Les changements que l’informatisation apporterait au réseau de bibliothèques de Coudekerque-Branche-branche 

Historique et localisation des bibliothèques dans la ville et dans les quartiers

Une bibliothèque populaire communale est fondée à Coudekerque-Branche à la suite d’une délibération prise le 2 août 1907 par le Conseil Municipal. Cette création est approuvée le 16 janvier 1908 par le Préfet du département du Nord. Elle est mise en fonctionnement à partir du 1er juillet 1908. Gustave Fon¬ taine, Maire de la ville de 1904 à 1937, en est l’instigateur. Elle est située rue de la gare (actuellement me Gustave Fontaine) dans les locaux de la Mairie (actuellement Mairie annexe). D’après son règlement inté¬ rieur ‘, elle a « pour but de développer le goût de la lecture, en procurant aux habitants de la commune les livres nécessaires à leur instruction et à leur délassement » (article 3). Le bibliothécaire doit tenir un registre de prêt, un catalogue des auteurs, un catalogue par matière, un registre d’inventaire, un registre de recettes et de dépenses (article 13). Le prêt est entièrement gratuit pour les habitants de la commune (article 16). Chaque lecteur peut emprunter deux ouvrages pour une durée de quinze jours. Le prêt est indirect, c’est donc le bibliothécaire qui doit aller chercher les livres demandés dans les rayons. Les ouvrages sont soit des « livres à emporter », soit des « livres à consulter sur place ». Ils proviennent d’achats, de dons ou de concessions ministérielles. Vers 1931, le fonds de la bibliothèque est divisé en deux parties : la bibliothèque communale et la bibliothèque de prêt. La collection de la bibliothèque communale doit être consultée sur place et une petite partie constitue une « réserve », il fallait une autorisation spéciale pour les consulter. En ce qui concerne la bibliothèque de prêt, le prêt était indirect et limité à trois ouvrages pour quinze jours 2. Par la suite, des employés de Mairie se chargèrent de gérer le fonds comme ils le pouvaient malgré l’absence de formation adéquate. Il fallut attendre les années quatre-vingt pour que de réels efforts soient menés pour diffuser la lecture publique dans la ville dont la population ne cessa d’augmenter.
Les quartiers se dotèrent peu à peu d’équipements indispensables comme les services municipaux (Mairies annexes, bibliothèques, etc…) car la ville ne cesse de s’étendre. Il s’agit de rapprocher les structures des personnes. Cela explique le fait que les bibliothèques soient situées à côté de l’Hôtel de ville ou des Mairies annexes. Peu à peu, des bibliothèques seront décentralisées sur l’ensemble de la ville.
Ainsi, en 1982, une première bibliothèque est fondée dans le quartier du Petit Steendam, rue des Mûriers, d’où son nom « Les Mûriers ». Elle est implantée dans le Centre culturel Jules Romains qui est lui même dans les locaux d’une ancienne école. Elle est située à proximité de la Mairie de quartier, de quatre écoles et d’un collège. Elle est desservie par trois lignes de bus et dispose d’un petit parking juste devant. Peu après, en 1983, une autre bibliothèque est créée dans le quartier du centre-ville, sur la place de la République. Il s’agit de la bibliothèque Louis Aragon. Elle est implantée dans l’ancien groupe scolaire Pasteur construit au début du siècle. En 1998, ce dernier est rénové. Cela permet d’attribuer un nouveau local à cette bibliothèque qui devient le Centre culturel Louis Aragon, dont l’entrée se trouve désormais 3 rue Henri Ghesquière. Une discothèque municipale a été implantée dans les mêmes locaux que cette bibliothèque depuis sa