Les facteurs influençant l’absorption percutanée des produits cosmétiques

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Fonctions de l’épiderme 

 Une fonction de protection
Le réseau kératinique associé au ciment intracornéocytaire, aux cornéodesmosmes et au ciment interlipidique assure une rigidité et une extensibilité importantes à la couche cornée permettant d’obtenir une protection mécanique impressionnante.
Les kératinocytes permettent également une photoprotection. En absorbant la mélanine, ils vont se colorer. Ceci donnera à l’épiderme une pigmentation responsable de la protection des cellules contre les rayons ultra-violets.
La couche cornée absorbe 70% des UVB. Plus la peau est épaisse, moins les radiations ultra-violettes vont pénétrer dans la peau. Ainsi, une hyperkératose de défense se formera en post-exposition solaire.
 Une fonction de barrière
La barrière épidermique va s’opposer à l’entrée des micro-organismes et des substances exogènes dans la peau. Parallèlement, elle va empêcher partiellement la fuite d’eau dans l’atmosphère. Attention cette barrière n’est pas infranchissable : des médicaments et des toxiques arrivent à la traverser.
 Une fonction métabolique
La vitamine D3 est synthétisée dans les kératinocytes épidermiques après exposition de la peau aux rayonnements UVB. Elle sera convertie par la suite en calcitriol. C’est sa forme active. Elle contribue à l’absorption intestinale du calcium et du phosphore. Elle permet ensuite la fixation du calcium sur les os et la régulation de la minéralisation osseuse.
 Une fonction esthétique
La surface cutanée est visible à l’œil nu, elle est l’objet de tous les regards. Son aspect est donc tout à fait essentiel.

La jonction dermo-épidermique

Structure et organisation de la jonction dermo-épidermique

Elle sépare le derme de l’épiderme. Sa structure est sinueuse et, avec l’âge, s’aplatit.
Elle est formée de différents composants dont le principal est la membrane basale. La jonction dermo-épidermique assure 3 missions principales : elle supporte mécaniquement l’épiderme, maintient le contact entre le derme et l’épiderme et assure une fonction de barrière et de filtre sélectif [9].

Fonctions de la jonction dermo-épidermique

La jonction dermo-épidermique joue le rôle de :
– Cohésion derme-épiderme par l’adhésion des kératinocytes épidermiques basaux et des fibroblastes dermiques
– Barrière de diffusion et zone d’échanges entre les 2 compartiments (eau, électrolytes, éléments nutritifs et métaboliques, etc.) [10]

Le derme

Structure et organisation du derme

Véritable charpente de la peau, il est constitué de cellules fixes que sont les fibroblastes et de cellules mobiles que sont les cellules sanguines. À ces cellules s’associent des fibres de collagène, d’élastine et de réticuline. La cohésion de l’ensemble est assurée par la substance fondamentale constituée essentiellement de mucopolysaccharides et parmi eux l’acide hyaluronique identifiée par le bleu de toluidine. Au sein du derme se trouvent les vaisseaux qui s’arrêtent à la couche basale de l’épiderme, ce dernier ne contenant pas de vaisseaux, ce qui est important à savoir [11].
Le derme est classiquement divisé en deux régions qui diffèrent par la composition et l’organisation de leur matrice extracellulaire respective : [3]
– Le derme papillaire, le plus superficiel, qui se trouve sous l’épiderme et forme les papilles dermiques entre les crêtes épidermiques. C’est un tissu conjonctif lâche constitué de fines fibrilles de collagène de type I et III, isolées et orientées le plus souvent perpendiculairement ou obliquement par rapport à la jonction dermo-épidermique. Des fibres élastiquesoxytalanes également orientées perpendiculairement à l’épiderme forment des structures en forme de chandelles. Le plexus vasculaire sous les crêtes papillaires (rete subpapillare) délimite la limite inférieure du derme papillaire. Les capillaires qui s’étendent depuis le plexus sous-papillaire se projettent dans les papilles dermiques pour apporter les nutriments nécessaires à l’épiderme [3].
– Le derme réticulaire plus profond qui est un tissu conjonctif plus dense composée d’un entrecroisement de faisceaux de grosses fibres de collagène et de fibres élastiques présentant une orientation préférentiellement parallèle à la surface de la peau. Le derme réticulaire contient moins de collagène de type III que le derme papillaire. Un plexus vasculaire profond (rete cutaneum) et la transition entre un tissu fibreux et un tissu adipeux marque la limite inférieure du derme réticulaire. Dans la peau humaine adulte, le nombre de cellules diminue et la taille des structures fibreuses augmentent progressivement depuis le derme papillaire jusqu’à l’hypoderme. La zone supérieure du derme réticulaire (également dénommé derme intermédiaire). Présentent des fibres de collagène d’un diamètre moyen et des fibres élastiques d’élaunine [3].
Le derme héberge des vaisseaux lymphatiques ou sanguins, des nerfs et des terminaisons nerveuses spécialisée qui comprennent les récepteurs nerveux sensitifs de Merkel et les corpuscules de Meissner (pour le toucher), les corpuscules de Pacini(pour la pression), et les corpuscules de Ruffini (récepteurs mécaniques). Le derme abrite également les annexes épidermiques incluant les glandes sudorales eccrines et apocrines, les follicules pilo-sébacés (sauf au niveau de la paume des mains et de la plante des pieds). Le derme contient également des cellules du système immunitaire : les cellules dendritiques dermiques, des macrophages et des mastocytes [3].

