Les facteurs psychologiques dans le domaine du sport

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Innervation

Le LCA reçoit son innervation des branches articulaires postérieurs du nerf tibial. Ces branches infiltrent la capsule postérieurement et leur trajet suit le trajet des vaisseaux péri-ligamenteux. Ainsi étant étroitement associées au système vasculaire, des terminaisons nerveuses libres peuvent avoir une action vasomotrice, soit une action sur les vaisseaux sanguins. [1]
Des fibres myélinisées et non myélinisées innervent également le ligament et contiennent des récepteurs qui sont présents sous la membrane synoviale à la surface du ligament. Ces derniers sont classés en fonction de leur adaptabilité aux signaux excitateurs.
On identifie quatre types :
– Les corpuscules de Ruffini : sensibles à l’étirement et prédominants au niveau de l’insertion fémorale où il y a les plus grandes déformations.
– L’organe tendineux de Golgi.
– Les corpuscules de Pacini : sensibles aux mouvements rapides situés au niveau des insertions fémorale et tibiale.
– Les terminaisons nerveuses libres : fonctionnent comme des nocicepteurs mais peuvent jouer également un rôle de contrôle vasomoteur.
Les corpuscules de Ruffini et l’organe tendineux de Golgi sont des récepteurs à adaptation lente. Ils présentent une activité continue en réponse aux changements de mouvement, de position et d’angle de rotation de l’articulation.
Les corpuscules de Pacini sont des récepteurs à adaptation rapides. Ils identifient l’accélération et sont excités quelle que soit la position de l’articulation.
Ces mécanorécepteurs ont une fonction proprioceptive et informent les changements posturaux du genou [4].

Vascularisation

La vascularisation du ligament est effectuée principalement par l’artère géniculée moyenne [5].La partie distale du ligament reçoit quelques branches des artères géniculées, inférieure et latérale [6].
La vascularisation du LCA n’est pas homogène. En effet, la partie proximale reçoit plus de sang. La région fibro-cartilagineuse au niveau antéromédiale du ligament est avasculaire tout comme les zones fibro-cartilagineuses des sites de fixation [5].

Biomécanique du Ligament Croisé Antérieur

Généralités

Le ligament croisé antérieur a pour rôle d’assurer la coordination des mouvements de roulement/glissement du fémur sur le tibia lors des mouvements de flexion et d’extension. Sa fonction est de limiter les mouvements combinés de translation antérieure du tibia et la rotation interne tibiale [1].Il représente jusqu’à 86% de la force totale résistant au tirage antérieur. Ceci est primordial afin de prévenir l’hyper extension et d’éviter la rupture du ligament. De façon moins importante, le ligament offre également une résistance à la rotation externe du tibia et aux mouvements de valgus-varus [3] [4].

Contrôle de la laxité antéropostérieure

La tension du LCA varie en fonction du degré de flexion/extension du genou. En effet, les deux faisceaux sont responsables du maintien de la stabilité antérieure et rotationnelle avec des schémas de tension variables selon l’amplitude du mouvement. Cependant, même si la tension change, le ligament respecte le principe d’isométrie grâce à ses deux faisceaux.
Après application d’une charge tibiale antérieure (Annexe 2) :
– De 0° à 45° de flexion, c’est le faisceau postérolatéral qui est le plus tendu [1] [7] [8] [5] [4] [6]
– De 45° à 90° de flexion, c’est le faisceau antéromédial qui voit sa tension augmenter bien que sa charge varie peu entre 0° et 90° [1] [7] [5]

Contrôle de la stabilité rotatoire

Lors de l’application de charges rotationnelles externes (mouvement de valgus), le faisceau AM se tend, aussi bien à 15° que 30° de flexion.
Lors de l’application de charges rotationnelles internes, le faisceau PL se tend (Annexe 3) [8]. Chaque faisceau a donc un rôle prédominant. Le faisceau antéro-médial a une action prépondérante dès 90° sur le contrôle de la translation antérieure du tibia par rapport au fémur ; alors que le faisceau postéro-latéral contribue au contrôle du tiroir antérieur du tibia genou en extension. Le faisceau postéro-latéral contrôle également la rotation médiale alors que le faisceau antéro-médial contrôle les mouvements de valgus.

