LES ASPECTS DIPLOMATIQUES DE LA COOPERATION ENTRE L’ESPACE FRANCOPHONE ET LE BRESIL

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La formation et l’entrainement de la Défense brésilienne

La répartition géographique des FAB est assez éloquente, d’une part elle renforce ses frontières internes, pour une forte présence régionale et d’autre part, elle est très présente sur la côte Atlantique, dont le Brésil domine cette partie du globe et protège ses ressources naturelles marines.
Dans ce cadre la formation et l’entrainement du personnel sont essentiels, afin d’assurer leur mission de façon optimale et pragmatique, face à la surface du territoire et les potentielles contraintes qui vont avec, dont les divers trafics (humains, orpaillages, drogues,…).
Les principales unités des FAB se situent dans les régions du Sudeste et du Sud du Brésil. La Marine concentre l’essentiel de ses effectifs à Rio de Janeiro, les installations techniques de l’Armée de l’Air sont localisées à São José dos Campos, dans l’État de São Paulo. Cependant les zones d’intérêts opérationnelles majeures de la défense se situent dans les régions Nord, Ouest et Atlantique Sud, relatives aux frontières terrestres et maritimes.
L’Antarctique suscite un intérêt croissant de la part des pays du monde entier, ainsi que la revendication de souveraineté territoriale pour quelques uns. Le traité sur l’Antarctique147 de 1959, concernant le futur de ce continent, ainsi que la création d’un régime juridique adapté, le Brésil y a adhéré en 1975. Son statut permet la libre exploration scientifique du continent en régime de coopération internationale.
Pour ce fait, le Brésil créa le Programme Antarctique Brésilien (PROANTAR)148 depuis 1982, avec une base scientifique, appuyée par le navire océanographique de la Marine Nationale « Barão de Teffé ». Cette base « Commandante Ferraz149 » est en cours de réhabilitation, après avoir subit un incendie mortel en 2012150.
La Force Terrestre, quant à elle, est divisée en sept Commandement Militaires de Zone. Les COMAR sont divisés en sept régions, dont les sièges se situent à : Belém, Recife, Rio de Janeiro, São Paulo, Canoas, Brasília et Manaus. L’augmentation des FAB sur la frontière est due à une forte volonté d’intégration totale du territoire de la part de la politique du gouvernement, afin d’enrayer toutes sortes de trafics et assurer un contrôle des frontières.

Les Forces Armées Brésiliennes en mouvement

Après avoir développé la composition structurelle du Ministère de la Défense, il est nécessaire de connaître la position des FAB, de quelle manière elles évoluent et elles se positionnent.
Ce paragraphe peut se développer en deux points, d’une part la synergie et l’ambition des FAB, à travers leurs exercices et opérations sur le territoire (A) et d’autre part les moyens mis en œuvre pour accomplir leurs missions (B).
Argumenter les capacités des FAB, les instruments de Défense et le développement de son industrie vont dans ce sens et permettra au lecteur de mieux connaitre et envisager les potentialités d’un partenariat avec le Brésil, en matière de Défense.