création en 1988, elle fut également aménagée dans le Centre culturel Aragon. Celui-ci est situé à proximité de l’Hôtel de ville, de deux écoles, de l’école municipale des Beaux-Arts, de la Maison de l’Animation et de l’Espace Jean Vilar. Deux lignes de bus le desservent et un grand parking facilite son accès aux automobilistes. Les bibliothèques « Les Mûriers » et Louis Aragon, connurent un succès immédiat dès leur création puisqu’il n’y avait plus réellement de bibliothèque dans la ville. Une troisième bibliothèque devait être inaugurée le 20 février 1983 dans la rue Gustave Fontaine dans le quartier du Vieux-Coudekerque. Elle fut nommée bibliothèque Eva Coulier en hommage à l’ancienne adjointe au maire, directrice d’école honoraire bienfaitrice du bureau d’aide social (1888-1950). Cette bibliothèque se situe d’abord au premier étage de l’ancienne Mairie, puis elle est installée dans de nouveaux locaux qui ont été construits dans la cour de l’ancienne Mairie le 20 mai 1995 2. Cette bibliothèque est l’héritière de la première bibliothèque communale par sa situation et son fonds. Une Bibliothèque Centre Documentaire (BCD) y sera créée en 1992. Elle est située à proximité d’une école maternelle, d’une école primaire, d’un collège et de l’Académie de musique. Deux lignes de bus la desservent et elle est à proximité de la gare. Par contre, il y a peu de place pour stationner.
Une bibliothèque jeunesse est créée en 1984 dans le quartier Sainte-Germaine. Il s’agit de la biblio¬ thèque Célestin Freinet. Une section adulte sera créée en 1992. Elle se situe rue Arago près d’une Mairie annexe. Une école maternelle, une école primaire, l’Institut d’Education Motrice Jacques Collache (IEM) sont à proximité. Deux lignes de bus la desservent et un parking permet de s’y garer aisément.
Enfin, une cinquième bibliothèque de prêt est inaugurée le 3 octobre 1987 dans le quartier du Grand Steendam, rue Paul Cézanne. Il s’agit de la bibliothèque Emile Verhaeren. Elle se situe au premier étage d’un bâtiment, à côté de la Mairie annexe. Sa localisation ne permet pas un accès facile à certains publics (personnes handicapées, personnes âgées). Elle est à proximité de « l’école des tout petits » et d’une école maternelle, d’une école primaire et d’une résidence pour personnes âgées. Deux bus peuvent la desservir.
Par ailleurs, une bibliothèque d’étude fut inaugurée le 30 avril 1995 et fut ouverte au public le 2 mai.
Elle est installée au 67 rue Waldeck Rousseau dans le quartier Sainte-Germaine dans une maison particulière. Celle-ci fut construite entre-deux-guerres et appartenait à la société Georges Lesieurs et fils. En 1937, la famille Réveillion, famille d’entrepreneur de travaux publics achète la maison et la garde en sa possession jusqu’en 1994. C’est à ce moment-là que la commune de Coudekerque-Branche lui rachète la maison. Elle deviendra la bibliothèque d’étude Léonce Baron 1 (annexe S), en hommage au bibliothécaire-archiviste de la ville de Dunkerque (1870-1945). Il est l’auteur de la monographie « Coudekerque-CoudekerqueBranche » publiée en 1923 2. La décision de créer cette bibliothèque est due au fait qu’un fonds ancien, celui de la première bibliothèque populaire communale, était conservé dans le grenier de l’ancienne Mairie, il n’était ni mis en valeur, ni protégé contre l’humidité.
Ainsi, de 1982 à 1987, cinq bibliothèques de prêt furent fondées en cinq ans. Ceci montre la volonté de diffuser la lecture publique dans la ville. Une bibliothèque d’étude fut intégrée au réseau plusieurs années plus tard. Chacune de ces bibliothèques a un aménagement différent.

