Le type d’habitation des familles des enfants encadrés par Manda

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Les relations avec les adultes

Les liens que ces enfants maintiennent avec leurs parents ou les adultes responsables à leur égard, sont non seulement qualitativement mais aussi quantitativement faibles ou inexistants.
En 1986, le Fonds des Nations-Unies pour l’enfance (UNICEF) a opéré une distinction entre les différents enfants de rue :
– enfants conservant leur contact avec leurs parents ;
– enfants ayant des contacts occasionnels avec leurs parents ;
– enfants sans contacts avec leurs parents.
Dans tous ces trois cas, l’ONG Manda s’en occupe, car pour le Centre, ces enfants sont dans la même situation.

Les activités des enfants de rue

Les lieux principaux des enfants de rue se trouvent autour des marchés, leur intégration économique est parmi la main-d’œuvre du secteur informel ; dans ces milieux, il leur manque la protection affective, administrative et sociale.
Les activités exercées par ces enfants de rue sont de différents ordres. Il y a celle qui relève du secteur informel de l’économie, qui peut être qualifiée de marginal mais plus visible selon la législation des pays.
En effet, nous avons remarqué que souvent des enfants mendient pour gagner de l’argent, vendent des journaux, des sachets, cherchent de l’eau, effectuent des petites livraisons, gardent les véhicules pendant l’absence des propriétaires, etc. Les métiers exercés par ces enfants sont innombrables et relativement différents d’un pays à un autre. C’est-à-dire que les activités exercées par les enfants des rues à Madagascar ne sont pas identiques à celles qui sont exercées par les enfants des rues en France ; parallèlement à ces travaux, des enfants de rue exercent des activités marginales. Dans ce cas, les activités sont particulièrement diversifiées et il est difficile de les citer en totalité.

L’organisation sociale des enfants dans la rue

Pour savoir le fond de l’organisation sociale des enfants de rue, il faut s’intéresser aux approches suivantes :
o Approche genre
Au début, les enfants qui se rencontrent dans la rue se forment en groupuscule et fondent une famille très soudée avec les mêmes idées sans distinction, filles ou garçons. L’idée de sexe ne figure pas dans leur vocabulaire. S’ils sont ensemble, c’est juste à la recherche de leurs intérêts : leurs nourritures. Au fur et à mesure, des lois et des règles s’imposent dans le groupe, des distinctions de genre et de force entrent dans le système de fonctionnement. La loi du plus fort s’applique. Celui qui possède quelque chose règne dans le groupe.
o Approche spatiotemporelle
Les enfants ont une manière particulière de répartir leur territoire. Cette répartition n’est plus dans leur loi mais vient toute seule, c’est-à-dire qu’un groupe peut posséder un ou deux ou trois territoires : un territoire pour dormir, un territoire pour les recherches du quotidien et un territoire pour les loisirs. Il n’y a pas lieu ici de tracer de territoire mais plus le groupe ayant vécu le premier, dans un tel ou tel espace devient le propriétaire, plus cet espace lui revient de droit de le défendre. Aucun autre groupe ne peut y accéder sans son avis.
Quant au facteur temps, les enfants passent leurs temps dans la journée à mendier, à jouer, etc. La notion du temps ne les empêche pas de poursuivre leurs activités.
o Approche relationnelle
Les enfants de rue n’ont aucune relation avec autrui, à part leurs groupes pairs. La situation les pousse à couper les ponts avec la société. Pour eux, la vraie société est la leur, car ce sont eux qui y font la pluie et le beau temps. Ils n’attendent plus personne pour leur inculquer des règles et des normes de conduite.
o L’image de soi
L’enfant, avant de se trouver dans la rue, pense, hésite, se demande ce qu’il va devenir ; des fois même, il n’a pas envie mais ce sont les conditions de vie qui le poussent à prendre une décision. Durant les premiers jours, l’enfant a honte, il a peur, il se cache. Mais finalement, il commence à perdre son image, à négliger la société, à s’imposer dans le groupe. Sa vraie société est celle où il vit avec sa famille, c’est un groupe pair. Il a déjà convaincu au fond de lui qu’il est marginal et cela débouche généralement sa vie entière.

