Les facteurs bloquants se rapportant à la mise en place des délégués paysans

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Estimation de l’environnement externe

Le projet de recherche TÖB et le PAAP, principales institutions qui valident cette recherche, œuvrent toutes deux dans le cadre du développement rural. Inéluctablement, cette recherche doit être conduite dans ce même cadre et cela implique que l’étude doit être incluse dans la politique et concorder avec la politique de développement rural en vigueur.
Actuellement, le PADR ou Plan d’Action pour le Développement Rural constitue le référentiel unique de toute intervention (réforme agraire, programme, projet, étude,…) en matière d’action de développement en milieu rural et de lutte globale contre la pauvreté2. Historiquement, le PADR dérive de l’ajustement de la politique économique prescrite dans le DCPE ou Document Cadre de Politique Economique dont l’application est fortement sollicitée par les bailleurs de fonds (Banque Mondiale) en raison de contribution à l’effort de redressement économique et de créer un cadre macro-économique qui garantit une croissance durable. Le DCPE stipule par ailleurs le désengagement progressif de l’Etat de tout secteur de production en responsabilisant les acteurs privés de développement notamment les associations paysannes, les groupements de bénéficiaires, les opérateurs économiques et les organismes non-gouvernementaux. Il est de l’intérêt de la recherche de se focaliser essentiellement sur l’amalgame de tous ces éléments.

Appréhension de l’environnement interne

Comme il a été mentionné précédemment, l’investigation est conduite conjointement par trois institutions : l’ESSA (Ecole supérieure des sciences agronomiques), le programme de recherche TÖB et le PAAP. L’environnement interne est donc formé par les acquis de ces trois institutions à travers leurs ressources, leurs stratégies ainsi que leurs potentiels et leurs insuffisances.
Pour réaliser la recherche, le chercheur représenté par un candidat au Diplôme d’Etudes Approfondies en Sciences forestières auprès de l’ESSA est encadré comme suit :
– une personne ressource issue du PAAP cadre la réflexion par rapport aux acquis du projet.
– un représentant du TÖB approuve le processus général et le cadre global par rapport au terme de référence.
– un professeur de l’ESSA – Forêt encadre scientifiquement le chercheur pour la formulation de plan de recherche et se constitue rapporteur au moment de la soutenance du travail.
De ce fait, lors de la présentation des résultats finaux de l’étude, les apports de tous ces intervenants enrichissent considérablement l’analyse. Les personnes ressources du PAAP (techniciens, délégués paysans, groupement,…) et les autres services techniques fournissent les éléments d’analyse et les encadrements scientifiques garantissent l’appréciation scientifique de la recherche.
Par ailleurs, le programme TÖB développe d’autres études dans d’autres régions de Madagascar notamment à Ambatolampy auprès du PDFIV et à Port-Bergé au sein de l’ODAI afin de s’acquérir plusieurs alternatives d’approche.

Cadre limite de l’étude

L’estimation de l’environnement externe à la recherche a pour objectif majeur de déterminer les domaines qui peuvent échapper à l’ensemble des institutions qui font les investigations.
A ce sujet, le PADR est encore au stade embryonnaire pour la région de l’Itasy et ses environs. Les responsables sont actuellement dans la phase de collecte de données indispensables pour élaborer les divers plans depuis l’échelle du village (plan de développement villageois) au niveau de la région (plan de développement régional). Pour le moment, aucune politique clairement formulée à laquelle toute intervention doit se référer n’est disponible. L’environnement qui garantit le cadrage de toute intervention ultérieure se trouve en phase de conversion et cela limite considérablement le développement des investigations vers un angle de réflexion du GTDR.
De plus, la politique générale de l’Etat insiste sur la mise en place des provinces autonomes lesquelles prennent une place considérable dans le processus de formulation et approbation de la politique ou priorités du développement. Pourtant, ces provinces autonomes ne sont pas encore aptes à formuler des stratégies ou politiques à adopter compte tenu de l’indisponibilité des informations nécessaires dans cette structure et de l’intérêt actuel basé d’abord sur l’aménagement.
Pour en terminer, la présente recherche s’inscrit prioritairement dans le cadre de l’auto-promotion des acteurs ruraux privés. Ainsi, le programme TÖB adopte des stratégies consistant à analyser en premier lieu les alternatives d’assistance technique à Madagascar puis en second lieu d’identifier la pérennité de ces alternatives à travers des pondérations socio-économiques des impacts des aménagements entrepris. En dernier lieu, édifier des stratégies à mettre en exergue pour instaurer une structure d’assistance technique autonome toujours dans l’objectif d’une gestion pérenne des ressources naturelles.

