Les conséquences de la reconnaissance du royaume à l’extérieur et la colonisation de Madagascar

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La pauvreté extrême ou pauvreté absolue

Une personne vit en condition d’extrême pauvreté si elle ne dispose pas des revenus nécessaires pour satisfaire ses besoins alimentaires essentiels définis sur la base de besoins caloriques minimaux (1800 calories par jour et par personne (OMS). Le concept absolu de la pauvreté fait référence à un niveau de vie défini en termes absolus. Dans ce cas, elle est en général mesurée par la valeur, en termes réels, d’un niveau donné de marchandises assurant une forme quelconque de subsistance minimum (par exemple, valeur de l’aliment de base ou revenu minimal requis pour vivre décemment). Les premières tentatives de définition de la pauvreté comme un concept absolu ont pris en compte le coût minimal du régime alimentaire, c’est-à-dire le coût minimal, pour chaque ménage, d’un apport énergétique donné3. Cette approche pèche de deux manières : le coût du régime alimentaire minimal peut varier considérablement d’un ménage à l’autre, car tous ne présentent pas les mêmes préférences en matière de schémas nutritionnels; elle ne tient pas compte des composants non alimentaires4.

La pauvreté générale ou pauvreté relative

Une personne vit en condition de pauvreté générale si elle ne dispose pas des revenus suffisants pour satisfaire ses besoins essentiels non alimentaires : habillement, énergie, logement, ainsi que des biens alimentaires. Le concept relatif de pauvreté, quant à lui, renvoie à un niveau de vie défini par rapport à la position d’autres personnes dans la distribution revenus/dépenses. En ce sens, la pauvreté est avant tout un phénomène d’inégalité. Par exemple, on peut définir comme pauvres les personnes dont les revenus sont inférieurs de 50 pour cent au revenu moyen de la société. Par conséquent, si le revenu moyen augmente parce que les riches s’enrichissent, le nombre de personnes vivant dans une pauvreté relative risque d’augmenter. Ce concept rend automatiquement compte de l’évolution de la situation sociale et économique d’un pays donné. Le principal point faible de cette approche est que, si la pauvreté est définie comme un pourcentage fixe d’un indicateur synthétique de la distribution de revenus (par exemple, une moyenne ou une médiane), il n’est pas possible de l’éradiquer, sauf si la distribution de revenus devient parfaitement égalitaire5.

La pauvreté humaine

Considérée comme l’absence des capacités humaines de base : analphabétisme, malnutrition, longévité réduite, mauvaise santé maternelle, maladie pouvant être évitéei.
Les concepts absolus et relatifs de la pauvreté ont fait l’objet d’un large débat dans la littérature spécialisée, avec pour résultat principal que «la pauvreté est un concept, ni strictement absolu, ni strictement relatif». D’un autre côté, Sen, 1983, s’efforce de hiérarchiser les deux approches. Il définit la pauvreté comme une «privation absolue» pouvant être interprétée comme une préférence pour le concept absolu en cas de contradiction entre les concepts absolus et relatifs de la pauvreté. À la base, Sen réfute le concept relatif de pauvreté en arguant qu’il existe un noyau absolutiste irréductible dans l’idée de pauvreté, quelles que soient les positions relatives (par exemple, la faim et la famine constituent des indicateurs de pauvreté sans équivoque).
Le PNUD ne définit pas officiellement la pauvreté monétaire, mais l’évoque. C’est la pauvreté humaine qui est mise au coeur de l’analyse et celle-ci est liée à la notion de développement humain

