Les différentes formes de la pratique de la zoothérapie

Les différentes formes de la pratique de la zoothérapie

Le concept de zoothérapie et ses acteurs

Pour Beiger (2008), la définition de la zoothérapie s’explique par la racine grecque du mot « zoo » pour signifier l’animal et « therapeia » qui signifie « soin, cure ». Selon Gosselin et Leblanc (2008), la zoothérapie se définit par tout genre d’activité qui implique un animal auprès d’une clientèle donnée dans un but clinique ou récréatif. Les auteures divisent ce concept en deux grandes pratiques distinctes : l’activité assistée par l’animal (AAA) et la thérapie assistée par l’animal (TAA). L’AAA est une activité qui a pour but d’améliorer la qualité de vie des personnes en les motivant à participer à un traitement.
Delta Society (2005) considère que l’AAA est une activité qui implique que des animaux visitent des personnes qui vivent ou qui fréquentent régulièrement des établissements. Ces visites peuvent être répétées de nombreuses fois sans toutefois avoir d’objectif précis autre que celui d’augmenter le bien-être des gens. Dans le cadre de l’AAA, il n’est donc pas nécessaire d’avoir d’objectifs d’intervention précis et toute personne rémunérée ou bénévole ayant reçu une formation de base peut mener ce genre d’activité (Delta Society, 2005). L’AAA consiste donc davantage à visiter, avec un animal, une personne ou un groupe dans le but de les divertir ou de les distraire. Pour sa part, la TAA est une intervention dirigée ayant des objectifs précis qui est effectuée par des professionnels de la santé et/ou services sociaux qui ont une expertise spécialisée dans le cadre de leurs fonctions professionnelles et ce, afin de promouvoir l’amélioration du fonctionnement physique, social, affectif et cognitif des personnes avec lesquelles ils interviennent (Beiger, 2008). Ainsi, dans le cas de la thérapie assistée par l’animal (TAA), il s’agit d’une intervention professionnelle où l’animal est sollicité comme une modalité d’intervention pour répondre à un plan d’intervention (PI) préétabli. Pour leur part, Bouchard et Delbourg (1995) parlent plutôt de la thérapie facilitée par l’animal (TFA). Elles définissent ce terme comme une démarche thérapeutique qui utilise les rapports que certaines personnes ont avec les animaux pour les aider dans leur cheminement vers la guérison. La TAA ou la TFA doivent être menées par un professionnel tel un médecin, un infirmier, un travailleur social ou tout autre type d’intervenant psychosocial qualifié. La thérapie assistée par l’animal (TAA) ou la thérapie facilitée par l’animal (TFA) cherchent donc à profiter du rapport privilégié qu’une personne (enfant, adolescent, adulte, personne âgée, personne handicapée présentant une déficience physique ou intellectuelle) entretient avec l’animal dans le but de l’aider à résoudre un ou des problèmes de santé biopsychosociale. La TAA et la TFA sont donc deux termes qui se veulent des synonymes.

Les bienfaits recensés de la zoothérapie en général

En général, les documents recensés suggèrent que la présence d’un animal domestiqué, quel qu’il soit, a, psychologiquement et physiquement, un impact positif sur les personnes, (Arenstein, Gilbert, Beaudet, Carrier, Gosselin, Leblanc & Vaillancourt, 2008; Bouchard & Delbourg, 1995; Friedman, Katcher, Thomas, Lynch & Messent, 1983; Rûckert, 1994; Serpell, 1991; Tremblay, 2007; Wilson & Turner, 1998; Dimitrijevié, 2009). D’ailleurs, la plupart des auteurs s’entendent pour dire que la relation animal-clientthérapeute aide le client à réduire plusieurs symptômes d’anxiété et de stress et améliore sa qualité de vie (Yeh, 2005; Tebay, 1996). En ce qui a trait aux bénéfices psychologiques, les chercheurs englobent les bienfaits sur les plans cognitif, relationnel et social, ainsi que la présence d’un impact positif sur la santé mentale, la confiance en soi, la responsabilisation, la communication ainsi que sur la gestion du stress dans une optique d’amélioration de la qualité de vie (Tebay, 1996). À ce sujet, certains auteurs (Einis, Grinstein, Stavitski et Ross, 1995, tiré de Lusson, P., 2004) mentionnent que l’animal, en thérapie, facilite la maturation psychoaffective et psychomotrice des adolescents étant donné qu’ils réussissent mieux à canaliser et à contenir leur agressivité à la suite d’une intervention en zoothérapie.

