LES CONCEPTS D’INVESTISSEMENT CONTRAINTES SOCIALES

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Les Sols et les végétations.

Les sols volcaniques fertiles

Les sols du sous-espace de Betafo sont en généraltrès propices à l’agriculture. Les coulées volcaniques les rendent fertiles. Dotésd’une teneur élevé de matière organique, ces sols possèdent une très forte aptitude culturale. Il y trois types de sol Betafo :
– Les sols ferralitiques localisés particulièrement urs les collines.
– Les sols hydromorphes prédominant sur les bas-fonds.
– Les andosols qu’on trouve sur les cônes strombolien s.

Les sols ferralitiques

Ils sont localisés principalement sur les socles anciens. Dans l’ensemble, les sols ferralitiques de Madagascar sont des sols profonds possédant une forte teneur en ses oxydes. Ils se forment à partir de la roche mère ou fréquemment à partir d’un manteau d’altération ancien, profond et lixivié.
Dans la partie Nord-Ouest du Fokontany d’Ambohiambo, le types de sol est illitiques humifère qui se placer sur matériaux pyroclastique basique. Ils ont de couleur brune rougeâtre foncée, ils sont très fertiles. Leurs texture est limono argileuse.
Au Nord Est de Betafo, les sols sont colonisés pardes Aristedarufescens et des Pennisetumpseudotriticoides ; ils ont des couleurs brunes foncés en surface à rouge jaunâtre en profondeur. Leur texture est en généralargileuse. Ils sont essentiellement destinés au reboisement conifère.
Au Sud et du Nord-Ouest de Betafo : sur la colline d’Inanoharana et d’Ambotsaroa. Les sols se rajeunissent avec l’érosion et remaniement. Ces sols sont formés sur des migmatites à pentes fortes. Ils sont recouverts de savanes herbeuses. Leurs couleurs vont de brune grisâtre à brune vif. Ils ont des faibles teneurs en matières organique qui les rendent très difficilesà la mise en culture.

Les sols hydromorphes

Qui sont caractérisé par un engorgement permanent uo non d’eau dans une partie ou dans la totalité du profil. Cet engorgement d’eau entraine une accumulation de matière organique, ce n’est pas étonnant si la iziculture y trouve sa place.

Les sols Andosols

On le caractérise par l’abondance de fraction minérale de produits amorphes siliso-alumineux. L’horizon humifère est mélanique.Ils sont localisés sur les pentes des cônes stromboliens comme l’Iavoko et l’Atsifotr a. Leur texture est généralement limoneuse.
Ces andosols de couleurs noires sont également développés sur les coulées de chaines des basanitoïdes à blisters de la vallée de l’Iandratsay. Leur horizon humifère est généralement épais. Etant fertiles, ils sont aménagés an parcelles de cultures de maïs riziculture.

La végétation

Comme dans toutes régions des hautes centrales, la végétation naturelle de Betafo est presque disparu à cause de la concentrat ion de la population de l’exploitation abusive de la forêt, les fréquences des feux de brousse…ou la prédominance d’une végétation herbeuse très appauvrie appelée Tanety avec quelque forêt de montagnes sur les sommets, avec quelques orêtsf galeries sur les longs des rivières.
Les forêts de reboisement sont réduites en ilots edPinus postula, localisés au pied du cône strombolien de l’Iavoko et dans la col line d’Ambohimanabe. Malgré le dynamisme de l’agriculture, la commune de Betafo fait un effort de mener une action de reboisement et de le considérer comme une nécessité et une priorité.