DEFINITIONS SELON LES AUTEURS

Historiquement, dans les années 1890, le Darwinisme social1 définit la pauvreté comme « un phénomène qui répond à des lois dites scientifiques qu’il faut mesurer et analyser».
Sébum Rowntree2 consacrera une partie de sa vie à l’analyse des ressources monétaires pour mesurer les besoins nutritionnels, vestimentaires et de logement ce qui mènera à de longs débats et analyses au fur et à mesure du temps au sujet de ce phénomène.
La théorie Welfariste dominante depuis deux siècles, base le bien-être exclusivement sur la notion d’utilité, où les ressources monétaires (ou les revenus) déterminent son niveau. La pauvreté est définie alors comme « un niveau de revenu socialement inacceptable».
Peter Townsend4 entreprend dans les années 1970 une approche relativiste de la pauvreté. Pour lui, « les individus, familles ou groupes de la population peuvent être considérés en état de pauvreté quand ils manquent des ressources nécessaires pour obtenir l’alimentation type, la participation aux activités, et pour avoir les conditions de vie et les commodités qui sont habituellement ou sont au moins largement encouragées ou approuvées dans les sociétés auxquelles ils appartiennent. Leurs ressources sont si significativement inférieures à celles qui sont déterminées par la moyenne individuelle ou familiale qu’ils sont, de fait, exclus des modes de vie courants, des habitudes et des activités ».
John Rawls à travers son livre « Théorie de la Justice » (1971) donne une définition philosophique de la pauvreté en s’appuyant sur ce qu’il considère comme les biens premiers, c’est à dire les droits de base, la liberté de choix. Il s’agit de définir la pauvreté comme une situation considérée comme inacceptable c’est-à-dire injuste, dans une société donnée et ce sur un plan économique et social. Contrairement aux welfaristes, seule la justice ou l’équité est la base de l’arrangement social.
Selon Armatya Sen et grâce à ses travaux sur la pauvreté multidimensionnelle, la définition de ce phénomène se base sur deux approches, dont l’une est nommée l’approche unidimensionnelle. Celle-ci est appliquée par les bailleurs de fonds et les institutions internationales pour permettre d’identifier les populations pauvres, dont les critères sont limités car ils sont axés sur les ressources monétaires, c’est à dire le revenu, et la consommation. Ces critères pour mesurer la pauvreté sont d’après Sen, des éléments insuffisants et ne permettent pas de répondre complètement au problème de ciblage des populations pauvres. La seconde approche de Sen est l’approche multidimensionnelle des « Capabilities » (cf. différents approches de la pauvreté) où il considère que la pauvreté doit prendre en compte les facteurs du « bien-être ». Sen expliquera à travers ses analyses que la pauvreté ne doit pas être considérée seulement comme un manque de ressources monétaires, il faudrait prendre en compte la condition physique des personnes et ses accomplissements personnels. Sa phrase « la valeur du niveau de vie a tout à voir avec la vie, non pas avec la possession des biens » résume parfaitement cette idée.

LES APPROCHES DE LA PAUVRETE

L’approche monétaire soutenue par les utilitaristes ou welfaristes

Selon cette approche le bien-être résulte d’une insuffisance des ressources monétaires qui entraîne une consommation insuffisante. Elle s’appuie soit sur le revenu, soit sur la consommation traduite en valeur monétaire. Cette approche est dominante et la plus utilisée par les institutions internationales, notamment la Banque Mondiale.
La théorie du bien-être est la référence pour l’analyse de la pauvreté monétaire. Les Welfaristes font soit référence au bien-être économique directement lié au concept d’utilité économique5 ou soit indirectement comme l’utilité générée par la consommation totale. En pratique le bien-être économique n’est pas quantifiable directement car les agents économiques ont des préférences6 différentes en conséquence l’approche monétaire de la pauvreté s’appuie sur l’utilisation de revenu ou de consommation comme mesure de bien-être.
Deux principes essentiels ressortent de cette approche : les individus sont les seuls à savoir ce qui est dans leur intérêt, ils ont donc des préférences différentes et l’Etat doit limiter ses interventions dans l’économie, il doit mettre l’accent sur des politiques qui réduisent la pauvreté, mais basées sur l’augmentation de la productivité, de et par conséquence du revenu

L’approche non-monétaire

Les approches non-monétaires, contrairement aux utilitaristes, se basent sur la définition du bien-être d’un point de vue social, en effet le bien-être n’est pas traduit en termes de ressources monétaires, mais en termes de libertés et d’accomplissements.

L’approche par les besoins de base :

Cette approche met en avant l’identification des besoins communs à tous les êtres humains nécessaires pour atteindre une certaine qualité de vie. Ces besoins sont des besoins de base tels que l’éducation, la santé, l’hygiène, l’assainissement, l’eau potable et l’habitat. En effet une personne est considérée comme pauvre lorsqu’elle ne satisfait pas ses besoins de base par rapport à un certain standard de vie. Un des inconvénients de cette approche est la définition même des besoins de base qui comme la pauvreté reste assez relative.