Les droits de l’enfant

Il y a lieu tout d’abord de connaître la définition des droits de l’enfant avant de présenter la situation des droits de l’enfant à Madagascar.

Définition

D’une manière générale, les droits de l’enfant sont des droits humains qui mettent l’accent sur la protection, la satisfaction des besoins alimentaires et sanitaires fondamentaux et enfin l’éducation. Ils ont pour vocation de protéger l’enfant contre la violation de ses droits. Ils prennent en considération le caractère vulnérable de l’enfant. Ils impliquent la nécessité de leur apporter un cadre protecteur.

La situation des droits de l’enfant à Madagascar

Les principaux problèmes rencontrés par les enfants à Madagascar expliquent que leurs droits ne sont pas respectés. De ce fait, il y a une violation des droits de l’enfant.

La pauvreté

Aujourd’hui, Madagascar compte près de 22 millions de population d’après le dernier recensement effectué par le Ministère de la population en 2012.
Et plus de la moitié de la population vit en dessous du seuil de pauvreté : moins de 1dollard par jour.
Le revenu national brut par habitant est de 420 dollars par an ; ce qui fait de Madagascar l’un des douze pays les plus pauvres au monde.
Le Ministère de la population considère qu’environ 8.3 millions de Malgaches souffrent d’une pauvreté extrême ; ce qui signifie que ces familles n’ont pas les moyens de nourrir correctement leurs enfants, ni d’avoir accès aux soins de base.
La pauvreté est particulièrement flagrante en milieu urbain et des enfants travaillent pour aider leur famille.

Le travail des enfants

Le travail des enfants est l’une des conséquences majeure de la pauvreté. Plus d’un enfant sur quatre est obligé de travailler pour aider sa famille à subvenir à ses besoins. Généralement, il s’agit d’aider les parents dans les travaux de champs ou à la pêche (en milieu rural). Le taux de chômage est très élevé à Madagascar, ce qui oblige certaines familles à compter sur les revenus des enfants pour survivre.
Près de 50%5 d’enfants âgés de 8 à 16 ans sont économiquement actifs et parmi eux, 25% effectuent des travaux dommageables (transport des pierres taillées dans une carrière) et épuisant qui peuvent nuire à leur santé. Dans la plupart des cas, ces enfants sont considérés comme des « aides familiales ».
Le travail domestique concerne davantage les filles que les garçons. Ce travail occupe les enfants plus de 35 heures par semaine. En dehors du travail domestique, les deux secteurs qui emploient le plus des enfants sont l’agriculture et l’industrie. Les garçons travaillent majoritairement dans l’agriculture, dans les plantations (en milieu rural) alors que les filles exercent dans des services.

Maltraitances

Majoritairement, les enfants quittent leur foyer en raison de maltraitance. On constate chaque année plus de mille disparitions d’enfants dans la capitale de Madagascar, Antananarivo. Ils sont le plus souvent battus par des membres de leur famille, abusés sexuellement, harcelés psychologiquement, livrés à la prostitution et sont aussi des petits travailleurs rémunérés. Ces actes sont généralement très fréquents mais rarement poursuivis en justice, à cause de la faiblesse du système judiciaire.

Le Droit à l’éducation

Le droit à l’éducation des enfants est loin d’être respecté à Madagascar. Environ un quart des enfants ne sont pas scolarisés à Madagascar selon l’étude effectuée par l’UNICEF dans la situation des femmes et des enfants à Madagascar en 2009. Il manque cruellement d’infrastructures scolaires dans les écoles malgaches : c’est-à-dire : le nombre d’écoles est insuffisant et les écoles existantes sont dans un état très détérioré ou même complètement détruites à la suite des catastrophes naturelles qui font des ravages chaque année sur l’ile. En outre, certaines écoles manquent de personnel éducatif adéquat. Et les parents n’ont pas suffisamment de moyens pour éduquer ou finir les études de leurs enfants. Pourtant nul n’a besoin d’expliquer ici l’importance de l’éducation.

L’intégration sociale

Il y a lieu de voir la définition de l’intégration sociale et de connaître à quoi consiste t-elle.