Récapitulation de la méthodologie

Selon Aktouf O.3, le travail de recherche scientifique se définit comme étant un effort analytique, rigoureux, progressif et systématique d’éclaircissement d’une situation, d’un fait ou d’un ensemble de faits à l’aide d’outils et de techniques spécifiques. Cet effort va de l’identification et la définition du problème jusqu’à l’aboutissement à une ou plusieurs solutions ou possibilités de dépassement de la situation initiale. Dès lors, la partie méthodologique met en exergue simultanément toutes les démarches et étapes suivies lors des investigations.
Dès que les termes de référence de la recherche sont clairs, la formulation de la question de départ pour circonscrire le problème s’avère primordial. Ces essais de formulation iront de pair avec les travaux d’exploration qui constituent un premier coup d’œil sur l’ensemble des investigations, menant à l’énoncé d’une question de départ appropriée. Il importe surtout dans cette première phase de rompre avec toutes les sortes de prénotions acquises afin de situer objectivement la recherche car c’est à ce niveau que se développent les grandes lignes des investigations ultérieures.
L’exploration comprend les opérations de lecture qui visent essentiellement à assurer la qualité de la question de départ provisoire. Les entretiens exploratoires aident à avoir un contact plus réel avec la problématique par les vécus des acteurs sociaux. L’exploration s’efforce de trouver des pistes d’éclaircissement à travers les entretiens ouverts et souples avec les groupes d’intérêts principaux : les délégués paysans, la communauté villageoise, les groupements,… A travers la revue de la littérature par des mots -clés, cette étape situe la recherche dans l’ordre des ouvrages scientifiques déjà existants en développant des analyses à partir de théories et de concepts approuvés scientifiquement et permet de relever des « concepts locaux » qui s’appliquent à des éléments évidents de la structure de l’approche. Les concepts transcrivent le pivot de la méthode scientifique sur lequel repose toute la démarche et sont ainsi utilisés pour reconnaître les éléments ou les dimensions qui se rapportent au problème général et également pour préciser les relations postulées entre ces éléments. A l’issue de cette investigation exploratoire surgit la formulation du problème de recherche.
Dès lors, un cadre conceptuel qui évoque la problématique est construit. Ce cadre illustre en même temps les problèmes auxquels la recherche est appelée à trouver des solutions et toutes les dimensions y afférentes ainsi que l’approche4 et les méthodes5 appropriées à la résolution. En quelque sorte, c’est la production du cadre scientifique de la recherche par rapport à des concepts et normes préétablis.

Etapes et démarches méthodologiques

Cette première hypothèse se rapporte surtout aux deux premiers points d’analyse mais se réfère également sur le dernier point qui s’annonce être un indicateur du résultat de l’approche. Dans la première phase de la méthodologie d’approche du PAAP, plus précisément lors de la programmation et l’animation de la séance d’éveil, deux catégories d’acteurs principaux sont identifiées : la communauté ciblée et les techniciens animateurs du PAAP.
Selon les techniciens du PAAP, quelques animations ont été d’avance vouées à l’échec (comme le cas d’Andolofotsy) tandis que d’autres ont fait ressortir des résultats prometteurs (comme le cas de Keliapombo). Aussi, cette différence pousse à focaliser la recherche sur les spécificités des animations menées dans ces deux villages ainsi que les différents rapports qui existent entre les facteurs endogènes (les acteurs) et les facteurs exogènes.
A cet égard, l’entretien centré (focused view) qui a pour objet d’analyser l’impact d’un évènement ou d’une expérience précise sur ceux qui y ont assisté ou participé8 est approprié. Néanmoins, des interviews ouvertes ou semi-directives avec ceux qui ne sont pas concernés pourraient développer la recherche en mettant en évidence la défaillance de l’approche adoptée par le PAAP lors de l’animation.