L’approche par le cumul de privations, une approche multidimensionnelle :

C’est une méthode qui consiste à l’analyse d’une source homogène, par exemple : des enquêtes ponctuelles auprès des ménages, pour identifier les individus qui sont privés simultanément de certains biens et services nécessaires pour assurer un niveau de vie « normal ». Suite à ces enquêtes un « score » relatif est construit par rapport à ces privations pour chaque unité statistique. Les pauvres sont les personnes qui ont un nombre de privations récurrentes et fixes. L’inconvénient avec cette approche réside dans la définition de ces biens et services nécessaires et la fixation d’un score mini

L’approche par les capacités ou « Capabilities » :

Conduite par Amartya Sen (1987) : Cette approche repose sur le concept de « Justice Sociale ». Ici la « chose » qui manque n’est pas l’utilité ni les besoins de base, mais les habilités ou capacités humaines jugées fondamentales pour pouvoir accéder à un certain niveau de vie. Le bien-être ce n’est pas la possession de biens, mais d’être bien nourri, bien éduqué, en bonne santé, de participer à la vie collective etc. Cet ensemble de facteurs déterminent la valeur de vie. Sen indique que la valeur de la vie d’un individu dépend d’un ensemble de façons de faire et d’être qu’il regroupe sous le terme de « fonctionnements ».
Les capacités d’un individu sont déterminées par ses potentialités qui correspondent à des dotations en capital social, capital humain, capital physique et capital économique (Rousseau, 2001), ainsi que par ses opportunités, qui sont conditionnées par l’environnement propre à l’individu qui déterminera ses choix possibles, c’est-à-dire les contraintes de fonctionnement. Les fonctionnements sont des accomplissements alors que les capacités décrivent la liberté de choisir parmi les différents fonctionnements. Un pauvre est une personne qui n’a pas les capacités d’atteindre un certain sous-ensemble de fonctionnements. En finalité, la pauvreté est donc la privation de cette fonctionnalité.

Les autres approches

La pauvreté subjective

Consiste à évaluer les perceptions des ménages qui ont été soumis à des enquêtes et qui répondent à des questions relatives à leur situation. Par exemple : le fait de pouvoir épargner, ou de devoir se servir de ces réserves, ou de disposer de la somme minimale nécessaire pour « joindre les deux bouts». Cette démarche permet de savoir quels sont les besoins que les ménages jugent nécessaires et quels sont ceux, qui à leur avis, sont un signe de pauvreté. C’est une approche qui comporte des inconvénients car les questions posées doivent être appropriées au contexte.

La pauvreté transitoire/structurelle

Consiste à faire la différence entre la permanence dans l’état de pauvreté dû à la structure même de la société, et l’état de pauvreté transitoire qui résulte d’une conjoncture défavorable. Cette approche est peu utilisée car elle nécessite un suivi lourd, toutefois elle est importante car elle permettrait de modifier les politiques et programmes de lutte contre la pauvreté en fonction de sa nature structurelle ou conjoncturelle.

L’approche instantanée/cycles de vie

Cette approche différentie les pauvres « permanents » des pauvres « transitoires » qui font des sacrifices pendant un cycle de leur vie dans espoir d’un revenu plus élevé sur le long terme .

La relation de Madagascar avec les étrangères avant la colonisation en 1896 sur les marchés

Dans le domaine de marché, on existe-le plus de la relation avec l’extérieur, Le marché est une méthode pour introduire les projets de l’union européen comme l’impérialisation, colonisation, partage du monde. Au XIX è, l’immixtion de plus en plus grandissante des Européens dans les affaires intérieures du pays éveilla le courroux de la Reine Ranavalona I (1828-1861) qui rompit tout commerce avec l’extérieur. Toutefois, sous l’influence de Jean Laborde, celle-ci modifia sa politique avec l’étranger et le commerce avec l’extérieur fut rouvert.
Sous le règne de Radama II (1861-1863), il y avait de libéralisme à Madagascar, le commerce extérieur se développa grâce à la suppression des droits de douanes. Ce Roi s’était donné la mission de Le commerce d’import-export était entre les mains des maisons américaines, anglaises, françaises, allemandes. Les relations maritimes étaient assurées par les Messageries Maritimes (deux touchées mensuelles à Tamatave), la Caste Line, la Havraise Péninsulaire, des navires américains et allemands. Les trois principaux ports furent Tamatave, Mananjary et Majunga. Ainsi, grâce à l’oeuvre de Radama II, le commerce extérieur connut un essor considérable et on assista à une liberté des échanges commerciaux avec l’extérieur.
En 1883, la France voulut obtenir un protectorat effectif à Madagascar. Les relations entre Tananarive et Paris (Gouvernement de Jules Ferry sous la III è République Française) devinrent tendues et le 30 avril 1883, la France déclara la guerre à Madagascar. Avec la mort subite de Ranavalona II le 12 juillet 1883, les hostilités cessèrent provisoirement et un traité de prix fut signé le 17 décembre 1885. Le Premier Ministre Rainilaiarivony n’ayant pas respecté les clauses de ce traité, la deuxième guerre malgache-française éclata en 1894. Ranavalona III (1883-1896) capitula le 30 septembre 1895 et le 1er octobre 1895, le traité de protectorat avec la France fut signé.
Le 6 août 1896, le Gouvernement français supprima le protectorat et déclara Madagascar colonie française.

