Les différentes formes de territoire de regroupement

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Mode d’émergence et de développement du secteur informel

Le secteur informel occupe une place importante dans la sphère économique des pays du Sud en général et du Mali en particulier. Il fait vivre une fraction significative de la population de ce qu’on appelle de « Petits boulots ». Ce secteur gagne des territoires dans les milieux urbains (marchés, terrains, les sites, etc.). Son émergence dans les territoires prend source des politiques de délocalisation-localisation dans les villes africaines initiées par les autorités.
Selon l’Observatoire Economique et Statistique d’Afrique Sub-saharienne (AFRISTAT, 2010), le secteur informel est découvert au Kenya (en Afrique de l’Est) au début des années 1970 par le Bureau International du travail (BIT) et au Ghana (en Afrique de l’Ouest) par Hart (1972) cités par Charmes (2008). A l’origine, le concept « Secteur informel » était utilisé pour l’analyse des données et l’élaboration des politiques.
Selon Abdelouhab et Ramadane (2016)8, le développement du secteur informel est une conséquence directe de chocs économiques exogènes qu’ont subit les économies africaines :
Passage d’une économie planifiée à une économie de marché, dévaluation du franc CFA en 1994, crises économiques dans les pays occidentaux qui, par effet domino, impactent négativement sur les économies africaines, surévaluation du CFA par rapport aux devises étrangères, sécheresse dans les régions rurales, sous productivité du secteur agricole. Ces facteurs ont développé un exode rural vers les métropoles, et donc ont gonflé le secteur informel.
En plus, le climat des affaires, qui dépend directement de la politique conjoncturelle de l’Etat, explique aussi l’importance croissante de ce secteur. Un environnement des affaires négatif pousse l’entrepreneur à opter pour l’informel. En effet, il est possible d’y rentrer immédiatement, avec une mise de fond minimum.
D’autres causes se sont également associées et ont contribué au développement de l’activité informelle. L’activité informelle est un palliatif au manque d’emploi causé par la défaillance scolaire et à la politique d’ajustement structurelle. Cette politique a été imposée par les institutions financières internationales telles que le Fonds Monétaire international (FMI) et la Banque Mondiale (BM).
Enfin, les Etats de nombreux pays africains en général et l’Etat malien en particulièrement sont restés longtemps sous le choc de cette politique qui consiste à faire des ajustements structurels9, par la réduction des fonctionnaires et le départ à la retraite anticipée. Cette politique a donné une dimension importante au secteur informel dans l’économie de ces pays et constitue aujourd’hui un vecteur du développement des activités informelles.

Le cas du secteur informel au Mali et du regroupement des travailleurs du fer

Comme l’a noté l’Observatoire de l’Emploi et de la Formation (1996), au Mali, le Secteur Informel a été perçu depuis les années 1970. Il est devenu plus important à la suite de l’instauration du concours d’entrée à la fonction publique en 1983 et par la suite de la dévaluation du Franc CFA. La dévaluation et l’effritement du pouvoir d’achat des consommateurs sont intervenus en 1994. Durant l’époque de la dévaluation, l’informel a pris une ampleur considérable en milieu urbain.
Les premières études sur le secteur informel au Mali remontent à 1978 (Sarr, Cissé et Haïdara, 1999). De cette époque à ce jour, le tissu économique du Mali, à l’instar de celui d’autres pays en développement, continue de se renforcer. Le district de Bamako, en rapport avec d’autres villes du Mali, couvre la proportion la plus importante de l’activité informelle au Mali. Il compte 223 000 unités de production informelles soit 22,7% dans l’industrie, 51,4% dans le commerce et 21,3% dans le service10.
Ainsi, la part de l’informel au Mali dans le produit intérieur brut est de 55%11. Hors secteur primaire, le secteur informel représente 22% du produit intérieur brut (PIB). Par secteur, l’informel représente près de 98% des entreprises du secteur primaire et 66% du secteur tertiaire. Son poids dans le secteur secondaire reste relativement plus faible que dans les autres secteurs avec seulement 22% (INSTAT, 2015).
Fort de tous ces constats, le Bureau International du Travail (BIT) a procédé en 1978 à une enquête sur les activités informelles dans le district de Bamako. Les résultats de cette étude ont aidé à la mise en place du « Projet d’appui au secteur non structuré de Bamako et autres villes secondaires du Mali »12. Ce qui a abouti à de premières tentatives de regroupement dans le secteur du commerce en détail et dans le secteur de l’Artisanat.