Fonctions du derme

 Réservoir d’eau pour l’organisme : les glycosaminoglycanes captent une partie de l’eau, eau qui va faire gonfler le derme et ainsi préserver la peau d’une certaine tonicité et d’une fermeté.
 Tissu de soutien compressible de l’épiderme extensible (capacité à s’étirer) et élastique (capacité à reprendre sa forme initiale après un étirement).
 Tissu de nutrition de l’épiderme : le derme papillaire possède des capillaires sanguins et lymphatiques.
 Tissu de protection mécanique : le derme réticulaire a une force de résistance mécanique primordiale grâce aux denses réseaux de collagène et une élasticité certifiée par les fibres d’élastine.
 Fonction immunitaire grâce aux leucocytes qui migrent de la circulation sanguine vers le derme [10].

L’hypoderme

Structure et organisation de l’hypoderme :

L’hypoderme est un tissu adipeux blanc qui sépare la partie inférieure du derme des muscles sous-jacents. Son épaisseur est variable. Il est très épais au niveau de l’abdomen, des fesses et des cuisses, alors qu’il est inexistant au niveau des paupières.
Le tissu adipeux blanc est un tissu conjonctif lâche qui est de même structure que le derme mais dominé par les protéoglycanes et les fibres de collagène. Néanmoins, il possède des cellules particulières appelées adipocytes.
Les adipocytes blancs ont une grande vacuole composée à 95% de triglycérides. Sa taille imposante repousse les organites, le noyau et le cytoplasme à la périphérie cellulaire. Leur volume peut être augmenté de presque trente fois par rapport à la minimale.
Ils se réunissent en lobules graisseux délimités par des cloisons de tissu conjonctif issues du derme, et ces derniers se regroupent en lobes. Une importante vascularisation et innervation se trouve au sein des cloisons conjonctives [12].

Fonctions de l’hypoderme

La fonction principale de l’hypoderme est avant tout sa réserve en énergie. En effet, il assure le stockage (lipogenèse) et la libération de l’énergie sous forme de lipides (lipolyse).
– Il a aussi une fonction esthétique, de plastique car vis-à-vis de l’état nutritionnel, de l’âge et du sexe, la silhouette ne sera pas la même.
– Le maintien de l’homéothermie ainsi que la protection contre les chocs font également partie de ses fonctions [12].

Les annexes de la peau 

Les annexes cutanées sont localisées dans le derme, elles sont au nombre de trois : l’appareil pilo-sébacé, l’appareil sudoripare eccrine et l’appareil unguéal.