L’objectif de la colonisation

Le principal objectif de la colonisation est l’exploitation économique de Madagascar. La France n’a pas cherché à développer Madagascar, Madagascar était devenu un marché exclusivement français, vol des terres des Malgaches, déséquilibre régionaux : seules les régions riches sont développées. Pour réaliser ce but différentes mesures ont été prises par l’administration coloniale : le code l’indigénat, le pacte colonial, les impôts et prestations.

le code d’indigénat

C’est l’ensemble des règles qui placent les indigènes sous la domination des colons. Le non-respect de ce code expose l’indigène à des punitions très sévères ? Les mesures d’ordre social et politique ont été prises ; La société coloniale a été divisée en deux classes : La classe des dominants constitué par les colons : les Français qui ont tous les pouvoirs administratifs et politique ainsi que tous les moyens de production. Et l’autre classe c’est la classe des dominés constituée par les Malgaches ; Cette classe aussi est divisé en deux : les citoyens : c’est les malgaches privilégies mais minoritaires qui obtiennent quelques avantages mais restent soumis aux français et les indigènes : c’est la masse populaire malgache soumise au code d’indigénat. Ils sont comme des objets, des moyens de production français. Ils n’ont aucun droit politique et administratif. Ils doivent pays les impôts et faire des prestations

Le pacte colonial et l’économie traité

Le pacte colonial c’est un système économique qui oblige chaque colonie à ne vendre économique qui oblige chaque colonie à ne vendre et n’acheter qu’à sa métropole, son objectif est de rendre l’économie de Madagascar dépendante de celle de la France.
L’économie de traité.
Pour développer l’économie de traité, la France remplace l’économie d’autosubsistance par l’économie de marché. C’est une politique des colonisateurs qui consiste è acheter les matières premières à bas prix et à vendre les produits finis à prix élevé. Pour assurer le bon fonctionnement de l’économie de traité, les français adoptent une loi sur le régime foncier et deviennent propriétaires des terres des malgaches. Ces derniers doivent alors travailler dans les plantations françaises

Les conséquences de la reconnaissance du royaume à l’extérieur et la colonisation de Madagascar

L’instabilité du commerce international

Madagascar avait une faible spécialisation au niveau du commerce international, à cause de système du pays développer, il y a beaucoup de condition pour l’exportation de marchandise, la qualité, la quantité avec la difficulté, les étrangers cherchent son intérêt comme les matières premières, les boeufs et le riz. La commercialisation est un facteur qui a de place important très important sur l’économie d’un pays. Mais l’exportation est faible par rapport à l’importation qui entraîne un déficit commercial. Par ailleurs les étrangers font le protectionnisme mais notre système est le libéralisme, Il n’y a pas de bénéfice pour notre pays la majorité de la commercialisation.
En effet pour une grande part, c’est la question internationale, c’est-à-dire l’ouverture de Madagascar au monde extérieur qui va être au centre de la problématique de l’évolution malgache tout au long de XIXe siècle.
En plus la pauvreté est une conséquence de l’impérialisme de pays développé, ces derniers sont dominés dans le rapport économique mondial et cette domination organise le sous-développement de notre pays. A cette époque de partage du monde entre les impérialismes européens, la France envisage d’exercer davantage son influence sur Madagascar et traité d’alliance franco-malgache, le commerce restera surtout orienté vers France et la balance commerciale sera régulièrement déficitaire. Par le jeu des banques et de sociétés de navigation et de commerce, les français tiennent l’économie de Madagascar d’une part, pour fournir à cette dernière les matières premières dont elle avait besoin ou pour faire commerce avec l’étranger et, d’autre part, pour élargir le marché de ses propres produits, notamment manufacturés. Il s’agissait du système économique dit de « Pacte colonial8». Ce système recouvre un certain nombre d’usages et de méthodes politiques et commerciales qui étaient appliquées par les pays colonisateurs. Quatre idées générales président ce pacte colonial :
Le marché colonial était réservé aux produits métropolitains : la colonie se voit désormais contrainte de s’approvisionner en priorité auprès de la Métropole même si ce n’est pas la solution le plus économique.
La colonie ne pouvait pas produire des biens susceptibles de concurrencer l’activité métropolitaine.
Les produits coloniaux ne pouvaient être exportés qu’à destination de la Métropole : la puissance coloniale s’assurait ainsi une source de matières premières non menacée par la concurrence ou par des conflits politiques.
En contrepartie, les produits coloniaux bénéficiaient dans la Métropole d’un régime privilégié : en effet, le colonisateur s’approvisionnait en priorité auprès de ses colonies.