L’aménagement de l’espace dans les bibliothèques

Le Centre culturel

Aragon dispose d’une superficie de 250 m2 pour la bibliothèque et la discothèque. Cet espace s’ouvre sur l’extérieur grâce à la construction d’une verrière et à la réhabilitation de l’ancien préau 3. Le Centre culturel contient également le secrétariat du réseau des bibliothèques. La bibliothèque des Mûriers a une superficie de 200 m2. La bibliothèque Célestin Freinet dispose d’un espace de 117,65 m2 qui est accessible aux élèves de l’IEM par un couloir à l’arrière de l’ancienne école. La bibliothèque Eva Coulier a environ 110 m2 et a été aménagée pour être accessible aux personnes handicapées et à mobilité réduite. En-fin, la bibliothèque Emile Verhaeren, qui est la plus petite des bibliothèques de prêt, a une superficie d’environ 60-70 m2. La bibliothèque d’étude partage ses locaux avec les archives municipales qui disposent d’une pièce au premier étage depuis 1996.
Toutes les bibliothèques de prêt disposent de deux sections : adultes (à partir de 15 ans) et enfants. Les bibliothèques Aragon, Les Mûriers et Verhaeren disposent d’une réserve où l’on peut stocker les nouveautés, les dons, le matériel avant que les ouvrages soient disponibles pour le public. La bibliothèque Eva Coulier dispose de deux petites pièces qui peuvent permettre de ranger le matériel et quelques livres, mais la place manque. Quant à la bibliothèque Célestin Freinet, elle ne dispose pas de réserve, ce qui pose un problème de stockage des acquisitions et des dons. Toutes les bibliothèques disposent de tables pour travailler ou pour consulter les ouvrages sur place. La bibliothèque d’étude dispose d’une grande salle de consultation sur place, qui contient une partie des usuels, des livres anciens disposés dans une grande vitrine, une plus petite présente des livres, plans ou instruments selon le thème d’une exposition par exemple. Elle a quatre salles de magasin : deux pour le fonds ancien (dont un n’est pas encore inventorié), un pour le fonds périodique, un pour les nouveaux achats.
Le lecteur peut s’orienter dans chacune des bibliothèques par la signalétique qui figure soit au-dessus des rayonnages, soit sur le devant de ceux-ci. Il peut être renseigné par la personne qui s’occupe du bureau de prêt, celui-ci faisant également office d’accueil et de renseignement. L’usager dispose d’un espace agréable pour travailler ou pour lire même si l’espace est, parfois, assez restreint. Il n’y a pas de décoration particulière, mais il y a beaucoup de dessins ou d’affiches notamment sur les Salons du livre antérieurs. Le lecteur peut prendre connaissance du règlement intérieur de la structure dans laquelle il se trouve.
Le public est très varié dans les bibliothèques, ce sont essentiellement des Coudekerquois, et touche toutes les catégories socio-professionnelles. Néanmoins, le personnel a constaté que la tranche d’âge com¬ prise entre 18 et 25 ans est moins représentée. Ceci correspond souvent à des étudiants qui fréquentent la bibliothèque universitaire plutôt que la bibliothèque municipale dans le cadre de leurs études. De nombreux retraités fréquentent les bibliothèques de prêt. La bibliothèque Célestin Freinet accueille souvent des élèves de ITEM. La bibliothèque d’étude est surtout fréquentée pendant l’année scolaire par des collégiens, lycéens maiségalement quelques chercheurs. Les bibliothèques sont moins fréquentées pendant l’été.

Le fonctionnement administratif du réseau

Le budget du service bibliothèque est partie intégrante du budget municipal. Il est ensuite réparti entre les bibliothèques. Les responsables sont libres de le gérer de façon autonome notamment pour les acquisitions. Afin de bien répartir le budget, on se base sur la fréquentation des bibliothèques, ceci montre l’importance des statistiques pour chaque structure. Une bibliothèque récemment créée est également aidée afin de la lancer. C’est le cas de la bibliothèque d’étude Léonce Baron. Un budget commun est établi pour les animations. Par contre, les abonnements, l’équipement, les remises de prix, les fournitures administratives ont un budget distinct. Le Salon du livre et le Hérisson au Soleil bénéficient d’un budget propre. Le Salon du livre reçoit également une aide du Conseil Général et du Conseil Régional. Enfin, l’ensemble des bibliothèques reçoit une dotation générale de décentralisation de l’Etat.
Si l’on se réfère à l’organigramme du personnel (Annexe 12), on constate que quinze personnes travaillent dans l’ensemble du réseau. Six appartiennent à la filière culturelle et neuf à la filière administrative.
Le réseau est géré par une seule personne qui est également responsable de bibliothèque. Cet organigramme peut varier car le personnel circule entre les bibliothèques. Il a donc été établi en fonction des lieux où se trouvent le plus souvent les personnes. La rotation du personnel est due à son nombre restreint alors qu’il y a sept structures. Cette rotation est assez rare dans les bibliothèques municipales si l’on en juge d’après les réponses qui ont été fournies au questionnaire que j’ai envoyé aux bibliothèques municipales (annexe 20) puisque aucune ne fait circuler son personnel sauf en cas de remplacement (maladie, maternité, congé). Ceci est sans doute dû au fait que les villes ayant un réseau de bibliothèques sont beaucoup plus grandes par leur population et par la taille de leurs bibliothèques que Coudekerque-Branche. Elles ont donc plus de moyens.
Ce nombre restreint de personnel peut entraîner la fermeture de certaines bibliothèques quand il est impossible de faire autrement. Ceci est tout de même assez rare. Dans ce cas, c’est la bibliothèque d’étude qui est fermée en premier car c’est la plus récente et ce n’est pas une bibliothèque de prêt. Si cela ne suffit toujours pas, on ferme les plus petites bibliothèques de prêt. Si le personnel était plus nombreux, il pourrait faciliter le travail en réseau car il soulagerait certaines tâches dans les bibliothèques et permettrait à celles-ci de mieux coopérer au sein du réseau. À ce personnel, il faut ajouter les hôtesses bénévoles pour le Salon du livre ou pour les animations.
Des réunions ont lieu entre le personnel pour les animations, mais il n’y en a pas concernant l’organisation du réseau comme, par exemple, pour uniformiser le catalogage. Or, les réunions semblent être indispensables si on veut qu’un réseau soit coordonné si l’on se base sur quelques réponses fournies à mon questionnaire aux bibliothèques municipales fonctionnant en réseau (annexe 20).
Le personnel a la possibilité de suivre des stages de formation proposés par le Centre National de la Fonction Publique Territoriale (CNFPT). Certaines personnes ont suivi des stages sur le Kamishibaï, Lire la bande dessinée, la littérature des 10-15 ans, l’indexation RAMEAU, la création et l’organisation d’une exposition… On remarque que ces stages sont le plus souvent orienté vers les animations. Cela confirme que les activités culturelles sont très présentes dans le réseau. Ces stages sont volontaires et sont payés par la Mairie.