Les différentes formes de territoire de regroupement

Nous distinguons deux formes de territoire de regroupement, à savoir : le territoire de regroupement formel et le territoire de regroupement informel. Le premier est le territoire des entreprises qui peuvent être identifié à travers les zones industrielles construites par l’Etat. C’est notamment le cas de reproupement de type marshallien rencontré en Italie, aux Etats-Unis, en France, etc. Ce sont ces derniers types de regroupement que nous allons présenter ici comme des regroupements de type formel.
Le second type de territoire de regroupement n’est rien d’autre que le territoire économique des travailleurs et vendeurs de fer appelé, espace spécialisé informel. Il présente des caractéristiques semblables à celles des territoires de regroupement formel. Ce type de territoire est étudié en premier lieu.

Le territoire de regroupement informel : cas de l’espace spécialisé

Les études archéologiques et historiques sur l’Antiquité, spécialement, celles portant sur l’Economie et l’Urbanisme, utilisent volontiers les concepts de « Quartier d’artisans » et de « Zone » ou d’autres plus ou moins équivalents afin de décrire et d’analyser les regroupements d’activités de production et d’échanges (Hammou, 2009).
Plus précisément, le concept de quartier d’artisans a été utilisé à partir du Céramique d’Athènes (Kerameikos) ; le « Quartier » de la ville où tous les ateliers de potiers et de peintres de vases d’Athènes auraient été installés. En plus du cas du Céramique d’Athènes, ce genre de concept a été en effet appliqué dans plusieurs ensembles urbains en Grèce égéenne et en Italie du Sud, mais aussi au Pont-Euxin (en Turquie)19, voire dans l’ensemble du monde gréco-romain. Ce concept n’est donc pas nouveau, mais doit son existence aux contextes.
Dans notre cas cependant, nous employons en lieu et place de « Quartier d’artisans », de « Zone » et de « Zonage », le concept « Espace spécialisé ». L’espace spécialisé est le site de recasement ou de cantonnement des activités économiques. Il est un territoire économique, différent du territoire en terme de pays et de régions. Ce sont de petits espaces à la dimension d’un terrain ou d’un site, qui abritent un nombre important d’unités de production, œuvrant dans le même domaine d’activités mais dans différentes spécialités. La figure ci-dessous délimite avec précision la dimension de l’espace spécialisé .

L’impact des formes de territoire de regroupement sur le développement des territoires