Définition

Intégrer une personne socialement c’est aider une personne à s’impliquer, à s’imprégner, à s’insérer dans une société qui a une autre valeur, une règle, une autre mode de vie ou de droit autre que les siennes ou qu’elle a connu. Elle consiste également à fournir à cette personne les moyens de se réadapter à la vie sociale après une rupture ou une arrivée dans une société bien définie.
L’intégration renvoie donc, au processus de rétablissement des liens sociaux nouveaux ou brisés. C’est le mécanisme de réadaptation à la vie sociale
« normale », d’inclusion et de participation. Il s’agit de la resocialisation des individus, qui pour une raison ou pour une autre, se sont retrouvés à la marge de la société.

A quoi consiste l’intégration sociale ?

L’intégration sociale consiste à :
– Améliorer les conditions de survie de l’enfant
– Créer un environnement juridique et social favorable à l’enfant
– Améliorer l’éducation civique et citoyenne en vue d’une participation efficace à la vie publique nationale

Présentation du Centre

Ce chapitre nous expose la situation juridique du Centre, son histoire, son système de fonctionnement ainsi que ses objectifs et ses moyens mis en œuvre.

Présentation du Centre de stage

Il y a lieu de mentionner dans cette section le statut juridique de l’ONG Manda, son historique et son système de fonctionnement.

Statut juridique

L’association Manda est créée le 08 avril 1999, ayant un statut et récépissé déposés légalement auprès de l’autorité compétente, régie auparavant par l’ordonnance 60-133 portant régime général des associations qui se constituent en ONG régie par la loi 96-030 portant des ONG à Madagascar. Ces présents statuts sont dorénavant les statuts de l’ONG Manda.

Historique

MANDA, qui signifie « rempart » dans le sens de protection, est une ONG de droit malgache.
Le fondateur de l’action sociale que Mande continue jusqu’à présent, était un touriste Allemand poursuivi par des enfants qui mendiaient au marché d’Anosy. De par ce phénomène, il a décidé de leur apporter des aides ; c’était à partir de ce temps là, ou plus précisément, en 1999 que cette initiative a vu le jour.
Un Centre social nommé ZAZA FALY était ouvert et après le retour définitif de cet Allemand dans son pays d’origine, le Centre porte le nom de Manda, qui a son siège à Tsiadana, Antananarivo dont la mission principale est d’améliorer les conditions de vie, la participation sociale et citoyenne des enfants de rue, tout en leur donnant ce dont ils ont fondamentalement besoin pour affronter leur avenir.

Système de fonctionnement des entités du centre Fonctionnement des entités

L’Assemblée générale (AG), c’est l’organe délibératif du Centre. Elle est sise deux fois par an, sauf dans des cas exceptionnels, le directeur du centre supervise le déroulement du Centre et assure toutes les relations internes et externes du Centre, l’assistant de directeur représente le directeur du Centre à son absence. Le responsable du Centre de jour Tsiry est chargé des affaires administratives et de tous les travaux de secrétariat. Il est le superviseur de toutes les activités du projet Tsiry. Les autres responsables du projet Felana, Vony, Tourisme sont chargés d’offrir aux enfants des formations professionnelles.
Pour être plus précis dans le système de fonctionnement et de l’hiérarchie du Centre, voyons l’organigramme du Centre ci-après.

Les activités menées par le Centre face à ses bénéficiaires

Nous avons vu précédemment que la mission de l’ONG Manda consiste à améliorer la vie des enfants en situation difficile, à participer dans la vie sociale et Manda s’organise pour mener à bien sa mission. Pour cela, il est ici question de détailler largement les déroulements des activités et les résultats obtenus durant les quatre dernières années.
Tout d’abord, Manda recrute des enfants de la rue de différents quartiers de la capitale et des enfants venant des familles défavorisées. 80% de ces enfants sont issus de tous les quartiers d’Antananarivo et 20% venant du quartier de Tsiadana où se trouve le siège social du Centre. Le personnel ayant des contrats d’assistance se divise en deux groupes et chaque groupe descend sur terrain deux fois par mois avec l’aide d’un garçon de rue fréquentant le Centre.

Les différents projets de Manda

Il y a lieu de présenter les différents projets de l’ONG Manda pour répondre aux besoins de ces enfants.