Discussions méthodologiques

Etant donné que les principaux résultats de l’approche sont épaulés par les délégués paysans, il importe de discerner en premier lieu le processus de mise en place de ces délégués paysans avant de procéder à l’analyse évaluative de ces derniers.
L’objectif de la séance d’éveil est de mobiliser la communauté ciblée, incluant toutes les catégories de gens qui la forment : homme, femme, vieux, jeune, enfant, émigrant, riche, pauvre,… ceci afin que cette communauté soit sensibilisée et que chacun puisse évoquer ses besoins propres. C’est au cours de cette séance que s’exprime l’implication effective ou non de la population dans le processus d’auto-promotion initié par le PAAP.

Etapes et démarches méthodologiques

Cette deuxième hypothèse se rapporte principalement au quatrième point d’analyse qui s’intéresse aux différentes formes de mise en oeuvre des formations acquises par les délégués paysans et l’ensemble de l’organisation des activités du PAAP et des délégués paysans sur le terrain. Comme le PAAP essaie d’étendre ses zones d’intervention, l’idée de travailler avec des groupements a été développée afin de faciliter l’organisation du travail en général. Il est alors indispensable d’inventorier les groupements qui travaillent de concert dans ce cadre pour établir une typologie qui constitue le référentiel de l’échantillonnage d’acteurs mis en évidence. La recherche analysera par la suite les rapports qui s’exercent entre ces acteurs.
En corollaire, l’entretien11 avec tous les types d’acteurs concernés est important pour appréhender les idées propres à chaque acteur. Le discours fait lors de l’entretien est alors inséré dans les déterminants contextuels psychologiques et sociaux de ces acteurs et feront l’objet d’analyse de contenu pour étayer les perspectives de recherche12.

Discussions méthodologiques

La société et le « Fihavanana » priment dans la culture malagasy. Le fait de créer intentionnellement un tel ou tel groupement donne naissance au démembrement de cette société en de petites unités qui risquent fort de perturber dans sa globalité l’équilibre ou la cohésion qui règne dans la société. Or, le PAAP a tendance à privilégier l’intervention au niveau du groupement, s’il y en a un, et ceci pour des raisons organisationnelles. Cela pourrait avoir pour conséquence d’exclure délibérément les gens qui n’en font pas partie.
Deux variables font l’objet d’analyse notamment le fondement et la constitution de ces groupes de travail d’une part et les impacts ou rapports qui s’exercent à l’intérieur du groupe même et envers les tiers environnant.

Choix des sites à étudier

Le PAAP intervient actuellement dans deux districts : celui d’Analavory et celui d’Andasibe. Pour une recherche plus poussée, la restriction de la zone d’étude à quelques sites dans ces deux districts est primordiale. Cette restriction est coordonnée au croisement des facteurs jugés pertinents pour cadrer la recherche en vue d’obtenir la meilleure représentativité des situations possibles.
Ces facteurs sont basés en premier lieu sur les diverses appréciations de résultat de la part des techniciens du PAAP à propos des travaux fournis par chaque délégué paysan (les DP qui sont encore opérationnels ou ceux qui ne le sont plus) et à propos du déroulement des séances d’éveil. Ces facteurs résultent, à leur tour, des investigations exploratoires à la suite de quoi les variables/indicateurs traduisent empiriquement les hypothèses. Pratiquement parlant, le choix des sites réside sur le fait que soit le site affiche distinctement la réussite de la séance d’éveil ; soit il dénote un développement de réseau quelconque soit enfin il offre ces deux caractéristiques mais enregistre quand même un aperçu d’initiative d’auto-promotion suite à l’animation du PAAP.
Ainsi, quatre sites sont choisis pour mener les investigations :
site 1 : site d’Andolofotsy : un cas où le PAAP a déjà mis en place des délégués paysans lors d’une séance d’éveil toutefois jugée non satisfaisante. Parmi ces délégués paysans, certains sont encore opérationnels alors que d’autres ont abandonné et ont été remplacés.
site 2 : site de l’Ifanja : il y a quelques années, le PAAP a animé la communauté de cette région et des délégués paysans ont émergé de cette étape. Quelques temps après, tout a disparu. Actuellement, des actions souhaitées par quelques groupements qui s’intéressent un peu plus à leur développement sont entreprises.
site 3 : site d’Antanimenakely qui se trouve dans le nouveau district où le PAAP entreprend d’étendre son intervention. Ce site n’est encore qu’au stade d’initiation ou même de lancement mais des activités et des délégués paysans sont déjà en place.
site 4 : site de Keliapombo où des délégués paysans se révèlent être performants. Des actions collectives entreprises avancent également des résultats prometteurs.
Certes, à chaque site peut correspondre la vérification d’une hypothèse mais on peut aussi les intégrer dans les autres hypothèses, jouer sur les variantes figées. C’est en quelques sortes l’attribut du quatrième site.

