Les broncho-pneumopathies chroniques obstructives (BPCO)

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EPIDEMIOLOGIE

La prévalence

Le nombre de fumeur dans le monde est estimé à 1,25 milliard de personnes âgées de 15 ans et plus. Ce nombre représente 1/3 de la population soit environ 33 % des personnes de cette tranche d’âge. La plupart de ces fumeurs se trouvent dans les pays en développement [93,102].
En effet, la prévalence du tabagisme dans les pays en développement croît de 2,7 % par an tandis que dans les pays développés elle décroît de 1,8 % par an. Chaque année dans le monde 6000 milliards de cigarettes sont fumées [23]. Au Sénégal, selon une enquête portant sur un échantillon représentatif de 5.000 personnes âgés de 15 à 61 ans et plus, réalisée entre mars et décembre 1995, à Dakar, Diourbel, Kaolack, Fatick, Mbour et Joal, en collaboration avec l’Union Internationale Contre le Cancer (UICC), 37% des personnes fument, parmi eux 95,3% sont des hommes [99]. Une étude faite à Dakar en 1998 dans l’élite du basket révèle que :
„ 15,64 % des fumeurs tous des garçons
„ Prévalence nulle chez les femmes
La population sénégalaise tolère difficilement le tabagisme chez des femmes [3]. Une étude prospective transversale menée durant le mois de mars 1999 portant sur la prévalence du tabagisme parmi les médecins exerçant au niveau de la région de Dakar montrait un taux de 27,6% [71].
Une enquête transversale réalisée du 3 au 31 mai 2001 auprès de 1547 étudiants en médecine de la faculté de Médecine, de Pharmacie et d’Odontostomatologie de Dakar (Sénégal) révélait une prévalence du tabagisme de 34,6 % [70].
Les enquêtes du Dr KANE et ses collaborateurs montraient une prévalence du tabagisme de 24,07% en milieu rural et de 35,2% dans les entreprises dakaroises [46,47].
Une étude menée en milieu médical au C.H.N de FANN (Dakar) en 2004 a montré une prévalence de 11,6 % de fumeurs et 13,3 % d’ex fumeurs [100]. Cette enquête a été faite auprès de 249 personnes avec une proportion de 31 % de gros fumeurs (> 20 cigarettes par jour).
La prévalence du tabagisme dans l’élite du football au Sénégal en 2004 a montré un taux de 15,07 % [91]. Une autre étude montrait un taux de 12,66 % de prévalence du tabagisme dans les sports individuels au Sénégal en 2004 [22].

Le sexe

Le tabagisme a longtemps été considéré commun comportement masculin, lié à la mise en forme, à la richesse, au pouvoir, au succès sexuel.
Aujourd’hui encore les fumeurs dans leur majorité sont des hommes représentant 1 milliard sur les 1,25 milliards de fumeurs que compte le monde avec 50 % dans les pays en voie de développement [25].
Le tabagisme masculin tend cependant, depuis quelques années à se stabiliser voire à diminuer bien que cela se fasse lentement. Le tabagisme féminin quant à lui est en plein essor avec 250 millions de femmes qui fument dans le monde [4].
D’une manière générale dans les pays en développement, il y a 41 % d’hommes et 21 % de femmes qui fument. Dans les pays en voie de développement ce sont 50 % d’hommes et 8 % de femmes qui fument [64].

L’âge

La plupart des fumeurs commencent durant leur adolescence, voire leur enfance. En 1984, un rapport de R.J.Reynolds Tobacco Company intitulé « Jeunes adultes fumeurs : stratégies et opportunités » indique : « Le renouvellement du marché provient presque entièrement des fumeurs de 18 ans. Pas plus de 5 % des fumeurs commencent après 24 ans. […] Les jeunes fumeurs adultes sont la seule source de remplacement des fumeurs. […] Si les jeunes adultes se détournent du tabac, l’industrie déclinera, tout comme une population qui n’a pas de naissances doit finalement dépérir. » Chaque semaine, en France, l’industrie doit convaincre 10000 enfants et adolescents de fumer uniquement pour maintenir son marché. Dans les pays sous-développés, 1/5 des enfants âgés de 13 à 15 ans fument [23].
Certains facteurs ont été déterminés comme favorisant et/ou augmentant le risque du tabagisme au sein de la jeunesse.
Ce sont :
– les publicités des industries du tabac
– le libre accès aux produits du tabac et à moindre coût
– l’interruption prématurée de la scolarité
– l’affirmation d’un esprit d’autorité et d’indépendance
– le tabagisme des pairs et des parents
– le degré d’acceptabilité sociale du tabac dans la communauté où vivent les jeunes
– la curiosité à l’égard de la sensation que procure le tabac.