L’objet ici, consiste à comprendre l’impact de la dynamique de diffirents territoires de regroupement formel et informel sur le développement des territoires. Pour cela, nous avons identifié deux causes dont la première est due essentiellement à la taille des entreprises territorialisées et la seconde quant à elle, est relative à l’effet de regroupement.
Dans le premier cas, nous notons que les différents territoires étudiés ci-haut abritent en leur sein des petites et moyennes entreprises (PME). Les PME se voient reconnaître un rôle essentiel dans le développement du territoire en raison des rapports particuliers qu’elles entretiennent avec leur territoire d’implantation ou d’appartenance. Elles ont une réelle ouverture sur leur environnement qui va de pair avec un ancrage territorial très fort, poussant les entreprises concernées à travailler avec les débouchés locaux et à utiliser de façon prioritaire, les ressources disponibles. Elles développent dans le territoire, des capacités qui se traduisent par la mutualité, la mobilité, l’entraide et le dévouement du personnel au sein du collectif de travail (Trembaly et Wils, 2005).
En outre, ces PME évoluant sur un même territoire, développant entre-elles des relations particulières et singulièrement très efficaces. Ces relations sont à la fois marchandes et non marchandes, ce qui veut dire qu’elles combinent les règles (formelles) de la concurrence liées au libre jeu du marché avec les règles (informelles) de la coopération induites par l’appartenance à une même collectivité territoriale (Améziane, 2004).
Ce dernier cas est particulièrement important dans les cas des unités de productions informelles dans la mesure où les traditions de solidarité communautaire y sont en général plus vivaces et mieux préservées. Ces caractéristiques sont vues aujourd’hui comme les conditions de création d’une dynamique propre de développement à petite échelle, basée sur des spécificités historiques et socio-culturelles locales (Malika-Hattab, et Gilly, 2004).
Dans le second cas, les raisons sont dues au bénéfice procuré par le regroupement. Le regroupement est la traduction intégrale du processus d’agglomération, reposant sur une double externalité pécuniaire24. Il permet aux unités de production agglomérées d’avoir une bonne image de marque, de confiance et de stabilité vis-à-vis de leurs partenaires qui sont les clients, les fournisseurs et les demandeurs d’emplois. Dans ce sens, Mallard (2004) ajoute que l’une des acceptions dominantes du regroupement, concerne sans doute le développement massif de la sous-traitance et la décomposition associée des chaînes de valeurs dans un tissu industriel.
Par ailleurs, le regroupement permet d’allier la possibilité de concentration des ressources et d’émerger dans certains domaines d’activités. Il conduit ainsi à des collectifs productifs inédits qui posent de sérieuses questions au travail de mesure statistique, qui se doit d’inventer de nouveaux concepts et de nouvelles méthodes pour en cerner le périmètre et la nature (INSEE, 1997).
Bref, il faut noter que, les entreprises regroupées développent leur localité par les actions sociales et sociétales. Les actions sociales de ces entreprises sont centrées sur les travailleurs salariés et apprentis qui ont la chance d’appartenir à la communauté du travail du territoire. Communauté qui favorise l’intégration, l’accomplissement de soi, la réalisation des besoins physiologiques tels que le stipule Maslow (1940)25 à travers sa fameuse pyramide de Besoin.

La gestion des ressources humaines et son impact sur le développement des territoires

Cette section établit non seulement l’état des lieux de la notion de la GRH organisationnelle et de la GRH territoriale dans le secteur informel, mais aussi dans le secteur formel au regard des territoires formels. Elle met en évidence les aspects ressources humaines et les activités informelles liées à la GRH qui contribuent au développement des territoires. Ainsi, la synthèse se penchera sur la GRH au niveau des territoires, sur la contribution de la GRH à l’emploi et à la construction des rapports sociaux dans le territoire. Il s’agit en un mot d’apprécier l’impact ou la contribution de la GRH au déveleppoment des territoires.

