Soutenance mémoire
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Problématique et hypothèse de la recherche
La problématique :
Les différentes analyses menées par l’auteur montrent que l’enseignement du rugby en milieu scolaire impose une double réflexion sur les effets recherchés et les moyens didactiques et pédagogiques à mettre en oeuvre pour parvenir à agir sur les conduites motrices des élèves. En effet, c’est essentiellement en fonction des transformations recherchées sur les élèves que l’enseignant didactise la pratique sportive (passage de l’objet culturel à l’objet d’enseignement par transposition didactique) et transforme les techniques corporelles sportives en techniques corporelles scolaires En ce qui concerne l’enseignement d’un rugby authentique (conservant son essence et sa rusticité, dangerosité), c’est la gestion du couple risque et sécurité qui constitue l’essentiel de la réflexion des enseignants.
L’auteur a évoqué pour cette recherche la problématique suivante : « Sur quoi agir et quelles stratégies permettront de transmettre les bases fondamentales du jeu du rugby aux élèves du point de vue didactique et pédagogie face à l’impérative concernant la préoccupation sur la sécurité des élèves dans la situation d’affrontement physique nécessairement accidentogéne ? »
Hypothèse :
Pour avoir des éléments de réponse à la problématique ; l’auteur avance deux hypothèses dans ce travail, d’abord dans les domaines didactiques, ensuite dans le domaine de la pédagogie.
Première hypothèse dans le domaine de la didactique
La maîtrise des risques corporels en rugby doit être replacée dans une connaissance élargie du rugby : son histoire, son évolution et son règlement, sa structure (systématique du jeu) et l’ensemble des gestes techniques.
Il émet donc son hypothèse dans le domaine de la didactique que «l’enseignement d’un rugby scolaire authentique et sécurisé repose sur des compétences professionnelles dans les différents secteurs de la transposition didactique »
Deuxième hypothèse dans le domaine de la pédagogie
La prise de conscience du niveau de dangerosité dans les situations d’affrontement permet de construire des techniques corporelles scolaires, l’élève doit être responsabilisé. L’intervention de l’enseignant auprès de ses élèves est déterminante pour que ceux-ci intègrent les différences entre les techniques corporelles sportives fédérales (TCSF) et les techniques corporelles sportives scolaires (TCSS).
Dans le domaine pédagogique l’auteur émet son hypothèse que« les interventions de l’enseignant sont essentielles pour informer les élèves des risques corporels. »
Le cadre théorique
Pour bien asseoir cette recherche, l’auteur a dans un premier temps effectué une analyse sur le passage du rugby fédéral au rugby scolaire, le contenu et démarche d’enseignement du risque corporel maitrisé en rugby en situant les spécificités du modèle d’enseignement.
L’auteur a ensuite apporté quelques éclaircissements sur les différents concepts, théorie qui servent de référence a son travail, concepts et notions qui se rapportent à la gestion du risque sécurité.
Quelques concepts
Théorie de l’apprentissage
Le modèle socio-culturel présente deux impératifs qui peuvent sembler difficilement conciliables à première vue :
un enseignement directif, nécessaire pour la gestion de la sécurité des élèves et leur socialisation ; l’accent est mis sur la compréhension des enjeux autour des techniques corporelles scolaires en situation socialisée.
une liberté dans l’apprentissage, indispensable pour la construction de techniques corporelles efficientes et émancipatrices.
Dans le cas de l’enseignement d’un rugby authentique en milieu scolaire, l’auteur utilise donc des stratégies d’enseignement qui permettent de transmettre rapidement l’ensemble des principes : principes d’action sécuritaires, principes d’efficience. Parce que le pourquoi précède toujours le comment, le modèle socio-culturel s’appuie principalement sur les théories socio-constructivistes interactives. C’est un point de vue que l’auteur a développé dans un des chapitres de l’ouvrage
Processus d’apprentissage
La construction des techniques corporelles se réalise alors en relation avec leur sens. Les processus cognitifs (perceptifs et décisionnels) sont sollicités au plus près de l’essence de l’activité ; l’élève prend conscience de la dangerosité du jeu et de l’importance de la responsabilité qu’il engage dans chaque situation. L’élève construit ses techniques corporelles en passant par les trois phases que constituent : la découverte, l’appropriation et le renforcement, le tout dans un cadre parfaitement socialisé, réglementé et sécurisé. Les interventions ciblées sur les processus affectifs, perceptifs et décisionnels de la conduite motrice permettent à l’élève de construire des techniques dotées d’adaptabilité motrice.