La rupture du LCA

Mécanisme lésionnel

La rupture de ligament croisé antérieur peut s’effectuer de deux manières : une rupture sans contact, soit en l’absence de contact physique avec un autre joueur au moment de la blessure, et une rupture avec contact. De plus, la rupture peut être due à un contact direct sur le genou ou bien elle peut se produire indirectement par contact d’une autre partie du corps [9].
Plusieurs études ont démontré que la rupture du ligament se produit le plus souvent sans contact et lorsqu’il y avait contact, celui-ci survient par un mécanisme indirect la plupart du temps [10]. Plusieurs mécanismes responsables d’une lésion du LCA sont décrits :
– Traumatisme en hyper extension : mouvement de shoot dans le vide donnant alors une atteinte isolée du LCA [11]
– Traumatisme en varus rotation interne avec flexion de genou : provoque aussi une atteinte du ligament latéral externe du genou et du ménisque externe [11]
– Traumatisme en valgus rotation externe avec flexion de genou (Annexe 4): provoque également une atteinte du ligament latéral interne du genou et du ménisque interne [11] [12]
– Traumatisme de rotation interne pied fixé au sol : mouvement de mauvaise réception de saut, changement de direction [11]

Épidémiologie

La rupture de LCA est une des plus importantes blessures dans le domaine du sport [13] [14]. Aux États unis, plus de 120 000 blessures du ligament croisé antérieur se produisent chaque année [15].En France ce chiffre s’élève à 45 000 par an [16] [17].
Le nombre de blessures annuelles est en augmentation. Cela s’explique notamment par l’augmentation du nombre de femmes dans le domaine du sport ce qui expose ces dernières aux traumatismes sportifs. Il a été démontré que les femmes ont un taux de rupture du LCA plus élevé que les hommes dans les sports similaires [18] [11] [19]. Taux estimé entre 2.1 et 3.4 fois supérieur [15]. Dans le football, on estime que celles-ci ont quatre à six fois plus de risques de faire une rupture du ligament croisé antérieur [20]. Une étude américaine a comparé l’incidence de rupture du LCA dans plusieurs domaines sportifs sur une population de sportifs universitaires. Il s’est avéré que le football féminin avait la plus forte incidence : 12.2 cas pour 100 000 expositions [20]. Le basketball féminin, arrivait en 3ème position avec une incidence de 10.3. La différence de sex-ratio est variable en fonction des sports pratiqués [18].
Il est important de noter que les populations sportives jeunes, hommes et femmes confondus, sont les plus à risque de se blesser.

Approche biopsychosociale dans le domaine de la santé

Le modèle biopsychosocial est théoriquement, « une « représentation de l’être humain dans laquelle les facteurs biologiques, psychologiques et sociaux sont considérés comme participant simultanément au maintien de la santé ou au développement de la maladie ».2
Le sujet est regardé dans sa globalité où sont pris en compte tous les facteurs qui peuvent influencer sur la santé et le bien-être du patient, résultat d’un processus complexe.
S’il est admis en général que la kinésithérapie se concentre sur le « physique », l’approche actuelle du handicap et de la santé est une approche biopsychosociale [30]. Le modèle d’évitement de la peur (FAM) est un modèle biopsychosocial qui est proposé pour expliquer le développement de l’incapacité chronique après une lésion musculosquelettique. Il propose que lorsque la douleur est perçue comme une menace suite à une lésion, divers schémas psychosociaux, comme l’augmentation de douleur catastrophique, la peur de bouger ou de se blesser à nouveau, sont modifiés. Ces derniers conduisant à l’invalidité voire la dépression du sujet sportif [31].
La Masso Kinésithérapie se définit donc comme une science holistique.
Ainsi, l’aspect psychologique est un facteur non négligeable dans la santé du patient.
Ce facteur inhérent à tout le monde, est également présent dans le domaine sportif.
Les notions de peur-évitement sur des schémas de mouvements du membre lésé, la confiance de l’athlète en son genou lors d’exercices spécifiques à son sport, la motivation du sujet à vouloir reprendre le sport mais également le niveau sportif antérieur ou bien encore l’appréciation du sportif à se-blesser à nouveau sont de plus en plus prises en compte pour obtenir une reprise optimale du sport.
Il est donc important de rechercher tous les facteurs psychologiques pouvant impacter la santé globale, mentale ou physique des sportifs.