L’hydrographie

Dans la District de Betafo, trois principales rivières dont le Lohalambo et le Sahamaloto au Nord, et Iandratsay au Sud, Comme l’ensemble des régions de Vakinakaratra, les coulées issues du volcanisme quaternaire ont perturbé « l’écoulement de ces rivières. »
Les rivières Sahamaloto et Lohalambo prennent respectivement leurs sources dans les volumes montagneuses d’Andriandrano et d’Ambohitram ponga sise au Nord Est de Betafo.
En effet, se dirigeant de la partie Nord Est vers la partie Sud-Ouest du sous espaces, elles alimentent en eau les rizières des plaines d’Ambohiniambo et d’Andriamasoandro qui s’étendent sur plus de 15 . Leurs tracés sont généralement profonds et relativement sinueux.
Après des éruptions volcaniques du quaternaire, ces rivières doivent franchir les coulées volcaniques telles les chaines de basanitoïdes à blisters entraînant ainsi la formation des belles cascades comme celle d’Andriamamovoko, situé au Nord-Ouest du chef-lieu de la commune urbaine, et celle d’Antofofo localisée au Nord Est.
La rivière d’Iandratsay s’écoule de l’Est-Ouest ; prend ses sources au niveau de lacs d’Andranobe, de la mare d’Andraikiba et des vo lumes montagneuses d’Ivohibe et de vohimalaza. Elles traversent les pleines marécageuses d’Ampamelomana et d’Ampahatrimaha avant de franchir les chaines de basanitoïdess à blisters issues de l’Iavolo. A Andriamboromanga, ces chaines des basanitoïdes à blisters ont barré les trajets de la rivière qui entraînent ainsi la formation des plaines marécageuses de Bemandrakizay. Cette rivière joue un rôle capital sur l’économie agricole de Betafo car elle alimente en eau plusieurs hectares de rizières dans la partie Sud de la zone. Sans oublier la présence du Lac de Tatamarina qui se situe au Nord de la ville et alimente plusieurs hectares de rizières au Nord-Ouest de Betafo permettant aux paysans de choisir les rizicultures sur pentes.
Betafo se dispose sur des conditions naturelles favorables aux activités agricoles. Les larges bassins volcaniques de centre et du Nord-Ouest favorisent le développement de la riziculture tandis que les colines sont destinées aux cultures pluviales. Par conséquent, les surfaces réservéesuareboisement sont limités. Les sols noirs issus des culées du volcan récent sont trèsichesr en matières organiques. Enfin, le climat tropical d’altitude donne aux paysans une opportunité de pratiquer les cultures de saison pendant la saison chaude et humide d’octobre à avril et d choisir les cultures de contre saisons pendant la saison sèche et froide du mois de mai au mois de septembre.

La Situation démographique

La population de Betafo est strictement jeune. En 2010, elle compte 307099 habitants. Après l’analyse démographique des données sur la population, elle parait nettement jeune, si dynamique et capable d’influencer les développements effectifs du district.
Le district est donc en phase de transition démographique parce que le taux de mortalité connait une légère diminution de 8,45 %andist que la fécondité continue sur. La natalité reste très élevée 3,4% cela traduit certainement un taux d’accroissement relativement important et un nombre élevé de jeune. Le mariage précoce est considéré comme une principale cause dutaux élevé de natalité car l’âge moyen de mariage est de 20 ans pour les garçons et 18 ans pour les filles.

A l’intérieur de la région

La migration interne est deux sortes :
Les mouvements migratoires internes à chaque Sous -préfecture sont constitués par les déplacements des élèves des écoles primaires sdeFokontany pour rejoindre les collègues ou les lycées (enseignement secondaire) des Communes et/ou des Districts d’une part
Et d’autre part les mouvements migratoires hors Sous-préfecture des travailleurs saisonniers ou permanents, des marchands ambulants et des petits métiers, ainsi que la migration qui s’apparente à un exode rural, provenant de l’insécurité physique de certaines populations.
Cette deuxième sorte de migration a un caractère plus ou moins spécifique selon la région.
Dans le District d’Antsirabe I et la zone périurbaine, la mobilité des habitants va toujours dans un double sens : centrifuge vers la périphérie (disponibilité de terrains à bâtir, vie moins chère) et centripète (attractivité des équipements centraux).
Pour les autres districts de la région de Vakinankaratra les mouvements sont dirigés, pour une part, sur Antsirabe I. Il s’agit des marchands ambulants d’Antsirabe II, et de Betafo connus dans presque tous les marchés d’Antsirabe I. Enfin, des travailleurs saisonniers partent vers le mois de Mai de leurs Sous-Préfecture respectif pour le Moyen Ouest, Antananarivo et le Sud, où ils finissent par s’installer définitivement au bout de quelques voyages annuels, lorsqu’ils commencent à acquérir des terres et des bestiaux.
Les mouvements vers la capitale Vakinankaratra connaissent une intensité notable due au foisonnement des activités informelles et à l’importance des traditionnelles fonctions industrielles et commerciales de la ville qui, depuis longtemps, ne manquent pas d’attirer les sous espaces de la périphérie immédiate.