une crise de dette pour Madagascar

La dette de notre pays n’était pas après l’indépendance mais pendant la colonisation. Ce vrai que la colonisation apporte des avantages pour le développement Madagascar, pourtant ce développement est une dette pour notre pays. De 1947 à 1960, grâce au fonds de développement pour le développement économique et social (FIDEC), l’économie malgache reçoit 57 milliards de francs CFA qui seront investis dans l’outillage et la production agricole, les infrastructures et l’équipement social, Il n’y avait pas de chose gratuite pour les étrangers, ils cherchent toujours son intérêt,
En plus, à cause de forte de demande des Payes en voie développement (PED) (Madagascar est l’une de PED) pour financier leur industrialisation internationale, elle était mobilisée en l’absence de l’épargne interne, cette dette est utile si le rendement de l’investissement excède le montant de l’endettement, si elle financier des projets individuelles à forte externalité positive mais une partie de la dette contracté surtout également à financier de dépenses peu favorable au développement Une ouverture et une libéralisation rapides de l’économie, combinées à un ajustement drastique des finances publiques, entraînent, à la fois, une chute importante des revenus et une déstabilisation financière, tandis que l’impact des réformes structurelles sur l’offre domestique tarde à se faire sentir. L’instabilité politique chronique du pays est aggravée par les faibles résultats économiques et provoque des à-coups dans le financement de l’économie (attentisme des opérateurs, négociations difficiles avec les bailleurs de fonds)9.

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Table des matières

I- DEFINITIONS ET CONCEPTS DE LA PAUVRETE, ET L’HISTOIRE ECONOMIQUE DEPUIS L’UNIFICATION DU ROYAUME A MADAGASCAR
I-1DEFINTIONS ET APPROCHES DE LA PAUVRETE
I-1-1 DEFINITIONS DE LA PAUVRETE
1 -Definition1
3 –Définition 2
DEFINITIONS SELON PNUD
2.1 La pauvreté extrême ou pauvreté absolue
2.2La pauvreté générale ou pauvreté relative
2.3La pauvreté humaine :
3 .DEFINITIONS SELON LES AUTEURS
I-1-2 LES APPROCHES DE LA PAUVRETE
1. L’approche monétaire soutenue par les utilitaristes ou welfaristes
2- L’approche non-monétaire
3. Les autres approches :
I-2 HISTOIRE DE MADAGASCAR DEPUIS L’UNIFICATION DE MADAGASCAR
I-2-1. LE ROYAUME A MADAGASAR RECONNU PAR L’EXTERIEUR
1. Une brève histoire du royaume de Madagascar
2. La relation de Madagascar avec les étrangères avant la colonisation en 1896 sur les marchés
I-2 -2 MADAGASCAR COLONIE FRANÇAISE (1895-1960)
Les causes de la colonisation
II-LA RELATION ENTRE L’HISTOIRE ENTRE LA PAUVRETE A MADAGASCAR
II-1 LES NATURES DE LA PAUVRETE
II-1-1Les conséquences de la reconnaissance du royaume à l’extérieur et la colonisation de Madagascar
1-L’instabilité du commerce international
2 – apporte une crise de dette pour Madagascar
3-L’instabilite politique de Madagascar
II-1-2-les mesures de la pauvreté :
1-Le taux de croissance économique
Le taux de la pauvreté
II-2-LES CONSEQUENCES ET LES SOLUTIONS DE LA PAUVRETE A MADAGASCAR
II-2-1 LES CONSEQUENCES DE LA PAUVRETE
1-Les insécurités dans tous les environnements du pays
II -2 LES SOLUTION POUR REDUIRE LA PAUVRETE A MADAGASCAR
II -2-1 Développement de l’éducation de la population et amélioration de la formation technique
2 – 2Gestion de la dette extérieure
3-La diminution de connexion avec les étrangers sur la sécurité alimentaire et marché
CONCLUSION

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