Soutenance mémoire
Présentation de la région de DIANA
La région de DIANA est située au nord de Madagascar, autrement dans l’ex-province autonome d’Antsiranana. Elle se subdivise en cinq (5) districts dont Antsiranana I, Antsiranana II, Ambilobe, Ambanja et Nosy-Be. Elle s’étend entre 11° et 15° de latitude sud et 47° et 50° de longitude est, avec une superficie de 20942 km2 soit 3,6 % de l’ensemble de la Grande d’île. Elle est limitrophe de la région de SAVA dans sa partie orientale et celle de la SOFIA dans sa partie méridionale. La région est en grande partie tournée vers la mer. Quatre de ses cinq districts se trouvent sur la côte occidentale c’est-à-dire sur le Canal de Mozambique où les mouvements de la mer sont moindres permettant la pratique de diverses activités telles que le transport maritime, la pêche et le tourisme balnéaire. Le district d’Antsiranana I, quant à lui jouit de toutes les conditions favorables des eaux chaudes de l’Océan Indien. La région est fortement marquée par l’existence de l’île de Nosy-Be, l’un des grands sites touristiques du pays. Pour se déplacer de Nosy-Be à la Grande Ile, on peut emprunter soit la voie maritime soit la voie aérienne. Hell-ville est la capitale de Nosy-Be et environ 950 km à vol d’oiseau d’Antananarivo Elle est à deux heures de bac d’Ambanja, ce dernier étant distant de 237 km d’Antsiranana I et de 100 km d’Ambilobe. Pour aller d’Antsiranana à Antananarivo, il faut compter 24 à 30 heures avec 1200 km de route. Actuellement la région se compose de quelques cinquantaines de communes.
Relief
C’est par son altitude qu’elle se distingue si fort des autres régions qui la bordent à l’Est et au Sud. L’ensemble de cette région est formée par des vieux massifs cristallins et volcaniques. Du nord au sud se dressent la montagne d’Ambre, les massifs d’Ankarana et d’Analamerana, chaînes d’Andavakoera et de Galoka et enfin le massif du Tsaratanana. Le long des côtes, à la baie d’Antsiranana, l’une des plus belles de Madagascar, viennent s’ajouter les presqu’îles d’Anorontany et d’Ampasindava, les deltas de la Mahavavy, de l’Ifasy et du Sambirano et l’île de Nosy-Be avec ses îles satellites. En somme, du point de vue géomorphologie, la région juxtapose des formes variées : volcaniques, quartziques et cristallines ce qui lui fait l’un des plus complexes et la plus diversifiée de Madagascar. Les reliefs sont dominés par le massif de Tsaratanana, qui forme un énorme ensemble montagneux culminant à Maromokotra à 2 876 m, à 80km du canal de Mozambique. Ce massif est formé principalement par une arête Nord-Sud d’altitude moyenne supérieure à 2 200 m, s’élevant vers le Sud, jalonnée par les sommets de Marivorahona (2 236 m) au Nord, du Tsaravosy (2 516 m) au Centre et du Maromokotra au Sud. En direction du Nord, elle se termine à Ankivanja (1 293m). A cet ensemble, il faut ajouter les vastes plateaux drainés par le Mamoro, le Mananjeba, la Mahavavy et l’Antsiatsia ; le bassin de la Loky, les dômes et les dépressions compris entre la Mananjeba et l’Océan Indien.