L’appareil pilo-sébacé

Le follicule pileux prend naissance dans le derme. Il traverse l’épiderme et s’abouche à la surface de la peau par l’orifice pilo-sébacé. La partie du poil alors visible sera nommée tige pilaire.
Il existe trois annexes au follicule pileux :
– le muscle pilomoteur qui s’insère dans le follicule au niveau du bulge ;
– la glande sébacée qui communique avec le follicule par un petit canal ;
– la glande sudoripare apocrine que l’on retrouvera seulement dans certaines régions de notre corps.

L’appareil unguéal

La tablette sert de couverture au lit unguéal. Cette fonction de protection revêt toute son importance en traumatologie où elle empêche la formation, parfois exubérante, d’un faux ongle du lit.
La plaque unguéale exerce un plan fixe de contrepression dans la sensibilité tactile. Elle est indispensable pour la prise fine des petits objets par sa projection au-delà de l’ogive pulpaire. Son rôle agressif aussi bien à l’égard des objets que des individus (aspect médicolégal en cas de viol ou de strangulation) est connu [14].

Les différents types de peau

La peau normale et mixte

Une peau normale est douce au toucher, uniforme et sans imperfection apparente. Elle peut parfois être grasse et luisante dans la zone  » T  » composée du front, du nez et du menton, il s’agit alors d’une peau mixte. La production de sébum n’est pas excessive. Elle présente le micro relief d’une peau normale bien hydratée et ne sécrète ni trop de sueur ni trop de sébum.

La peau grasse

La peau grasse est liée à l’abondance et à la nature du sébum excrété à la surface de la peau par la glande sébacée, organe cible des androgènes. Elle se rencontre le plus fréquemment chez les adolescents et les jeunes adultes. L’excès de sébum lui donne un aspect luisant, notamment sur le front, les ailes du nez et le menton. Dans les cas extrêmes, diverses formes d’acné peuvent se développer. Une peau grasse est épaisse, bien hydratée et recouverte d’un film gras protecteur. Elle est moins sensible aux facteurs extérieurs, au dessèchement, au stress et, de ce fait, moins sujette aux rides et aux marques du vieillissement.

La peau sèche

Une peau sèche est une peau qui manque de lipides, qui manque d’eau ou qui manque des deux. D’autres facteurs peuvent avoir leur importance comme le rayonnement ultraviolet, la pollution ou les conditions climatiques. Lorsque la peau est sèche par manque de sébum, il y a moins de lipides protecteurs, elle réagit plus fortement aux agressions. Elle se ridera plus tôt que les autres types de peau.
Les personnes ayant la peau sèche éprouvent une sensation de tiraillement après la toilette. La peau sèche se rencontre également chez les personnes plus âgées qui accusent une perte d’élasticité et des signes de vieillissement visibles causés par un ralentissement du renouvellement des cellules de l’épiderme. La notion de peau sèche déshydratée est associée à un manque d’hydratation important. La caractéristique la plus évidente est certainement un toucher rêche et une rugosité de la surface cutanée, accompagnée parfois de desquamation irrégulière ou de craquelures. Elle peut être constitutive, comme souvent chez des peaux pâles, minces, fragiles, ayant tendance à l’eczéma ou sensibles au froid (tendance aux gerçures) ou à la sécheresse de l’air ambiant entraînant des tiraillements et des démangeaisons plus ou moins fortes [15].