La bibliothèque d’été : le Hérisson au Soleil

Le Hérisson au Soleil a été créé en 1989 dans le cadre des Arts au soleil. Quand ceux-ci se sont arrêtés, le Ministère de la Culture a laissé le matériel et l’initiative aux villes (d’où des bibliothèques sur la plage, dans les jardins… ). L’objectif de cette action est d’amener la lecture dans des lieux de promenade, de dé¬ tente. Mais cela permet également d’aller au-devant du public, qui peut éventuellement être non-lecteur en bibliothèque. Cette bibliothèque se situe dans une allée à l’entrée du parc du Fort-Louis dans deux petits chalets (un pour la bibliothèque, un pour les animations peinture par exemple). Auparavant, il n’y avait qu’un seul chalet. Cette bibliothèque est ouverte du 6 juillet au 14 août les mardi, mercredi, jeudi, samedi de 14 h 30 à 18 h. L’accès est gratuit pour tous. Cette action ne permet pas le prêt, mais seulement la consultation sur place. Un article de La Voix du Nord la présente clairement (annexe 17).
Trois groupes de deux personnes gèrent l’espace par session de 15 jours. Les animateurs sont surtout des emplois saisonniers (étudiantes). Ils ne sont pas formés pour assurer cette action. Ils doivent surveiller les livres, distribuer des tracts sur les activités, mettre des flèches à l’entrée du parc, doivent présenter la bibliothèque dans le jardin, animer l’heure du conte, aider les intervenants des animations (peinture…) et tenir des statistiques. Auparavant, c’était le personnel des bibliothèques qui devaient s’en occuper en plus de leur bibliothèque.
Un budget propre lui est alloué notamment pour les abonnements (quotidiens et revues) qui s’élève à 2400 F. Le matériel revient à 4000 F, il faut aussi comptabiliser le budget se rapportant aux emplois saisonniers. Ce sont les responsables des bibliothèques qui, à tour de rôle, sont chargés d’aller chercher la presse dans deux marchands de journaux de la ville avant d’aller travailler dans leur bibliothèque.
Sa préparation dure 2 à 3 mois. Il est demandé à chaque bibliothèque de prêt de sortir 80 livres (40 adultes, 40 enfants). Il est donc impératif de vérifier que les livres contiennent le tampon de la bibliothèque d’où il provient afin de les retourner au bon endroit. Il n’y a aucun équipement particulier des livres pour le Hérisson au Soleil. Des serre-livres et des présentoirs (3 de chaque par bibliothèque) doivent être joints aux livres ainsi que les matelas « les Arts au soleil » et des caisses plastiques. Le matériel est constitué de tables, chaises, matelas, parasols. Un paravent protège l’espace lecture à côté du chalet bibliothèque.

METHODE SUIVIE POUR LA RECHERCHE D’INFORMATION

Il a fallu rechercher les informations afin d’acquérir les connaissances nécessaires pour effectuer ce stage en bibliothèque et pour mieux cerner mon sujet. Ceci fut complété par une observation participante, ainsi que par le recours aux professionnels des bibliothèques dans le cadre de deux questionnaires.