A l’extérieur de la Région

Les Régions du Moyen Ouest, Itasy et de Bongolavarestent les lieux privilégiés pour l’expansion des populations de Vakinankaratra. L’at trait du Moyen Ouest réside plus dans la recherche d’une fortune que dans la conquête de l’espace, le mouvement interne est lié à l’existence de centres relais d’immigration et l’in sécurité dans les campagnes et des hameaux isolés du fait des « dahalo » (origine de la désertion de plusieurs villages).
Le Vakinankaratra, d’une manière générale est unezone de départ des paysans cultivateurs et des salariés saisonniers migrent vers les terres rizicoles d’Ambatondrazaka et finissent souvent par s’y installer définitivement.
Par contre, les migrants qui viennent dans le Moyen Ouest s’y rendent avec un but précis : « faire fortune » ; l’idée de s’installerdéfinitivement n’est pas nécessairement la décision de départ.
Le cas d’Antsirabe I est exceptionnel car d’une pa rt, il existe une partie de la population qui quitte la région pour leurs études ansd des universités et ou grandes écoles et, d’autre part, des salariés migrants vers d’autres régions à cause de leurs obligations dans le travail.

Le potentiel économique

Les cultures vivrières tiennent une place importante dans l’économie de Betafo. La riziculture, les cultures maraichères (légumes), les arbres fruitiers (surtout les fruits tempéré comme les pêche, les pomme, les avocats…) Betafo es t riche en culture industrielles comme le blé, l’orge, le maïs et l soja. La région du Betafo se spécialise dans l’élevage des vaches laitières, surtout la partie nord ; l’élevage de porcin a commencé de se reprendre et se retrouver partout chez la famille. La rizipisciculture connait aussi un essor considérable. Betafo est une région sous industrialisée seul le malto qui achète les productions du blé et de l’orge pour la revendre à la brasserie star d’Antsi rabe. Elle est riche en source minière. Le tourisme se développe grâce à l’existence des nombr eux sites comme Andranomafana, Anosibe, Tatamarina, Antafofo, Andraimamovoka,…le c ommerce connait un grand progrès surtout dans le cas des PPN.

Historique du football de la région du Vakinankaratra

Comme dans toutes les autres régions, l’histoire du football dans la région du Vakinankaratra débutait dans les quartiers où les oueursj jouaient au football pour se procurer du plaisir.
Vers 1958, puisque la ligue de football du Vakinankaratra n’était pas encore née alors qu’il existait des clubs en deuxième division, la région a été affiliée à la ligue de football d’Antananarivo. Après quelque temps, la section appelé comité de football a été né et Antsirabe I et Betafo étaient les membres actifs.
Vers 1970, le nombre des clubs au sein de la région se multiplie et d’autres communes telles que Faratsiho et Antanifotsy ont été représentées.
Vers 1980, l’Antsirabe I et II se sont regroupés dans une association (KAPAMA) avec environ 47 clubs de football et parmi lesquels le célèbre 3FB et TAXI. A cette même époque, le KAPAMA a organisé une grande compétition entre es membres pour sélectionner les élites qui représenteront la région de Vakinankarat.
L’année 1998 a été marquée par la naissance de sectionla de football de l’Antsirabe II et en même temps la disparition de celle d’Antsirabe I pendant laquelle la ligue est présidée par Monsieur RAMANAKASINA Maurice. Malgré cette disparition, l’équipe de la région existait toujours et participait à une compétition en allant jusqu’au ¼ de finale. C’est à cette époque que le football de Vakinankaratra a connu sa véritable réussite.
Il est à signaler qu’il y avait une école de football au sein de la région. Fondée en 1980 et résidant à Ambohimena, ce dernière n’a pas pu tenir très longtemps contrairement aux autres écoles tel que l’AcadémynyAntsika car les conditions de survie ne sont pas les mêmes.
En parlant de l’AcadémynyAntsika, cette équipe estla plus performante et plus compétitives des équipes de la région. Ils ont participé au championnat de première division vers l’année 2004.Ils étaient vice-champion de Madagascar à la poule des as en 2006, champion de Madagascar en 2008, vice-champion de Madagascar en 2009, vice-champion de Madagascar et demi-finaliste de la coupe en 2010 puis demi-finaliste de la coupe et du Championnat de Madagascar en 2011. Ces résultats nous montrent que l’Académie nyAntsika, Représentant de la région du Vakinankaratra, se trouvait presque dans les derniers carrés des compétions depuis le moment où elle a accédé en première division.

