménages producteurs consomment leurs productions durant environ 5 mois. Pendant cette période de baisse de l’offre, on est obligé d’importer pour combler le manque. Pour satisfaire la demande de riz, Madagascar importe annuellement 80.000 tonnes de riz3. Donc, il se peut aussi que le prix du riz sur le marché national ait une dépendance sur la situation du prix du pays exportateur. Cela fait un obstacle à la motivation des agriculteurs à améliorer la production ou investir. Ils n’arrivent même pas à dégager des surplus de production. Le revenu foncier n’est pas assuré lors de la production.
Après avoir présenté la généralité, on va schématiser l’interdépendance da l’agriculture et le développement rural selon les quelques théories

APPROCHE THEORIQUE DE DEVELOPPEMENT PAR L’AGRICULTURE

L’agriculture et la situation socio-économique rurale peuvent former un cercle vertueux de développement ou un cercle vicieux de ous-développement. Les théories économiques que nous allons utiliser ici illustrent l’importance du secteur agricole dans l’économie d’une société et voire d’un pays.

les théories de développement relatives à l’agriculture

Beaucoup de théories expliquent le processus de croissance obtenue à partir de l’agriculture. Nous rapportons ici ces théories en commençant par la plus attachée au secteur agricole, en passant par les théories classiques etenfin les nouvelles théories de la croissance.

L’agriculture, source de richesse et de croissance :

On retient en premier lieu l’approche théorique relative à l’agriculture et à la terre. Chez les physiocrates : la terre est le seul fournisseur de richesse et l’agriculture le seul secteur productif. On trouve ainsi l’interdépendanc entre acteur-ressources qui conduit à une formalisation macro-économique de l’agriculture. Lathéorie de la valeur prend son origine sur la productivité de l’agriculture, réalisable avec ’exploitation des ressources naturelles. Le cycle économique est la projection du cycle agricole. Les physiocrates adoptaient une théorie économique expliquant la création de la richesse et du surplus (qui bénéficient aux propriétaires et aux artisans) à partir de la terre et de l’agriculture seulement. « […] la terre est la mère de tous les biens […] » 4. Ils développent une théorie de la valeur à partird’une civilisation agraire. Les grains utilisés comme semences se multiplient et permettent à celui qui a travaillé de retirer des grains pour se nourrir jusqu’à la récolte suivante, mais aussi pour les semences des prochaines activités, pour payer le propriétaire foncier qui possède la terre et pour acheter aux artisans des produits divers. L’agriculture assure la réalisation d’une progression vers la richesse de tous. « […] que la terre sert l’unique source de richesse et que c’est l’agriculture qui les multiplie […] » 5Les physiocrates privilégient l’agriculture. Cela nécessite la défense des prix agricoles. Il faut inciter les agriculteurs à l’action : un prix plus rémunérateur pour les grains permet de stimuler l’activité des producteurs et des propriétaires fonciers.
Par opposition au protectionnisme des Mercantilistes, la physiocratie prône l’idéologie du « laissez-passer». La circulation des biens et des marchandises favorise la production et la richesse de tous. Il existe un cercle vertueux du libre échange : la liberté des commerces crée des ressources, lesquelles permetten d’acheter à ses partenaires. La libre circulation n’est pas seulement commerciale mais aussi physique. Cela exige le désenclavement des zones productives isolées, par al construction des infrastructures de transport afin d’offrir les produits sur le marché national ou international.

L’harmonisation de l’exploitation :

La planification de l’exploitation de ces ressources naturelles est requise pour la rendre en harmonie avec les caractères démographiques d’une société. D’après J. Stuart Mill : « La nature ne puisse pas un jour fournir assez de produit. Cette hypothèse était envisagée par la terre, par choix des producteurs mais non pas par insuffisance des terres. L’accroissement de la population modifie nécessairement le mode d’exploitation des ressources naturelles. Ce souci de J. Stuart Mill a pris en compte l’intensification de l’exploitation des ressources naturelles conduisant à la dégradation de celles-ci. Il faut une bonne qualité du capital humain pour pouvoir optimiser la production face à la régression des ressources.