La recherche d’information

La recherche d’information s’est effectuée dans les documents imprimés mais également en utilisant les outils informatiques et Internet ainsi que les archives municipales de Coudekerque-Branche. Avant de faire des recherches, j’ai d’abord délimité des mots-clés susceptibles de m’orienter : « bibliothèque ; biblio¬ thèque municipale ; bibliothèque publique ; médiathèque ; réseaux ; informatisation ; lecture publique ; catalogue ; Internet ».

Les documents imprimés

Afin de trouver les informations nécessaires sur les bibliothèques de Coudekerque-Branche, leur fonctionnement et leurs activités, j’ai recherché dans le bulletin municipal de la ville, L’Echo de la Branche, que j’ai archivé depuis le premier numéro. Dans ceux-ci de nombreux articles font référence aux bibliothèques.
Ils furent donc le point de départ pour la recherche des questions à poser au personnel ainsi que pour l’étude du fonctionnement des bibliothèques. Par ailleurs, de nombreux articles sur les activités des bibliothèques de la ville sont publiés dans le journal quotidien La Voix du Nord principalement sur l’invitation d’auteurs, le Salon du livre, le Hérisson au Soleil, les concours… Ce journal m’a également fourni des articles sur d’autres bibliothèques.
En ce qui concerne ma problématique, c’est-à-dire l’informatisation des bibliothèques, ainsi que sur les bibliothèques / médiathèques en général, j’ai recherché des articles dans les revues spécialisées suivantes : Bulletin des Bibliothèques de France, Bulletin d’Informations de l’Association des Bibliothécaires Français, Archimag et Documentaliste. Ces revues sont réservées aux professionnels des bibliothèques et de la documentation. J’ai recherché dans les sommaires de ces revues et j’ai dû rechercher les anciens numéros au magasin de la bibliothèque universitaire. J’ai également utilisé l’index de la revue Bulletin d’Informations de l’Association des Bibliothécaires Français. Pour trouver les références de certains articles, j’ai utilisé le guide de l’UFR IDIST Bibliothèques : guide de lecture ainsi que les bibliogra.

 

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Table des matières
INTRODUCTION 
1. LE RESEAU DES BIBLIOTHEQUES DE COUDEKERQUE-BRANCHE 
1.1. Présentation du réseau des bibliothèques
1.1.1. Historique et localisation des bibliothèques dans la ville et dans les quartiers
1.1.2. L’aménagement de l’espace dans les bibliothèques
1.1.3. Les horaires et les modalités d’inscription
1.2. Le fonctionnement et la gestion des bibliothèques
1.2.1. La gestion du prêt et le circuit du document
1.2.2. Les fonds documentaires
1.2.3. Le fonctionnement administratif du réseau
1.3. L’action culturelle des bibliothèques municipales de la ville
1.3.1. Les animations
1.3.2. Les activités « hors les murs » et les partenariats
1.3.3. La bibliothèque d’été : le Hérisson au Soleil
2. METHODE SUIVIE POUR LA RECHERCHE D’INFORMATION 
2.1. La recherche d’information
2.1.1. Les documents imprimés
2.1.2. Les outils informatiques
2.1.3. La recherche sur Internet
2.1.4. Les recherches dans les archives municipales de Coudekerque-Branche
2.2. Observation participante
2.2.1. Le travail accompli
2.2.2. Entretien avec le personnel
2.2.3. Observations
2.3. L’élaboration des questionnaires
2.3.1. La sélection des contacts
2.3.2. Méthode d’élaboration des questionnaires et leurs récupérations
2.3.3. Traitement des réponses
3. LES CHANGEMENTS QUE L’INFORMATISATION APPORTERAIT AU RESEAU DE
BIBLIOTHÈQUES DE COUDEKERQUE-BRANCHE 
3.1. Cadre général
3.1.1. Une première tentative d’informatisation d’une des bibliothèques à Coudekerque-Branche : le réseau documentaire dunkerquois
3.1.2. Objectifs de l’informatisation et sa mise en place
3.1.3. L’informatisation vue par les bibliothèques municipales fonctionnant en réseau
3.2. Principales fonctions et services de l’informatisation
3.2.1. Le système de gestion documentaire
3.2.2. Un meilleur service au public et au réseau
3.2.3. L’ouverture du réseau sur l’extérieur
3.3. Mais l’informatisation comporte des facteurs contraignants
3.3.1. Les contraintes organisationnelles et techniques
3.3.2. Les contraintes humaines
3.3.3. Les contraintes financières
CONCLUSION 
BIBLIOGRAPHIE 
ANNEXES 

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