Procédures d’enseignement
Le positionnement éducatif qui conduit à proposer des situations d’apprentissage contextualisées dans lesquelles l’élève retrouve la double contrainte motrice et éducative (être responsable d’une action en termes d’efficacité et de sécurité pour les autres). Les valeurs sont présentes dans chaque acquisition. Les situations d’enseignement que l’auteur propose sont conçues au service d’unités tactiques isolables. L’élève doit maîtriser ces unités tactiques en situation d’apprentissage, les consolider et les automatiser en situation de perfectionnement pour les exploiter en situation de référence.
Technique et EPS
En EPS, les démarches d’enseignement peuvent être centrées sur l’objet culturel (la technique pour la technique) ou à l’opposé fonctionnalistes (psychomotrices – ex : la psycho cinétique de Deleplace, (1966).
La technique sportive est revenue au premier plan des transmissions de l’EPS, les techniques et tactiques sont intégrées dans les connaissances procédures. La technique est associée à la tactique. On peut ainsi parler de connaissances tac-tico-techniques (Bouthier, 2007). La technique n’est enseignée en EPS que dans un contexte d’intentions (tactiques ou stratégiques), en relation avec des enjeux éducatifs.
Enseignement de la technique
L’école est un lieu de transmission de culture, de socialisation et d’émancipation. L’EPS est dans ce cadre plus particulièrement responsable de l’enseignement de la culture motrice et sportive de la société dans laquelle évoluent les élèves. Sur ses techniques corporelles sportives viennent se greffer des objectifs de socialisation et de créativité. Les techniques corporelles doivent donc être transmises en EPS avec la garantie qu’elles deviennent objets de réflexion et de pensée. La particularité des techniques sportives est qu’elles sont souvent engagées dans des environnements à risques. C’est le cas du rugby. Pour trouver un équilibre entre les conditions sécuritaires, la liberté créatrice et la recherche de socialisation.
Passage du rugby fédéral au rugby scolaire
La construction des techniques corporelles se fait dans le respect des capacités de chacun, dans un esprit d’auto-socio-construction. Si les capacités créatrices de l’élève sont stimulées, au sens entendu par Menaut, (1998) le modèle d’enseignement socio-culturel préconise une grande rigueur didactique dans les cinq étapes didactiques de la chaîne transpositive. Les analyses historiques, réglementaires, éducatives, tactiques et techniques conduisent à des propositions de situations d’enseignement respectant l’authenticité culturelle du rugby, au service de la socialisation et de l’émancipation de l’élève.
La violence et le modèle d’enseignement
Le modèle d’enseignement socio-culturel que l’auteur préconise pour le rugby spécifie clairement les différences entre agressivité positive et négative, entre volonté d’éprouver et volonté de blesser, entre agressivité à développer et agressions à ne pas prodiguer sur l’adversaire. Cela passe par la justification de l’esprit du jeu et la responsabilisation des joueurs (responsables de la sécurité des adversaires et des partenaires). Il s’appuie sur les trois niveaux d’agressivité (brutalité – férocité – combativité) pour que les élèves comprennent et intègrent les limites de l’agressivité tolérée dans leurs techniques corporelles. Parce qu’il est contradictoire, le rugby est hautement civilisé. Le combat que l’auteur propose en milieu scolaire est un combat non violent, un combat respectueux, où l’élève est amené à faire la différence entre la force et la violence, entre la brutalité et la combativité, où l’esprit domine le corps.