La morbidité et la mortalité

Les pathologies liées au tabac s’observent après un délai de 15 à 40 ans qui suivent le début du tabagisme. Les pathologies et la mortalité liées au tabac observées actuellement sont les conséquences du tabagisme des années 1960-1980. Le tabac a tué 62 millions de personnes depuis la Seconde Guerre mondiale et en tuera 100 millions dans les vingt prochaines années. Des études menées sur 40 ans ont montré qu’une cigarette réduit la durée de vie de 11 minutes et un paquet de 3h 40 minutes. La mortalité des fumeurs dépasse de 30 à 80 % celle des non-fumeurs [23].

Le niveau socio-économique

Durant les premières décennies de l’épidémie du tabagisme, les fumeurs se trouvaient surtout parmi les gens aisés dans les pays à revenu élevé.
Depuis 1965, au contraire cette distribution semble s’être inversée. De plus en plus, les personnes de milieu aisé cessent de fumer. Mais ce n’est pas le cas chez les gens de milieu plus modeste. Dans la plupart de ces pays, il existe aujourd’hui des différences importantes entre les prévalences du tabagisme des différents groupes socio-économiques. Par exemple au Royaume-Uni 10 % des femmes et 12 % des hommes des groupes socio-économiques élevés s’adonnent au tabac ; tandis que dans les groupes socio-économiques plus faibles les prévalences sont beaucoup plus élevées soit environ 35 % de fumeuses et 40 % de fumeurs [29].
Dans les pays à revenu intermédiaire, on pensait récemment encore que la situation était différente. Cependant les dernières recherches indiquent que dans ces pays aussi les personnes d’un bas niveau socio-économique fument plus que les autres.
Une étude menée à Chennai en Inde montre que le niveau d’éducation est un facteur net du tabagisme. Des études menées au Brésil, en Chine, au Viêt-nam, en Afrique du sud confirment cette observation [23].
D’une manière générale qu’il s’agisse de pays à revenu faible ou intermédiaire ou de pays à revenu élevé, la prévalence du tabagisme est élevé chez les populations pauvres et peu éduquées qui consomment plus de cigarettes par jour que les fumeurs riches et éduqués [23].

Incidences du tabac sur l’environnement

Environ 5 millions d’hectares de forêt sont détruits chaque année dans le monde à cause du tabac, surtout en Amérique du sud et en Afrique. Ces surfaces sont utilisées pour la culture et le séchage du tabac. En effet, pour sécher un hectare de tabac il faut couper environ un hectare de forêt. Ainsi, le tabac est une grande cause de déforestation avec toutes les conséquences qui en découlent. La culture du tabac nécessite souvent l’usage d’importantes quantités d’engrais et de pesticides susceptibles de contaminer l’environnement notamment l’alimentation en eau [23].
La fumée de tabac introduit dans l’environnement de nombreuses substances toxiques et nocives. Il faut aussi noter les déchets faiblement biodégradables enlaidissants et polluants que constituent les mégots et les paquets de cigarettes. En outre, de nombreux incendies dans les lieux publics tels que les hôtels, les boîtes de nuit, les restaurants et les forêts ont été attribués à des fumeurs. La principale cause d’incendie domestique aux Etats-Unis est la cigarette [23].

