Les Fables de Phèdre : En quête d’une meilleure éducation

La fable : définition, structure et finalité

Définition La fable est un genre littéraire à part entière. Nous sommes parfois tentée de l’assimiler au conte ou à la parabole. Il n’en est rien. A finalité éducative, la fable est le récit d’une petite histoire assez risible, se terminant, ou commençant par une leçon de morale, un précepte sur lequel il nous faut nous appesantir scrupuleusement et cogiter avec le plus grand sérieux en vue de nous bonifier, de nous perfectionner. Dans certains cas, par contre, la morale est si évidente qu’elle est omise par l’auteur afin que le lecteur la déduise tout seul. La plupart du temps, dans la fable, les personnages fictifs et scéniques sont des animaux. Sous son allure plutôt burlesque, la fable a pour vocation d’éduquer par l’exemple : elle fait certes rire, mais elle est surtout préventive et accroche l’attention des plus jeunes, comme des plus âgés. C’est dans cette logique d’idée que Phèdre, dans son Prologue, l’assimile à deux matériaux : risum movet (« il fait rire ») et prudenti […] consilio monere (« il donne de sages conseils »). La fable rectifie les comportements tout en plaisant.

Le précurseur

   L’origine de la fable est indissociable du personnage d’Esope, son créateur, qui aurait laissé à la postérité plus de cinq cents fables, même si l’histoire nous rapporte qu’une grande partie de ces écrits a été perdue au fil des siècles. Nous ne connaissons pas grand-chose à son sujet si ce n’est qu’il a été esclave, que ses contemporains mirent fin à sa vie pour vol au temple d’Apollon et qu’il aurait vécu au courant du Vème siècle av. J.-C. La musique à laquelle Socrate s’essayait en prison était, dit-on, la fameuse poésie d’Esope, soit les fables. Vérité ou affabulation ? Toujours est-il que les histoires autour d’Esope, le Phrygien, sont légions. Avec le concept de « Nihil novi sub sole », il faudrait néanmoins se demander si la fable ne trouve pas son origine dans une civilisation antérieure à celle grecque. Un écrivain, Dom Pernety, à ce propos, affirme la forte influence de la brillante civilisation mésopotamienne sur la littérature grecque notamment le genre poétique, d’autant plus que celle-là est antérieure à la civilisation grecque. Il affirme aussi que les Egyptiens sont les premiers fabulistes. Mais le Proche-Orient, sans ôter à la fable grecque son charme et sa singularité l’a tout de même inspirée. Lorsqu’il s’agit de dire une vérité générale, ou tout simplement ce que l’on pense, lorsqu’il s’agit de nous prononcer sur un sujet précis, il est préférable de bien choisir et de bien peser ses mots avant d’ouvrir la bouche. Autrement dit, il faut tremper la flèche empoisonnée de la vérité dans le miel si doux et sucré, avant afin d’atténuer son amertume et son âcreté. Là aussi, la fable trouve son origine dans le fait d’affirmer sa pensée et ses convictions de façon déguisée. La question qui se pose est de savoir, à l’époque d’Esope, ce qui l’aurait poussé à écrire ses fables. Dans quel contexte le personnage du fabuliste, et par la même occasion donc le genre fabuleux, s’est-il révélé au grand jour ? La réponse se trouve dans le contexte politico-social de l’époque. Il est question d’analyser brièvement les grandes lignes de l’évolution institutionnelle et territoriale, suivant les changements politiques à Athènes du VIIIème siècle au VIIème siècle avant notre ère.