Les facteurs psychologiques dans le domaine du sport

Plusieurs facteurs psychologiques ont été décrit dans la littérature. Ces facteurs sont prédictifs des capacités et reprise du sport.
Nous pouvons les traiter en deux catégories, les facteurs protectifs, où le facteur influe de façon bénéfique la performance sportive ; et les facteurs non protectifs influençant négativement les performances sportives.
Parmi les facteurs nous retrouvons :
– Facteurs de stress compétitifs. Ces facteurs sont des facteurs environnementaux associés premièrement et directement avec la performance compétitive et comprennent la préparation sportive, les blessures, la ‘sous performance’, et la notion de rivalité.
– Facteurs de stress organisationnels. Ces facteurs sont également des facteurs environnementaux qui sont : la communication et l’atmosphère au sein de l’équipe, les problèmes de logistiques comme la météo et les déplacements, les problèmes personnels qui concernent les interactions et l’attitude de l’entraineur.
– Facteurs de stress personnels qui sont des exigences environnementales associées à des événements de la vie ‘non sportive’ du sportif. Ces facteurs comprennent l’interface travail et vie personnelle, les problèmes familiaux et le décès d’un membre de la famille du sportif.
– Douleur catastrophique et peur du mouvement.
– Anxiété.
– Manque de confiance en soi.
– La notion de personnalité positive.
– La motivation.
– La confiance en soi.
– L’auto-efficacité, qui se définit comme le jugement d’une personne à pouvoir effectuer une tache L’aspect psychologique dans la prise en charge du ligament croisé antérieur est non négligeable, surtout pour la reprise du sport. En effet, il est prouvé que la faible motivation, la peur de se re-blesser et la dimension psychologique de la reprise du sport sont associées au niveau de reprise de la pratique sportive [34].

Les critères objectifs de contrôle du RTS

Les tests isocinétiques

Ces tests permettent de quantifier la force musculaire du membre lésé et du membre sain afin de comparer la différence de force entre les 2 membres par des contractions concentriques et excentriques. La symétrie de la force musculaire des deux membres est un indicateur puissant pour une éventuelle reprise d’une activité sportive sans restriction. La restauration neuromusculaire est donc nécessaire pour le RTS. Une force et une capacité de contrôle moteur-dynamique sont des facteurs protecteurs de re-blessure [46]. Les muscles principalement testés grâce à une dynamomètre sont le quadriceps et les ischiojambiers [47] [48] [49]. Ces deux muscles participent au contrôle neuromusculaire du genou.[47]
Ces tests font partie des évaluations ‘standards’ pour évaluer des objectifs de RTS et ils ont longtemps été la principale méthode d’évaluation [50]. Même si l’isocinétisme reste le gold standard de l’évaluation de la force musculaire, le corps humain ne se rapporte pas qu’à ‘une force’ mais un ensemble d’éléments qui permettent un mouvement de qualité.
Selon la littérature, il existe plusieurs limites à ces tests : [51] [52] [47]
Les mesures obtenues ne sont pas assez fonctionnelles et ces tests ne balaient pas toute l’amplitude de l’articulation du genou
– La notion de puissance du geste, soit la vitesse à laquelle le muscle produit une force, ne peut être évaluée.
– La mesure du travail musculaire, est considérée comme un meilleur indicateur de l’activité musculaire dynamique car celle-ci renseigne la production de force sur toute l’amplitude du mouvement [53].
– La notion de mouvement fonctionnel évalué par des tests fonctionnels.
– De plus, les appareils dynamomètres étant très couteux, ces tests ne peuvent se réaliser qu’en centre ou cabinet spécialisé et équipé