Le projet Felana

C’est un atelier de formation professionnelle en menuiserie. Le Centre peut accueillir 15 garçons âgés de 14 ans et plus. Ils sont formés et encadrés par des professionnels en menuiserie. Avant d’être accueillis au Felana, les enfants ont d’abord fréquenté le Centre de jour Tsiry que nous verrons après. C’est aussi un projet d’internat des enfants. A l’aide d’une cuisinière, les enfants préparent eux-mêmes leur repas. Ils reçoivent des cours de malgache, de français et de séance de santé reproductive pour adolescents. Ce qui leur permet d’avoir confiance en eux et de s’insérer avec certitude dans la vie sociale. A leur sortie, le Centre assure leur suivi, c’est-à-dire que la formation, une fois terminée, le Centre s’occupe des enfants soit pour leur trouver du travail, soit pour les recruter dans le Centre.

Le projet Vony

C’est un Centre de formation professionnelle spécialisée en tissage, en broderie, en coupe et couture. Le Centre offre 15 places à des filles âgées de plus de 14 ans ayant elles aussi bénéficié du projet Tsiry. Elles vivent en internat dans le même bâtiment que celui du projet Felana, dans un contexte familial accompagné dans le ménage et la cuisine par une mère. Elles reçoivent des cours de Malgache et de Français deux fois par semaine et une matinée par semaine est réservée à une séance d’éducation sanitaire reproductive pour adolescents.

Le projet Tourisme

Il donne accès aux jeunes de deux sexes et forme les jeunes au métier de guide touristique et les accompagne dans le monde du travail à Antananarivo et ses environs.

Le projet Tsiry

C’est un projet d’intégration et de réintégration scolaire des enfants de la rue, le Centre est capable d’accueillir près de cents enfants, âgés de 6 à 16 ans. Mais n’empêche que s’y trouvent actuellement des enfants allant de 4 à 21 ans. Ces enfants reçoivent un enseignement adapté à leur niveau qui permettra la suite de leur scolarisation.
Il y a la classe ASAMA : programme scolaire d’une année comprimée (au lieu de 5années dans les écoles primaires) pour pouvoir passer l’examen de CEPE.
Une classe d’Alphabétisation pour l’apprentissage de la lecture et de l’écriture
Une classe de préscolaire pour des exercices d’éveil psychologique.

Les activités mises en pratique

Nous nous demandons comment se déroulent les activités du Centre afin d’atteindre leurs objectifs. Le Centre, après avoir recruté l’enfant, doit ensuite s’assurer que tous les besoins de l’enfant sont aptes pour mieux l’adapter. C’est ainsi que le Centre poursuit les activités suivantes :

Prise en charge nutritionnelle

Le premier besoin de l’humain est un besoin physiologique élémentaire. Pour qu’une personne arrive à réaliser ses activités et à se sentir en bon état de travailler normalement, elle doit manger trois fois par jour de la qualité et de la quantité : 2133 calories par jour6.
C’est pour cette raison que malgré les moyens que le Centre possède, il assure le petit déjeuner et le repas de midi des enfants. Néanmoins, les enfants prennent un petit déjeuner avant une brève toilette faite au Centre et ceci va du lundi au vendredi de la manière suivante.