La postérité

  En ce qui concerne la postérité de la fable, après Esope, elle fut grande et se manifesta dans divers domaines, aussi opposés les uns qu’aux autres. Ainsi, le poète comique du Vème siècle, Aristophane, s’en inspire pour écrire ses comédies. Toujours au Vème siècle, le philosophe Platon fait son éloge dans La République à travers le personnage du fabuliste qu’il estime et loue, en raison de sa psychologie et de sa mission didactique au sein de la société. Aussi fait-il mention de la fable d’Esope, Le lion vieilli et le renard, dans le premier Alcibiade. Au IVème siècle, Antisthène, puis le disciple de Platon, Aristote, évoquèrent des fables à titre d’exemples illustratifs. L’objectif d’une telle démarche était sans doute de faire rire et de détendre l’atmosphère, avant de se lancer dans des discussions plus sérieuses et d’aborder des sujets philosophiques requérant plus de gravité. Du côté de la rhétorique antique, on attribue l’apologue L’âne et son ambre à l’orateur attique Démosthène qui l’inclut dans un de ses discours. Comme mentionné plus haut, c’est à la fin du IVème siècle et au début du IIIème siècle av. J.-C., que la rédaction des fables est entreprise. Diogène de Sinope, également appelé Diogène le cynique, philosophe du mouvement cynique, affirme que ce sera l’œuvre de Démétrios de Phalère, disciple d’Aristote et de Théophraste. Entre la moitié du IIIème siècle ou sa fin tout au plus, et le début du IIème siècle (période hellénistique), la fable tend quelque peu à disparaître. Elle est à nouveau propulsée au-devant de la scène par les poètes augustéens. Ennius aurait donné le texte intégral de la fable de L’hirondelle et ses petits, Lucilius celui de la fable Le lion vieilli et Catulle allude à la fable Les deux sacs. Les poètes comiques Plaute et Térence ne sont également pas en reste. Même l’historien Varron rapporte la fable La chauve-souris et les belettes. Le genre satirique n’est pas non plus à la traîne puisque Horace versifia, avec un grand art, la fable Le rat des villes et le rat des champs mais aussi celle-ci Le renard au ventre gonflé. Il s’agissait là de donner une petite liste des auteurs, ayant eu à honorer, par une reprise ou une évocation, une fable. Par contre, ce sont les latins Phèdre et à plus petite échelle Avianus, respectivement aux Ier et IVème siècles de notre ère, ainsi que le grec Babrius à la fin du Ier siècle, qui donnèrent à la fable versifiée ses lettres de noblesse. Dans quelle mesure les deux auteurs dernièrement cités ont impacté dans l’histoire de la fable et qui étaient-ils ? C’est à ces questions que nous tenterons de répondre avant de nous consacrer tout particulièrement à notre auteur Phèdre. Ayant vécu sous l’empire romain, Babrius est un auteur romain de langue grecque. Sa vie est méconnue. Ses dates de naissance et de décès sont méconnues du public et sa patrie d’origine prête à de multiples polémiques. Les historiens s’accordent pour affirmer qu’il aurait vécu au IIème siècle ou au IIIème siècle de notre ère. Ce qu’on lui attribue, c’est la réécriture des fameuses fables d’Esope sous forme de vers choliambiques grecs. Selon toute vraisemblance, il serait originaire, selon certains, de la Cilicie, et selon d’autres, de la Syrie. Il aurait été précepteur à la cour d’un noble et aurait dédié son premier livre au prince dont l’instruction était à sa charge. Même la Souda se trouve quasi impuissante face à ce personnage. Le voile se lève quelque peu au XIXème siècle, plus précisément en 1843, lorsque l’envoyé du gouvernement de Louis-Philippe, Mynas, découvre dans le monastère du mont Athos un manuscrit renfermant cent quarante-trois fables originales du conteur, sur les deux cents qu’il aurait écrites. Du point de vue du style, les fables babriennes sont écrites avec élégance certes, mais il leur manque la profondeur et la sagacité de celles de Phèdre. On lui connut un second recueil de quatre-vingt-quinze fables que certains attribuent plutôt à Mynas. Notons que l’empereur Julien, au IVème siècle, appréciait fort l’œuvre de Babrius, si l’on en croit ses écrits. Dans tous les cas, tout ceci est sujet à caution. En ce qui concerne Avianus, même constat que pour Babrius. Il lui manque, à lui aussi, la perspicacité dans la manière d’écrire ses textes, même si l’habileté y est. Egalement imitateur d’Esope, il aurait composé quarante-deux fables en vers élégiaques. Le choix de ce genre poétique, l’élégie, pourrait connoter la tristesse et la mélancolie de l’auteur quant à ce qu’il évoque, à savoir sa déception à propos du genre humain. Avianus est aussi imitateur de Babrius, puisque ses écrits sont des paraphrases savantes de ce dernier. Fervent adversaire du christianisme, il fut le disciple de Macrobe, à qui il dédia son livre de fables. Ce que l’on note de personnel dans les fables d’Avianus, ce sont quelques changements de personnages. L’élégie n’étant pas l’idéal à la composition d’un