Les effets et les retombées de la possession d’un animal de compagnie

Le simple fait de posséder un animal de compagnie aurait des bienfaits sur la santé en général des individus. Ainsi, les propriétaires d’animaux auraient un niveau de bien-être psychologique plus élevé que ceux qui n’en possèdent pas (Serpell, 1990) et ils auraient moins de problèmes de santé mineurs (Friedmann, 1990; Serpell, 1990). Pour sa part, Siegel (1990), dans une étude réalisée auprès de 938 personnes âgées de 65 ans et plus vivant aux États-Unis et possédant une assurance maladie (Medicare), est aussi arrivé aux mêmes conclusions, car les personnes âgées qui possédaient un animal ont moins consulté, sur une période d’un an, les professionnels de la santé que ceux qui n’en avaient pas. Siegel (1993) a aussi réalisé une étude auprès de personnes veuves durant leur période de deuil, et il a aussi conclu que celles qui vivaient avec un animal domestique, présentaient moins de problèmes de santé physique ou psychologique, tels que la constipation, les maux de tête, la difficulté à avaler, la peur et le sentiment de panique, que celles n’en possédant pas. De plus, les personnes veuves ayant à leur charge la garde d’un animal prenaient moins de médicaments. Dans un même ordre d’idées, l’animal contribue à diminuer la prise de médication psychotique et, par le fait même, diminue les coûts de soins de santé (Geisler, 2004). Enfin, la possession d’un animal aurait également des avantages non négligeables sur les coûts des soins de santé, car selon l’institut australien Baker Medical Research la présence d’animaux domestiques permettrait une économie annuelle de 800 millions de dollars, un calcul en lien avec les bénéfices psychologiques et physiques que l’animal peut procurer (Vuillemenot & Césaire, 2000).

Les effets et les retombées de l’activité assistée par l’animal (AAA) et ceux des visites animalières

Dans les prochains paragraphes, il sera également possible de constater que plusieurs études récentes, réalisées auprès de divers types de personnes aux prises avec des problèmes de santé tant physique que psychologique, ont démontré que l’utilisation de la AAA pouvait avoir des impacts positifs sur l’état de santé de ces personnes et sur d’autres aspects de leur vie. Ainsi, Schnipper (2005) et Weber (2004) mentionnent que les patients atteints de cancer bénéficient de l’AAA car chez ces patients ce type d’intervention réduit leur niveau de dépression et augmente leur saturation en oxygène (Orlandi, Trangeled, Mambrini, Tagliani, Ferrarini, Zanetti, Tartarini, Pacetti & Cantore, 2007). Par contre, une autre étude menée sur l’AAA auprès de 30 personnes souffrant également de cancer démontre aucune différence significative de la présence de l’animal ou non sur les variables de l’humeur et de la perception de leur santé (Johnson, Meadows, Haubner & Sevedge, 2008). Toutefois, les patients perçoivent les visites des intervenants rémunérés ou bénévoles, avec ou sans l’animal, distrayantes et ces dernières diminuent leur anxiété face aux traitements (Johnson, Meadows, Haubner & Sevedge, 2008). Une seconde étude démontre que la présence du chien lors de la visite pour les soins joue sur la motivation de façon significative mais pas sur les symptômes de dépression chez ces gens (LutwackBloom, Wijewickrama, & Smith, 2005). Chez les patients atteints de schizophrénie, l’utilisation de l’AAA améliorerait certains aspects chez les personnes exposées à ce genre d’activités dont l’estime de soi et l’auto-détermination mais n’aurait pas d’effet sur la satisfaction face au soutien social reçu ou sur la présence ou non des symptômes négatifs de la schizophrénie (Chu, Liu, Sun, & Lin, 2009). Pour leur part, Kawamura, Niiyama et Niiyama (2009), dans une étude réalisée auprès de huit femmes japonaises vivant dans des résidences pour personnes âgées, ont démontré que l’AAA a eu pour effet de permettre à ces femmes de se distraire et d’élargir leurs opportunités d’établir des contacts sociaux. L’utilisation de l’AAA auprès d’aînés vivant en Centre hospitaliers de soins de longue durée diminuerait également la présence de symptômes dépressifs (le Roux & Kemp, 2009; Colombo, Buono, Smania, Raviola & De Leo, 2006). Enfin, dans une étude portant sur la présence de 31 animaux visiteurs dans un établissement de cardiologie pédiatrique, parents et enfants sont arrivés au même constat : la présence de ces animaux a facilité l’adaptation des patients de leurs parents au milieu et a augmenté le moral des enfants (Wu, Niedra, Pendergast & McCrindle, 2002).