Géologie
Le socle ancien, formé de terrains cristallins et cristallophylliens, peut constituer des reliefs importants, tels que le massif du Tsaratanana (2 876 m), point culminant de l’île. Les terrains sédimentaires forment, le long de la côte ouest, une bande de largeur variable. En effet, en certains points, des bombements du socle ramènent les terrains cristallins au voisinage du canal du Mozambique. Cette couverture sédimentaire forme un système de cuesta dont la plus importante est celle des grès de l’Isalo qui, dans la région, porte le nom de chaîne de Galoka. La seconde et troisième cuesta, constituées par des calcaires jurassiques et des grès crétacés, apparaissent surtout dans le Nord-Est de l’île. Entre ces reliefs et la côte s’étendent les plaines alluviales de la Mahavavy, de l’Ifasy et du Sambirano, dont la largeur varie de 10 à 30 km. Les formations sédimentaires ont été affectées par des intrusions éruptives post-liasiques représentées par des granites alcalins et des syénites népheliniques. Ces roches ont provoqué des déformations locales et peuventconstituer des reliefs importants tels que les massifs de Lokobe et Befotaka à Nosy-Be, l’île de Nosy-Komba, les monts d’Ankify et du Sambirano et les intrusions de la Presqu’île d’Ampasindava. Enfin, l’activité volcanique s’est développée depuis le Miocène jusqu’au Quaternaire récent, et se traduit par des projections et des coulées essentiellement de nature basaltique. Ainsi, la Montagne d’Ambre, avec ses 1 475 m, domine le Nord de Madagascar. L’archipel des Mitsio est également constitué d’îles et d’îlots essentiellement basaltiques, dont les côtes escarpées en falaises contrastent avec les côtes basses bordées de palétuviers des plaines deltaïques et des baies. Enfin, de nombreux cratères sont apparus au Quaternaire récent dans la partie occidentale de Nosy-Be, qui est couverte d’une épaisse couche de cinérites et de lapilli. Si les directions tectoniques générales du socle cristallin sont Est-Ouest, les directions de fracture correspondant aux mouvements ayant affecté à la fois le socle et la couverture sédimentaire peuvent être classés en deux systèmes qui caractérisent l’ensemble de Madagascar.
Société Commerciale et Industrielle de Madagascar (SCIM) :
La SCIM est une huilerie/savonnerie dont la fondation remonte à 1928. Son capital est de 1 250 000 000 Fmg. L’effectif de son personnel est de 30. Sa production est en régression actuellement. La conséquence en est un taux d’utilisation des capacités de production de l’ordre de 36% (pour la savonnerie), alors qu’il était de plus de 83%. Les causes semblent se situer au niveau de la libéralisation des importations et du non compétitivité du produit de la SCIM face aux produits extérieurs. Pour maîtriser ses coûts, l’entreprise a tenté de fournir sa propre matière première en cultivant le tournesol, mais cette expérience n’est pas concluante et pose certains problèmes pour les planteurs d’arachides de la région dont le débouché pourrait ainsi être bloqué par la concurrence du tournesol.
les motivations des athlètes
Il est très fréquent d’entendre évoquer par des enseignants, des parents d’élèves ou des élèves, le terme de motivation pour expliquer l’excellence d’untel ou l’absence de résultats d’un autre. Dans les commentaires des bulletins scolaires, il n’est pas rare de rencontrer des remarques telles que « peut mieux faire » ou encore « ne fait pas assez d’effort », toute une terminologie qui renvoie à la motivation de l’élève. Ces commentaires qui peuvent être très variés mettent en relief la profusion sémantique qui se cache derrière le terme « motivation ». Cette multiplicité d’interprétations fait dire à certains, tout à fait pertinemment, que le terme est quelque peu sulfureux (voir notamment Aubret , 1998) et participe davantage à une effusion de sens qu’à une véritable explicitation des causes sous jacentes. En effet, le terme est très riche et la définition qu’en donnent Vallerand et Thill (1993) permet d’en appréhender l’étendue : « le concept de motivation représente le construit hypothétique utilisé afin de décrire les forces internes et/ou externes produisant le déclenchement, la direction, l’intensité et la persistance du comportement ». Cette richesse, à mon avis, est loin d’être un handicap car elle permet à l’aide d’un seul mot de faire le lien entre différentes théories qui pour leur part donnent des explications, renvoient à des causes et donc permettent aux différents acteurs de savoir comment agir ou réagir lorsque d’aventure ils cherchent ou croisent la motivation entre les quatre murs d’une salle de cours. Le choix qui est fait ici, d’exposer non pas une mais plusieurs théories, est donc guidé par celui de répondre aux variétés sémantiques du terme. Par ailleurs, même si chaque théorie veut donner une explication globale de la motivation, chacune d’entre elles s’intéresse plus particulièrement à une facette de la motivation.