Les secteurs d’activités au sein de la commune

Il est évident que la population de Betafo vit de ’agriculture. Pourtant, on assiste dans l’année à des périodes ou les paysans consacrent tout leur temps à d’autres activités.

L’agriculture

La grande partie de la population de Betafo est formée par des agriculteurs (88,84 %). Les activités agricoles assurent leurs besoins quotidienne tels que l’alimentation, l’éducation, la santé, les habillements…41,71 % de leur revenue monétaires proviennent de l’agriculture. Par conséquent, ils doivent adapter leur calendrier agricole annuel au régime climatique. Ainsi, pendant la saison chaude et pluviale, ou les travaux agricoles sont intenses, ils optent pour les cultures de saison (riz, haricot, pomme de terre…) tandis que pendant la période de froid, ils pratiquent la culture de contre saison.

Le commerce

Il regroupe 04,47 % de la population active, constituées par des personnes qui s’orientent vers la vente des produits locaux, des produits de première nécessité, de viande, des habillements, des légumes et des fruits.

L’artisanat

Cette catégorie de poppulation active est essentiellement constituée par des personnes vivant dans le domaine de la maçonnerie, de la char penterie, de la broderie, de la scierie et de la menuiserie. Ces artisans sonnt minoritaires car ils ne constituent que 2,59 % de la population active. Faute de financement et des matériels, ils sont loin d’être professionnels dans leurs activités.

Le transport

Le transport est l’un des facteurs permettant de mesurer le développement social et économique, et plus particuliièrement du secteur tertiaire d’un espace. A Betafo, le transport terrestre est le seul moyen poossible d’effectuer des échanges à l’intérieur et à l’extérieur du sous-espace. Les transporteurrs se regroupent en coopératives de transpo rt ou en collecteur individuel ; ils ne représentent que 0,81 % de la populaton active.

Les salariés

Ils sont représentés par les fonctionnaires travaillant dans le domainne de la santé, de l’éducation, de la défense nationale et d’autre représentant du ministère de l’intérieuet de la décentralisation. En tant quue chef lieu du district, le nombre de fonnctionnaire dans la commune de Betafo est relatiivement élevé par rapport à celui des autres communes. Outre que les fonctionnaires, les empployés des PME, des associations et des ONGG représentent aussi un effectif non négligeable dee la population. Malgré cela, les salariés ne r eprésentent qu 2,99 % de la population active.

Analyse de la réalité de pratique du football dans la commune de Betafo

Historique

Avant l’indépendance, la pratique du football à Betafo a été limitée entre les fokontany. A cette époque, il n’y a pas eu de club de football ni école. Les gens jouent au foot dans la simple mesure de se procurer du plaisir. Ainsi, quatre équipes régnaient dont le Vary club, l’Akon’Antafofo, l’étoile du sud et l’Akon’An janahary. La rencontre entre ces équipes, surtout la phase finale, se termine toujours par des conflits entrainant des violences.
Face à cette situation honteuse, un certain Monsieu r RAKOTONIAINA Régis et RAKOTONDRAZAFY Lucien ont eu l’idée de réunir les oueursj de football de Betafo dans le but de créer une équipe qui va représenter le istrictd dans des compétitions mais aussi d’éliminer toute forme de malentendu entre les équipes. Cette initiative s’est términée par la naissance de l’ELATR’I BETAFO.
Le club a été présidé par Monsieur FOURNEROND, propriétaire de l’usine malto de Betafo. Il a travaillé en étroite collaboration avec un autre étranger, Monsieur CHARLE Labais. Leur souhait de voir naitre un jour une équipe de haut niveau dans leur commune s’est réalisé. Ainsi, ils ont regroupés les joueursde football des quartiers et des communes avoisinantes dont ceux d’Avaratsena, d’Andranomafan a, d’Atsimon’Iavoko, d’Antsinanantsena, d’Andrefatsena et d’Ambalavato.
En général, l’équipe a été composée des ouvriersui ontq travaillé à la serrure (usine malto) Puisque la ligue de vakinankaratra n’était pas encore née, la région a été affiliée à la ligue d’Analamanga et l’Elatr’ i Betafo était l’unique représentant de la section de Betafo pour la compétition qu’a organisée la ligue d’Analamanga.
En 1959, le FIHEZAMA (FitaizananyHerin’nyZatovo Malagasy) dont l’Elatr’ i Betafo était membre, a organisé une rencontre sportive entre les grandes équipes de cette époque et l’Elatr’iBetafo se trouvait dans le dernier carré avec le Voromaherin’Alaotra, le Fortior de Toamasina, et le saint Michel d’Antananarivo.

