L’éducation culturelle facteur de développement économique

Réalités éducatives malgaches depuis 1972 : Cas de Mahanoro

  Pour commencer cette étude, nous choisissons d’étudier le cas de la commune rurale de Mahanoro en prenant la Zone Administrative Pédagogique (ZAP) de Mahanoro I comme une ZAP représentative. Cette ZAP regroupe une école préscolaire publique, cinq EPP (Androhomanasa, Ambalamangahazo,Tanambao II, Ampapagnambo, Antanamborozano) et un lycée public. Il y a aussi une institution religieuse et d’autres établissements privés. La contrainte temps pour les enquêtes sur terrain et le problème financier nous ont obligés de d’entamer les études par la ZAP Mahanoro I pour les questions pédagogiques et de la collaborer avec des Fokontany périphériques pour la collecte de données sur la tradition malgache. Notre questionnaire sur la pédagogie constitue la première étape des enquêtes : il touche d’une part la population de 26 à 40 ans, et d’autre, les enseignants de toutes classes d’âge. La deuxième étape concerne tout le monde, et en particulier les personnes les plus âgées, car elle consiste à recueillir toutes les formes de tradition malgache à valeur éducative de cette région. Dans cette recherche, nous essayons d’apporter une comparaison de la société traditionnelle malgache et la société malgache contemporaine. Notre analyse se base sur l’influence culturelle sur l’économie du pays. Un sondage d’opinions individuelles constitue notre première source d’informations sur notre thème afin de bien répertorier toutes les sortes de traditions malgaches. Comme dans plusieurs pays du monde, la connaissance de notre identité culturelle pourrait bien améliorer la qualité de l’enseignement à Madagascar. Face à notre situation actuelle, une éducation culturelle s’impose car elle sert à former l’individu et à l’orienter vers ce qu’il doit être au sein de la société. Alors, nous nous demandons pourquoi nous sommes toujours classés parmi les pays en voie de développement après une quarantaine d’années d’indépendance? Sur la régression culturelle et le conflit de génération à Madagascar, nous nous posons des questions: Est-ce que l’enseignement ne vise pas le bien de la société malgache ? Cela nous amène à voir ce qui prime pour le ministère concerné. Pourquoi l’Etat malgache n’arrive pas à former et à exploiter la jeunesse pour le bien du pays ? Ainsi, nous sommes-nous efforcés de chercher quelles sont les origines de ces problèmes, ce qui était déjà fait et ce qu’il faut faire pour suivre le bon chemin de l’éducation? Dans cette perspective, faut-il revoir la politique éducative malgache pour le développement du pays? Voilà les questions auxquelles nous allons apporter des réponses appropriées tout au long de notre travail, à l’aide de l’approche socioculturelle. Celleci nous permet d’expliquer les causes des problèmes éducatifs malgaches. Notre analyse portera sur les données que nous avons recueillies et débouchera sur l’établissement d’un bilan suivi des recommandations. Ce qui permettra aux chercheurs de faire une étude comparative des cas dans ce domaine. Elle nous aidera aussi à bien dégager les freins de développement à Mahanoro. A partir des données chiffrées, nous pouvons, par une analyse statistique, monter un plan d’action pour l’avenir de l’enseignement. Les documents sonores, par l’étude de la tradition qu’ils permettent, constituent une source ex- ploitable et nécessaire pour une éducation culturelle. Ces documents sont essentiellement composés de chants, de devinettes, de sasaza, et de proverbes.