Incidences du tabac sur l’économie

Les conséquences du tabac sur l’économie sont appréciées de façon différente selon qu’il s’agisse des industriels du tabac ou des organisations de lutte contre le tabagisme.
En effet, pour les industriels du tabac, le tabac a un impact positif sur l’économie eu égard aux devises qu’il rapporte aux caisses des Etats. En Côte d’ivoire, en 1999 l’industrie du tabac a payé à l’Etat 3 275 420 000 F CFA sur un bénéfice net de 7 024 267 958 F CFA [48]. Au Sénégal, les volumes des importations et des exportations sont en nette progression. De 1989 à 1999, le Sénégal a investi 111.135.064.277 FCFA pour l’importation de 41.110.090 kilogrammes de tabac. Les taxes à l’importation s’élevaient à 18.498.054 FCFA [85]. Les principaux fournisseurs du Sénégal sont les continents américains (Etats-Unis, Brésil) et européen (Italie, Grèce). En Afrique, ce sont le Malawi, le Zimbabwe et Madagascar. L’investissement durant la même période, le Sénégal a exporté 5.816.122 kilogrammes de tabac pour une valeur de 11.215.909.987 FCFA. Ses principaux clients dans la sous région sont les Républiques de Guinée Bissau et de Guinée Conakry. Les produits exportés sont des cigarettes.
On observera que durant cette période, la balance commerciale du Sénégal, dans ce secteur, était déficitaire et s’élevait à 99.919.154.590 FCFA [85].
La production et la transformation du tabac serait pourvoyeuse d’emplois. L’industrie du tabac argumente donc qu’une lutte efficace contre le tabagisme ; entraînerait une baisse des taxes et impôts des Etats et aussi la perte de nombreux emplois. Selon les organisations antitabac, toutes ces appréciations sont faites sans tenir compte des pertes économiques que le tabac génère dans tous les pays car bien que générant des professions, le tabac ne représente qu’une faible partie de l’activité économique dans la plupart des pays.
En effet, le tabac procure moins de 1 % des emplois dans les pays en général car le travail du tabac est fortement mécanisé [23]. Pour la société, les dépenses dues au tabagisme sont liées aux soins de santé, à la déforestation avec perte de terres cultivables, aux coûts pour réparation des dégâts des incendies et des accidents.
La banque mondiale a estimé à 200 milliards de dollars US par an les pertes nettes dues au tabagisme dans le monde dont la moitié dans les pays en développement. Cela est d’autant plus grave pour les pays du tiers-monde que les maladies liées au tabac viennent s’ajouter aux maladies infectieuses et à la malnutrition contre lesquelles le combat n’est pas encore gagné.
En ce qui concerne le fumeur lui-même, ses pertes économiques sont liées à l’argent dépensé pour acheter le tabac et traiter les maladies causées par le tabac. Annuellement, les dépenses de santé des fumeurs dépassent celles des non-fumeurs. Les fumeurs courent le risque de voir leurs biens partir en fumée au cours des incendies provoqués par leurs restes de cigarettes et de bûchettes d’allumettes mal éteintes [23 ; 24].

TOXICOLOGIE DU TABAC

Les effets de la cigarette sur le fumeur sont liés à sa composition initiale mais surtout au devenir de ses composants après combustion. On connaît environ 5543 composants identifiés, que l’on peut classer en deux phases : une phase gazeuse et une phase particulaire [14 ; 49].
La fumée de cigarettes comporte 3 courants : le courant primaire, le courant secondaire et le courant tertiaire.

Le courant primaire

Il est produit pendant l’aspiration du fumeur. Chaque aspiration constitue une bouffée. C’est la fumée que le patient prend quand il « tire » sur sa cigarette. Le courant primaire étudié grâce à la machine à fumer a permis de mettre en évidence deux phases :
La phase gazeuse et la phase particulaire (figure 2) [52].

Phase gazeuse

La phase gazeuse contient d’une part des composés organiques volatils tels que des aldéhydes, des cétones, de l’ammoniac (NH3) et d’autre part du monoxyde de carbone (CO), du dioxyde de carbone (CO2), de l’acide cyanhydrique (HCN), du monoxyde d’azote (NO), et de l’oxygène (O), de l’azote (N) et d’autres hydrocarbures divers…
Cela représente un volume de 300 millilitres par cigarette consumée et englobe 10 % des composés de la fumée du tabac [52 ; 67].

Phase particulaire

Elle est formée par des particules de tailles permettant le passage dans les alvéoles pulmonaires. On peut classer les composants de cette phase en quatre groupes : les irritants, les cancérigènes, les radicaux libres et les alcaloïdes [52 ; 67].