La synergie et l’ambition des FAB

La synergie est présente tout d’abord dans la création du Ministère de la Défense, qui a permis d’unifier les différentes Forces Armées et de centraliser ses moyens sous un même ministère.
La modernité de ce ministère et la restructuration qui en découle permet une meilleure synergie entre les entités qui la compose et ainsi développer une ambition internationale, sans oublier les prérequis notifiés dans la Constitution, qui incombent les FAB sur le territoire nationale, étant garantes de la paix.
Pour cela les FAB développent sans cesse leur interopérabilité et leurs capacités, non seulement en terme de formation, comme il a été auparavant évoqué mais aussi en terme de matériels.
Olivieira, de l’Université de Brasília, parue dans le Future Studies Research Journal : « Prospecção no setor de defesa no Brasil », qui s’intéresse à la prospective dans le secteur de la défense et tente d’identifier les défis que devront relever les FAB d’ici 2030.
La plupart des exercices militaires brésiliens s’effectuent sur ses limites frontalières, notamment sur la façade Atlantique ou dans l’Amazonie. Cette dernière est une région privilégiée pour les exercices et opérations d’entrainements, afin d’en assurer son contrôle et la préservation de ses richesses, en cohérence avec la SDN.
Pour faire face à toutes menaces, la présidente Dilma Rousseff a lancé plusieurs programmes : SISFRON et SISGAAZ, qui complètent le dispositif aérien de Surveillance de l’Amazonie (SIVAM).
Pour protéger les frontières de l’Amazonie brésilienne avec les autres pays, les FAB maintiennent 28 000 hommes, cependant le nombre est insuffisant pour contrôler une frontière de 12 000 km. Dans cette logique d’efficience, le Brésil a créé de nouveaux régiments et a réalisé de nombreuses opérations, parmi elles ont relèvera : Curare IV161 (2012 et 2014) : la mission s’est déroulée sur la frontière entre la Colombie et le Pérou, dans l’état d’Amazonas. Cette mission vise à intensifier la présence des FAB sur la frontière Ouest, réprimant les délits transfrontaliers et environnementaux, et renforce, avec la population locale, un sentiment patriotique, elles sont coordonnées avec différents organes institutionnels dont la Police Fédérale (PF) et l’Institut Brésilien de l’Environnement et des Ressources Naturelles Renouvelables (IBAMA).

L’acquisition de matériel de haute technologie pour une émancipation militaire

L’évolution des instruments de Défense est considérable par le biais de ToT, dont la France est un partenaire de choix, mais aussi par le biais de sa propre Base Industrielle de Défense (BID), que le Brésil développe, malgré les dernières coupes budgétaires, tant au niveau du public, que du secteur privé.
Ce point permettra d’évoquer succinctement les priorités de la Défense brésilienne en la matière et les moyens mis à disposition, puis l’industrie de Défense brésilienne sera mise à l’honneur, en évoquant ses principaux acteurs et les programmes qu’elle développe.
L’instrument de défense est l’outil qu’un État peut utiliser pour protéger son pays, en cas de catastrophe ou quand cela dépasse les compétences des autorités civiles. Certains instruments sont stratégiques et donc sensibles, il est important de souligner leurs positions dans la Défense brésilienne.
La SDN a déterminé comme secteurs stratégiques : le nucléaire, le cybernétique et le spatial. La Directive Ministérielle du Ministère de la Défense n° 14/2009 détermine que le secteur nucléaire est sous la coordination de la Marine, la cybernétique, sous la responsabilité de l’Armée de Terre et le secteur spatial, sous le couvert de l’Armée de l’Air.
Nous y ajouterons le renseignement172 et le pétrole, qui bien qu’énergétique, est aussi un bien stratégique, au même titre que le nucléaire. Il ne dépend pas uniquement de la Défense, mais les moyens des FAB, comme la Marine, sont impactés par sa protection et son évolution, ayant un impact direct sur la politique étrangère du Brésil.
Le secteur Spatial :
Le domaine spatial est d’importance majeur pour la politique de SDN. Les projets spatiaux visent au développement scientifico-technologique, fortifiant le pouvoir aérospatial brésilien, à travers la recherche scientifique, l’innovation, les opérations nationales de lancements et les services technologiques en systèmes aéronautiques, spatiaux et de défense. Les instruments spatiaux ont été développé par l’industrie nationale ou en coopération avec l’international.
Toutes les activités exercées par le Centre de Lancement d’Alcântara (CLA) viennent de projets et programmes préalablement approuvés par des directives gouvernementales. Il participe aussi, comme station de contrôle des activités interarmées de dépistage dans les opérations de lancements suborbitaux en partenariat avec le Centre Spatial Guyanais (CSG)173 français, à Kourou (Guyane française).
L’Agence Spatiale Brésilienne (AEB) permet de promouvoir les activités spatiales brésiliennes, elle définit ses directives et ses actions avec le Système National des Activités Spatiales (SINDAE) et met en œuvre le PNAE. Bien qu’étant à ce jour une agence civile, l’AEB a déjà été sous contrôle militaire et due à la sensibilité stratégique, elle est encore très proche du Ministère de la Défense.
L’enjeu spatial au Brésil est déterminant, car il ferait de ce pays, le premier et le seul pays d’Amérique Latine (hors la France, avec le CSG) en mesure de mettre des satellites en orbite avec une technologie nationale.
L’immensité de son territoire et son potentiel en ressources naturelles rendent nécessaire une gestion et une exploitation optimales de son espace. La souveraineté et l’autonomie du pays dépendent en grande partie de sa capacité de développement technologique. À ce titre, la technologie spatiale tient une place à part entière dans la stratégie de puissance brésilienne dans la mesure où elle contribue au développement général, scientifique et technique du pays et donc à sa croissance.