L’AMELIORATION ET LA VULGARISATION DE L’ENSEIGNEMENT PROFESSIONNEL

  La hausse du taux de chômage explique la mauvaise répartition des établissements de formation professionnelle à Madagascar. La plupart des jeunes ruraux, par opposition aux jeunes citadins, n’ont pas accès aux formations professionnelles, lesquelles sont concentrées en milieu urbain. A l’exception des lycées techniques publics et des écoles supérieures polytechniques publiques, les formations techniques et professionnelles sont presque payantes, alors qu’elles devraient être actrices principales du développement du pays. Mais, pour être accessibles à tous et produire des techniciens compétents, ces formations doivent être améliorées et vulgarisées.
L’orientation de l’élève Sous la Première République, parce qu’il n’y avait que peu de diplômés, le diplôme obtenu à la fin du premier cycle suffit pour trouver un emploi au sein de l’Etat. Par contre, beaucoup de diplômés ne trouvent pas de travail actuellement : le niveau d’études requis pour un recrutement à un poste tend toujours à s’élever d’une année à l’autre. Cette situation explique la dévalorisation progressive, sur le marché du travail, des diplômés qui ont été appréciés auparavant. La diminution du taux de chômage exige une stratégie bien définie, reposant sur la prévision d’emploi pour les élèves et étudiants à former.
Le chômage à Madagascar: Dans les pays en voie de développement, les chômeurs ne bénéficient pas d’indemnité ; pourtant ils sont classés parmi la population active. Ils vivent aux dépens de population active occupée. A cet effet, pour mesurer le niveau de vie d’un ménage, il ne suffit pas de compter le nombre des enfants à la charge des parents et la recette de la famille. Il faut prendre en compte la population active dépendante. Une bonne orientation des élèves et une bonne prévision de l’emploi baisseraient le taux de dépendance. Différentes enquêtes ont été déjà effectuées auprès des ménages et sur la pauvreté des Malgaches. Ainsi, nous pensons recueillir ces données et les traiter pour pouvoir sortir le taux d’activité. Ce dernier s’obtient à partir du rapport de la population active à la population majeure scolarisée. Nous allons également partir de ces données pour mener une analyse objective sur la relation ou l’interdépendance entre l’orientation des élèves, la formation professionnelle et l’offre disponible sur le marché de travail.
Prévision de l’emploi La plupart des pays développés disposent d’une stratégie de prévision de l’emploi. Cette prévision n’est pas une affaire réservée uniquement à l’Etat. Elle concerne aussi bien les établissements publics que privés et nécessite l’établissement des modèles prévisionnels, lesquels comprendront les évaluations du rendement sous différents aspects : économique, social et culturel. La prévision de l’emploi se base sur le taux de chômage. Elle devrait être renouvelée suivant la catégorie de l’emploi. De ce fait, elle consiste à déterminer à court et à long terme l’emploi à l’échelle régionale et nationale. C’est en ce sens que la conception des projets de prévision de l’emploi nécessite une méthode adéquate fondée sur l’étude démographique. Nous proposons les étapes importantes de la prévision de l’emploi : présentation d’un protocole, compilation et traitement des données, élaboration du plan de réalisation, établissement de la méthode d’estimation et d’évaluation.
L’équipement des matériels et outils didactiques Pour développer tout genre d’enseignement, y compris la formation professionnelle, l’équipement des matériels et des outils didactiques s’avère indispensable. Il assure l’avancement du programme proposé et la réussite du système éducatif. Les apprenants devraient disposer de ce dont ils ont besoin pour leurs études théoriques ou pratiques.
Les essais d’opérationnalisation Les établissements et institutions de formation académique ou professionnelle devraient disposer des matériels et outils didactiques pour toutes les matières. A Madagascar, il y a tendance à privilégier les options et matières scientifiques, alors qu’il faudrait, pour la compétitivité des formations, donner les mêmes avantages et les mêmes chances de réussite aux élèves. Ils devraient au moins bénéficier des livres, des documents audio-visuels, d’autres supports pédagogiques indispensables et des laboratoires.
L’adaptation selon les circonstances La spécification des matériels et outils didactiques à mettre à la disposition des établissements en fonction du type de formation permettra à l’Etat d’éviter tout gaspillage et assurera la réussite de la politique de développement. Donc, pour pouvoir subvenir les établissements en milieu rural, il faut mettre en place des centres de documentation et des laboratoires communs pour les établissements en ville.
L’exploitation systématique Pour développer Madagascar par la spécialisation de la formation par région, il faut exploiter systématiquement les matériels et outils didactiques. L’exploitation systématique dont il s’agit dans le cadre de l’amélioration  et de la vulgarisation de l’enseignement professionnel doit correspondre à l’exploitation raisonnable des ressources naturelles locales.
Les universités productives Le renforcement de la relation entre formation/emploi et enseignement/société exige la mise en place des formations supérieures orientées etbien adaptées aux réalités quotidiennes. Ainsi, nous essayons de fournir un projet type d’université malgache productive. Il est essentiel de fixer un but, de déterminer l’apport des universités et de voir les perspectives d’avenir.
Les objectifs Nous cherchons à apporter une amélioration à la situation économique et politique du pays par l’orientation de la formation universitaire vers le développement durable du pays. « L’université n’est pas elle-même sa propre fin. Elle est faite pour la vie et l’existence qui se déroulera hors des salles de travaux pratiques et des amphithéâtres » Ainsi, quelles que soient la formation dispensée et la structure de l’université, les études supérieures ne seront pas efficaces si elles ne visent pas la formation intellectuelle et morale. Il faut qu’elles soient adaptées à la vie sociale et au programme de développement économique et culturel. « L’enseignement et l’action éducative qui s’y attache visent non seulement la transmission d’une sagesse constituée et d’un savoir accumulé dans le passé, mais une préparation à l’avenir, une ouverture au futur et par conséquent, le développement d’une disponibilité au changement. »
Les apports Au sein de la société, l’université devrait assurer le rôle novateur en formant tous les responsables, les techniciens de tous les secteurs d’activités. L’université, en tant que lieu de concentration des modèles culturels étrangers et lieu de rencontre des différents savoirs et idéologies , devrait être intégrée dans la société et se référer à la sagesse malgache.
L’avenir L’université, en s’appuyant sur les valeurs culturelles malgaches, conditionnera l’économie et la politique de la société. Elle ne sera plus perçue comme une « institution étrangère », qui produit des intellectuels ayant des difficultés d’intégration sociale.