Le courant secondaire ou courant latéral

Ce courant est constitué par la fumée dégagée par la combustion c’est-à-dire la fumée dégagée entre les bouffées. Sa teneur en produits toxiques est plus importante que celle du courant primaire à cause de sa combustion incomplète [52,67].

Cancer broncho-pulmonaire

C’est le premier cancer chez l’homme et le cinquième chez la femme. La relation entre les cancers broncho-pulmonaires et le tabagisme a été suggérée il y a 40 ans [23]. Les principaux éléments de la cigarette intervenant dans l’apparition de cancers broncho-pulmonaires sont les goudrons [53]. Les dernières évolutions montrent une stabilisation du nombre de cancers du poumon chez les hommes et une augmentation chez les femmes. Ce cancer est attribué dans 85 % des cas au tabac. Le risque de cancer du poumon est de :
– 1% chez le non-fumeur,
– 20% chez l’homme qui fume
– 12% chez la femme qui fume.
Comparé à 15 ans de tabagisme, ce risque est 20 fois supérieur après 30 ans et 100 fois supérieur après 45 ans de tabagisme [102].

Les broncho-pneumopathies chroniques obstructives (BPCO)

Elles se définissent comme l’ensemble des maladies atteignant les bronches (et éventuellement les poumons) à l’origine d’une diminution du calibre de la lumière bronchique se traduisant par un syndrome obstructif. Il s’agit de la bronchite chronique et de l’emphysème. Les produits du tabac incriminés dans les BPCO sont les irritants.
Le tabagisme est la première cause de BPCO, bronchite chronique et emphysème. La fumée de tabac altère l’arbre trachéo-bronchique et le poumon distal entraînant ainsi des troubles lésionnels et fonctionnels : destruction de l’activité des cils et des cellules ciliées, hypertrophie et hyperplasie des cellules des glandes muqueuses avec hypersécrétion bronchique, dépression de l’activité antibactérienne des macrophages, réduction du nombre d’artérioles et épaississement de leur paroi, modification de l’équilibre entre les protéases et les anti-protéases. Environ 10-15 % des fumeurs développent une obstruction bronchique clinique [83, 102, 112].

Maladies cardio-vasculaires

Le rôle délétère du tabac sur le système cardio-vasculaire est incontestable. Toutes les études épidémiologiques le prouvent : il entraîne une augmentation de la morbidité et de la mortalité cardio-vasculaire qui dépend de la dose et de la durée d’exposition, mais qui peut apparaître très tôt chez des sujets qui ont d’autres facteurs de risque : surpoids, hypertension, dyslipidémie, diabète, et bien sûr plus particulièrement chez des patients ayant des antécédents cardio-vasculaires. Le tabac semble avoir une toxicité accrue chez les femmes et en particulier lors de l’association avec les oestro-progestatifs. Le monoxyde de carbone et la nicotine sont les principaux constituants de la fumée intervenant dans la survenue des maladies cardio-vasculaires [34].

Les cardiopathies ischémiques

Elles constituent plus de la moitié des causes de décès par maladies cardio-vasculaires dues au tabac. La consommation de cigarettes est associée aux risques d’infarctus du myocarde et de mort subite par affection coronarienne, qui sont 2 à 4 fois plus élevés chez le fumeur [102].