Les organes en charge de la politique étrangère et de la diplomatie au Brésil

Pour connaitre les prétentions du Brésil dans le monde, il faut en premier lieu, savoir que veut le Brésil, à travers sa politique étrangère, quelles sont les prémices de sa diplomatie et son évolution, à tous les niveaux, régionalement et internationalement.
Dans cette section, on soulignera l’histoire de la diplomatie brésilienne, ses origines, ses intentions (§1) et de quelle manière sa politique étrangère a permis l’évolution de sa diplomatie (§ 2).

Une brève genèse de la diplomatie brésilienne

La diplomatie brésilienne est liée à sa politique étrangère, celle-ci n’a pu être forgée qu’au fil des siècles et des bouleversements que le pays a subi, de la découverte historique de Cabral au XVème siècle jusqu’au gouvernement Rousseff.
Pour comprendre un pays, sa façon de penser et sa manière de se projeter, il faut saisir son fonctionnement. Avec ce paragraphe, nous allons essayer d’apporter une vision sommaire mais détaillée du système politique national brésilien, en le divisant en deux points, son histoire, qui permettra de faire une brève rétrospective de la diplomatie brésilienne (A) et en second point, son actualité, notamment de la fin de la dictature au gouvernement Rousseff, où la diplomatie brésilienne s’est affirmée sur la scène internationale (B).

La formation de la diplomatie brésilienne

Au Brésil, on peut évoquer le terme de « diplomatie brésilienne » qu’après son indépendance, en 1822, où elle se détache du dominium portugais. Son identité diplomatique s’exprime entre 1889 et 1891, respectivement dates de sa 1ère république et de sa 1ère Constitution.
Mais quand on évoque le terme de diplomatie brésilienne, on pense à un de ses notables, le baron Rio Branco387, ouvrier des frontières brésiliennes actuelles, fixées au XIXème siècle, notamment la frontière actuelle entre la Guyane et le Brésil.
Une fois ses frontières terrestres délimitées, le Brésil a pu commencer à orienter et développer sa politique étrangère. C’est pour cela que le baron Rio Branco, qui fut ministre des Affaires Voir introduction.
Étrangères entre 1902 et 1912, est reconnu comme le pionnier de la politique étrangère brésilienne.
En 1907, le Brésil est représenté pour la première fois dans une conférence internationale, avec celle de La Haye. Le pays participe activement à un conflit armé mondial, en 1942, lors de la 2nd guerre mondiale, en se rangeant du côté des Alliés et en participant à la création de la Société des Nations (SDN) en 1919 et de l’Organisation des Nations Unies (ONU) en 1945.
En 1985, après une vingtaine d’années sous le joug d’une dictature militaire, le Brésil développe à nouveau sa politique étrangère et se projette sur le plan l’international. Mais il a fallu attendre le gouvernement Cardoso, avec le plan Real de 1994, pour permettre d’assainir l’économie brésilienne, facteur essentiel de développement et intimement lié à la politique étrangère du pays. Enfin la politique du gouvernement Lula a légitimé le Brésil sur la scène internationale, comme un pays émergent et sur lequel il faudra compter pour les prochaines décennies.