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Table des matières
MEMBRES DE JURY
REMERCIEMENTS
DEDICACES
RESUME
LISTE DES TABLEAUX
LISTE DES GRAPHES
LISTE DES SCHEMAS
GLOSSAIRE
INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : CONSIDERATION GENERALE
CHAPITRE I : PRESENTATION DE LA RECHERCHE
1.1.Raison d’être de la recherche
1.1.1. Objet de la recherche
1.1.2. Choix du sujet
1.1.3. Intérêt de la recherche
1.1.4. Limite du sujet
1.2.Définition du concept
CHAPITRE II : ETATS DE LIEUX ET POSITION DU PROBLEME
2.1.Etats des lieux
2.1.1. Présentation de la région de DIANA
2.1.2. Milieu physique
2.1.2.1.Relief
2.1.2.2.Géologie
2.1.2.3.Climat
2.1.2.4.Hydrologie
2.1.2.5.Sols et végétations
2.1.3. Milieu humain
2.1.3.1.Population
2.1.3.2.Répartition de la population par classe d’âge et par sexe
2.1.3.3.Activités du chef de ménage
2.1.3.4.Profession du chef de ménage
2.1.3.5.Composition ethnique
2.1.3.6.Morphologie de la population
2.1.3.6.1. Endomorphe
2.1.3.6.2. Mésomorphe
2.1.3.6.3. Ectomorphe
2.1.3.6.4. Morphologie hybride
2.1.4. Cadre économique
2.1.4.1.Secteur agricole et industriel
2.1.4.2.Elevage
2.1.4.3.Pêche et ressources halieutiques
2.1.4.3.1. La pêche maritime traditionnelle et artisanale
2.1.4.3.2. La pêche industrielle
2.1.4.3.2.1.La Pêche thonière
2.1.4.3.2.2.La Pêche crevettière
2.1.4.3.2.3.ressources halieutiques
2.1.4.4.Autres secteurs
2.1.4.4.1. Société Commerciale et Industrielle de Madagascar (SCIM)
2.1.4.4.2. Compagnie Salinière de Madagascar
2.1.4.4.3. Brasserie STAR
2.1.4.4.4. Construction navale : la SECREN
2.1.5. Les traits de civilisation
2.1.5.1.Le Fijoroana
2.1.5.2.Le Fasana sady tsy matao-drafy
2.1.5.3.Le Tsiafakara au bord du lac Antanavo
2.1.5.4.Le Tsangantsaigny
2.1.6. Infrastructures socio-culturelles
2.2. Position du problème
2.2.1. Problème sur les résultats sportifs
2.2.2. Problèmes organisationnels et financiers
2.2.2.1.Problème financier
2.2.2.2.Problème organisationnel
2.2.3. Problème infrastructurel
2.2.4. Problème de motivation
2.3. Problématique
DEUXIEME PARTIE : CADRE D’ETUDE
CHAPITRE I : CADRE THEORIQUE
1.1 Charte Olympique et association sportive
1.1.1 La Charte Olympique
1.1.2 Définition de l’Association sportive
1.1.2.1. Mission d’une association sportive
1.1.2.2.Disposition financière d’une association sportive
1.1.2.3.Les ressources d’une association sportive
1.1.2.4.Les dépenses d’une association sportive
1.2. F.N.P.D.S ou TAFITA
1.2.2. Attribution du TAFITA
1.2.3. Les ressources du F.N.P.D.J.S
1.2.4. Les charges du F.N.P.D.J.S
1.3. Le MAP ou Madagascar Action Plan
1.3.2. Fondations humaines du MAP
1.3.3. Changement de la mentalité et des habitudes
1.3.4. Renforcement du savoir faire
1.3.5. Développement de l’esprit des jeunes en faisant du sport
1.3.6. Stratégies pour le développement du sport
1.4. Motivations des athlètes