La pénétration cutanée des produits cosmétiques

En thérapeutique, la pénétration au travers de la peau normale des molécules de poids moléculaire élevé, en règle supérieur à 1000 Daltons, est très difficile en raison de la cohésion du stratum corneum.
Après contact du produit cosmétique avec la peau, ce dernier va migrer suivant un processus de diffusion s’apparentant aux lois de Fick : le flux de diffusion d’une substance au travers d’une membrane est proportionnel au gradient de concentration de la substance.
Pour chaque substance donnée, un coefficient de diffusion dépendant de la taille de la molécule et de la température conditionne le flux de diffusion. Le sens du flux de migration de la substance se fait en direction de la concentration la plus basse, c’est-à-dire vers la profondeur de l’épiderme.
La cinétique de pénétration d’une substance au travers de la peau peut être schématiquement modélisée en trois phases :
1- La libération du principe actif à partir de son excipient : Tout d’abord, la molécule active va devoir se libérer de son véhicule. Pour cela elle va se dissoudre en son sein, si ce n’est déjà fait, puis elle va diffuser dans sa masse pour pouvoir être partagée avec la couche cornée
2- La pénétration du stratum corneum : A ce niveau, l’actif doit impérativement se fixer sur la couche cornée pour pouvoir la pénétrer par la suite. D’une part, il va falloir le dissoudre parmi les composants du FHL de surface. D’autre part, il va falloir trouver un moyen de franchir ce mur que forment les cornéocytes. Plusieurs chemins sont alors possibles.
– La voie transcellulaire : les molécules diffusent passivement de cellule en cellule. Cette voie est plutôt réservée aux molécules hydrophiles qui vont se fixer sur les sites protéiques présents dans les cornéocytes.
– La voie intercellulaire : les molécules passent alors dans le ciment interlipidique puis dans le liquide interstitiel des couches vivantes. On retrouvera préférentiellement les substances lipophiles ou amphiphiles. La surface des espaces intercellulaires ne représente que 5% de la superficie de la couche cornée. Ce chemin n’est donc pas le plus emprunté.
– La voie de passage à travers les annexes : les particules lipophiles peuvent éventuellement pénétrer dans les follicules pileux pour rejoindre le derme réticulaire. Mais, elles peuvent se lier aux composants du sébum. Un réservoir folliculaire de molécules actives peut se créer dans la glande sébacée stoppant leur diffusion. Le passage par les glandes sudoripares eccrines est beaucoup plus rare car le flux sudoral tend en permanence à s’extérioriser. Ces voies (folliculaire, sébacée et sudoripare) représentent, globalement, 0,1 à 1% de la surface cutanée.
Une fois la couche cornée franchie, les molécules vont diffuser plus ou moins profondément selon les propriétés dont elles jouissent, afin d’agir au plus près de leur cible.
3- La diffusion dans les tissus vivants : l’épiderme, le derme et la circulation systémique au travers des vaisseaux dermiques [16, 17].

Les facteurs influençant l’absorption percutanée des produits cosmétiques

De nombreux facteurs conditionnent l’absorption percutanée des substances appliquées sur la peau comme on cite à titre d’exemple :

Le rôle de la formulation

La concentration du principe actif, solubilité du principe actif dans l’excipient, coefficient de partition entre le principe actif et l’excipient, stabilité du principe actif, activité thermodynamique du principe actif.

Les propriétés physicochimiques du stratum corneum L’hydratation, température, pH, épaisseur, intégrité.

Le rythme d’application du médicament

L’application sous occlusion par un pansement où un système de délivrance spécifique peut augmenter la pénétration de certains produits.
En pratique médicale trois éléments importants liés à l’hôte sont à considérer concernant les variations de pénétration d’un médicament administré par voie cutanée :
 Le site d’application du produit
L’épaisseur du stratum corneum varie de manière importante en fonction des différentes parties du corps. Les zones où le stratum corneum est peu épais (comme le visage, les organes génitaux, les plis axillaires et inguinaux, le cou) sont associées à une pénétration accrue des médicaments topiques. Pour certains produits comme les corticoïdes, la pénétration cutanée est multipliée par 10 sur le visage et jusqu’à 40 sur le scrotum par rapport à la peau de l’avant-bras. A l’opposé, les zones du corps où le stratum corneum est épais, comme les paumes des mains et les plantes des pieds, sont associées à une pénétration réduite des médicaments. L’âge du patient : chez le petit enfant et chez le prématuré il existe une immaturité de la fonction barrière cutanée et du stratum corneum qui favorise une pénétration accrue des produits. Par ailleurs, chez l’enfant, le rapport surface cutanée / masse corporelle est plus élevé que chez l’adulte, ce qui contribue à un risque accru d’absorption par voie cutanée et d’effet systémique des médicaments administrés par voie topique (voir tableau ci-dessous).