Les tests fonctionnels

Ces tests permettent d’évaluer l’aptitude fonctionnelle du membre inférieur lésé en comparaison avec le membre sain. Ils peuvent se réaliser en cabinet, ne nécessitent aucuns matériels particuliers et sont validés et reproductibles.
Dans la littérature, on retrouve principalement :
• Le Single Hop Test for distance (SHT) : simple saut, où le patient est en appui sur son membre inférieur pointe de pieds sur la marque au sol. Sans élan il effectue un saut le plus loin possible. Le sujet a les membres supérieurs croisés main sur les épaules. L’essai est validé si la position des mains est maintenue et stabilisée pendant 3 secondes en une seule fois. L’opérateur mesure la distance entre la pointe de pied au départ et la pointe de pied lors de la réception. Il est le plus populaire des hop tests [56].
• Le Triple Top Test for distance (THT) : triple saut, où le patient est en appui sur son membre inférieur pointe de pieds sur la marque sur le sol. Sans élan il effectue 3 sauts consécutifs le plus loin possible à chaque saut. L’essai est validé si la réception est stabilisée en une seule fois pendant 3 secondes.
• Le Crossover Hop test for distance (COHT) : triple saut croisé stabilisé, où le patient est en appui sur son membre inférieur, sans élan il réalise 3 sauts de part et d’autre d’une ligne de 15 cm de large. L’essai est validé si la réception est stabilisée en une seule fois pendant 3 secondes.
• Le Single Timed Hop (STH), le sujet effectue des sauts unipodaux sur une distance de 6 mètres en essayant d’aller le plus vite possible. L’opérateur comptabilise la durée que le sujet met pour parcourir les six mètres.
• Le Side Hop Test : deux bandes espacées de 40 cm sont disposées. Le sujet effectue le plus de sauts possibles d’une bande à l’autre sur un membre inférieur pendant 30 secondes. L’opérateur compte le nombre de sauts correctement réalisés (le sujet doit venir positionner son pied sur les bandes).
➔ Ces 5 types de sauts monopodaux sont des sauts horizontaux. Ils ont été décrits pour la première fois par Noyes et al.,[55] et font partie des critères objectifs permettant d’évaluer la reprise du sport.
• Le One- legged vertical jump : saut vertical sur place, où le sujet effectue un squat unipodal le plus bas possible, fait une pause, et doit remonter par un saut en cherchant à aller le plus haut possible [57].
➔ Chaque test est réalisé 3 fois pour chaque membre, en commençant par le membre sain, où sont retenu les meilleurs scores par l’examinateur. Ce dernier calcule alors un indice de symétrie appelé « Limb Symmetry Index ».
Les sujets ayant obtenu un LSI > 85% aux hop tests ont de meilleures chances d’un RTS à un an [56].
Cependant, de nos jours, une faible quantité d’études a permi de trouver une corrélation entre scores aux tests fonctionnels et scores aux tests isocinétiques [51].Ces tests ne permettent donc pas de remplacer les tests isocinétiques mais doivent être complémentaires afin de déterminer le plus précisément possible le RTS.

Le Limb Symmetry Index (LSI)

Le LSI est une mesure quantifiable qui permet d’objectiver les capacités fonctionnelles du sujet et des asymétries entre membre sain et membre opéré.
Il correspond à la distance réalisée par le membre opéré sur la distance réalisée par le membre sain, le tout multiplié par 100 [55]. La distance varie selon les repères prit, le plus important étant que l’examinateur réalise et utilise les mêmes marqueurs pour le patient à chaque test. Le résultat est exprimé en pourcentage.