1.4.2. Hiérarchie des motivations
1.4.2.2.Les bases biologiques de motivations
1.4.2.3.Récompense et punition
1.4.2.4.L’effet CRESPI
1.4.2.5.Principe de « U » inversé
1.4.3. Motivation intrinsèque et extrinsèque
1.4.3.2.Motivation intrinsèque
1.4.3.3.Motivation extrinsèque
1.4.3.4.Résignation apprise et découragement (amotivation)
1.5 Théories sur la Gestion du projet
1.5.1. La Valeur actuelle nette (VAN)
1.5.1.1.Formule
1.5.1.2.Interprétation
1.5.2. Taux de rentabilité interne (TRI)
1.5.2.1.Formule
1.5.2.2.Interprétation
1.5.3. Délai de récupération des capitaux investis (DRCI)
1.5.3.1.Formule
1.5.3.2.Interprétation de la formule
1.5.4. Indice de profitabilité
1.5.4.1.Formule
1.5.4.2.Interprétation
CHAPITRE II : HYPOTHESES
2.1.Charte Olympique
2.2.Tâches de l’association sportive
2.3.Contribution du TAFITA ou FNPDJSL
2.3.1. Etude et préparation des dossiers
2.3.2. Analyse et sélections des dossiers
2.4.Motivations intrinsèque et extrinsèque
2.5.Les besoins énergétiques d’un sportif
2.5.1. Ration d’entrainement
2.5.2. Ration de compétition
2.5.3. Ration de récupération
2.6.Financement et subventions
TROISIEME PARTIE : ETUDE DE FAISABILITE ET FINANCIERE DU PROJET
CHAPITRE I : ETUDE DU MARCHE
1.1.Description du marché visé et analyse de la demande
1.1.1 Description du marché visé
1.1.2 Part du marché visé
1.1.3 Caractéristiques du marché
1.1.4 Capacité du marché
1.1.Analyse de l’offre et de la demande
1.1.1. Caractéristiques de la demande
1.1.2. Analyse de l’offre
1.1.2.1.Qualité à offrir
1.1.2.2.La Quantité à offrir
1.1.2.3.Clientèle cible
1.2.Analyse de la concurrence
1.2.1. Les concurrents directs
1.2.2. Concurrents indirects
CHAPITRE II : TECHNIQUE DE PRODUCTION
2.1.Ressources matérielles
2.1.1. Matériel de bureau et matériel informatique
2.1.2. Le bâtiment
2.1.3. Equipement de la natation
2.1.4. Accessoires de la piscine
2.2.Ressources humaines
2.3.Ressources financières
2.3.1. Ressources financières avant la création de l’entreprise
2.3.2. Ressources financières obtenues
CHAPITRE III : CAPACITE DE PRODUCTION
3.1.Capacité de production envisagée
3.1.1. Types de prestations de services
3.1.1.1.L’apprentissage
3.1.1.2.La location
3.1.1.3.Unités de prestations de services
3.1.1.4.L’unité administrative
3.1.1.5.L’unité technique
3.1.1.6.L’unité de gardiennage
3.2.Prévision des dépenses
3.2.1. Prévision de dépenses de matières et fournitures consommables en 1ère année
3.2.2. Prévision des dépenses des matières et fournitures des 4 années suivantes
3.3.Evolution des Chiffres d’affaires
CHAPITRE IV : ETUDE FINANCIERE DU PROJET
4.1.Coût d’investissements
4.1.1. Coût de construction des infrastructures sportives
4.1.2. Matériels de bureau et matériels informatiques
4.1.3. Mobilier de bureau
4.1.4. Matériels techniques utilisés en natation et au tennis
4.2.Plan de financement