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Table des matières

INTRODUCTION
1 ère PARTIE : TABAC ET SANTE PUBLIQUE
I. RAPPELS
I.1. Rappel historique
I.2. Plante et culture
II. EPIDEMIOLOGIE
II.1. La prévalence
II.2. Le sexe
II.3. L’âge
II.4. La morbidité et la mortalité
II.5. Le niveau socio-économique
II.6. Incidences du tabac sur l’environnement
II.7. Incidences du tabac sur l’économie
III. TOXICOLOGIE DU TABAC
III.1. Le courant primaire
III.1.1. Phase gazeuse
III.1.2. Phase particulaire
III.2. Le courant secondaire ou courant latéral
III.3. Le courant tertiaire
III.4. Mesures de la machine à fumer
III.5. Les principaux éléments de la toxicité du tabac
III.5.1. Nicotine et ses dérivés
III.5.2. Les irritants
III.5.3. Les cancérogènes
III.5.4. Le monoxyde de carbone
IV. PATHOLOGIES ET DEPENDANCES
IV.1. Pathologies du fumeur
IV.1.1. Maladies respiratoires
IV.1.1.1. Cancer broncho-pulmonaire
IV.1.1.2. Les broncho-pneumopathies chroniques obstructives (BPCO)
IV.1.2. Maladies cardio-vasculaires
IV.1.2.1. Les cardiopathies ischémiques
IV.1.2.2. L’artériopathie oblitérante des membres inférieurs
IV.1.2.3. Les accidents vasculaires cérébraux (AVC)
IV.1.2.4. L’hypertension artérielle
IV.1.3. Pathologies oto-rhino-laryngologiques (ORL)
IV.1.4. Les autres pathologies
IV.1.4.1. Pathologies digestives
IV.1.4.2. Pathologies uro-génitales
IV.1.4.3. Troubles hématologiques
IV.1.4.4. Pathologies odonto-stomatologiques
IV.1.4.5. Pathologies dermatologiques
IV.1.4.6. Troubles psychiatriques
IV.2. TABAGISME PASSIF
IV.2.1. Chez le foetus
IV.2.2. Chez l’enfant
IV.2.3. Chez l’adulte
IV.3. Dépendances et difficultés d’arrêt
V. MOYENS DE LUTTE CONTRE LE TABAGISME
V.1. Moyens généraux
V.1.1. Les évolutions du tabac
V.1.2. Actions contre le tabagisme
V.1.3. Méthodes individuelles possibles pour arrêter de fumer
V.1.4. Aide médicamenteuse
V.1.4.1. Le rôle du pharmacien
V.1.4.2. Le principe de la substitution nicotinique
V.1.4.3. Les différentes possibilités de la substitution
V.1.4.3.1. LES DISPOSITIFS TRANSDERMIQUES
V.1.4.3.2. LES GOMMES
V.1.4.3.3. LES TABLETTES ET COMPRIMES SUBLINGUAUX
V.1.4.3.4. LES INHALEURS
V.1.5. TAUX DE REUSSITE DU SEVRAGE TABAGIQUE DES SUBSTITUTS NICOTINIQUES
2ième partie : TRAVAIL PERSONNEL
VI. NOTRE ETUDE
VI.1. Objectifs
VI.2. Méthodologie utilisée
VI.2.1. Pré enquête
VI.3. Population cible
VI.4. Tirage de l’échantillon
VI.5. Collecte de données
VI.6. Saisie et analyse de données
VI.7. Contraintes de l’enquête
VI.8. Résultats
VI.8.1. Prévalence du tabagisme et type de tabagisme
VI.8.2. Présentation de la population cible selon le niveau d’instruction
VI.8.3. Présentation générale du type de gardiennage
VI.8.4. Année d’expérience des vigiles enquêtes
VI.8.5. Les facteurs socio-professionnels du tabagisme
VI.8.6. Les facteurs sociaux du tabagisme
VI.8.7. Facteurs liés à l’activité professionnelle.
VI.9. Connaissances des risques et des maladies liées au tabagisme
VI.10. Présentation de la population des non fumeurs au cours de l’enquête
VI.11. Présentation de la population des fumeurs au cours de l’enquête
VI.11.1. Age de début du tabagisme
VI.11.2. Initiation au tabagisme
VI.11.3. Influence de l’entourage
VI.11.4. Les raisons pour lesquelles les enquêtés ont commencé leur tabagisme
VI.11.5. Type de Gardiennage pour les vigiles fumeurs
VI.11.6. Evaluation de la dépendance à la nicotine
VI.11.7. Recherche de coaddictions
VI.11.8. Tentatives d’arrêt
VI.11.9. Tabagisme passif
VI.11.10. Marque de cigarettes
VII. DISCUSSION
VIII. CONCLUSION
IX. BIBLIOGRAPHIE
IX.1. SOURCES BIBLIOGRAPHIQUES
IX.2. SOURCES CYBERNETIQUES

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