La violence et les risques corporels
C’est l’essence même du rugby, et du rugby scolaire qui implique le risque de blessure. Ces risques, à les mettre en avant dans l’enseignement pour mieux orienter l’élève vers des techniques corporelles responsables. Sa position est ici contraire à celle de Brunet, (2009) lorsqu’il affirme que le rugby n’est ni dangereux ni violent comme on se plaît à le dire et à le faire croire. Mais il est en accord avec Conquet, (1964) pour que la pratique du rugby comporte quelques risques (comme tous les jeux d’opposition au corps) ; il faut bien les connaître et bien les mesurer pour bien les prévenir. L’auteur va plus loin lorsqu’il affirme qu’un jeu de combat peut constituer une pratique dangereuse et qu’il ne faut pas craindre de le dire. Le modèle socio-culturel insiste sur une relation pédagogique (enseignant – élèves) articulée autour des risques corporels. C’est parce que le risque est omniprésent dans le jeu et dans le discours que le niveau de responsabilité augmente, aussi bien pour les élèves que l’enseignant. Cette relation pédagogique est aussi très présente au travers du règlement. Conquet préconise l’intégration de principes de sécurité, quand Villepreux, (1991) met en avant la responsabilisation des joueurs.
« APROCHE DE LA PROBLEMATIQUE DU RISQUE ET DE LA SECURITE PAR UN MODELE D’ENSEIGNEMENT SOCIO- CULTUREL DU RUGBY SCOLAIRE DANS UN LYCEE DU CENTRE VILLE D’ANTANANARIVO »
Le travail de réplication que nous envisageons, concerne la prévention et les conditions d’une pratique sécurisée du rugby à travers l’utilisation d’un modèle d’enseignement mettant l’accent sur la responsabilisation des apprenants et l’acquisition de gestes techniques et tac-tico-techniques efficients. C’est une étude centrée sur la formation des enseignants d’EPS concernant le risque et la sécurité des apprenants ; elle a pour ambition d’apporter une solution aux enseignants d’EPS à Madagascar en utilisant le modèle d’enseignement comme support. Les élèves construiront des gestes techniques (techniques corporelles) sécurisés dans le respect de l’esprit du jeu.
Le choix de cette réplication s’explique par les difficultés survenues lors de l’élaboration de ce mémoire .Au départ de la réflexion, nous voulions réaliser jusqu’au bout les objectifs et la méthodologie de la thèse mère, mais vu la situation politique et les grèves des enseignants au sein du Ministère de l’Education National tous les établissements publics étaient fermés. Ayant perdu du temps dans la recherche de solution, sous les conseils du chef mention donc nous avons décidé de faire l’expérimentation au sein des établissements privé de la capital.
le contexte et justification sur l’enseignement du rugby en milieu scolaire à Madagascar
Le système éducatif malgache est lourdement affecté par la situation sociale et économique du pays. Le budget l’éducation nationale reste faible, les disparités régionales sont grandes. Manque de matériels pour tous les établissements scolaires même dans le centre-ville d’Antananarivo. L’éducation physique joue un grand rôle dans la pédagogie de la conduite de l’homme ; c’est à partir de l’activité physique et sportive qu’il pourra déterminer la bonne maitrise de son comportement. Pour cela, les enseignants doivent améliorer les disciplines sportives .L’article 3 de la loi 97014 met en évidence que « les activités physiques et sportives comprennent toutes les disciplines sportives modernes et traditionnelles ainsi que celles reconnues ou pas par le Comité Olympique International ».
Dans le cadre de l’enseignement secondaire de l’éducation Nationale, l’éducation physique est reconnue au même titre que les autres disciplines. Et dans la circonstance présente, elle est obligatoire. En effet, les enseignants d’EPS doivent présenter aux élèves des séries de disciplines éducatives dans chaque domaine d’activité. Ceci a également pour le but et le bon développement de la conduite humaine. L’Education physique et sportive (EPS) est parfois négligée dans les établissements scolaires par rapport aux autres matières. Dans les classes primaires, certains établissements privés la classent parmi les travaux parascolaires tandis que dans le secondaire de premier cycle, elle est pratiquée pendant un minimum de temps dans la semaine, notamment 1h30 à 2h. Et même lors de l’examen officiel pour obtenir le diplôme du Baccalauréat, elle est presque considérée comme bonification vu que son coefficient fléchit au fur et à mesure des années.