4.2.1. Fonds de Roulement
4.2.2. Plan de financement
4.2.3. Le bilan de départ de l’entreprise
4.3.Remboursements des dettes
4.3.1. Principe et détermination du montant des remboursements
4.3.2. Calcul des amortissements
4.4.Comptes de gestion
4.4.1. Comptes des charges
4.4.1.1.Achats consommés des matières et fournitures
4.4.1.2.Charges externes
4.4.1.3.Impôts, taxes et versement assimilés
4.4.1.4.Charges du personnel
4.4.1.5.Prévision des charges financières
4.4.1.6.Dotations aux amortissements
4.4.2. Compte de produits
CHAPITRE V : FAISABILITE ET RENTABILITE DU PROJET
5.1.Compte de résultats prévisionnels
5.1.1. Compte des résultats prévisionnels par nature
5.2.Marge Brute d’Autofinancement
5.3.Plan de Trésorerie
5.3.1. Contenus
5.3.2. Présentation
5.4.Bilan prévisionnel de l’entreprise
5.4.1. Bilan d’ouverture
5.4.2. Bilan prévisionnel de l’année 1
5.4.3. Bilan prévisionnel de l’année 2
5.4.4. Bilan prévisionnel de l’année 3
5.4.5. Bilan prévisionnel de l’année 4
5.4.6. Bilan prévisionnel de l’année 5
5.5.Flux de trésorerie
CHAPITRE VI : EVALUATION DU PROJET
6.1.Evaluation économique
6.1.1.Valeur Ajoutée
6.1.1.1.Contenus
6.1.1.2.Calculs
6.1.1.3.Interprétation
6.1.2.Ratio de performance économique
6.1.2.1.Contribution du facteur de travail en Valeur ajoutée
6.1.3.Ratio de rentabilité financière
6.1.4.Ratio de structure
6.1.5. Seuil de rentabilité
6.1.5.1.Calculs
6.2.Evaluation financière
6.2.1.La Valeur Actuelle Nette (VAN)
6.2.2.Taux de Rentabilité Interne (TRI)
6.2.3.Durée de Récupération des Capitaux Investis (DRCI)
6.2.4.Indice de Profitabilité
6.2.4.1.Calculs de l’Indice de Profitabilité
QUATRIEME PARTIE : METHODOLOGIE ET SUGGESTIONS
CHAPITRE I : METHODOLOGIE APPLIQUEE
1.1.Démarche méthodologique
1.1.1. Les techniques qualitatives
1.1.2. Les techniques quantitatives
1.1.3. L’enquête
1.1.3.1.La pré-enquête
1.1.3.2.L’enquête avec questionnaires
1.1.3.3.L’entretien avec les divers responsables
1.1.4. Les choix de l’échantillon
1.1.4.1.Les méthodes probabilismes
1.1.4.2.Les méthodes non-probabilismes
1.2.Déroulement de l’investigation
1.3.Résultats de l’enquête
1.3.1. Résultat sur le taux de fréquentation sur chaque discipline
1.3.2. Résultat d’enquête suivant leurs caractéristiques ou âges
1.3.3. Résultat des opinions de la population enquêtée
1.3.4. Résultat d’enquête sur la motivation des joueurs
1.3.5. Résultat des entretiens les divers responsables
CHAPITRE II : SUGGESTIONS
2.1.Les suggestions
2.1.1. Moyens de financement de notre projet
2.1.2. Critères de sélection des clubs et des athlètes bénéficiaires de la subvention
2.1.3. La somme octroyée au club sélectionné
2.1.4. L’organigramme de notre établissement
2.2.Les perspectives à venir
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE
ANNEXES
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