Limite de l’étude

En général, la présente recherche relève en majeure partie du domaine des sciences sociales et humaines. Les lois établies dans ce cadre sont incontestablement dépendantes des conditions d’observation et du choix des indicateurs d’une part et du contexte de la recherche d’autre part. De ce fait, les résultats qui s’ensuivent ne peuvent être valables dans d’autres contextes socio- économico-culturel non similaires. Néanmoins, la démarche méthodologique reste toujours fidèle et égale à elle-même et applicable dans d’autres contextes mais avec quelques ajustements. Comme la recherche en science sociale touche bon nombre de domaines de la vie de la communauté en question, il y a de forts risques que la recherche n’aperçoive que ce qu’elle veut appréhender à travers les variables et les indicateurs élucidés. De plus, les indicateurs optés pour la vérification de l’hypothèse sont trop nombreux et leur interprétation prête à confusion. Du fait de la complexité du système, quelques variables/indicateurs tendent à confirmer l’hypothèse alors que d’autres tendent à l’infirmer. De ce fait, la recherche est amenée à développer d’autres variables/indicateurs analogues plus fidèles que les premiers dans l’identification et la résolution du problème.
Par ailleurs, cette recherche exige un certain nombre d’entretiens et de dialogues avec les groupes d’intérêts respectifs surtout avec les DP ainsi qu’avec les communautés bénéficiaires. Or, pour des raisons organisationnelles, il a fallu programmer les descentes sur terrain et la logistique (transport et hébergement de l’impétrant) en fonction des programmes d’activités de l’équipe technique du PAAP. Cela a restreint inévitablement les possibilités de disposer du maximum de sources à enquêter en général. En effet, correspondant à la période de collecte de données sur terrain, l’équipe PAAP avait déjà programmé dans son programme de travail annuel (PTA) des descentes de suivis des actions entreprises et des réanimations pour redynamiser les sites endormis. Aucune séance d’éveil n’était au programme. De ce fait, il n’y eut aucune possibilité d’examiner de plus près l’efficacité de l’outil GRAAP.
En fait, les travaux sur terrain se répartissent comme suit .
– deux (2) descentes à Andolofotsy (site 1) dont la première a servi aux suivis des actions entreprises ainsi qu’à la programmation d’une formation de groupement local. La deuxième descente fut consacrée à la réanimation. Quant à la recherche, la première descente a permis d’examiner les réalisations du PAAP sur terrain et de recueillir les propos des groupes d’intérêts locaux tandis qu’au cours de la deuxième descente, tout ce qui concerne la réanimation a pu être soulevé.
– deux (2) descentes à Ifanja (site 2) : pour les activités du PAAP, elles ont été centrées sur le suivi des actions des groupements notamment la production de semence de maïs tandis que les travaux de recherche ont été focalisés sur les démarches des groupements et leurs rapports entre eux-mêmes et envers les tiers environnants.
– une (1) descente à Antanimenakely (site 3). Cette descente sur terrain a été consacrée à la réanimation du site aussi bien pour les techniciens du PAAP que pour la recherche. C’est ainsi que les travaux sur les conditions de réussite d’une séance d’animation ont pu être plus pointus.
– une (1) descente à Keliapombo (site 4) : pour la recherche, l’entretien qui s’y est tenu avec le DP jugé performant a été déterminant.
Sur ce, la limitation de l’investigation sur un site à une ou deux descentes seulement a affecté incontestablement l’effectivité des résultats d’enquête. Une descente sur terrain est programmée pour une durée d’une semaine environ et les restes des travaux d’investigation se sont tenus au cours des séances de formation des DP au centre de formation d’Antanikatsaka sis à Analavory.