La gestion des ressources humaines organisationnelle

La gestion des ressources humaines est une gestion particulière qui ne concerne que les ressources humaines. Les ressources humaines sont des personnes qui composent une organisation et sont chargées de la faire fonctionner (Thévenet et al., 2009, pp.03-05). Ainsi, la GRH relève de la gestion à deux niveaux dont le premier contribue à l’activité et à l’efficacité de l’organisation et le second signifie un processus de gestion qui s’applique aux RH et relève d’un domaine où il faut analyser, décider et contrôler.
La GRH est le facteur de succès de toutes les organisations (Simen et Tidjani, sd) et le plus important pour le succès d’implantation des entreprises (Wood, 2008) qu’elles soient très petites, petites, moyennes ou grandes. Elle permet l’harmonisation des services, la mobilisation des compétences et lorsqu’elle est bien administrée, permet l’amélioration du potentiel d’efficacité et de rendement. La recherche de meilleur rendement reste aujourd’hui l’une des préoccupations majeures de toute entreprise qui est à la recherche permanente de meilleure image de marque et de qualité de produit.
Centrée sur le personnel travailleur dans les entreprises, la gestion des ressources humaines implique la participation de l’ensemble des membres d’une entreprise, sans exclusion aucune. Comme indiqué dans le terme du sujet (Gestion des ressources humaines), on parle d’humains, et chaque membre d’une organisation, d’une entreprise a son rôle à jouer, que l’on parle de l’employé, du syndicat (s’il y a lieu) aux professionnels jusqu’aux dirigeants de l’entreprise car, l’interaction de tous les acteurs de l’entreprise est indispensable. Si le rôle de chacun est bien établi, si le taux de participation de chaque groupe d’individu est élevé, on a tous les éléments en place pour bien réussir.
La GRH suppose de tenir compte du caractère autonome des individus et d’être capable de gérer les attentes et interactions sociales. Le travail représente une activité sociale aux dimensions contradictoires, à la fois source de revenu, à l’origine d’un statut social et d’une activité contraignante (Guillot-soulez, 2012-2013, p.20). La dimension contradictoire conduit à soulever le débat autour au regard de son caractère classique et de son application dans le secteur informel.

GRH informelle versus classique : Quel rôle dans les entreprises informelles ?

Dans le secteur informel, la gestion des ressources humaines ne présente pas une grande spécificité en rupture avec son application classique comme nous l’entendons dans les entrprises formelles. Ses pratiques sont reglementées et se tiennent dans de cadre strictement managérial, légal et conventionnel. Elles relèvent d’une vision d’ensemble de l’entreprise contrairement aux entreprises du secteur informel où sa particularité reste son caractère intutif, inhérent à la forme de l’entreprise (Saini et Budhwar, 2008). Malgré l’hétérogenéité des entreprises informelles de petites tailles, la GRH dans le secteur informel est limitée au flair et à la guise du patron dirigeant qui demeure hétéroclite dans ses attitudes comme le souligne Messeghem et Sammut (2011).
Les pratiques de GRH telles que le recrutement (par le réseau personnel du dirigeant), la rémunération (à la tâche, à la pièce, en nature), la formation (initiative du salarié et sur le tas), la communication (orale) et le leadership sont des pratiques très présentes dans les unités de productions informelles de petites tailles comme l’a montré Simen (2017) dans son étude sur les pratiques de GRH dans les petites entreprises sénégalaises. Ces pratiques informelles, précisons-le à la suite de Bayad, Razouk et Chantal (cités par Chiarello, 2015) sont la résultante des intentions stratrégiques déterminées du dirigeant propriétaire. C’est le dirigeant qui détermine et interprète les pratiques RH comme l’ont noté Hambrick et Mason (1984) dans leur théorie intitulée la théorie des échélons supérieurs. Cette théorie part d’un double postulat où d’une part, les dirigeants ont des logiques d’action qui sont fonction de leur interprétation personnelle et d’autre part, leur perception a trait à leurs expériences, leurs valeurs et leur personnalité. La mobilisation de cette théorie permet de comprendre l’influence du dirigeant sur les pratiques de la gestion des ressources humaines (GRH) dans les PME.
L’influence des pratiques RH n’est pas seulement démontrée par Hambrick et Mason (1984), beaucoup d’autres auteurs comme Mahéde (2015), Torrès et Enrico (2014), Tidjani (2006) ont montré que les caractéristiques personnelles du dirigeant avaient une influence sur la GRH en PME, c’est-à-dire que c’est la fonction RH qui est gérée par le dirigeant lui-même.