Mais comme la société malgache privilégie les activités duelles, il est normal de constater que le rugby occupe la 1ère place d’après la statistique de nombre des licenciés dans les cinq disciplines plus connues .En effet le rugby est un habitus social des bas quartiers dans la capitale, et à ce titre il véhicule une certaine forme de culture sociale au niveau des gens de ce milieu défavorisé.
Malgré la popularité et l’engouement du public envers le jeu du rugby, on constate malheureusement son absence dans le milieu scolaire alors qu’il existe dans le programme de l’EPS du primaire au terminale mais n’occupe pas une place au niveau du sport scolaire, alors que le nombre des candidats à l’épreuve pratique du Bepc et baccalauréat ne cesse d’augmenté de 27% l’année dernière. Certains étudiants du département ENS/EPS spécialiste du rugby ont tenté d’utiliser les résultats de leurs recherches universitaires dès qu’il sont en poste dans leur lieu d’affectation pour enseigner le rugby comme Rafalimanana, J.Berthin, (1991) qui a eu la conviction de mettre en pratique l’enseignement du rugby au lycée Andoharanofotsy et qui est chargé de l’organisation générale de cet essai de pénétration du rugby en milieu scolaire, mais le chef d’établissement et les parents d’élèves ne sont pas favorable à l’enseignement des sports à risque et accidentogènes plus particulièrement le rugby est considéré par la société comme un sport des voyous pratiqué par des voyous ( représentation sociale malgache de la pratique du rugby). Apparemment il est nécessaire que le rugby fasse la preuve d’une image éducative auprès des enseignants et crédible auprès des parents pour être adopté et faire partie intégrante des supports de l’éducation physique. L’ensemble des formes de pratiques corporelles proposées en éducation physique mobilise les ressources de façon particulière et sollicite les personnes dans leur relation à l’environnement physique et la communication aux autres. C’est l’une des raisons qui nous a poussés dans notre réplication de présenter le modèle d’enseignement socio-culturel du rugby. Le contexte de Madagascar rend encore plus importante la question des savoirs des enseignants concernant le rugby car tous les enseignants exerçant dans les établissements (collège ou lycée) publics ou privés n’ont pas forcément suivi des formations professionnelles et même disciplinaires. Si on rajoute à cela le manque de ressources pour actualiser ou réguler leurs savoirs. Quelle place le rugby peut-il tenir dans l’enseignement de l’éducation physique ? Quels besoins profonds serait-il sensé satisfaire par rapport à d’autres activités ? Quels critère orientent le choix de ce sport collectif dans la programmation de l’établissement ?.
Les objectifs du programme scolaire de l’EPS à Madagascar
Afin de compléter ce contexte sur Madagascar, il convient de faire des orientations du curriculum. Pour ce faire, le programme d’éducation physique et sportive (EPS) (Ministère de l’éducation national, 1996-1997) constitue une ressource importante.
Par la pratique des activités physiques, sportives et artistiques l’EPS doit amener chaque élève à :
Développer et mobiliser des ressources individuelles concourant à l’enrichissement de sa motricité :
o enrichir ses expériences corporelles ;
o percevoir et comprendre des situations motrices variées et se situer par rapport à celle-ci ;
o user méthodiquement de ses capacités organiques et foncières et des facteurs psychomoteurs de la conduite.
Gérer la vie physique et sociale :
o entretenir la capitale santé ;
o favoriser son adaptabilité à l’environnement spatial social, physique
o savoir adapter ses capacités à des situations similaires de la vie courante ;
o acquérir le sens de la responsabilité individuelle ou en groupe, et adapter des comportements et attitudes selon un système établi.