L’importance du facteur travail, de la main-d’œuvre et la technologie :

Le facteur travail contribue positivement dans la croissance économique. Dans les manufactures, la terre (nature) ne fait rien, la main de l’homme fait tout ». Cela est depuis longtemps soulevé par des grands économistes. Les Classiques comme Adam Smith (1776), David Ricardo (1817), R. Malthus en 1820 ont déjà mis en relief l’importance de la qualité de la main-d’œuvre dans la compétitivité et la croissance économique à long terme. Adam Smith, en 1776 a notamment montré que la richesse des individus et des nations dépend beaucoup de la compétence des travailleurs. La spécialisation de la main-d’œuvre suppose qu’il existe différents types de tâches et que chaque individu effectue celui qu’il maîtrise beaucoup. On entend par là la notion de division de travail. Cette division ne se limite pas seulement sur l’individu mais on peut le projeter même au niveau régional et international. Les pays en voie de développement sont par exempleavantageux à la production des produits manufacturés ou semi-finis et des matières premières. L’accroissement de la production est lié à l’amélioration de l’organisation et de la méthode de travail. Cette amélioration est possible car les entrepreneurs sont devenus professionnels, dynamiques et compétents et le pays plus spécialisé.
Par ailleurs, avec les nouvelles théories de la croissance, la qualité du capital humain ont ainsi un impact positif dans la croissance. Schultz (1961) et Becker (1964) soulignent que les connaissances acquises de chacun arrangent la société. Selon cette théorie, l’éducation est un investissement car elle améliorele niveau de la productivité. Un niveau d’éducation élevé entraîne une bonne qualité de lamain-d’œuvre et donc une amélioration de la productivité. Le produit par tête s’accroît régulièrement et cela s’explique par la mise en œuvre des différentes forces à savoir, l’introducti on des nouvelles technologies, qui permet de produire à grande échelle et de gagner du temps ; l’amélioration au niveau de l’organisation et l’amélioration du facteur humain, capable à exploiter les moyens existants et de maîtriser les nouvelles technologies.
Lucas (1988) a présenté la modélisation d’une économie à deux secteurs : un secteur de production des biens de consommation et un secteur d’éducation. Dans ce model, l’investissement en capital humain permet aux individus d’utiliser les technologies disponibles. Les individus vont faire un arbitrage entre l’utilité présente et l’utilité future de la formation et de l’éducation. En outre, en plus du rendement interne (personnel) de l’éducation et de la formation, on fait bénéficier aux collectivités ce genre d’investissement. C’est en sorte une externalité positive. La hausse du niveau de qualification de la population active est un déterminant essentiel de la croissance. L’accumulation du capital humain permet de soutenir la croissance à long terme en agissant directement sur la productivité de la main-d’œuvre mais aussi à travers les externalités positives engendrées (bénéfices collectifs apportés par l’éducation). Les différentes formes de formationsaméliorent la productivité et contribuent à l’expansion économique.
La contribution de l’agriculture au développement n’est donc pas récente. Les approches théoriques citées ci-dessus nous permettent de faire une projection concrète sur la réalité.

l’agriculture, facteur mobilisateur de la main d’œuvre rurale

Sur le plan socio-économique, l’agriculture familiale et le petit élevage représentent les principales activités assurant lasécurité alimentaire et financière des ménages ruraux. Si l’agriculture est bien structurée, elle génère un volume d’emplois directs et indirects considérable sur toutes les étapes de latraçabilité des produits agricoles : directs aux agriculteurs exploitants et indirects au niveau de la transformation, de transport, de la commercialisation. Cela va dans le sens positif de la mobilisation d’une grande partie de la population active. Ce secteur peut générer des revenus directs des paysans agriculteurs et des revenus indirects des autres exploitants (transporteurs, distributeurs, industriels…) Les produits du petit élevage contribuent plus intensément aux budgets des ménages, car la majorité des éleveurs vend ces produits pour des besoins urgents ou précis, financement d’un événement familial par exemple.
Par ailleurs, la population rurale, en très grand volume, peut absorber les offres des autres secteurs. « L’existence d’un grand march é rural permet aux industries de poursuivre leur croissance après avoir saturé la demande de leur produit dans les villes, sans s’orienter vers les marchés étrangers avant d’avoirdéveloppé leur capacité compétitive »
L’agriculture est le secteur par lequel, on pourrait tirer la croissance, étant donné qu’elle occupe le plus grand nombre d’individus. Les apports de l’agriculture se sentent au niveau national.