récit, les fables de l’auteur prêtent parfois à confusion. Néanmoins, elles connaissent un succès non négligeable au Moyen Age. Babrius et Avianus furent de prolifiques fabulistes. Si la fable est bien présente au début de l’Empire romain, elle le sera également à la fin. Avec notamment, l’historien judéo-romain Flavius Josèphe qui réécrivit L’apologue du renard et du hérisson, mais cette fois-ci en prose. Plutarque de Chéronée, écrivain du Ier siècle de notre ère, en inventa même de nouvelles comme la fable Le chien cherchant une maison et celle-ci Le vieillard et ses enfants. Au IIème siècle, le rhéteur Lucien de Samosate, que nous connaissons pour son style indifféremment ironique et satirique semble, lui aussi, s’être adonné à l’écriture de fables telles que L’âne revêtu de la peau du lion, Le chien et le cheval et surtout Les burlesques singes danseurs. Sous l’empereur Marc-Aurèle enfin, le rhéteur Nicostrate aurait publié quelque dix livres de fables, dont aucune trace ne subsiste, mais qui, dit-on, furent d’un grand art. Ce que nous retiendrons en guise de récapitulatif -et d’approfondissement – sur l’histoire de la fable, c’est que cette dernière traverse les siècles sans perdre de son éclat ni de son attrait. En effet, de l’Antiquité à l’époque contemporaine, la fable en a séduit plus d’un. C’est donc au IVème siècle av. J.-C. que Démétrios de Phalère rassemble la première collection de fables ésopiques, aujourd’hui perdue. En l’an 315 de notre ère, le rhéteur Aphtonius d’Antioche composa un traité sur la fable et en transcrivit une quarantaine en latin, en prose. Il faut dire qu’entre temps, la fable était devenue un instrument de travail communément répandu à travers les écoles de l’Empire pour parfaire l’éducation morale des élèves. Il était d’usage chez les jeunes gens de l’étudier, afin d’en discuter, non seulement la morale, mais aussi, le style et la grammaire. Un des exercices favoris était -il fallait développer la virtuosité syntaxique des élèves- de mettre en prose une fable en vers, ou au contraire de versifier une fable en prose. Ce travail de paraphrase se retrouve d’ailleurs dans nos manuscrits où certains récits sont passés par diverses phases : une phase originale (souvent de Babrius mais en prose !) a été mise en vers, puis en prose et il est fréquent que l’exercice en prose ait été luimême retranscrit en vers, le résultat final étant parfois, tout à fait stupéfiant, en comparaison avec le texte original ! Bref, ces exercices ont permis de perpétuer la fable ésopique. Une telle fonction éducative explique que toutes les collections qui nous ont été transmises -hormis Phèdre bien entendu, et Avianus, qui avait des ambitions hautement littéraires, à en croire les introductions de ses fables- étaient toutes à destination scolaire, de Babrius à Aphtonius. Parler de l’histoire de la fable signifie se plonger très loin dans le temps avec Esope au IVème siècle av. J.-C. dans la Grèce antique et avec Phèdre au Ier siècle à Rome, qui reprend le flambeau et les motifs d’Esope. Au IIIème siècle, en Inde, il faut mentionner un certain Pilpay ou Bidpâi, également fameux conteur de fables et écrivain moraliste. Le mot français « fable » vient du latin fabula (du verbe fari : parler, raconter) qui désigne une fiction, un récit ou une narration, et en particulier comme genre littéraire, un court récit en vers ou en prose, comportant une morale ou une moralité. Au Moyen Age, le nom d’Esope a donné le terme Ysopet pour désigner la fable. Citons au XIIème siècle les Ysopets de Marie de France, poétesse de la Renaissance de ce même siècle. Au XIVème siècle, un petit plus est ajouté à la fable : une illustration ou image. Les fables de ce type, composées d’un titre, d’une image, d’un court récit en vers puis d’une moralité porte le nom d’Emblèmes. Citons les Emblesmes de Guillaume Guéroult, éditeur, traducteur et poète français du XVIème siècle. La fable atteint son apogée au XVIIème siècle, en France avec Jean de la Fontaine, dont le nom est aujourd’hui indissociable de la fable. Il s’inspire d’Esope et de Pilpay, ainsi que des Ysopets du Moyen Age et des Emblèmes de la Renaissance et élève le genre à la dignité de la poésie.
Exemples : Du Loup et de la Grue (Esope), Dou Leu et de la Grue ki li osta l’os de la goule (Marie de France), Le Loup et la Cigogne (La Fontaine). Au XVIIIème siècle, c’est au tour du poète Florian de s’illustrer dans le genre. Au XIXème siècle, Alphonse Allais prend la relève. Au XXème siècle, Jean Anouilh écrit les Fables et René Obaldia les Innocentines. A part ces écrivains et poètes, d’autres réécrivent telle ou telle autre fable à leur convenance, de manière plus subjective. Ainsi, La Cigale et la Fourmi de Jean de La Fontaine se transforme en La Fourmi et la Cigale chez Françoise Sagan et en La Cimaise et la Fraction chez Raymond Queneau. Pierre Gamarra, écrivain français du XXème siècle, a aussi composé une fable à destination des enfants intitulée Le Lapin et le Latin. Voici ce que dit la fable :