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Table des matières

INTRODUCTION GENERALE
Chapitre 1 : Présentation de l’enfant
Section I : La famille et l’enfant
A. La famille : source primaire de la socialisation de l’enfant
1. Définitions de l’enfant
2. Définitions des enfants de la rue
a. Typologie des enfants de la rue
b. L’espace : la rue
c. Les relations avec les adultes
d. Les activités des enfants de la rue
e. L’organisation sociale des enfants dans la rue
 Approche genre
 Approche spatiotemporelle
 Approche relationnelle
 L’image de soi
B. Les droits de l’enfant
1. Définition
2. Situation des droits de l’enfant à Madagascar
a. La pauvreté
b. Le travail des enfants
c. La maltraitance
d. Le droit à l’éducation
Section II:L’intégration sociale
A. Définition
B. A quoi consiste l’intégration sociale ?.
Chapitre 2 : Etude monographique du Centre
Section I : Présentation du Centre de stage
A. Statut juridique
B. Historique
C. Système de fonctionnement des entités du Centre
Section II : Les objectifs, les moyens et les partenaires de l’ONG Manda
A. L’objectif global
B. Les objectifs spécifiques
C. Les moyens mis en oeuvre par l’ONG Manda
1. Moyens humains
2. Moyens matériels
3. Moyens financiers
D. Les partenaires techniques
DEUXIEME PARTIE : PRESENTATION ET ANALYSE DES RESULTATS
Chapitre 3 : Description de la population encadrée par l’ONG Manda
Section I : Caractéristiques de la population
A. Les tranches d’âge
B. Le genre des enfants encadrés par Manda
C. Le type d’habitation des familles des enfants encadrés par Manda
D. Système d’habitation des enfants du Centre
E. Statut social des enfants de la rue encadrés par Manda
F. Lieu de naissance des enfants qui bénéficient du Centre
G. Niveau d’instruction des parents des enfants encadrés par le Centre
H. La taille de ménage des familles
I. Les situations patrimoniales des parents des enfants encadrés par Manda
J. La situation socioéconomique des familles
Section II : Les autres causes de ce phénomène
A. La déscolarisation des enfants
B. La maltraitance des enfants
Chapitre 4 : Les activités menées par le Centre face à ses bénéficiaires
Section I : Les projets de Manda
A. Le projetFelana
B. Le projet Vony
C. Le projet Tourisme
D. Le projet Tsiry
Section II : Les activités mises en pratique
A. Prise en charge nutritionnelle
B. Prise en charge médical
C. Les vêtements et kits scolaires
D. Soutiens psychosociaux
Chapitre 5 : Les impacts de l’intégration sociale, scolaire, les bons fonctionnements et dysfonctionnements du Centre
Section I : La scolarisation
§1. Le système d’enseignement
A. Le niveau préscolaire
B. Alphabétisation ou niveau II
C. L’action Scolaire d’Appoint pour les Malgaches Adolescents
§2. Les résultats scolaires obtenus par le Centre durant les quatre dernières années
§3. Vérification des hypothèses
Section II : Bilan et prospective du Centre
§1. Evolutions socioéconomiques de l’intégration social et scolaire
A. Le raccrochage face au Centre
B. Les résultats de l’intégration sociale et scolaire
C. Le vécu des enfants dans la rue par rapport à l’état actuel
§2. Poste action des familles et rapport d’activités sur le travail social
A. Poste action des familles des enfants bénéficiaires du Centre
B. Rapport d’activités sur le travail social effectué au Centre
Section III : Les bons fonctionnements et dysfonctionnements du Centre
A. Les points forts
B. Les facteurs méritant des améliorations
TROISIEME PARTIE : Approche prospective et recommandations
Chapitre 6 : Les solutions externes : la synergie entre le gouvernement et les OSC
Section I : La responsabilité de l’Etat
§1. La détermination d’une stratégie nationale de protection de l’enfance
A. La stratégie nationale de protection de l’enfance
B. Les forces et les faiblesses
1. Les atouts
2. Les faiblesses
§2. Le rôle des Ministères sociaux
A. Le Ministère de Tutelle : Le Ministère de la population et de la protection sociale
B. Le rôle des autres Ministères sociaux
1. Le Ministère de la jeunesse et des sports
2. Le Ministère de l’Education Nationale (MEN)
Section II : La responsabilité des OSC
§1.Le rôle des OSC
A. La mobilisation des différents acteurs associatifs
B. La coordination des différents acteurs associatifs
§2.Les principaux acteurs
A. Les ONG
B. L’école
C. L’église
Section III : La responsabilité des travailleurs sociaux
A. La valorisation de métier du travailleur social
B. Le principe de l’accompagnement
Chapitre 7 : Des recommandations et des suggestions proposées
Section I : Les différentes prises en charge
A. Prise en charge psychologique des enfants de la rue
B. Soutiens psychomoteurs
C. Relation entre enfant et parents
D. Discipline
Section II : Implications actives de l’Etat face aux enfants de la rue
A. Politique de l’enseignement
B. Implication psychosociale dans la scolarisation des enfants de la rue
– Interventions maternelles et infantiles
– Interventions juridiques ou protection juridique de l’enfant
CONCLUSION GENERALE
Bibliographie
Webographie

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