Les effets et les retombées de la thérapie assistée par l’animal (TAA)

Au cours des interventions psychosociales, selon, l’animal accélérerait et faciliterait l’établissement d’un lien, la communication et le dialogue entre le client et le thérapeute, et diminuerait le stress des individus lié à leur obligation de se dévoiler (Bouchard et Delbourg, 1995). La présence et l’utilisation d’un animal durant les échanges entre le client et l’intervenant augmenteraient aussi sa concentration, son attention et sa mémoire (Delta Society, 2009). Selon Vuillemenot (1997), la présence de l’animal lors d’interventions psychosociales peut améliorer les capacités d’attention/concentration et le discernement, puisqu’il maintient le client dans le moment présent. D’ailleurs, chez les personnes atteintes d’Alzheimer, certaines études ont démontré que l’animal peut stimuler la communication et intensifier les interactions sociales (Kongable, Buckwalter & Stolley, 1989; Filan & Llewellyn-Jones, 2006). Kanamori et Al. (2001) ont également constaté la réduction des comportements agressifs, de l’anxiété et des phobies chez les gens atteints d’Alzheimer grâce à la TAA. En ce qui concerne leurs comportements, il a été possible de constater, chez ces personnes une diminution de l’anxiété et de l’agressivité verbale en présence de l’animal (Fritz, Farver, Kass & Hart, 1995).
Corson et Corson (1981) décrit l’animal comme un catalyseur de relations sociales.
Berstein, Friedmann et Malaspina (2000) ont aussi remarqué qu’en présence d’un animal, les conversations entre les personnes âgées sont plus longues et les contacts physiques plus nombreux. Par contre, Banks et Banks (2005) et Tribet, Boucharlat et Myslinski (2008) concluent que la présence de l’animal augmente les interactions sociales des résidants avec l’animal mais non entre eux. Pour leur part, Moretti, Bernabei, Marchetti, Bonafede, Forlani, De Ronchi, et Atti (2010) ont remarqué que la TAA était efficace pour améliorer ou diminuer les symptômes de dépression chez les gens atteints d’Alzheimer et augmente par le fait même la qualité de vie de ces gens. Une étude récente démontre aussi que l’engagement de personnes atteintes d’Alzheimer en résidence est réalisé avec succès grâce à la TAA (Marx, Cohen-Mansfield, Regier, Dakheel-Ali, Srihari, & Thein, 2010). Selon Vuillemenot (1997), l’animal permet de maintenir le contact avec la réalité des personnes âgées vivant en Centre Hospitalier de Soins Longue Durée (CHSLD) tout en améliorant leurs capacités d’attention/concentration, de mémoire et de discernement. Chez d’autres
personnes hospitalisées à long terme, telles que les grands brûlés, la présence de l’animal s’est aussi révélée bénéfique. Il les accepte telles qu’elles sont tout en leur offrant un amour inconditionnel et un réconfort physique (Hastings, Buris, Hunt, Purdue & Arnoldo, 2008; Tribet, Boucharlat & Myslinski, 2008). Dans les années 1970, Levinson (1970) fut le premier à reconnaître l’impact positif des animaux chez les personnes âgées vivant en institution. Ils parvenaient à calmer leur agitation ainsi que les comportements agressifs.
De plus, chez ce même type de population, Fritz, Farver, Kass et Hart, (1995) ont démontré que la présence d’animaux est liée à une diminution de l’agitation et des comportements agressifs chez les personnes atteintes de démence de type Alzheimer. De même que l’observation d’un aquarium peut mener à s’alimenter davantage et prendre du poids (Filan, Llewellyn-Jones, 2006). La thérapie assistée par l’animal améliore aussi les fonctions psychosociales de personnes âgées demeurant en résidence privée et atténue les sentiments dépressifs, tout en augmentant les interactions et les compétences sociales (Steed & Smith, 2002). Pour sa part, Tremblay (2007) a souligné que même si les gestionnaires de résidences pour personnes âgées ne connaissent pas beaucoup les effets positifs de la zoothérapie ils ont été en mesure de constater que celle-ci contribue à briser l’isolement des aînés, à diminuer leur sentiment de solitude, à améliorer leur moral, et à leur donner une raison de poursuivre leurs activités quotidiennes (Banks & Banks, 2005). Une autre étude, effectuée auprès de 58 résidants d’un établissement de soins de longue durée, a permis de démontrer qu’une thérapie assistée par un chien pouvait diminuer la prise d’analgésiques (Lust, Ryan-Haddad, Coover & Snell, 2007).