Les facteurs déterminants de la motivation extrinsèque.

Dans le monde scolaire, les exemples de ce type de motivation ne manquent pas : travailler pour obtenir de bonnes notes ou pour éviter les mauvaises, ou encore pour faire plaisir à ses parents, voir à son ou ses professeurs.
On peut donc dire que contrairement à la motivation intrinsèque, la motivation extrinsèque est gérable et dépend de l’enseignant. Face à un individu « faible et démotivé », il peut :
– lui exprimer sa confiance en sa capacité de réussir.
– éviter de créer des situations compétitives dans squelles il ne peut que perdre.
– éviter de le réprimander devant ses camarades.
– éviter de lui exprimer de la pitié devant un échec.
– lui donner autant d’attention qu’aux athlètes forts.
– démontrer de l’enthousiasme pendant la séance du availpourtr qu’il puisse réussir à exécuter ses exercices
Nous pouvons donc dire qu’un premier facteur de motivation c’est l’attitude d’un entraîneurenvers ses joueurs.
Souvent nous voyons aussi que la motivation extrinsèque est vécue comme une contrainte alors que la motivation intrinsèque est totalement autodéterminée. Des résultats vont même plus loin puisqu’ils montrent qu’une activitéjugée au préalable intéressante par des joueurs, c’est-à-dire qu’ils pratiquent uniquement pour le plaisir, perd de son intérêt si elle est pratiquée sous la contrainte. Citons à titre d’exemples la récompense, les limites temporelles ou encore la recherche de valorisation.
L’autodétermination est donc une clef de motivationqui va de l’absence de motivation à lamotivation intrinsèque en passant par la motivation extrinsèque qui présente une certainegraduation.
En effet, par exemple celui qui travaille en cours que sous la menace d’une sanctionimmédiate est faiblement autodéterminé, alors qu’un joueur qui travaille car il sait que sesaspirations futures dépendent de ses résultats de la compétition et qui sera fortement autodéterminé.
Il faut cependant distinguer, dans le cadre sportive, l’autodétermination de l’autonomie, dans la mesure où le deuxième concept n’implique pas forcément le premier. En effet, si nous définissons l’autonomie comme la capacité pour un ndividu d’effectuer une activité sans l’intervention d’un encadrement quelconque, il rest que cette activité peut être effectuée sous la menace ou en vue d’en soutirer une récompense.
.Mettons en lumière quelques autres facteurs clés de motivation :
– La pratique quotidienne de la pédagogie de l’erreur et de l’évaluation formative, ou terreur est une bonne occasion d’apprendre, et non pas de juger, ni de sanctionner. Elle permet d’installer progressivement dans un club le climat d’apprentissage favorable.
Grâce à l’attitude d’écoute, de confiance et de respect envers les joueurs, particulièrement marquée lors de discussions, ceuxci- se sentent reconnus, considérés et valorisés.
– Le comportement de guide et d’aide opposés à celui d’expert améliore petit à petit aux yeux des joueurs l’image traditionnelle de l’entraineur.
– Et enfin, l’adaptabilité du professeur qui n’est nirivée au programme, ni à des objectifs préétablis et immuables mais en revanchetoujours prêt à aider les joueurs face à leurs difficultés, transforme positivement la représentation qu’il se fait au milieu sportif.
La motivation extrinsèque est un besoin de renforcement qui dépend de plusieurs facteurs. Cependant, plusieurs recherches disent que les récompenses ou toute autre forme de motivation extrinsèque « tuent » la motivation intrinsèque. Il ne faut pas pour autant arrêterde donner des récompenses, mais simplement airef attention de ne pas diminuer la motivation intrinsèque en donnant des bonbons à quelqu’un qui n’en a pas besoin pour accomplir ce qu’il aurait accompli sans aucune autre forme de récompense.
Elle correspond à un engagement non pas pour l’acti vité elle-même mais pour ses conséquences. Le sport n’est alors plus une fin en soi mais un moyen d’obtenir quelque chose.
On trouve dans ces motivations externes :
– Les récompenses : médailles, cadeaux, gains financiers.
– L’approbation sociale : essaye d’obtenir l’admirati on des autres, la reconnaissance.
– La comparaison sociale ou l’hyper compétitivité : hercher à battre les autres à tout prix pour prouver sa valeur, couloir apparaître comme le meilleur.