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Table des matières

INTRODUCTION GENERALE
PREMIERE PARTIE : CADRE DE REFERENCE DE LA RECHERCHE
CHAPITRE 1 : SECTEUR INFORMEL, DEVELOPPEMENT DU TERRITOIRE ET APPROCHE GESTION DES RESSOURCES HUMAINES TERRITORIALE
Section 1 : Notions du secteur informel (SI), du territoire et du développement de territoire
1.1. Les caractéristiques du secteur informel
1.1.1. Mode d’émergence et de développement du secteur informel
1.1.2. Le cas du secteur informel au Mali et du regroupement des travailleurs du fer
1.2. Le territoire et son développement
1.2.1. Le territoire : Multiplicité de sens et difficulté d’appréciation
1.2.2. Le développement du territoire
1.2.3. Les différentes formes de territoire de regroupement
1.2.3.1. Le territoire de regroupement informel : cas de l’espace spécialisé
1.2.3.2. Le territoire de regroupement formel
1.2.4. L’impact des formes de territoire de regroupement sur le développement des territoires
1.3. Lien entre le secteur informel et le développment des territoires
Section 2 : La gestion des ressources humaines et son impact sur le développement des territoires
2.1. La gestion des ressources humaines organisationnelle
2.1.1. GRH informelle versus classique : Quel rôle dans les entreprises informelles ? .
2.1.2. Les activités informelles et GRH liées au développement des territoires
2.2. La gestion des ressources humaines territoriales (GRHT)
2.3. Les partiques de GRH domainantes dans les territoires : Impact sur le développement des territoires
2.3.1. Acquisition des ressources humaines dans les territoires
2.3.2. Régulation des ressources humaines dans les territoires
2.3.3. Mise en réseau et communication dans les territoires
2.4. Impact de la GRH sur le développement des territoires
2.4.1. Les ressources territoriales comme levier important de l’ancrage territorial
2.4.2. La territorialité des activités et les avantages induits par la GRH
2.4.3. Apport de la GRH à la localisation des activités et au développement des territoires
2.4.3.1. Apport de la GRH à la localisation des activités
2.4.3.2. Apport de la GRH au développement des territoires
2.4.4. Le rôle de la GRH dans la construction des rapports sociaux territoriaux dans le développement des territoires
2.4.4.1. Construction et développement des territoires par l’entrepreneuriat
2.4.4.2. Construction et développement des territoires par le capital social
2.4.4.3. Construction et développement des territoires par l’apprentissage
2.4.4.4. Construction et développement des territoires par les rapports sociaux
2.5. Périmètre d’intervention et dispositifs territoriaux de GRH en lien avec le développement des territoires
CHAPITRE 2 : POSTURE EPISTEMOLOGIQUE ET CADRE METHODOLOGIQUE
Section 1 : Choix épistémologique de notre étude
1.1. Le positionnement « Positiviste »
1.2. Le positionnement « Constructiviste »
1.3. Le positionnement « Interprétativiste »
1.4. Justification du choix de l’interprétativisme
Section 2 : La méthodologie de la recherche
2.1. Design de la recherche et résultat de l’entretien exploratoire
2.1.1. Notre démarche de recherche
2.1.2. L’étude exploratoire
2.1.3. Résultat de l’étude exploratoire
2.1.3.1. Implantation des travailleurs et vendeurs du fer dans l’espace Dingԑ ba
2.1.3.2. La construction des rapports sociaux dans le territoire
2.1.3.3. Organisation et développement du territoire
2.2. Une étude qualitative
2.3. La méthode inductive
2.4. Notre stratégie d’accès au réel : Etude de cas
2.5. Présentation du cas
2.5.1. L’espace spécialisé des travailleurs et vendeurs du fer dans le quartier Hippodrome de Bamako