Méthode d’extraction et d’analyse des données

Sélection des études

Afin d’obtenir une cohérence dans la méthode de recherche, des critères d’inclusion et d’exclusion ont été établis pour sélectionner des études pouvant répondre avec précision à notre problématique et étant comparables entre elles.
• Critère d’inclusion :
– Études de cohortes prospectives et rétrospectives, transversales et de séries de cas évaluant l’intérêt prédictif de la ACL-RSI scale pour le RTS
• Critères d’exclusion :
– Essai clinique randomisé.
– Études évaluant uniquement l’association entre l’échelle ACL-RSI et les critères objectifs de RTS
– Études évaluant une population autre que des sujets sportifs à différents niveaux.
– Études évaluant une population d’âge précise.
– Études évaluant une population ayant eu une révision du ligament croisé antérieur (deuxième reconstruction ou réparation).
Une première sélection des titres des articles a été effectuée sur les bases de données scientifiques. Beaucoup ne rentraient pas dans la revue soit car c’était totalement hors sujet soit car il s’agissait d’articles à but autre que pronostic. Cela a permis de sélectionner les études à inclure potentiellement dans la revue.
Une lecture attentive des abstracts a par la suite permis d’éliminer les articles qui ne contenaient pas la population souhaitée ou l’intervention souhaitée ainsi que ceux dont la langue était différente de l’anglais et du français.
Suite à cette double sélection, 28 études pouvant potentiellement entrer dans les critères de sélection finale ont été retenues.

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Table des matières

1 Introduction
1.1 Le Ligament Croisé Antérieur
1.1.1 Anatomie
1.1.1.1 Insertion et trajet
1.1.1.2 Composition
1.1.1.3 Innervation
1.1.1.4 Vascularisation
1.1.2 Biomécanique du Ligament Croisé Antérieur
1.1.2.1 Généralités
1.1.2.2 Contrôle de la laxité antéropostérieure
1.1.2.3 Contrôle de la stabilité rotatoire
1.1.3 La rupture du LCA
1.1.3.1 Mécanisme lésionnel
1.1.3.2 Épidémiologie
1.1.3.3 Les facteurs de risque intrinsèque
1.1.3.4 Les facteurs de risque extrinsèque
1.1.4 La ligamentoplastie
1.2 Notion de facteurs psychologiques
1.2.1 Approche biopsychosociale dans le domaine de la santé
1.2.2 Les facteurs psychologiques dans le domaine du sport
1.2.3 Les échelles psychologiques
1.2.3.1 Généralités
1.2.3.2 L’échelle ACL-RSI
1.3 Le retour au sport (RTS)
1.3.1 Généralités
1.3.2 Les critères objectifs de contrôle du RTS
1.3.2.1 Les tests isocinétiques
1.3.2.2 Les tests fonctionnels
1.3.2.3 Le Limb Symmetry Index (LSI)
1.4 Problématisation
1.4.1 Intérêt professionnel de cette revue
1.4.2 Intérêt pour les patients
2 Méthode
2.1 Critères d’éligibilité des études pour cette revue
2.1.1 Type d’études
2.1.2 Population concernée
2.1.3 Intervention
2.1.4 Comparateur
2.1.5 Critère de jugement
2.2 Méthodologie de recherche des études
2.2.1 Sources documentaires investiguées et recherches préliminaires
2.2.2 Équation de recherche utilisée
2.3 Méthode d’extraction et d’analyse des données
2.3.1 Sélection des études
2.3.2 Extraction des données
2.3.3 Évaluation de la qualité méthodologique des études sélectionnées
3 Résultats
3.1 Description des études
3.2 Études exclues
3.3 Études incluses
3.3.1 Langford et al.
3.3.2 Rosso et al.
3.3.3 Welling et al.
3.3.4 Harvi et al.
3.4 Risque de biais des études incluses
3.4.1 Grille d’analyse utilisée
3.4.2 Synthèse des biais retrouvés
3.5 Effet de l’intervention
3.5.1 Le critère de jugement
3.5.2 La taille de l’effet
3.5.2.1 Langford
3.5.2.2 Welling
3.5.2.3 Rosso
3.5.2.4 Harvi
4 Discussion
4.1 Analyse des principaux résultats
4.1.1 La synthèse des limites
4.1.2 La synthèse des résultats
4.2 Applicabilité des résultats
4.2.1 La population
4.2.2 L’intervention
4.2.3 Le critère de jugement
4.3 Qualité de preuve des études
4.4 Biais potentiel de la revue
5 Conclusion
5.1 Implication pour la pratique
5.2 Implication pour la recherche

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