L’ADEQUATION DU PROGRAMME D’ENSEIGNEMENT

  A Madagascar, la grande partie de la formation professionnelle reste dans le domaine du secteur privé. Elle s’ouvre au petit nombre de jeunes et doit être développée au niveau de l’enseignement public pour que la masse populaire, qui n’a pas de moyens suffisants pour financer les études de ses enfants, ait accès à la formation des techniciens qualifiés. Alors, l’adaptation du programme d’enseignement public aux réalités quotidiennes est indispensable pour le développement durable de Madagascar.
Les éléments du programme Dans ce travail, les éléments du programme adapté seront présentés sous forme d’une synthèse et d’une analyse.
La synthèse Ce programme exclut les idéologies politiques de toutes sortes. Aux éléments littéraires et scientifiques, doivent s’ajouter les éléments culturels
La présentation analytique Ce programme doit assurer l’intégration sociale de l’individu par l’amélioration de l’éducation culturelle. Sans être accompagné de l’éducation culturelle, l’enseignement n’atteindrait jamais son objectif principal qui consiste à assurer l’assise de la personnalité de tout individu, son épanouissement individuel et intellectuel pour le développement effectif de la société et de l’humanité. Le programme conçu permet à l’individu de bien s’adapter à son milieu social et de bien exploiter son environnement naturel. A côté de l’apport du malgache, langue unique, à l’intercompréhension entre les Malgaches de toutes les régions, l’éducation culturelle contribue à l’échange culturel. Il ne s’agit pas d’une unification qui repose sur un jugement des valeurs mais d’un échange qui permet l’enrichissement culturel du citoyen, et surtout l’assimilation de nouveaux éléments culturels pour le développement local et humain. Cela signifie que l’éducation culturelle vise la réalisation d’un objectif hautement humanitaire.
La structure de ce programme Les éléments constitutifs de ce programme devraient être cohérents pour assurer l’efficacité et la productivité de l’enseignement.
La présentation Le rajout des éléments culturels à nos programmes d’enseignement se fait par étape. A chaque étape correspondent un objectif spécifique et des démarches pour sa réalisation. Cette réalisation de l’objectif sera estimée au moyen d’un test d’évaluation.
L’utilité pour l’éducation L’évaluation doit être méthodique et aider les élèves, par l’effort (de la part de celui-ci) à connaître leur culture et celles des autres. Après la classe de Terminale, l’élève doit savoir s’adapter à toute évolution sociale, culturelle et économique de toutes régions.
L’adaptation des méthodes Bien que les Malgaches se laissent facilement influencer par le mode de vie étranger, ils résistent souvent à tout changement culturel touchant leur rapport avec le Zanahary et les Razana, dont la bénédiction leur est nécessaire pour toute entreprise ou toute activité. Sur ce point, il est très difficile de les convaincre à accepter de légers changements sur leur manière de vivre et leur façon de penser. Pour cette raison, l’application des méthodes actives à l’éducation culturelle est efficace dans la mesure où elles proposent aux élèves différentes sortes d’activités leur permettant de connaître la diversité culturelle malgache sans gêne particulière.
L’expérimentation L’anthropologie, tout comme les autres sciences, a besoin de l’expérimentation pour mesurer ou tester la justesse de ses hypothèses.
Son importance Pour l’introduction d’une matière d’éducation culturelle dans le programme d’enseignement, nous ne resterons pas à la définition du contenu de la matière mais nous procéderons à l’expérimentation, car une théorie ne sert à rien si elle n’a pas été vérifiée.
Les objectifs C’est après une expérimentation réussie qu’on peut s’engager dans la généralisation de l’éducation culturelle. Il n’est plus temps d’assujettir tous les élèves malgaches à l’application d’une innovation non expérimentée.
Le lieu et la période Nous allons travailler auprès des établissements scolaires de la Circonscription scolaire de Mahanoro. L’expérimentation aura pour cibles les élèves préscolaires et les élèves de classes de douzième, dixième, huitième, sixième, quatrième, seconde et première, pendant une période d’une année scolaire.