Les risques reliés à l’utilisation des animaux

Bien que la possession, la tenue d’activités en présence d’animaux (l’AAA) ou de thérapie assistée par un animal (la TAA) soient reconnues pour apporter des bienfaits aux individus de tout âge il faut tenir compte des impacts négatifs ou des risques de dangerosité potentiels de l’utilisation d’un animal pendant les activités assistées par un animal ou lors des interventions thérapeutiques. L’usage d’un animal en thérapie n’est donc pas sans danger, qu’il y ait contact direct ou pas avec les personnes (Brodle, Biley & Shewring, 2002). C’est pourquoi l’une des principales étapes de la zoothérapie demeure celle de la sélection de l’animal. Les gens qui utilisent l’animal comme mode d’intervention choisissent différents animaux tels que le chien, le chat, les oiseaux, les lapins, les hamsters, les vaches, les chevaux, les dauphins et autres (Gosselin & Leblanc, 2008; Hatch, 2007). Par contre, le chien est l’animal le plus sollicité dans les thérapies en raison de la facilité à s’en procurer un et le fait qu’il est généralement docile (Connor & Miller, 2000).
Les animaux doivent être choisis en fonction de plusieurs critères tels qu’un comportement et un tempérament appropriés à certaines situations et à certaines clientèles et le type d’animal (chien, chat, lapin, oiseau, rat, hamster, cochon d’Inde, furet, cheval, etc.) avec lequel le thérapeute veut travailler. Le temps que l’intervenant doit consacrer au toilettage de l’animal détermine aussi le choix de celui-ci. L’animal utilisé durant la zoothérapie doit aussi concorder avec les interventions à réaliser.
L’état de santé de l’animal est aussi un élément important à considérer (Bédard, 2007). Les morsures demeurent la principale cause de blessures (Podberscek, 2006). Des précautions doivent donc être observées puisqu’un animal peut transmettre des maladies ou des infections que l’on appelle les zoonoses (Fortier, Villeneuve & Higgins, 2001). Ces infections ou maladies transmises aux humains par l’animal peuvent se propager par le contact avec celui-ci ou avec des fluides ou des fèces. Les zoonoses peuvent aussi être contractées par la pénétration dans la peau (morsures, contact avec une blessure), par ingestion ou inhalation. Les enfants, les personnes âgées, les femmes enceintes et les personnes immunodéficientes sont plus à risque de les développer. Dans le contexte de la zoothérapie, 70 % des problèmes de santé chez les humains seraient causés par les zoonoses (Associated Press, 2008). Dans une étude récente, l’intégration d’un animal en milieu hospitalier n’a causé aucune nouvelle infection (Caprilli & Messeri, 2008).
L’intégration d’un animal dans un centre de santé demande une révision constante du projet et de l’animal lui-même (Jofré, 2005). Par contre, il existe des moyens de prévention comme le lavage fréquent des mains, la vaccination des animaux, la désinfection des accessoires utilisés et le port de vêtements longs (Gosselin, 2004). Le vétérinaire est un partenaire important dans la santé et le bien-être de l’animal. Il permet de faire le suivi de santé ce qui diminue les risques d’infection, il peut aussi éduquer le propriétaire sur les risques de l’utilisation de son animal et les comportements à corriger de celui-ci (Friedmann & Son, 2009). De plus, certaines personnes n’aiment pas les animaux et peuvent en avoir peur. D’autres peuvent être allergiques à certains animaux (Gosselin, 2004). L’animal peut aussi propager des maladies que des bénéficiaires ont contractées et ce, seulement en se faisant caresser par une personne infectée.