Une opportunité pour le pays

Madagascar est un pays à vocation agricole à cause de l’immensité de ses terres cultivables et son climat favorable aux divers types de plantation. Si le secteur agricole est développé, on pourra envisager par la suite ledéveloppement de l’industrie (industrie agroalimentaire, pharmaceutique…), du commerce, des institutions financières, de l’artisanat. C’est-à-dire le développement des différents secteurs d’activités.
L’agriculture joue un rôle central dans la croissan ce économique, voire dans le développement économique. On a annoncé que la grande partie de la population vit avec l’agriculture. Du fait de cette majorité, elle peut avoir une influence considérable sur l’économie. L’évolution du secteur agricole détermine dans le même sens l’évolution de la situation économique. On pourrait donc envisager une forte diminution de la pauvreté si le niveau de vie de la majorité de la population s’est amélioré.
Concernant le commerce international, les pays en voie de développement peuvent avoir une bonne position sur le commerce international en profitant l’avantage comparatif de leurs produits agricoles et de leurs ressources naturelles. Cela pourrait être réalisable étant donné que le coût de production tes plus bas. Si la demande interne est saturée, les excédents de production devront se tourner vers l’exportation. Cette dernière favorise l’entrée des devises étrangères et cetteentrée de devise est un facteur de stabilisation voire même d’appréciation de la monnaie nationale.« Le commerce équitable est un partenariat commercial fondé sur le dialogue, la transparence et le respect, dont l’objectif est de parvenir à une plus grande équité dans le commerce mondial » 7.Il contribue au développement durable en offrant de meilleures conditions commerciales et en garantissant les droits des producteurs et des travailleurs marginalisés, tout particulièrement dans les pays en voie de développement. Les organisations du commerce équitable (soutenues par les consommateurs) s’engagent activement à soutenir les producteurs, à sensibiliser l’opinion et à mener campagne en faveur de changements dans les règles et pratiques du commerce international conventionnel.
Par ailleurs, le stock de devise étrangère peut être une contrainte à l’importation l’alimentation de l’ensemble de la po pulation (rurale et urbaine) si ceci est trop faible. D’où, on devrait compter sur l’agriculture pour avoir une indépendance alimentaire.
Cela diminue la dépendance envers l’extérieur surtout la dépendance alimentaire. Ainsi, le prix des denrées alimentaires sera contrôlé et ne ’exposera plus sur l’inflation importée. « La majorité des pays en voie de développement ne peuvent dépendre aussi fortement de leur recette en devise pour nourrir leur population »8.
Après avoir fait la description de l’interdépendanc et l’importance de l’agriculture et le monde rural dans la première partie, les problèmes majeurs de développement rural et la politique à mettre en œuv re vont être présentés dans cette seconde partie.

Le refus au changement :

« La sociétés rurales qui font appel à des techniques traditionnelles, acquière fréquemment des habitudes et attitudes qui renforcent les anciennes méthodes et, les obstacles au changement. »9 Ex : la sensibilisation au SRI ou Système de Riziculture Intensive, n’est pas efficace car chacun n’est pas convaincu à prati quer le nouveau système et imite tout simplement ce que font leurs voisins.

les inconvénients des cultures et traditions :

La diversité ethnique dans le pays traduit une diversité des coutumes et des traditions et cela se manifeste presque dans toutes les régions. Parfois, ces coutumes et tradition constituent un blocage du développement du monde rural en général. Dans la région du Sud par exemple, la richesse est matérialisée par la possession des zébus, les gens ont seulement l’initiative de les amasser au lieu d’acq uérir des matériels de production. Sur le plan social, l’insécurité nuit surtout au développement futur des régions reculées. Cela se traduit par la faible volonté des fonctionnaires d’y aller travailler et le manque d’attraction pour les secteurs privés.
Les problèmes sociaux assez dominant et généralisésà la majorité de la population entraînent le dysfonctionnement de l’économie.

problèmes économiques relatifs à la démographie

Le problème économique est confronté à des difficultés relatives à la démographie, la faiblesse structurelle ainsi qu’au revenu.

L’accroissement démographique :

On assiste maintenant à une croissance démographique galopante, 2.8%/an en moyenne. La non mobilisation de la plupart de la population active, des jeunes de 20 à 45 ans, aggrave la situation. L’accroissement de la population urbaine à cause de l’émigration des ruraux vers les centres villes doit impérativement s’accompagner de l’accroissement de la productivité agricole. Cependant, le déplacement dela main-d’œuvre rural en ville sous-entend une migration des actifs agricoles en dehors de ce secteur. Si cette migration des actifs se produit avec l’absence de capacité d’absorption des mains-d’œuvre des autres secteurs, il n’y aura jamais de développement économique : la productivité agricole diminue à cause de la régression des forces de travail. Les mains-d’œuvre sont insuffisantes et en même temps, la demande d’alimentation urbaine augmente. Le terme de l’échange se dégrade au détriment de l’industrie locale. Cela entraîne une baisse de pro fit et ensuite l’arrêt de la croissance. Ainsi, la hausse du taux de chômage urbain n’est pas à éca rter.