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Table des matières

INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : GENERALITES SUR LA PEAU ET LES PRODUITS COSMETIQUES
1. LA PEAU
1.1. Rappels anatomo-physiologiques
1.1.1. L’épiderme
1.1.1.1. Structure et organisation de l’épiderme
1.1.1.2. Fonctions de l’épiderme
1.1.2. La jonction dermo-épidermique
1.1.2.1. Structure et organisation de la jonction dermo-épidermique
1.1.2.2. Fonctions de la jonction dermo-épidermique
1.1.3. Le derme
1.1.3.1. Structure et organisation du derme
1.1.3.2. Fonctions du derme
1.1.4. L’hypoderme
1.1.4.1. Structure et organisation de l’hypoderme
1.1.4.2. Fonctions de l’hypoderme
1.1.5. Les annexes de la peau
1.1.5.1. L’appareil pilo-sébacé
1.1.5.1.1. Le follicule pileux et le poil
1.1.5.1.2. La glande sébacée
1.1.5.1.3. La glande sudoripare apocrine
1.1.5.1.4. Le muscle pilo-moteur
1.1.5.2. L’appareil sudoripare eccrine
1.1.5.3. L’appareil unguéal
1.2.1. La peau normale et mixte
1.2.2. La peau grasse
1.2.3. La peau sèche
1.3. La pénétration cutanée des produits cosmétiques
1.4. Les facteurs influençant l’absorption percutanée des produits cosmétiques
1.4.1. Le rôle de la formulation
1.4.2. Les propriétés physicochimiques du stratum corneum
1.4.3. Le rythme d’application du médicament
2. LES PRODUITS COSMETIQUES
2.1. Définition
2.2. Les différents types de produits cosmétiques
2.3. Réglementation des produits cosmétiques
2.3.1. Aspect et cadre réglementaire
2.3.2. Surveillance contrôle des produits cosmétiques
2.4. La composition des produits cosmétiques
2.4.1. Généralités
2.4.2. Les règles relatives à la composition des produits cosmétiques
2.4.3. Étiquetage des produits cosmétiques
2.4.4. Les conditions générales de mise sur le marché des produits cosmétiques
2.4.4.1. Obligations en termes de fabrication du produit cosmétique
2.4.5. Les principaux acteurs (fabricants, importateurs, distributeurs et utilisateurs)
2.4.6. Les compétences requises pour la mise sur le marché d’un produit cosmétique
2.4.8. Les responsabilités des distributeurs
2.4.9. La responsabilité après la mise sur le marché
3. L’ALLERGIE
3.1. Généralités
3.2. L’implication du produit cosmétique dans la réaction allergique
3.2.1. Mécanismes et manifestations cliniques de l’allergie au produit cosmétique
3.2.1.1. Hypersensibilité de type I ou allergie immédiate
3.2.1.2. Hypersensibilité retardée ou médiation cellulaire ou de type IV ..
3.2.1.3. Photo-allergie
3.2.2. La photosensibilité
3.2.2.1. Définitions
3.3. Les différentes voies de sensibilisation
3.3.1. Approche de l’allergie en fonction de sa topographie
3.3.2. Approche de l’allergie en fonction de ses mécanismes
3.4. Étiologies des intolérances cutanées dues aux produits cosmétiques
3.4.1. Les allergènes mis en cause
3.4.1.1. Les parfums
3.4.1.2. Les huiles essentielles
3.4.1.3. Les conservateurs
3.4.1.4. Les excipients et émulsifiants
3.4.1.5. Les colorations capillaires
3.4.1.6. Les filtres solaires
3.4.1.7. Autres allergènes
DEUXIEME PARTIE : ROLE DU PHARMACIEN ET SON IMPLICATION DANS LA PREVENTION DES ALLERGIES AUX PRODUITS COSMETIQUES
1. LA METHODE D’IMPUTABILITE
1.1. Le score chronologique
1.2. Le score sémiologique
1.2.1. Symptomatologie
1.2.2. Examens complémentaires (EC)
1.2.3. Réexposition au produit cosmétique
2. CONDUITE A TENIR EN CAS D’IRRITATION OU ALLERGIE A UN PRODUIT COSMETIQUE
3. LES CONSEILS PRATIQUES DU PHARMACIEN EN CAS D’ALLERGIE A UN PRODUIT COSMETIQUE
CONCLUSION
REFERENCES BIBILIOGRAPHIQUES

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