Pour un enseignement malgache

  L’enseignement, à Madagascar, connaît un échec dans la mesure où il produit des intellectuels dont les compétences ne correspondent pas aux besoins prioritaires du pays pour son développement socioéconomique. Les formations qu’ils reçoivent les éloignent des réalités quotidiennes et ne les préparent pas à affronter les difficultés de la vie et les obstacles au développement. Dubois confirme cette situation.« L’école n’entraîne pas l’enfant à réfléchir sur ce qu’il vit, elle ne l’aide pas à examiner la pensée qu’il utilise quotidiennement pour en découvrir les avantages et les inconvénients. » Face à cette situation alarmante, nous proposons une amélioration à l’enseignement malgache. Pour ce faire, nous concevons un plan d’action de l’enseignement en fonction des objectifs fixés.

La société malgache

  Les Malgaches conçoivent la société comme une grande famille dont les membres se respectent et s’entraident suivant le principe du « Fihavanana ». La famille, l’organisation sociale et le sens de l’autrui constituent la base d’une société hiérarchisée et harmonieuse. Ils ne considèrent pas l’homme dans son individualité.
La famille La famille se présente, pour les Malgaches, comme la première école de la vie, dont ils ne peuvent pas s’échapper. Tout homme naît d’une famille : le père et la mère transmettent la vie à son enfant, et ils ont autorité sur lui. Les parents et tous les membres de la famille participent au développement culturel,
L’organisation La société traditionnelle de Mahanoro est une société organisée et hiérarchisée, suivant les principes du Fihavanana (Fraternité, consanguinité) et du Firaisan-kina (partage du même flux vital) et le droit d’aînesse. Les notions de ray et de reny ont diverses valeurs traduisant les relations qui se tissent entre les membres de la communauté. Elles ne se réduisent pas au père biologique et à la mère biologique, que la société appelle Ray aman-dreny (en deux mots). Par leur responsabilité sociale et leur âge qui, le plus souvent, déterminent la considération sociale de chaque membre de la société, les Tangalamena, les grand-parents, les avant-grand-parents, les notables, les aînés sont appelés Raiamandreny (en un seul mot). Ces Raiamandreny, composés des autorités administratives et des leaders traditionnels, assurent l’organisation politique et sociale de la communauté.
Le sens de l’autrui La vision du monde des Malgaches, comme celle des Africains et des Chinois, participe de la pensée intégrante. Celle-ci admet la diversité dans l’unité et l’unité dans la diversité des éléments du cosmos. La parenté, les obligations et l’intégration de l’homme dans son terroir attestent ou confirment le rapport entre ces éléments80. C’est en ce sens que l’autre qui vit avec soi dans la société compte beaucoup et participe à la formation du moi ou bien de la personnalité de chacun. C’est par ma relation avec l’autrui, ou l’autre que moi, que je trouve mon sens d’exister. Dans cette perspective, la pensée malgache est loin d’être semblable à celle de l’Occident qui repose sur la liberté de choisir. Les Malgaches, de par leur éducation culturelle traditionnelle, n’osent prendre une décision sans l’avis de leurs proches ou l’accord des parents. Ils agissent et réagissent ensemble. L’idée d’individualité ne se manifeste que dans la conservation du « aina », flux vital, force vitale, ou vie.