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Table des matières

INTRODUCTION 
PROBLÉMATIQUE
L’acte professionnel
ÉTAT DES CONNAISSANCES 
Le concept de zoothérapie et ses acteurs
La petite histoire de la zoothérapie
Les bienfaits recensés de la zoothérapie en général
Les effets et les retombées de la possession d’un animal de compagnie
Les effets et les retombées de l’activité assistée par l’animal (AAA) et ceux des visites animalières
Les effets et les retombées de la thérapie assistée par l’animal (TAA)
Les risques reliés à l’utilisation des animaux
Conclusion à ce chapitre
CADRE DE RÉFÉRENCE
Le modèle constructiviste
L’approche par compétence
MÉTHODOLOGIE DE LA RECHERCHE 
Objectifs et type d’étude
Population à l’étude et stratégie de recrutement des participants
Outil de collecte de données
Déroulement de la collecte de données
Analyse des données
Considérations éthiques
Pertinence de la recherche
RÉSULTATS 
Caractéristiques sociodémographiques et professionnelles des répondants
Conception des répondants sur le concept de zoothérapie, de la thérapie assistée par l’animal, de l’activité assistée par l’animal et des visites animalières
L’intérêt des répondants envers la zoothérapie
La définition du concept de zoothérapie
La définition de la thérapie assistée par l’animal (TAA)
Point de vue des répondants sur les critères à respecter lors de l’utilisation d’animaux en intervention
Les différentes formes de la pratique de la zoothérapie
La définition de l’activité assistée par l’animal (AAA) et les visites animalières
Les conditions idéales de la pratique de la zoothérapie
Les avantages de la thérapie assistée par l’animal (TAA) chez les bénéficiaires
de ce type d’intervention
Bienfaits sur la santé physique
Bienfaits sur la santé psychologique ou sur les capacités cognitives des individus
Avantages sur les interactions avec autru
Les risques encourus par l’utilisation d’animaux en intervention et les précautions à prendre
Les risques encourus par l’utilisation d’animaux en intervention
Prévention des risques
Point de vue des répondants sur les éléments qui facilitent ou qui perturbent le bon fonctionnement de la zoothérapie
Facteurs qui facilitent le bon déroulement de la zoothérapie
Facteurs qui nuisent au bon déroulement de la zoothérapie
Des situations concrètes d’intervention en zoothérapie
Intervention en zoothérapie ayant atteint leurs objectifs
Intervention en zoothérapie n’ayant pas apporté les résultats escomptés
DISCUSSION 
Rappel du but et discussion en fonction des objectifs de la présente étude
Limites de l’étude
Perspectives pour la recherche et l’intervention sociale
CONCLUSION 
RÉFÉRENCES 

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