Accéder au patrimoine de la culture sportive tant moderne que traditionnelle :
o maitriser les concepts de base du phénomène sportif et participer effectivement aux compétitions correspondant à son niveau, à son choix et à divers titres dans le cadre du sport scolaire ou extrascolaire ;
o élaborer une synthèse et une mise en application des connaissances acquises à travers la pratique des activités physiques, sportives et artistiques variées et diversifiées.
Ensuite, le programme donne des objectifs généraux de l’enseignement :
Objectif de l’enseignement de l’EPS dans les lycées
A la sortie du Lycée, l’élève doit être capable de (d’) :
Maîtriser ses acquis ;
Maîtriser les principes d’entraînement et de gestion d’une organisation ;
Programmer et structurer des opérations et/ou des entreprises individuelles ou collectives ;
Maîtriser et exploiter un règlement ;
Développer une stratégie en vue d’un meilleur rendement ;
Acquérir des notions de prévention des accidents sportifs ;
S’imposer une discipline rigoureuse et un mode de vie sain ;
S’engager dans une compétition de son choix ;
Objectif de l’enseignement de l’EPS en classe de seconde
A la fin de la classe de 2nde, l’élève doit être capable de (d’) :
Améliorer, enrichir, stabiliser ses acquis ainsi que son potentiel physique et psychique;
Développer et affiner ses moyens d’investigation et d’exploitation ;
Élargir et étendre son champ d’action et ses domaines d’intervention ;
Contacter de bonnes habitudes comportementales dans l’accomplissement des tâches tactiques et la réalisation des gestes techniques dans le respect des points de règlement;
Gérer ses ressources ;
Adopter une hygiène de vie des mesures de sécurité liées à la pratique du sport ;
Maîtriser les tâches d’organisateur, d’observateur et d’officiel.
Et enfin, il expose les objectifs de la matière.
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Table des matières
LISTE DES ANNEXES
INTRODUCTION
1:PREMIERE PARTIE PRESENTATION DE LA THESE MERE
1-1.Objet de la recherche
1.1-1.Les techniques corporelles
1-1-2. Les modèles d’enseignement
1-2.Question de recherche
1-3. Problématique et hypothèse de la recherche
1-3-1.La problématique
1-3-2.Hypothèse
1-4.Le cadre théorique
1-4-1.Quelques concepts
1-4-2.La technique – les techniques
1-4-3.Passage du rugby fédéral au rugby scolaire
1-4-3-1.Les valeurs et le modèle d’enseignement socio-culturel
I-4-4.Le modèle d’enseignement
1-4-5.les effets d’un modèle sur les pratiques enseignantes
1-5.La méthodologie
1-5-1.L’échantillon
1-5-2.Une recherche descriptive et explicative
1-5-3.Les déroulements de l’expérimentation
1-6.Résultats et discussions
1-6-1.Résultats
1-6-2.Discussions
1-7 Conclusion de la première partie
DEUXIEME PARTIE LA REPLICATION : « APROCHE DE LA PROBLEMATIQUE DU RISQUE ET DE LA SECURITE PAR UN MODELE D’ENSEIGNEMENT SOCIO- CULTUREL DU RUGBY SCOLAIRE DANS UN LYCEE DU CENTRE VILLE D’ANTANANARIVO »
1. le contexte et justification sur l’enseignement du rugby en milieu scolaire à Madagascar
1-1 Les objectifs du programme scolaire de l’EPS à Madagascar
1-2Objectif de l’enseignement de l’EPS dans les lycées
1-3Objectif de l’enseignement de l’EPS en classe de seconde
2-Les disciplines obligatoires dans le programme scolaire de l’EPS
2-2.L’apport des jeux collectifs
2-3.L’apport spécifique du rugby
3-Problématique
4-Hypothèse
5. la méthodologie
5-1.L’échantillon
5-2.Les étapes du protocole d’expérimentation
5-3-Les contenus de l’activité
5-4. Les entretiens :
6. Question de recherche
7. Discussion
8. Les limites et les perspectives
9. Conclusion de la deuxième partie
CONCLUSION
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
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