L’évolution récente du cadre de la diplomatie brésilienne

Le Ministère des Relations Extérieures388(MRE) du Brésil est une institution qui a développé une forte tradition diplomatique, notamment à partir du mandat du Baron de Rio Branco. Grâce au baron et à d’autres hommes d’État, le mouvement de consolidation des frontières brésiliennes, élément fondamental de la politique étrangère de tout pays, s’est fait par des moyens exclusivement pacifiques, et à partir de l’action diplomatique, par le biais de l’arbitrage ou de la négociation directe. Cette particularité a permis à la diplomatie brésilienne de s’affirmer comme l’une des plus respectée parmi ses homologues internationaux, et au Brésil de se projeter comme un acteur dont l’insertion internationale est de nature essentiellement pacifique.
Au sommet de la pyramide décisionnelle du Ministère des Relations Extérieures, se trouve le Président de la République, le Ministre des Relations Extérieures, le secrétaire d’État et les sous-secrétaires. Toutes les questions importantes ou coûteuses passent par ce processus décisionnel concentré au plus haut échelon du pouvoir.
En France, le Ministre des Relations Extérieures est appelé Ministère des Affaires Etrangères et du Développement International (MAEDI).
La diplomatie brésilienne, vise le développement et le positionnement du pays en tant que global player »389, a connu, au cours de la dernière décennie, une forte croissance de sa présence internationale, que ce soit sur le plan thématique, comme dans le cadre de conférences internationales sur l’environnement, comme le Rio+20 (en 2012)390, ou dans l’expansion de ses relations bilatérales.
Ce processus de dialogue et de réflexion devrait aboutir sous peu391 à l’élaboration d’un Livre Blanc sur la politique étrangère brésilienne. Le document définira les principes et axes de l’action extérieure du Brésil pour les prochaines années, et servira également de référence pour le débat public qui sera nécessaire à l’adaptation de la diplomatie nationale à une réalité internationale plus incertaine, exigeante, et en mutation rapide. Ce texte confortera le LBDN, qui devrait être renouvelé en 2016392.
Le militaire est formé pour employer la force. Sa fonction est de mettre sa propre vie en danger, que l’on appelle « sacrifice ultime » pour protéger la communauté, le peuple qui dépend de lui et neutraliser tout type de menace, par tous les moyens qui sont mis à sa disposition, sans négliger le droit international.
Le diplomate, quant à lui, se doit de faire face aux menaces et régler les conflits par le dialogue et la négociation. Il doit agir continuellement et sa capacité à résoudre toute situation, par son habilité tactique, sa lucidité stratégique, sa ruse et son empathie, est un prélude nécessaire afin d’éviter tout type de situation qui pourrait pour diverses raisons dégénérer. Un conflit qui éclate ou se prolonge est considéré, par définition, comme un échec des efforts déployés ou un revers diplomatique.

L’évolution de la diplomatie brésilienne

Aujourd’hui, le Brésil est en mesure à la fois d’assurer seul sa sauvegarde et de peser sur les affaires du monde. Cinquième population de la planète (environ 206 millions d’habitants), il représente à ce jour, la septième puissance économique mondiale402.
Sa politique est tout d’abord liée à sa sécurité, la défense de ses matières premières, par la protection de sa mer, et toutes les richesses qu’elle contient (pétrole, pêche,…) et par elle, le développement de ses communications et de ses relations maritimes ; le Brésil veut construire une défense pour la sécurité collective du sous-continent et de l’Atlantique Sud, d’où il se veut le leader.
Pour comprendre la politique du Brésil et l’importance de sa diplomatie contemporaine, il faut comprendre les déterminants de cette politique, lesquels nous paraissent être de deux ordres : économique d’abord (A), puis sous-régionaux c’est-à-dire liés aux contraintes du voisinage immédiat du Brésil (B).