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Table des matières

INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : PROBLEMATIQUE ET METHODES
I.1 LE CHOIX DU SUJET
I.1.1 L’état de lieu
I.1.2 Les préjugés des villageois
I.1.3 Les motivations personnelles
I.2 LA PROBLEMATIQUE 
I.2.1 Les causes du problème
I.2.2 La position de décideurs
I.2.3 L’orientation des jeunes
I.3 LES METHODES 
I.3.1 Les méthodes d’approche qualitative et quantitative
I.3.1.1 Niveau 1 : Chômeurs
I.3.1.2 Niveau 2 : Agriculteurs
I.3.1.3 Niveau 3 : Enseignants
I.3.2 La méthode d’échantillonnage par quota
I.3.3 Les méthodes d’analyse
I.3.3.1 La méthode d’analyse fonctionnaliste
I.3.3.2 La méthode d’analyse systémique
I.3.3 Les sources écrites
DEUXIEME PARTIE : PLAN DETAILLE DE LA THESE
I. L’ETAT DES LIEUX DE LA SCOLARISATION
I.1 L’EDUCATION ET LA SCOLARISATION
I.1.1 Les généralités sur l’éducation
I.1.1.1 L’histoire de l’éducation
I.1.1.2 Les problèmes de l’éducation
I.1.1.3 La scolarisation
I.1.2 L’éducation et la scolarisation
I.1.2.1 L’insertion sociale
I.1.2.2 La conservation de la culture
I.1.2.3 Les facteurs de développement
I.1.3 L’enseignement à Madagascar
I.1.3.1 Les époques précoloniale et coloniale
I.1.3.3 La malgachisation de l’enseignement
I.1.3.4 Le retour au français
I.2 LA TRADITION
I.2.1 Son domaine d’application
I.2.1.1 La présentation du choix
I.2.1.2 Espace et temps de la tradition
I.2.1.3 Le temps fort de la tradition
I.2.2 Son fonctionnement
I.2.2.1 Son implication et son enracinement
I.2.2.2 L’éducation culturelle
I.2.3 Son actualité
I.2.3.1 En milieu rural
I.2.3.2 En milieu urbain
I.3 LES RENOVATIONS DE L’ENSEIGNEMENT
I.3.1 Les rénovations du programme d’enseignement
I.3.1.1 Le programme scolaire
I.3.1.2 Le personnel qualifié
I.3.1.3 L’égalité entre milieu rural et milieu urbain
I.3.2 La méthode d’enseignement
I.3.2.1 Les kits scolaires
I.3.2.2 L’approche par les compétences
I.3.2.3 La formation professionnelle
I.3.3 Les portées et les enjeux
I.3.3.1 La hausse du taux de scolarisation
I.3.3.2 La dégradation de la qualité de l’enseignement
I.3.3.3 La menace d’une crise de cerveau
II. L’EDUCATION CULTURELLE : FACTEUR DE DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE
II.1 L’APPROCHE CULTURELLE
II.1.1 La société malgache
II.1.1.1 La famille
II.1.1.2 L’organisation
II.1.1.3 Le sens de l’autrui
II.1.2 La pédagogie culturelle
II.1.2.1 Les valeurs
II.1.2.2 Les apports
II.1.2.3 Les objectifs
I.1.3 Pour un enseignement malgache
II.1.3.1 Les objectifs
II.1.3.1 Le plan d’actions
II.2 L’ADUQUATION DU PROGRAMME D’ENSEIGNEMENT
II.2.1 Les éléments du programme
II.2.1.1 La synthèse
II.2.1.2 La présentation analytique
II.2.2 La structure de ce programme
II.2.2.1 La présentation
II.2.2.2 L’utilité pour l’éducation
II.2.2.3 L’adaptation des méthodes
II.2.3 L’expérimentation
II.2.3.1 Son importance
II.2.3.2 Les objectifs
II.2.3.3 Le lieu et la période
II.3 L’AMELIORATION ET LA VULGARISATION DE L’ENSEIGNEMENT PROFESSIONNEL
II.3.1 L’orientation de l’élève
II.3.1.1 Le chômage à Madagascar
II.3.1.2 Prévision de l’emploi
II.3.2 L’équipement des matériels et outils didactiques
II.3.2.1 Les essais d’opérationnalisation
II.3.2.2 L’adaptation selon les circonstances
II.3.2.3 L’exploitation systématique
II.3.3 Les universités productives
II.3.3.1 Les objectifs
II.3.3.2 Les apports
II.3.3.3 L’avenir
TROISIEME PARTIE : BIBLIOGRAPHIE COMMENTEE
III.1. SUR LA CULTURE ET LA PEDAGOGIE
III.2. SUR L’EDUCATION ET LA PHILOSOPHIE
III.3. SUR LE CONTRASTE ENTRE ECOLE ET SOCIETE
III.4. SUR LE PROGRAMME SCOLAIRE MALGACHE 
III.5. WEBOGRAPHIE, JOURNAUX et AUTRES SUPPORTS
DOCUMENTAIRES
PERSPECTIVES
BIBLIOGRAPHIE LISTEE

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