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Table des matières

I. CADRE GENERALE ET PRESENTATION DE LA RECHERCHE
I.1.2.9.3. Résultats aux examens officiels.
I.1.2.9.4. Taux d’abandon des élèves par niveau en pourcentage
I.3. OBJET D’ETUDE ET INTERET DU SUJET
I.3.1. Objet de la recherche.
I.3.2. Intérêt du sujet.
II. CADRE D’ETUDE ET POSITION DU PROBLEME
II.1. ETATS DES LIEUX
II.1.1. La commune de Betafo et la situation contextuelle
II.1.1.1. Historique
II.1.1.2. Les secteurs d’activités au sein de la commune
II.1.1.2.1. L’agriculture
II.1.1.2.2. Le commerce
II.1.1.2.3. L’artisanat
II.1.1.2.4. Le transport
II.1.1.2.5. Les salariés
II.1.2. Analyse de la réalité de pratique du football dans la commune de Betafo
II.1.2.1. Historique
II.1.2.2. L’Elatr’i Betafo en première division
II.1.2.3. Les structure de décision et de fonctionnement du club
II.1.2.3.1. Organigramme du club
II.1.2.3.2. Le fonctionnement du club cohorte 2000 à 2005
II.1.2.3.3. Le fonctionnement du club cohorte 2006-2010
II.2. POSITION DU PROBLEME
II.2.1. Problème professionnelle et scolaire
II.2.2. Problème financière
II.2.3. Problème relationnel
II.2.4. Problème de performance
III. CADRE THEORIQUE
III.1. LE MODELE HIERARCHIQUE DE LA MOTIVATION EXTRINSEQUE ET INTRINSEQUE
III.1.1 La motivation extrinsèque
III.1.1.1.Définition
III.1.1.2. Les facteurs déterminants de la motivation extrinsèque.
III.1.2. La motivation intrinsèque
III.1.2.1.Définition
III.1.2.2. Les facteurs déterminants de la motivation intrinsèque
III-2-LA MOTIVATION POUR LA COMPETENCE
III-3-LA MOTIVATION A L’ACCOMPLISSEMENT
III-3-1-La théorie des buts d’accomplissement
III-3-2-Le but de maîtrise et le but d’approche de la performance
III-3-3-Le but d’évitement de la performance
III-4-LES CONCEPTS D’INVESTISSEMENT CONTRAINTES SOCIALES
III-4-1- Les bénéfices anticipés.
III.5-DEFINITION OPERATIONNELLE DE L’ABANDON SPORTIVE
III.5.1- Explication de l’abandon selon le modèle de Smith
III.5.2. Le modèle intégrateur de Gould
III.6.APPROCHES INTERACTIONNISTES DE L’ABANDON SPORTIF
III.6.1.Etude du modèle de Brown
III.7.PROBLEMATIQUE
III.8.FORMULATION DE NOTRE HYPOTHESE
III-8-1Support théorique de notre hypothèse
III.8.1.1 La théorie de l’autodétermination
III.8.1.1.1 L’autodétermination
III.8.1.1.2 Les trois besoins psychologiques fondamentaux
IV. CADRE METHODOLOGIQUE ET SUGGESTION
IV.1.METHODOLOGIE
IV.1.1.Notre démarche méthodologique
IV.1.1.1.Etude 1
IV.1.1.2.Etude 2
IV.1.2. Enquête de type I
IV.1.2.1.Objectif
IV.1.2.2.Présentation des résultats
IV.1.2.3.Traitement mathématique des résultats
IV.1.2.4.Interprétation des résultats
IV.1.2.5.Justification théorique de notre interprétation
IV.1.3.Enquête de type II
IV.1.3.1.Objectif
IV.1.3.1.1 Présentation des résultats
IV.2.Conclusion partielle
IV.3. SUGGESTIONS ET RECOMMANDATIONS
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE

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