Les déterminants économiques de la politique étrangère brésilienne

Le Brésil est un pays qui cherche sa souveraineté géopolitique en même temps que sa souveraineté technologique et industrielle, dans une économie globalisée de marché. Dans cette situation, à l’instar d’autres émergents, il démontre sa capacité à gérer une dialectique complexe parce que son extraversion commerciale reste limitée403 (presque trois fois inférieure à celle de la France), car des dispositifs réglementaires de toutes sortes entravent à la fois l’entrée des marchandises et le développement des entreprises étrangères si elles ne se brésilianisent » pas.
Dans les dernières années Lula, il a su gérer ouverture et fermeture pour garantir sa croissance et contrôler son insertion économique dans le monde global. C’est donc bien le maintien d’un principe de souveraineté qui est à la base de toute la politique, y compris de la politique économique du Brésil.
En 2013, selon les données du FMI, le Brésil produirait 3 % du PIB mondial, représentant 2,8 % de la population du globe et occuperait ainsi le 7ème rang mondial sur le plan économique404. L’activité économique brésilienne s’est raffermie en 2013405, avec un taux de croissance du PIB réel de 2,3 %. Toutefois, le resserrement de la politique monétaire, les incertitudes internes ainsi que le fléchissement de la demande externe ont pesé sur l’activité économique en 2014.
En 2014, les estimations de l’Organisation de Coopération et de Développement Économique (OCDE)406 prévoyaient une croissance économique de 1,8 %, mais la récession économique qu’a connu le Brésil pendant cette année, a donné un résultat de 0,2% de croissance407, ce qui est nettement inférieure à son potentiel de production, en raison de contraintes liées à l’offre du marché (tensions sur le marché du travail, déficience de plusieurs infrastructures et recul de l’investissement).
D’après plusieurs sites spécialisés408 et selon le ministre des finances, Joaquim Levy (1961-)409 et Allex Agostini, économiste en chef de l’agence brésilienne de notation Austin Ratings, l’économie ne devrait reprendre qu’en 2016410, avec un taux de croissance prévu de +2%.

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Table des matières

 LISTE DES SIGLES ET ABREVIATIONS INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE – LES ASPECTS STRATEGIQUES DE LA COOPERATION ENTRE L’ESPACE FRANCOPHONE ET LE BRESIL
Chapitre 1 – La coopération avec l’Afrique francophone
Section 1 : Les organes en charge de la défense et de la sécurité du Brésil
Section 2 : Les accords stratégiques conclus entre les Etats d’Afrique francophone et le Brésil
Chapitre 2 – La coopération entre la France et le Brésil dans le domaine de la défense
Section 1 : Les accords stratégiques conclus entre la France et le Brésil
Section 2 : Un domaine privilégié du partenariat franco-brésilien : les industries de la défense, et le développement de la BID brésilienne
DEUXIEME PARTIE : LES ASPECTS DIPLOMATIQUES DE LA COOPERATION ENTRE L’ESPACE FRANCOPHONE ET LE BRESIL
Chapitre 1 : Les relations diplomatiques entre l’Afrique francophone et le Brésil
Section 1 : Les organes en charge de la politique étrangère et de la diplomatie au Brésil
Section 2 : La diplomatie du Brésil dans les Etats africains et dans les organisations africaines
Chapitre 2 : Les relations diplomatiques entre le Brésil et l’espace francophone
Section 1 : Le cadre bilatéral des relations franco-brésiliennes
Section 2 : La perspective multilatérale : la diplomatie brésilienne dans les instances internationales et les possibilités de l’évolution du partenariat entre l’Espace francophone et le Brésil
CONCLUSION BIBLIOGRAPHIE

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