La faiblesse infrastructurelle :

L’absence des infrastructures est très remarquable : infrastructure de base (routes…) et infrastructures productives (telles le s infrastructures d’irrigation, de stockage, conditionnement…). On ne peut pas négliger le probl ème d’accessibilité des zones productives. En premier lieu, on assiste à un probl ème d’enclavement des ces zones à cause du mauvais état des infrastructures routières. C’est le grand obstacle du transport et de la distribution. Cela touche défavorablement le prix des produits agricoles. Les coûts de transport seront récupérés directement à la fois sur les producteurs et les consommateurs. La mise en place des infrastructures agricoles est primordiale pour avoir une production de grande échelle. Il en est de même pour les infrastructures routière et ce afin de désenclaver les zones productives et d’assurer la distribution des produits et la mobilité géographique des hommes.

Le revenu insuffisant lié à au système de délocalisation des produits désavantageux :

Le revenu des producteurs locaux serait largement accru si leur production est destinée au marché de taille plus élargie. Cela estd’autant plus avantageux du fait de la dévaluation de la monnaie nationale. Or, le systèmede distribution existant ne permet pas d’améliorer le niveau de revenu des agriculteurs. Ce système privilège une minorité d’intermédiaires collecteurs au détriment de la grande partie de la population rurale. Faute de moyen de distribution et par peur de ne pas trouver des acquéreurs, les producteurs acceptent de vendre leurs produits à des prix très bas. Un tel système ne permet pas l’accroissement du revenu des agriculteurs et conduit souvent à la démotivation de ces derniers.

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Table des matières

Partie- I : LE MONDE RURAL ET L’AGRICULTURE A MADAGASCAR
CHAPITRE-I : GENERALITES DU MONDE RURAL ET DE L’AGRICULTURE A MADAGASCAR
Section-1 : Le monde rural et l’agriculture
c. Brèves présentation du pays
d. La situation du monde rural
Section-2 : Le système de production existant et le marché des produits agricoles à Madagascar
c. Le mode de production
d. L’état du marché des produits agricoles
CHAPITRE-II : APPROCHE THEORIQUE DE DEVELOPPEMENT PAR L’AGRICULTURE
Section -1 : les théories de développement relatives à l’agriculture
d. L’agriculture, source de richesse et de croissance
e. L’harmonisation de l’exploitation
f. L’importance du facteur travail, de la main-d’oeuvre et la technologie
Section-2 : l’agriculture, facteur mobilisateur de la main d’oeuvre rurale
Section -3 : Une opportunité pour le pays
PARTIE-II : LES PROBLEMES MAJEURS DE DEVELOPPEMENT RURAL ET LES POLITIQUES A METTRE EN OEUVRE
CHAPITRE-1 : LES OBSTACLES DE DEVELOPPEMENT
Section-1 : Problèmes sociaux et psychologiques
d. Faible niveau de vie
e. Le refus au changement
f. les inconvénients des cultures et traditions
Section-2 : problèmes économiques relatifs à la démographie
f. L’accroissement démographique
g. La faiblesse infrastructurelle
h. Le revenu insuffisant lié à au système de délocalisation des produits désavantageux
i. Le riz et l’insécurité alimentaire
j. L’asymétrie d’informations, les risques et les incertitudes
Section-3 : Ressources naturelles et environnement
d. La forte pression des activités humaines
e. L’ignorance des masses et l’exploitation irrationnelle
f. Forte utilisation des charbons de bois et des bois de chauffage
Section-4 : problème politico-juridique
e. Les problèmes fonciers
f. L’inefficacité administrative en matière foncière
g. Les impacts directs des problèmes fonciers sur l’économie
h. Des politiques foncières discriminantes
Section-5 : Problèmes technologiques face à la structure de l’éducation
c. La difficulté d’implantation des nouvelles technologies
d. L’incapacité d’assimilation des nouvelles technologies
CHAPITRE-2 : LA POLITIQUE AGRICOLE
Section-1 : historique des politiques mises en oeuvre
c. L’étatisation des secteurs de production et le socialisme
d. Le changement du régime économique
Section-2 : analyse critique des politiques effectués
a. Sur la politique commerciale
b. sur le coût de production
c. sur le plan environnement
d. d. élargissement du secteur agroindustriel
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE

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