2.5.2. Les différents métiers du fer pratiqués dans l’espace spécialisé de l’Hippodrome
2.5.2.1. La Coupe et la vente du fer
2.5.2.2. La forge
2.5.2.3. Le marmiton
2.5.2.4. La menuiserie métallique
2.5.2.5. Le soudeur
2.5.2.6. Le démontage du moteur ou le détacheur de pièce
2.5.2.7. La mécanique
2.6. Echantillon de l’étude
2.7. Les techniques de collecte des données
2.7.1. Entretien semi-directif
2.7.1.1. La réalisation du premier entretien
2.7.1.2. Les autres entretiens
2.7.2. La structure détaillée des entretiens réalisés dans l’espace spécialisé, à la mairie et dans les familles aux alentours de l’espace
2.7.2.1. Entretiens réalisés avec les travailleurs et vendeurs du fer
2.7.2.2. Entretiens avec les agents de la mairie de l’Hippodrome et de Missira
2.7.2.3. Entretiens avec les familles aux alentours de l’espace spécialisé
2.7.3. Les outils de collecte des données : Le guide d’entretien
2.7.3.1. Le guide des patrons et des salariés
2.7.3.2. Le guide des apprentis
2.7.3.3. Le guide des agents de la mairie
2.7.3.4. Le guide des habitants de la localité
2.8. Méthode d’analyse des données qualitatives : Analyse de contenu
2.8.1. Conception des thèmes
2.8.2. Justification du choix des thèmes
2.8.3. Justification du choix des sous-catégories et des catégories
2.8.4. Elaboration des dictionnaires : Des thèmes aux sous-catégories
2.8.4.1. Dictionnaire 1 : Catégorie processus d’implantation des TVF
2.8.4.2. Dictionnaire 2 : Catégorie ancrage des TVF dans l’espace spécialisé informel de l’Hippodrome
2.8.4.3. Dictionnaire 3 : Développement de l’activité du fer dans le quartier Hippodrome
2.8.4.4. Dictionnaire 4 : Pratiques ressources humaines dans l’espace spécialisé .
2.8.4.5. Dictionnaire 5 : Rôle de l’activité du fer dans le quartier Hippodrome
2.8.4.6. Dictionnaire 6 : Construction des rapports sociaux territoriaux
SECONDE PARTIE : ANALYSE DES DONNEES ET DISCUSSIONS
CHAPITRE 3 : ANALYSE DES RESULTATS DE LA RECHERCHE
Section 1 : Présentation des résultats de la recherche
1.1. Le regroupement des travailleurs et vendeurs de fer dans l’espace spécialisé
1.2. L’ancrage des travailleurs et vendeurs de fer
1.3. Le développement de l’activité de fer
1.4. Les pratiques ressources humaines dominantes
1.5. Le rôle de l’activité du fer
1.6. Construction des rapports
Section 2 : Analyse des résultats de la recherche
2.1. Le développement de l’espace spécialisé informel des travailleurs et vendeurs de fer
2.1.1. Le développement de l’espace spécialisé informel par l’ancrage des travailleurs
2.1.2. Le développement de l’activité du fer
2.1.3. Les pratiques RH dominantes dans les hangars favorisant le développement de l’espace
2.2. Le développement du territoire
2.2.1. Le regroupement des TVF, facteur contribuant au développement du territoire .
2.2.2. Le rôle de l’activité de fer dans le développement du territoire
2.2.3. Construction des rapports sociaux territoriaux par les actions RH
CHAPITRE 4 : DISCUSSION ET IMPLICATION MANAGERIALE
Section 1 : Discussion des résultats
1.1. Implantation et développement des territoires
1.2. Rôle de la GRH et le développement de l’activité du fer
1.3. Actions RH et développement des territoires
Section 2 : Implication managériale
2.1. La gestion de l’espace spécialisé entre travailleurs pour une meilleure organisation de l’espace.
2.2. La gestion de la relation avec les autorités communales
2.3. La gestion de la relation avec la population
2.4. Gestion du processus de développement de l’espace et du territoire
CONCLUSION GÉNÉRALE
BIBLIOGRAPHIE

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