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Table des matières

METHODOLOGIE
I – LE CONTEXTE DE LA RECHERCHE
1 – Initiation et approbation de la recherche
2 – Un coup d’oeil sur le mandat des institutions et groupes d’intérêts concernés par la recherche
21 – Le PAAP
22 – Le TÖB
23 – Le chercheur et son encadrement scientifique
24 – Les entités travaillant avec le PAAP
3 – Analyse de l’environnement de la recherche
31 – Estimation de l’environnement externe
32 – Appréhension de l’environnement interne
33 – Cadre limite de l’étude
II – LE CADRE CONCEPTUEL
1 – La problématique
Hypothèse 1 :
Hypothèse 2 :
Hypothèse 3 :
2 – Récapitulation de la méthodologie
3 – Les points d’analyse
III – LE CADRE OPERATOIRE
1 – Hypothèse 1
11 – Etapes et démarches méthodologiques
12 – Discussions méthodologiques
2 – Hypothèse 2
21 – Etapes et démarches méthodologiques
22 – Discussions méthodologiques
3 – Hypothèse 3
31 – Etapes et démarches méthodologiques
32 – Discussions méthodologiques
4 – Choix des sites à étudier
5 – Limite de l’étude
RESULTATS
I – RESULTAT – 1 : Clauses de réussite de l’approche
1 – Synoptique sur l’intervention du PAAP
2 – Les facteurs bloquants rencontrés lors de la programmation de la séance d’éveil
21 – Facteurs bloquants liés à l’histoire des autres interventions
22 – Facteurs bloquants liés à la conjoncture locale
3 – Les facteurs bloquants rencontrés lors de la séance d’éveil proprement dite
31 – Les facteurs bloquants liés à l’ingérence de l’assistance
32 – Les facteurs bloquants relatifs à l’incompréhension de l’assistance
4 – Les facteurs bloquants se rapportant à la mise en place des Délégués paysans.
II – RESULTAT – 2 : Classification des actions collectives
Critère de classification : Représentation graphique des actions collectives
1 – Cadran « réalisme social »
2 – Cadran « regroupement pour une stratégie de dépannage »
3 – Cadran « développement social »
4 – Cadran « développement économique »
5 – La famille
III – RESULTAT – 3 : Etude comparative des visions
1 – La notion de développement selon l’institution d’appui
11- Les interventions pour le développement rural
12- Cadre général de l’intervention du PAAP
13 – L’adoption paysanne selon l’institution d’appui
14 – Les blocages de l’adoption paysanne selon l’institution d’appui
2 – La notion de développement d’après les paysans
3 – L’adoption paysanne.
31 – Observer
32 – Se former
33 – Appliquer
34 – Comprendre
35 – Adapter
36 – Adopter ou rejeter l’innovation
4 – Autres facteurs obstruant l’adoption paysanne
SUGGESTIONS ET RECOMMANDATIONS
Une pré-animation s’impose
Les paysans sont disposés à toute sorte de réunion une fois de retour de leur champ
Etaler la séance d’éveil en trois étapes sur trois jours
Formuler un plan de développement neutre pour toute la communauté
Le PAAP devrait engager un technicien socio-organisateur
CONCLUSION
LISTE BIBLIOGRAPHIQUE ET ANNEXES

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