« Certain jour, un jeune lapin
Voulut apprendre le latin.
Dédaignant les bosquets et les tendres feuillages,
Il galopa plein de courage
Jusqu’au collège du canton.
Il frappe. Quelque factotum
Entrouvre la porte. Il expose
Son projet. Il voulait savoir « rosa, la rose ».
-Quoi ? Comment ? Qu’est-ce donc ?
Un lapin dans nos cours,
S’étonna le cerbère.
Encore si tu parlais d’apprendre le tambour
Ce serait bien mieux ton affaire.
Retourne à ton pays, sinon la cuisinière
T’apprendra le civet sans faire de façons :
Il suffira d’une leçon !
Comme notre Jeannot insistait, le bonhomme
Lui dit : -Voyons ce que tu sais,
Je m’en vais te mettre à l’essai.
Prends un crayon et une gomme.
Jeannot fut fort embarrassé !
Il savait seulement tenir une carotte.
-Comment veux-tu donc, saperlotte,
Ecrire comme Horace et lire Cicéron ?
Tu ne peux dessiner ni barre ni bâton.
Apprends donc, mon très cher, à Barbouiller des pages.
Toute chose demande un brin D’apprentissage.
Le bon Jeannot n’avait pas tort
De vouloir augmenter sa science
Mais avant d’achever il faut bien qu’on commence
Et l’on n’a rien sans effort.
Au fait, on ne dit pas au bout de cette histoire
Si Jeannot fut admis au cours préparatoire! »
Ce qui ressort à travers cette fable pour les enfants excités voire parfois intenables, pour les jeunes passionnés et obstinés, qui veulent tout obtenir sans délai et, parfois sans peine aucune, pour tout un chacun, c’est l’art de cultiver la Patience. Il est clair qu’il est bien important, tout à fait logique d’avoir un objectif, préalablement établi, et de vouloir l’atteindre coûte que coûte, vaille que vaille, aussi vite que possible. Néanmoins, il faudrait commencer par le commencement et ne pas brûler les étapes. Ne pas placer la charrue avant les bœufs, dans la mesure où négliger les jalons et les étapes peut coûter extrêmement cher, d’où une semence à la va-vite avec pour résultat une médiocre récolte. A vouloir aller plus vite que la musique, on finit par s’emmêler les pinceaux et par tomber de haut, quand lâcher prise et lâcher du lest nous auraient certes quelque peu retardés, dans l’instant présent, mais nous auraient propulsés beaucoup plus loin dans le futur. Globalement, l’éducation scientifique ; particulièrement, l’éducation morale (mos maiorum) et son déclin. Nous ne pouvons nier qu’il existe bel et bien une interdépendance des civilisations grecque et latine. Mais ce mot « interdépendance » est un peu inadéquat dans un certain sens. La Grèce a influencé Rome. Par exemple, cette dernière est l’élève de la première sur le plan politique, littéraire, culturel, artistique, etc. Rome est donc dépendante de la Grèce sur beaucoup de points. Sur presque tous les plans, Rome s’inspire de son prédécesseur. Cela ne veut, en aucun cas, dire que les Romains n’étaient rien sans les Grecs, mais ces derniers les ont modelés, taillés, raffinés… ou plutôt conduits à leur perte. Du point de vue éducationnel, Rome n’est pas en reste, avant l’implantation des Grecs. Pourquoi ? Parce qu’elle s’est érigée un système de formation sûr pour chacun de ses citoyens, hommes et femmes, de l’enfance à l’âge adulte. Un retour dans le temps, plus précisément à la fin du VIème siècle av. J.-C., nous permet de mieux comprendre l’éducation romaine archaïque. Par « archaïque », n’entendons pas vieille, désuète, dépassée. L’éducation romaine repose essentiellement sur la vertu : ensemble de principes, de valeurs gravées sur ce disque vierge qu’est l’enfant et dont la finalité est le collectivisme (le fait que les enfants sont éduqués pour servir la patrie). Système vintage, système d’attardés, diraient certains aujourd’hui, dans notre société moderne, urbanisée. Justement, les Romains ne sont pas des citadins, mais des paysans. Ce sont des aristocrates ruraux, des « gentlemen farmers » comme le dit Marrou, qui sont très attachés à leurs terres qui définissent leur rang au sein d’une société déjà hiérarchisée.

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Table des matières

Introduction
PREMIERE PARTIE : AUTOUR DE LA FABLE
I/ La fable : définition, structure et finalité
1- Définition
2- Structure
3- Finalité
II/ Origine de la fable
1- Le précurseur
2- Le contexte
3- La postérité
DEUXIEME PARTIE : AUTOUR DE L’ŒUVRE
I/ L’ouvrage et son architecte
1- L’auteur et son style
2- Le commentaire de l’œuvre : les valeurs et préceptes qui en découlent
TROISIEME PARTIE : L’EDUCATION ROMANO-AFRICAINE
I/ L’éducation à Rome
1- Globalement, l’éducation scientifique ; particulièrement, l’éducation morale « Mos maiorum » et son déclin
2- L’éducation grecque à Rome
II/ L’éducation en Afrique
1- Définition de l’éducation en Afrique
2- Caractéristiques de l’éducation traditionnelle
3- Différentes techniques d’éducation
4- Le « mos maiorum » africain
Conclusion
BIBLIOGRAPHIE

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